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LES FRANCAIS SONT FOUS. ALORS QU’IL Y A TANT DE TRAVAIL A FAIRE DANS CE PAYS EN VOIE DE NAUFRAGE, ILS PERDENT LEUR TEMPS A « REDECOUPER » LEURS REGIONS ! ON EST EN PLEIN ASILE PSYCHIATRIQUE !

 

 

L’EFFROYABLE CENSURE DES MEDIAS EN FRANCE.

La naïveté des Bretons aura sûrement empêché nombre d’entre eux de réaliser que l’impensable est vrai : les médias français sont truqués de la manière la plus grave.

C’est une longue tradition : les statistiques publiées par les ministères sont FAUSSES. Vous n’êtes renseignés ni sur les données de l’insécurité, ni sur les chiffres de la délinquance, ni sur les chiffres de l’immigration, ni sur les chiffres du chômage …

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Ces malversations gravisimes sont le fait des gens qui détiennent les commandes, c’est sur leur ordre que tout est falsifié. Ce sont des fautes de gouvernance et politiques d’une extrême gravité …

Avec le temps, tous nos lecteurs ont réalisé que ce qui s’écrit ici reflète la stricte et absolue vérité, sans trace aucune de complaisance pour personne.

LA FOLIE DU « REDECOUPAGE » DU TERRITOIRE FRANCAIS.

Fous ? Les Bretons le sont aussi.

Leur pays est unifié depuis le neuvième siècle. C’est en 851, sous le roi Erispoé, fils du Dux Nominoé, mort la même année, que les Francs ont cédé aux Bretons les comtés de Rennes et de Nantes, ainsi que le pays de Retz.

Le pouvoir de Vichy en a extrait, par une violation grave de leurs droits plus que millénaires, leur plus beau fleuron historique et économique : le Comté de Nantes.

Depuis soixante dix ans, ils luttent pour le reconstituer.

Des « députés » et des « sénateurs » s’amusent à des jeux REPUGNANTS, trahissant d’une manière éhontée ceux qui, croyant pouvoir leur faire confiance, les ont élus.

Les Bretons, une fois de plus, vont-ils se laisser rouler dans la fange ? Comment peuvent-ils, alors qu’à hauteur de plus de 75 pour 100, ils veulent récupérer le territoire national qui leur a été volé, SUPPORTER QUE CEUX QUI LES TRAHISSENT ,

Beau peuple que celui-là, en effet : PAVOISEZ, REGARDEZ VOUS DANS LA GLACE : DE PARTOUT, ON ADMIRE VOTRE COURAGE.

 

CONSEILS IMPERATIFS.

Sachez, tout d’abord, que vous ne pouvez faire AUCUNE CONFIANCE aux médias officiels.

Je vous recommande avec insistance :

– De n’écouter le « 20 heures » ni …

– De préférer absolument …

LE PLUS GRAND CRIME QU’UN BRETON PUISSE COMMETTRE : SACRIFIER SON PAYS A SES VULGAIRES AMBITIONS PERSONNELLES. LE JEU REPUGNANT DES BRETONS QUI NAVIGUENT A VUE .

« L’indépendance, cela s’apprend » (Jean Marie TJIBAOU).

« La Bretagne devrait être indépendante depuis longtemps. Ce n’est pas l’attitude criminelle de la France qui bloque cette évolution : ce sont les divisions des Bretons, leur incapacité à se mettre d’accord sur RIEN, et les monstrueuses ambitions personnelles qui empêchent que les choses se réalisent : les criminels sont Bretons bien davantage que Français. Le droit international évolue à grande vitesse. Si des Bretons s’aventurent à saboter leur pays en substituant leurs ambitions à la volonté aujourd’hui très claire de la population, ils seront un jour, sans nul doute, rattrapés par le droit, et seront plus que lourdement condamnés. Nous sommes maintenant très nombreux à être déterminés à faire en sorte que cela se produise « .

 » En dépit des obstacles, j’ai travaillé à élever peu à peu le débat au niveau du droit international. Il est maintenant situé également au niveau de la responsabilité politique des acteurs. Ceux-ci savent désormais ce que sont les fautes gravissimes qu’ils sont en train d’accomplir, et que si l’état d’évolution du droit ne permet pas encore de les poursuivre efficacement, cela adviendra, d’une manière certaine, avant quelques années. Comme Jacques Chirac, Nicolas Sarkosy et tant d’autres jadis protégés par leurs fonctions et un appareil judiciaire largement complice, la main qui s’abattra sur eux sera particulièrement lourde, à la hauteur de ce qu’ils ont osé faire ». (Louis MELENNEC).

 

http://louis-melennec.fr/2013/06/17/un-peuple-esclave-et-nevrose/

 

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SELON LE PRINCIPE DE DROIT INTERNATIONAL AUJOURD’HUI BIEN ETABLI, SEULES LES NATIONS PEUVENT DECIDER DE LEUR SORT. LES POLITIQUES AMBITIEUX ET NOMBRILISTES NE PEUVENT EN AUCUN CAS SE SUBSTITUER A ELLES DANS CE DOMAINE. LEUR RESPONSABILITE EST TRES LOURDEMENT ENGAGEE S’ILS OSENT S’AVENTURER A DECIDER A LEUR PLACE.

 

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Malgré les processus similaires qui se déroulent à peine à plus de quelques centaines de kilomètres de chez eux – en particulier en Ecosse et en Catalogne -, les Bretons sont encore loin d’avoir compris ce qui est en jeu dans leur propre pays.

Ceux qui sont censés les représenter, au terme d’un processus pseudo-électoral parfaitement maÎtrisé par l’Etat colonial, trichent, naviguent au gré de leurs intérêts présents et futurs, qui sont répugnants : ils veulent, eux qui ne servent à rien, qui sont d’une absolue inefficacité, les institutions françaises les privant d’ailleurs de toute possibilité d’agir, les confinant à des fonctions de figuration, faites de discours creux, inutiles – et d’ailleurs inesthétiques -,  conserver leur abondant gâteau actuel, qui leur est servi mensuellement sous la forme d’une rente très substantielle, et d’avantages en nature divers, tout en manoeuvrant d’une manière éhontée, pour sauver les prébendes qu’ils espèrent conserver ou amplifier lorsque l’Etat breton aura reconquis sa place dans le monde. Ils pensent se dédouaner en militant, au moins en apparence, pour le « rattachement » de Nantes à la Bretagne : ils pensent que cela peut donner l’illusion d’une stratégie, et qu’on leur en saura gré.

L’un de ces tristes sires, sur le coin d’une table, sans consulter personne que ses propres ambitions, a convaincu le président de la république française, qui jouit dans son propre pays d’un discrédit jamais atteint dans l’histoire, bafouant le désir fermement exprimé par les Bretons, et le combat qu’ils mènent depuis plus de soixante ans, de continuer à réduire notre territoire d’un cinquième de sa superficie, de 30 pour cent de sa richesse en termes de PIB.

Un autre, qui s’est illustré pendant plus de vingt ans par ses actes en faveur de la débretonisation du Comté de Nantes, imagine qu’en militant pour la fusion d’un pays prestigieux  et de la région fantôche voisine, il va obtenir la création d’une sorte de république absurde, dont il se voit, comme la grenouille de la fable, sacré président à vie.

Le sort de la Bretagne n’appartient pas à ces sortes de personnages : il est la propriété des Bretons, qui ont seuls qualité pour décider de leur sort.

Ces manoeuvres sont si graves et si transparentes, si inavouables quant à leur finalité répugnante, si contraires au voeu des bretons, qu’un seul et même mot suffit à les définir, comme à définir le sort futur le leurs auteurs : LA TRAHISON. 

Beaucoup de Bretons sont désormais au courant de ces manoeuvres d’une extrême vulgarité, ce qu’elles dissimulent, et que d’ailleurs, un certain nombre de ces messieurs se sont décidés bien tard à faire semblant de donner leur adhésion à la reconstitution de notre territoire national, qu’ils continuent à dénommer « la Bretagne administrative » (!!!!), ou quelque chose comme cela, là où il n’est question que de vol, de tromperie, et de spoliation. Mais ils ne disent mot sur le fond de l’affaire : ceux-là sont-ils complices ? Indiscutablement.

Quel courage ! Répétons le en fanfare : la Bretagne est un pays de héros.

Mais l’histoire est écrite, et personne n’est ni ne sera dupe : l’avenir jugera ces faits aussi sévèrement que ce qui s’est passé pour Vichy, quoique ce régime fut légitime, par l’accord explicite du Parlement (569 parlementaires accordèrent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, en 1940, 80 seulement les refusèrent-, et l’adhésion du pays dans sa presque totalité, heureux de se placer sous l’aile de cet homme qui fut considéré comme providentiel, au moins pendant plusieurs années. (La mode actuelle est à la vomissure et au discours politiquement correct, genre que je ne pratique pas, comme on le sait).

D’autres Bretons, qui osent afficher ouvertement leurs convictions en faveur de la totale libération de leur pays, et son évacuation par le pouvoir colonial, le font en privé, mais se gardent de se compromettre en public : c’est pire, car là, la LÂCHETE s’exprime au grand jour ..

Lorsque l’Empereur François-Joseph d’Autriche se rendit avec sa femme Elizabeth à Milan, la ville et sa région étant alors asservies sous la férule de l’Autriche, les Milanais refusèrent de déférer à la soirée à laquelle ils étaient invités par les Souverains à la Scala, l’ opéra mondialement célèbre. L’empereur et l’impératrice se trouvèrent devant un public étrange : la société de Milan avait délégué en ses lieu et place ses domestiques, ses concierges, ses cochers, ses serviteurs … C’est devant ce parterre que se déroula la soirée, qui est restée célèbre dans l’histoire des pays soumis à l’esclavage d’un pays étranger. L’humiliation de l’Etat colonial fut affreuse.

La Bretagne ne s’inspire pas de ce sublime exemple. Lorsque le président et le premier ministre de l’Etat colonial viennent en Bretagne, il se trouve quantité de Bretons pour aller leur lécher les pieds et leur baiser les mains. Les autres se taisent. La presse « démocratique » rampe au niveau du sol, voire en dessous. Le processus est inversé : c’est la Bretagne et ses habitants qu’on humilie. Pas un n’ose parler net à ces messieurs qui viennent d’ailleurs. Mais ceux-ci connaissent maintenant la vérité, de même que toute la presse française, que l’on a ensemencée avec méthode et persévérance depuis dix ans : on a dit ailleurs dans quelles conditions, le livre bleu de la Bretagne étant paru depuis quelques jours à peine, la République française, sur le papier à en-tête officiel du premier ministère en a commandé deux exemplaires. Nous avons su, de source sûre, non qu’il a été lu, mais qu’il a été dévoré.

Ainsi, les cocus de la Bretagne continuent à l’être, ce qui est leur destin naturel.

J’ai écrit au moins cent fois que nous perdons un temps précieux, car la France se désagrège, et entraîne la Bretagne dans son naufrage. Il est imbécile de croire que ces simagrées ne sont pas parfaitement comprises du « gouvernement » de la France (l’équipe de pieds nickelés qui en tient lieu, pour le désespoir des Français), et que les hypocrites qui jouent ce jeu bénéficient d’une quelconque estime. L’hypocrisie dégage toujours une odeur pestilentielle, ils sont méprisés en France comme en Bretagne.

On sait parfaitement que la Bretagne va vers l’ indépendance. Cette évolution est redoutée à Paris, pour des raisons multiples, d’autant qu’on réalise qu’il ne s’agit pas d’une probabilité, mais d’une certitude : LES BRETONS doivent AFFICHER LES CHOSES FERMEMENT, DANS LA DIGNITE, et cesser de biaiser : nous avons cent raisons de retrouver notre place sur la scène internationale, la France a MILLE raisons de quitter le territoire breton. Le plus tôt sera le mieux.

La punition la plus effroyable pour ceux qui trichent : leur trahison rejaillira sur tous leurs descendants, pendant longtemps : comme les ROHAN, dont quelques uns au moins furent des gens remarquables, mais qui restent tous aujourd’hui encore coupables, aux yeux des Bretons qui connaissent leur histoire, en raison de la trahison de leur ancêtre Jean II, vicomte de Rohan, qui se rangea du côté du roi de France Charles VIII, lors des invasions de la Bretagne, et joua un rôle important dans la défaite de nos armées à Saint-Aubin-du-cormier, en 1488, ouvrant le chemin à l’asservissement de notre Pays jusqu’à aujourd’hui.

A une époque où l’histoire du pays était inconnue de tous – sauf d’une petite élite, à laquelle appartenait les parents de Mona Ozouf, à qui fut attribué le collier de l’Hermine pour un fort médiocre ouvrage -, falsifiée, remplacée par celle de la France, enseignée avec fureur dans les lycées et collèges de Bretagne, avec la « philosophie » subséquente, cela pouvait se comprendre : M. René Pleven, maintes fois ministre sous la quatrième république, bien d’autres politiques, ne seront pas coupables aux yeux de nos enfants ni de ceux qui viendront après eux : leur cerveau était à ce point lessivé par une propagande éhontée, qu’ils ne commettaient aucun crime en participant à un gouvernement étranger : en droit, il n’y a ni crime ni délit lorsqu’on n’a aucune conscience de les commettre.

Mais aujourd’hui, il y a le Livre Bleu : il n’est plus possible d’ignorer les crimes commis. Ceux qui feignent ou affectent de les ignorer mentent : ils sont méprisables.

L’histoire des pays qui se libèrent de leurs chaines s’écrit toujours de la même façon, et les mêmes causes produisent les mêmes effets.

Bretons qui aujourd’hui connaissez votre Histoire, allez vous enfin dire ouvertement ce que vous pensez ? Il vous suffit d’entrouvrir la bouche, d’autres l’ont ouverte toute grande pour vous.

SURTOUT, sachez, et criez le à HAUTE VOIX : le sort des nations dépend des individus qui les composent : ces malfaisants politiques, qui ne poursuivent QUE LEURS INTERÊTS NOMBRILISTES DEGOÛTANTS, n’ont aucune qualité pour décider quoique ce soit dans ce domaine à votre place. Le droit international ne donne aucune prérogative à des individus non investis des compétences nécessaires pour décider à la place des intéressés, lorsque ceux-ci ont exprimé leur volonté claire et précise, ce qui est le cas en Bretagne, par les sondages répétés depuis une dizaine d’années. A ce stade, accaparer des pouvoirs qui ne leur appartiennent pas, engagerait leur responsabilité politique lorsqu’une Cour nationale bretonne sera en mesure de les juger. Ce qui ne manquera pas de se produire.

Dr LOUIS MELENNEC

UNE TELEVISION FRANCAISE PARLE POUR LA PREMIERE FOIS, SANS HYPOCRISIE, DU RETOUR DE LA BRETAGNE A LA SOUVERAINETE INTERNATIONALE .

 

 

 

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RAPPEL DES PRINCIPES INTANGIBLES : LA BRETAGNE N’EST PAS FRANCAISE. LA FRANCE EST EN TRAIN DE SE DESINTEGRER SOUS NOS YEUX.

 

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Certains Bretons ayant beaucoup de loisirs à dépenser, j’apprends – par un média qui n’a heureusement que peu de lecteurs -, que le bon docteur Mélennec serait « favorable à la dilution de la Bretagne dans une région du grand ouest, incluant l’ancienne région des pays de Loire ».

Ma position n’ayant pas varié d’un iota depuis quarante ans, je rappelle d’une manière claire ce qu’elle est, irréductiblement, ce qui constituera une excellente mise au point  :

1 – En droit, la Bretagne n’a jamais fait partie de la France, elle n’en fait pas partie, elle n’en fera jamais partie. Elle a été envahie en 1491, puis annexée en 1532, en aucun cas « réunie » par un processus délibéré et accepté par les Bretons. Ses Institutions, sa législation, sa fiscalité, sa langue ont été détruites par le pays situé à l’est de ses frontières, sans qu’elle ait été consultée, et sans avoir consenti à rien.

2 – La France n’est en Bretagne que par la force, la manipulation, la contrainte, l’achat des consciences, et par la maîtrise qu’elle s’est attribuée par l’enseignement, les programmes scolaires, les carrières, une partie importante de l’économie.

3 – En droit international, la France est un pays annexé, occupé, colonisé. Le colonisateur n’a qu’un droit : partir.

4 – Le territoire national de la Bretagne comporte CINQ départements. Ce territoire a très peu varié depuis l’année 851. Le plus important, par le symbole qu’il représente, l’histoire, la prospérité (30 pour cent de la richesse de la Bretagne, exprimée en termes de PIB), est la Loire Atlantique, dénommée « Comté de Nantes », sous ses Ducs souverains et jusqu’en 1789.

5 – Les ministres « bretons » en exercice a Paris sont coupables d’avoir laissé promulguer le plan du maintien de l’occupation de la Loire Atlantique par l’Etat colonisateur. Leur devoir impératif eût été de se manifester devant la France, la Bretagne, et le monde, en démissionnant avec éclat, pour ne plus jamais revenir, et réclamer son émancipation immédiate, sous le contrôle des Instances internationales.

6 – L’un d’entre-eux est notoirement désigné, et assume cette responsabilité écrasante, comme ayant persuadé le Président de la République française que la Bretagne doit rester composée des quatre départements auxquels  l’a réduit l’Etat collaborationiste français de Vichy, en 1941. La Bretagne a appris cette incroyable nouvelle  par la presse française, sans avoir été consultée, et sans y avoir, ni de près ni de loin, consenti à cette nouvelle  spoliation.

Un autre « Breton », par l’incroyable abus des fonctions détenues par lui pendant plus de vingt ans, a permis jusqu’à aujourd’hui, en violation du droit et de la volonté des populations, le maintien de la scission de la Bretagne en deux parties, comme jadis l’Allemagne de l’Est.

 

7 – Le droit international comporte depuis des années un corpus de principes qui garantissent aux nations incluses contre leur volonté dans d’autres pays, la protection sacrée de leur langue, de leur culture, de leurs valeurs, ainsi que leur enseignement et leur transmission aux enfants.

Tous ces principes sont bafoués au quotidien par le pays auto-proclamé « des droits de l’homme ». La France est hors la loi internationale. Les crimes qu’elle commet au quotidien contre les « minorités » incluses dans les frontières qu’elle a elle-même fixées, sont d’une extrême gravité.

  8 – En droit européen et en droit international, la Loire Atlantique ne fait en AUCUN CAS partie de la France, elle est partie intégrante de notre territoire national, propriété indivise de tous les Bretons. Même si des procédures sont nécessaires, il ne s’agit, EN AUCUN CAS, en droit, de solliciter l’état colonisateur de « reconstituer administrativement » (!!!!) la Bretagne, mais de restituer aux Bretons ce qui leur a été volé, et qui reste leur propriété, le voleur n’ayant aucun droit sur ce qu’il a volé. Aucun referendum n’est envisageable en Loire Atlantique – surtout pas organisé par la France, qui s’y trouve en pays colonisé -, puisque ce département fait juridiquement partie de la Bretagne. Ce dont il est question, c’est de l’évacuation de ce pays hors de Bretagne, en aucun cas d’une quelconque « autorisation » à  lui demander.

9 – En encourageant les autorités françaises, représentées en Bretagne par leurs Gouverneurs (les préfets), à maintenir la partition du Pays, M. Jean-Yves le DRIAN a anéanti plusieurs dizaines d’années d’efforts de nombreuses associations – dont Bretagne Réunie, la plus importante – d’obtenir la réintégration dans notre territoire national ce qui nous appartient. CECI POUR UN NOMBRE D’ANNEES INDETERMINE. En français comme dans toutes les langues, cet acte porte un nom.

10 – La réintégration de NANTES dans notre territoire national est une priorité absolue, elle est VITALE pour notre identité, notre survie politique, économique, et notre réapparition sur la scène mondiale.

Une opportunité stratégique se présentait : REINTEGRER LA LOIRE ATLANTIQUE DANS NOTRE TERRITOIRE –  sur le papier et dans les esprits dans un premier temps, avant de devenir effective – en l’enlevant aux Pays de Loire où elle n’a de place que par l’effet de la politique de colonisation. Menée avec intelligence – voire avec souplesse – c’eût été une étape déterminante. Mais pour mener une telle action, il faut être intelligent, et intransigeant sur les droits nationaux et internationaux de Notre Pays.

Qu’un département voisin, ou deux départements, pendant quelques années soient inclus dans cette combinaison politique, est sans inconvénient aucun, au regard du but poursuivi : la reconstitution ad integrum de notre pays. La Loire Atlantique, réintégrée dans notre territoire historique, ne pourra plus être ni soustraite, ni annexée une nouvelle fois par notre voisin de l’Est.

Que la Vendée militaire, par exemple, nous soit associée de son plein accord pendant plusieurs années ou d’une manière définitive, accroissant notre capital humain, notre surface maritime, et notre économie par sa très forte concentration en PME et en PMI, mériterait la plus grande attention. La Bretagne est ouverte à tout ce qui peut la rendre plus forte : ELLE N’EST PAS UN NOMBRIL.

La France n’est pas menacée de se désintégrer, c’est pire que cela : son processus de désintégration se déroule devant nos yeux, par l’incompétence de  ses « politiques », leur absence totale de vues sur l’avenir, l’attachement pathologique à leurs intérêts personnels, la totale inadéquation de sa Constitution et de ses institutions. Les Bretons doivent tout mettre en oeuvre pour échapper à ce malheur qui frappe notre voisin; il nous concerne tout autant que lui, tant que nous ne seront pas redevenus une puissance souveraine, et que nous n’aurons pas repris la gestion de nos affaires. Si le pays situé à l’est de nos frontières a toujours été notre ennemi, nos voisins français ne le sont pas; ils méritent notre compassion : ce qui leur arrive est pire qu’une guerre, tous le ressentent ainsi, quoique tous ont peur de s’exprimer librement, leurs médias étant sous contrôle, et bridés par des lois liberticides.

En Bretagne, tout pouvait cette fois être réalisé, au prix de quelques aménagements ultérieurs. L’occasion était exceptionnelle, le pays ayant sans ambiguité fait connaître sa volonté par des sondages répétés. Il s’agit ici de stratégie, c’est à dire d’un savoir-faire de grande envergure. L’enjeu ne supporte aucune erreur, certainement aucune lâcheté, la Bretagne ayant en face d’elle, depuis des siècles, un Etat menteur, manipulateur et spoliateur, considéré comme tel sur la scène internationale.

Par la volonté conjuguée de deux Judas bretons, tout est encore à faire  : bravo, messieurs les destructeurs de notre pays; un nouveau crime a été commis; on se souviendra de ce qui vient de se passer.

Qui a pu supposer que le bon docteur Mélennec ait pu être effleuré par l’idée de voir la Bretagne « diluée », « noyée », « neutralisée » dans un ensemble géographique et politique auquel elle n’appartient pas ?

 

Mais nous continuons, jusqu’à la restitution complète de nos droits.

 

LOUIS MELENNEC, docteur en droit, ex-consultant près le Médiateur de la République française.

 

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DE LA COLLABORATION, PHENOMENE UNIVERSEL.

Un ex-correspondant, qui ne me veut certainement que du bien, je crois, m’a écrit cette incroyable lettre : « Nous sommes tous des collaborateurs, vous le premier ».

Vous avez compris que cette missive ne vient pas de France, mais de notre cher pays, la Bretagne. En cette période dans laquelle une fraction de la population de Bretagne se réveille – très mollement -, il faut se remémorer comment, par un processus colonial enfin dénoncé par les instances internationales – l’ONU en premier lieu -, la France, pays des arts, des armes et du droit, s’est emparée  de la Polynésie, et a jeté en prison le père de la Nation Tahitienne, POUVANA A OOPA (nombreuses références sur la toile), puis fait …. SENATEUR ! Il demandait pour son peuple la restitution de la Souveraineté : LA FRANCE L’A JETE EN PRISON. L’histoire abonde de faits de cette nature : le reine de Madagascar Ranavalona III, exilée à la Réunion, puis en Algérie, le Sultan du Maroc, exilé en France …. les souverains légitimes du Vietnam remplacés par des « pions » dociles … « Nos » ministres, qui n’ont jamais été à l’école, ne peuvent que les ignorer, ou feindre de les ignorer.

Nous connaissons d’autres exemples, pires encore, car contemporains : on décore aujourd’hui du nom de « ministres » ceux qu’ont veut anesthésier (peine inutile, car ils sont porteurs du gène des sujets congénitalement anesthésiés). Ces exemples plongent leurs origines dans l’histoire de l’Humanité. Phénomène universel, que la libération des langues – à quoi nous travaillons depuis longtemps, en nous mettant en première ligne, et en utilisant toujours les mots adéquats pour désigner les faits et les choses auxquels ils se rapportent, notre patrimoine génétique personnel ne comportant aucune fraction du gène de l’hypocrisie -, permet d’énoncer ceci en termes CLAIRS : les collabos ont toujours été méprisés par le peuple; lorsque les temps sont venus, ils sont traduits en justice. Les historiens juifs ne manquent jamais de rappeler qu’au temps de Jésus, les collaborateurs du pouvoir romain étaient honnis de tous.

Bretagne, où en est tu dans ton itinéraire mental ? Vas-tu enfin laisser la vérité affleurer tes intelligentes circonvolutions cérébrales, et ouvrir la bouche, au lieu de « solliciter humblement » que le voleur consente à « reconstituer administrativement (!) » les territoires prestigieux qu’il t’ a volés ? Par ta lâcheté, vas-tu encore nous HUMILIER LONGTEMPS ?

LA FRANCE EST EN TRAIN D’ÊTRE BROYEE PAR DES IMBECILES. LES IDENTITES BRETONNE ET FRANCAISE SONT GRAVEMENT EN PERIL.

L’identité est ce qu’un être humain a de plus cher. Tout être humain a, d’ailleurs, plusieurs identités. Pour ne se placer que sur ce plan, il appartient à sa famille, à sa fratrie, à son quartier, à sa ville, à son canton, à sa région, à sa Nation. 

L’identité nationale est une composante essentielle de la personnalité. La Nation est cette vaste famille , ce groupe  humain élargi qui a vécu, pendant plusieurs siècles, parfois pendant plusieurs millénaires, les mêmes épreuves, les mêmes joies, les mêmes chagrins, qui partage les mêmes valeurs, souvent la même langue et la même religion …

Les fascistes de tous bords, de droite ou de gauche, marxistes ou nazis, ont toujours rêvé d’anéantir cette liberté fondamentale de tout homme de communier avec les hommes et les femmes du groupe humain auquel il appartient viscéralement. Ils ont voulu « chosifier » l’être humain, faire un « homme nouveau » (expression horrible), dont ils ne savent même pas, malades qu’ils sont, ce qu’il est et ce qu’il doit être, sauf qu’il doit être broyé dans une énorme moulinette, pour ressembler à tous ses congénères, pour former des millions de sosies, plutôt de clones, en une effrayante humanité formée de personnes identiques, pensant la même chose en même temps ….

 

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Fait INCROYABLE : c’est LA PREMIERE FOIS DANS L’HISTOIRE que la France, le Pays autoproclamé des Libertés, le Pays qui se dit l’inventeur des Droits de l’Homme, ouvre le débat sur la ferme volonté de la Bretagne de redevenir une puissance souveraine, et de se projeter dans la mondialité. 

La télévision qui nous a prié d’exposer publiquement ce que beaucoup de bretons pensent, sans oser encore s’exprimer, n’est pas la télévision lamentable qui déverse avec vos deniers des insanités sur vous tous les jours, tous les soirs, assassine votre identité, et contribue à répandre sur votre pays un sentiment d’angoisse et de peur, qui est maintenant perceptible dans toutes les couches de la population : car l’Identité française étant en voie d’être détruite, par les manœuvres perpétrées par des idéologues criminels et des médias totalement inconscients, les signes de déliquescence sont maintenant partout : Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Il y a trente ans que nous sommes solennellement prévenus par la Serbie de ce qui va nous arriver si la France, aux mains de débiles, ne prennent pas les mesures politiques indispensables. Toute la population a exigé que l’immigration soit maîtrisée d’une manière stricte. 75 pour cent de la population juge qu’il y a trop d’immigrés en France. Jusqu’à ces toutes dernières années, il était interdit de dire cela. Le racisme n’a rien à voir dans cette affaire, car les Français sont accueillants. Le racisme augmente, c’est vrai, mais par la faute non du peuple français, mais de ceux qui ont induit la situation actuelle, par leurs discours sots, déconnectés de l’histoire du monde, émanant d’un monde psychique apparenté à ceux qui ont provoqué les pires catastrophes de l’humanité : le destruction de la Russie, de la Chine, de l’Allemagne nazie, des pays satellites de l’est, du Cambodge, de la Corée du Nord .. Les politiques criminels n’ont rien fait, hors des promesses sans cesse répétées. Une nouvelle forme de responsabilité se met en place peu à peu : la responsabilité pour fautes politiques : un jour, ces hommes et leurs complices seront jugés.  Tous, en France, craignent des affrontements gravissimes comme ceux qui se sont produits en Croatie, en Bosnie, en Turquie, au Liban, en Irak, au Rwanda, en Yougoslavie …. La liste au cours de l’histoire du monde comporte plusieurs milliers d’exemples, parmi les plus dramatiques : la Turquie, le Kosovo, le berceau de la Serbie, le Rwanda …

Ce n’est plus de crainte de perte d’ l’identité qu’il s’agit, mais d’affrontements graves, de guerre civile, entre des ethnies aux valeurs incompatibles, qui finissent toujours par éclater, même si les ethnies mélangées ensemble sans aucune analyse ni connaissance de ce phénomène mondial et irrépressible sont en majorité des personnes modérées, qui ne souhaitent ni la guerre, ni les affrontements, et n’aspirent qu’à vivre en paix avec leurs voisins qui n’appartiennent pas à leur civilisation. Dans l’histoire du monde, ce ne sont pas ces populations-là qui initient et provoquent les atrocités, ce sont les extrémistes. Et lorsque le phénomène est enclenché, ce ne sont certes pas les plus pacifiques qui contrôlent la situation, mais toujours, des malades mentaux graves, psychopathes, délirants chroniques, paranoiaques surtout. On peut en citer de nombreux : Hitler, Mao-Tsé-Dong, Pol Pot, Trotsky, Staline … Sans même être manipulées par personne, les populations frustrées pendant des siècles peuvent tout d’un coup, en quelques heures, se transformer en masses furibondes se livrant aux massacres les plus cruels.

La population a-t-elle le droit de dire ouvertement qu’elle a peur. N’est-ce pas une abominable hérésie cousine germaine du racisme abominable ?

C’est de cela que l’occident est menacé : TOUS EN ONT CONSCIENCE.

 

 

Pendant que les Bretons sont à peu près d’accord sur l’essentiel (la réintégration des territoires volés dans notre patrimoine national, l’enseignement de la langue et de l’histoire nationales, la récupération par la Bretagne de ses droits nationaux et internationaux, la réapparition sur la scène mondiale en tant que puissance à part entière, surtout, le retrait de la puissance coloniale hors de nos frontières, la mise en jugement de ceux qui collaborent …), les Bretons se disputent, s’injurient, se harponnent, répandent des médisances les uns sur les autres, surtout, se jalousent, pas un n’étant capable de reconnaître ce que son voisin a fait pour lui et pour son pays, et de l’en remercier. Avec un programme à peu près identique, ils sont incapables de se réunir autour d’une table et de se mettre d’accord sur une stratégie commune, et de se tendre la main : avant que la discussion soit ouverte, ils en viennent aux mains, et se donnent des coups.
Les injures déversées sur M. TROADEC, cet homme d’action qui a tant fait pour son pays, maire de Carhaix, sont une HONTE pour toute la Bretagne.

Pendant ce temps, les Français, nos voisins, nous donnent la parole et nous écoutent, même s’ils ne partagent pas nos analyses. Ce qui est leur droit strict.

Quelle tristesse !

 

Echanges avec les lecteurs qui ont l’incroyable courage de m’écrire sans se dissimuler sous le masque hideux et lâche de l’anonymat.

– B. PARIS. Accepteriez vous de participer à une interview, et de répondre aux questions ci après ?

– Réponse. Je réponds à tous ceux qui me questionnent sur la Bretagne, de l’extrême gauche à l’extrême droite, sans discrimination, dès lors que mes propos peuvent être utiles. Force est de constater que jusqu’ici, ni les communistes ni les socialistes, ni les médias subventionnés par l’Etat français et par les annonces publicitaires – qui sont de loin l’essentiel de leur budget – ne m’interrogent souvent. Seraient-ils peu doués pour le dialogue ? Pour moi, je le suis tout-à-fait. Je présume que les questions ci-dessus ne sont pas une seule et même interview – car elles embrassent un univers, surtout pour Anne de Bretagne, dont j’ai étudié la vie pendant des années. Je vous adresse ci après un long article et une longue émission sur mon parcours, qui vous permettront de me poser des questions sur ce parcours, auxquelles je répondrai, sans détour, comme toujours.

Vos lettres doivent évidemment être identifiées par le nom de leur auteur, non par un prénom, ou par des initiales, qui ne me permettent pas de savoir qui est mon interlocuteur, si j’en ai un : comme vous le savez, je n’avance jamais masqué. J’aime regarder mes interlocuteurs dans le blanc des yeux. La lâcheté m’est insupportable.

– T. Versailles. On vous prête d’être favorable à la « dilution » de la Bretagne dans un région du « Grand Ouest », qui la noierait.

– Réponse. J’ai lu cela. Chaque fois qu’il y a une sottise à dire, cherchez les auteurs. Je vais rappeler, avec plus de fermeté encore, ce qu’est ma position sur la récupération par la Bretagne de son inaltérable Souveraineté (30 juin 2014).

 

 

Dans Google :

 

TV libertés, journal du 17 juin

 

Dans YOUTUBE :

 

 

 

Dans YOUTUBE encore :

 

LA BRETAGNE VENDUE A L’ENCAN, TRAHIE PAR LES SIENS UNE FOIS DE PLUS : L’OEUVRE INCROYABLE DE LE DRIAN : LA BRETAGNE RABOUGRIE RESTE RABOUGRIE .

INCROYABLE : LA NON REINTEGRATION DE NANTES DANS LA BRETAGNE EST L’OEUVRE ….. DE LE DRIAN !!!!!! LA BRETAGNE COMPTE UN NOUVEAU HEROS, PLUS GRAND QUE NOMINOE !

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L’ANNEXION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE EN 1532 : Piqure de rappel qu’il faudra faire et refaire. On dit qu’une idée fausse, ne peut être détruite par une autre vraie, qu’au bout d’une longue période de vingt ans. Nous n’aurons pas attendu aussi longtemps en Bretagne – pour une fois ! – : personne n’ose plus soutenir, sauf l’université marxiste, que les Bretons ont librement conclu un traité de « réunion » avec la France, en 1532. L’éclosion des publications qui ont accompagné le mouvement des Bonnets Rouges démontre que tous considèrent aujourd’hui …

 

« Une Bretagne indépendante aurait un PIB de 115 milliards d’euros,  soit un PIB par habitant d’environ 25500 euros (26ème mondial) équivalent à celui de l’Italie (25ème) et supérieure à celui de l’Espagne(28ème) …. La Bretagne avec 4.5 millions d’habitants est plus peuplée que 7 Etats de l’Union Européenne et que des dizaines de pays indépendants dans le monde. »

 

Yves PELLE, Président du Parti Breton.

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Le moins qu’on puisse dire, est que les discours des Bretons, atteints de mutisme frénétique pendant de si longues années, se libère, même si cette libération est encore très timide. Un de mes correspondants m’écrit ce matin  :

 » A LA LIBERATION, ON LES TONDRA ! »

La Bretagne toute entière est furieuse. Comme le dit justement Bretagne Réunie, qui joue un rôle primordial dans le combat actuel, elle est entrée en résistance.

Cette fois, on a pris les coupables la main dans le sac. On a démantelé les manoeuvres criminelles quasi-immédiatement.

De quoi s’agit-il ? Trois ou quatre maquignons, nuls parmi les nuls, pour tout dire un quarteron trainé dans la boue par les médias depuis de longs mois, composé d’ incompétents majuscules, connus comme tels de toute la France et de toute la Bretagne, a osé, autour de la table, faisant fi du droit des gens, de la volonté maintes fois et agressivement affirmés des populations, sans les consulter, violant toutes les dispositions les plus sacrées du droit international, disposer de notre pays en considération de ses seuls intérêts électoraux les plus vulgaires. Toute la presse le sait, toute la population est cette fois au courant : le crime est identifié, il ne restera pas impuni.

Voici comment s’est faite cette « réorganisation » du territoire français, et des nations y incluses, quoique ne faisant pas partie juridiquement de ce territoire …

Lisez ces extraits du journal Le Monde (5 juin 2014, page 6) :

« En privé … Bernard Poignant, ancien maire de Quimper, plaidait pour un rapprochement avec les Pays de Loire. C’était aussi l’avis de Jean-Marc Ayrault. Manuel Valls n’était pas contre non plus. »

Alors ZORRO, rutilant de gloire sur son cheval blanc, est arrivé dans un océan de lumière.

L’éminent journaliste poursuit :

« MAIS LE MINISTRE DE LA DEFENSE, JEAN-YVES LE DRIAN, A EMPORTE LE MORCEAU … « 

On se pince : ce n’est pas vrai, ce ne peut être vrai : le célèbre quotidien ment, ce n’est pas la première fois qu’on le prend sur le fait.

Mais Les Echos confirment la nouvelle, le 3 et le 4 juin 2014 : cette abominable catastrophe, la non réintégration de la Loire Atlantique dans notre territoire national est bien l’oeuvre de le Drian. On était incrédule, cette fois, on est stupéfait, sidéré, ahuri :

« Fidèle de François Hollande depuis des décennies, le ministre de la Défense vient de remporter deux arbitrages : l’un sur la région Bretagne, l’autre sur la loi de programmation militaire.

« La bataille de la Bretagne, l’ex-président de région et ex-maire de Lorient ne l’a pas mené seul. Il a laissé monter au créneau les associations, les chefs d’entreprise et les députés PS du cru, dont le président la commission des Lois de l’Assemblée Jean-Jacques Urvoas, proche de Manuel Valls. Il a, dixit son entourage, « attendu d’être consulté par le président lundi », en tête à tête, pour déconseiller la fusion avec les Pays-de-la-Loire voulue par l’ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Il a plaidé le sentiment régional fort des Bretons auquel l’exécutif s’est déjà heurté à l’automne à propos de l’écotaxe. Il a aussi insisté sur un argument toujours parlant auprès de François Hollande – la percée du FN aux élections européennes (17,1%) dans une région où il était autrefois inexistant ainsi que le score à deux chiffres (11,5 %) de la liste « bonnets rouges » dans le Finistère. En sortant de son rendez-vous, le ministre était rassuré ».

On s’attendait à un démenti catégorique, péremptoire.

Mais l’homme est passé aux aveux : l’incroyable est vrai. Il s’était tu, lamentablement, sur le problème Nantais. Il a « emporté le morceau » : élu pour reconstituer le territoire historique ancestral, investi moralement de cette mission par ses électeurs comme par ses adversaires – à leur corps défendant -, car tous le croyaient patriote, si peu que ce fût, il a réussi cet exploit de maintenir la partition de notre pays. Ce qu’écrit le journal LE MONDE est donc vrai, la Bretagne réduite à quatre départements, C’EST LE DRIAN QUI L’A OBTENUE, A L’ARRACHE !!!!!!!!!!!!!!

Le but de M. LE DRIAN : faisant fi de l’histoire, des massacres perpétrés en Bretagne, des souffrances endurées pendant des siècles, de la volonté claire du peuple breton, qui s’est exprimé à de nombreuses reprises par des sondages : se présenter aux élections, être réélu par l’exclusion de la Loire Atlantique et des Pays de Loire qui l’auraient rejeté, s’ils avaient été réunis , alors que dans une Bretagne rabougrie, à sa mesure, il conserve de petites chances : car il veut redevenir président de la région de Bretagne (!), une fois son « service militaire » en  France terminé, comme il l’a dit. Un très grand Homme d’Etat, en somme.

Le Drian est agrégé d’histoire : il connaît mieux que quiconque les HORREURS qui sont advenues en Bretagne, et qui les a commises, et dans quelles conditions le régime de Vichy a procédé à cette partition honteuse. Jamais il ne les a évoquées. Ayrault non plus.

La fusion avec les pays de Loire, non seulement aurait permis la réintégration de Nantes dans Notre Pays, mais aurait accru son potentiel économique d’une manière considérable. Il n’est nullement exclu que les départements intégrés dans une Bretagne élargie seraient devenus peu à peu, sinon Bretons, en tous cas d’excellents voisins, heureux de travailler avec nous. Le poids lourd breton eut été, sans aucun doute, le noyau dur de cette région élargie, avec NANTES-LA-BELLE pour capitale, qui fut devenue une véritable puissance européenne, comparable à la Bavière, la Catalogne, l’Ecosse.  Notre tort a été au cours de l’histoire de rester recroquevillés sur nous mêmes; cela nous a perdus, pendant que la France poussait ses tentacules, jusqu’à nos portes, puis à faire déferler sur nous ses armées carnassières. Et si ces départements intégrés dans une « Grande Bretagne Armoricaine » avaient renâclé au fil des années, il aurait été possible de les autoriser à reprendre leur liberté, car la Bretagne indépendante ne peut être qu’une démocratie, respectueuse des identités et des langues de ses voisins.

Mais la Loire Atlantique, le département le plus cher à notre coeur, notre Alsace-Lorraine, nous serait restée. Quelle infamie d’avoir osé dire que la réintégration de ce magnifique territoire, breton depuis douze siècles, arraché à la mère patrie sous le régime de Vichy, ferait de la Bretagne reconstituée un pays incohérent !

M. Le Drian a fait en sorte que la Bretagne rabougrie reste rabougrie : Bravo Le Drian, vous méritez bien le titre qu’on vous donne déja : VOUS ÊTES LE NOUVEAU NOMINOE DE LA BRETAGNE, notre Grand Danube breton de la Pensée ! Vous venez d’entrer dans l’histoire ! Alléluia !

TOUT EST DONC A REFAIRE, sauf que ce sera beaucoup plus difficile. Car les velléités d’indépendance de la Bretagne s’affirmant de plus en plus, comme on le constate sur le terrain depuis plusieurs années, moins la France voudra lâcher la perle nantaise qu’elle nous a volée : bravo messieurs de Bretagne qui saluez comme une victoire ce qui est une défaite sanglante .

Un nouveau chapitre de l’histoire de Bretagne, littéralement incroyable, vient de s’écrire. Le Drian et Lebranchu viennent de se hisser au rang des héros nationaux .

(Sur le rôle fondamental de Marilyse Lebranchu dans la sauvegarde de notre langue et de notre territoire, lire et relire l’article publié il y a quatorze ans, en 2000 : http://louis-melennec.fr/2012/05/24/ , ou encore , par Google : « Mélennec Lebranchu » : amusez-vous bien !)

Pendant ce temps – tout étant possible en Bretagne -, un petit média breton titre :

« LE DRIAN A SAUVE LA BRETAGNE ».

Un lecteur médusé et admiratif réagit en temps réel : « Qu’on le décore immédiatement  de l’Ordre de l’Hermine ! ». En somme, comme pour Jean-Paul II : « Santo subito : canonisez le tout de suite ».

La Bretagne terre des pardons et des Saints, compte un saint homme de plus. On a les médias qu’on mérite !

 

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Cette Bretagne réduite à la portion congrue, petite, rabougrie, économiquement misérable, privée des 30 pour 100 de PIB de la région nantaise, est plus vulnérable que jamais. C’est une trahison, doublée d’un aveuglement politique dramatique, sur fond d’ambitions personnelles d’une médiocrité à vomir.

Quatre personnes au moins étaient en situation d’imposer au colonisateur la restitution de notre territoire volé. L’une d’elle a joué un rôle déterminant. A partir de maintenant, il faut enseigner aux enfants : « Nantes a été séparée de la Bretagne par le gouvernement du Maréchal Pétain. A partir de 2014, la partition de notre territoire porte un autre nom, breton hélas ». Ce crime poursuivra ses auteurs partout. On pense à cette malédiction jetée sur Caïn, qui tua de sa main son frère Abel, poursuivi par le remord, jusque dans son sépulcre  : « L’oeil était dans la tombe, et regardait Caïn ».

Bon sommeil, madame et messieurs !

Mais le combat continue, plus déterminé que jamais : les Bretons sont décidés et destinés à vaincre.

Ils vaincront.

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LE BON DOCTEUR MELENNEC, Ex-consultant près le Médiateur de la République française.

 

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CORRESPONDANCES.

Nota. Tous mes correspondants ont un nom, un prénom, une adresse, un mail, un téléphone. Ils s’expriment sans propos injurieux, dans un style toujours correct, sans fautes d’orthographe le plus souvent, et même avec élégance. Ces Bretons, comme moi, sont pour la plupart monolingues, car ils n’ont pas eu l’avantage d’apprendre la langue de leurs ancêtres, pour cause de parenté de cet affreux jargon venu la grotte de Cro-Magnon, et les borborygmes anté-préhistoriques, du temps que les hommes étaient encore des animaux, et que les langues n’avaient pas été inventées. L’espèce humaine avait évolué, les Bretons non. Ce bon M. PASQUA, oie blanche parmi les oies blanches, n’a-t-il pas dit : « Les Bretons, c’est comme les cochons » ! M. TROADEC, maire de Carhaix, ami des Bonnets Rouges, n’a pas eu autant de « chance » que moi : il est toujours injurié (voir ma chronique du …. ); les dizaines de personnes qui sont intervenues sur le blog d’un quotidien dont j’ai oublié le nom (télé quelque chose ?), et qui l’ont agoni d’injures lorsqu’il a annoncé sa candidature aux élections présidentielles de 2017. Tous l’ont apostrophé sous le masque héroïque de l’anonymat. Aucun ne s’est excusé. Courage M. TROADEC : la Bretagne évolue, elle se civilise : sûrement la proximité si étroite et si étouffante de notre voisin : le Pays des Droits de l’Homme.

J’ai pris le parti de ne jamais citer le nom de mes correspondants, à moins qu’ils n’y aient consenti, et parfois d’abréger et de modifier leurs phrases, sans jamais trahir leur pensée : ceci pour les mettre tout-à-fait à l’aise, pour des raisons d’efficacité, et qu’ils sachent que s’ils ne peuvent s’exprimer publiquement, leur message sera transmis, lorsque je peux le faire.

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C. NANTES. Pourquoi réunifier la Bretagne si c’est pour déplacer le gauleiter français de Rennes à Nantes? Cela va – t -il soulager les Bretons victimes du poids financier d’un Etat corrompu et incompétent qui les emmène à leur perte aussi bien qu’à la sienne, du chômage et de la baisse du niveau de vie?

REPONSE. Pas si vite ! Un travail se fait dans l’esprit des Bretons qui, pour la première fois, accèdent à leur Histoire vraie. Les choses évoluent rapidement. Laissez leur le temps de digérer, ils choisiront leur destin, ils ont seuls qualité pour cela. Ce n’est pas à un quarteron de semi-débiles de décider à leur place. Et mon rôle est de leur fournir les éléments de la réflexion, non de les influencer – même si parfois, je donne l’impression contraire. LM.

R. Finistère. Le drame, c’est que nos compatriotes refusent tout dialogue, dès lors qu’on appartient à un autre parti qu’eux. Les injures sont quasi-constantes.
REPONSE. Problème mille fois traité ici : c’est lamentable, en effet. Seuls les problèmes de fond devraient compter. Pour moi, je ne veux même pas savoir à quel parti mes interlocuteurs appartiennent. Au point qu’il y a moins de dix ans, je ne savais même pas la différence qui existe entre « L’EMSAV », et l' »ADSAV » ! Je ne veux toujours pas le savoir : seul le problème breton me concerne, pas les disputes entre tribus et clans bretons.

J. Morbihan. Comment accéder à vos deux blogs ?

REPONSE. Il suffit de taper mon nom (avec un accent aigu sur le e  : Mélennec. L’IMPORTANT, au delà de la lecture, c’est d’agir, c’est-à-dire, surtout, DE LEUR DEMANDER DE FAIRE LA MÊME CHOSE, et de transmettre le message. Ces blogs ont pour but de véhiculer des idées, et de susciter la réflexion : ensuite, chacun choisit. TOUS les médias sont encore contre nous. Internet permet de contourner l’obstacle. Cela donne déjà de très beaux résultats, surtout auprès des jeunes, qui en ont assez de tous ces mensonges. Les vieux sont tellement conditionnés, et depuis si longtemps, qu’il leur est quasi impossible de comprendre la mutation qui est en train de se produire. Beaucoup se croient encore Français ! La presse est pourrie, entièrement dépendante du pouvoir politique, des subventions, et du discours unique. Comme nous ne sommes ni putassiers, ni menteurs, ni achetables, notre discours ne plait pas encore à tout le monde. Nous le savions, bien sûr, le phénomène n’est pas nouveau. Mais vous aller assister au changement. Dans peu de temps, tous vont retourner leur veste – ils le font déjà (on entend les froissements jusqu’à Paris, ce qui n’est pas peu dire !) -, et tenteront de faire croire aux Bretons crédules qu’ils sont des précurseurs, et que ce sont eux qui ont levé le voile ! Comme d’ailleurs les « politiques », qui ont abordé leur grand « tournant ». Putasserie, quand tu nous tiens !

G. NANTES. Quel sont, de nos journaux bretons, les plus « putassiers » ?

Reponse. Vous avez posé la question : vous y avez donc répondu. Dans ce blogs, je ne peux évidemment les nommer, c’est prématuré. Je suis convaincu qu’il y aura à Nantes, comme à NUREMBERG, un grand procès qui fera la lumière sur tout.

 

 

 

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L’OEUVRE HALLUCINANTE DE LE DRIAN : NANTES, capitale des Bretons, est AUX MAINS DES FRANCAIS. LA BRETAGNE EST PUNIE DE SA LÂCHETE : C’EST BIEN FAIT POUR ELLE .

 

Cet article est en cours d’élaboration.

 

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La Bretagne et les Bretons viennent de se faire administrer une claque magistrale :  Toute faute mérite sanction, c’est justice, il vient un moment où les lâches doivent recevoir la râclée qu’ils méritent. Qu’une nullité placée au sommet de l’Etat d’à côté ait pu imposer cela, nullité reconnue telle par tous et par toutes, de tous bords, au mépris de la volonté farouche des populations, avec la complicité active ou passive d’un quarteron de Bretons, laisse pantois : on est incrédule, on se pince car on ne croit pas que cela soit vrai.

Bravo mesdames et messieurs les Bretonnes et les Bretons, plus tard, on pourra dire de vous : ILS ONT MERITE DE LEUR PAYS, CE SONT DES HEROS.

Voila vingt ans au moins, en ce qui nous concerne, qu’on leur donne TOUS LES ARGUMENTS POUR RECUPERER LEURS DROITS IMMEMORIAUX : l’histoire, les invasions, la destruction des institutions, la destruction de la langue, les massacres, le génocide brito-vendéen, les atrocités abominables commises par les armées françaises, les humiliations insensées infligées à notre Nation depuis la prétendue révolution universelle dite « des droits de l’homme », les violations quotidiennes du droit européen, du droit international, des principes élémentaires du droit, les droits sacrés des hommes. Rien n’y fait : on patauge, on rampe, on s’humilie, on broute, on lèche, on va manger dans la main de ceux qui ont fait nos malheurs. Des Bretons ont  encore accepté, il y a deux ans, d’aller à la soupe, en acceptant des fonctions dans le gouvernement français. On leur a dit, le plus clairement possible : « n’allez pas à la soupe : cette fois, elle va vous sauter à la figure, elle va vous étouffer, sinon vous étrangler ». Aujourd’hui, les mêmes s’aplatissent  devant ce prétendu plan de partage du territoire, qui laisse aux mains des Français la perle de notre patrimoine historique : Nantes et sa région. Ils n’ont bronché ni avant, ni pendant, ni après l’infamie qui vient de se commettre. Ils n’ont jamais rien fait. Ils ne feront jamais rien, n’ayant compétence pour rien. Si, pour une chose : ils vont maintenant ramper encore davantage, pour essayer de se raccrocher aux branches, et pour retourner leurs vestes, pour faire croire aux Bretons qu’ils sont Bretons, parce que le moment est venu de se déclarer patriotes, et qu’ils réalisent que tant de lâcheté va leur coûter leur cher casse-croute aux prochaines élections.

Sommes nous maudits ? C’est pire : nous appartenons à un peuple qui ne cesse de plier l’échine, et qui se satisfait de sa condition d’esclave.

Avant nous, il y a eu les autres; avant les autres, encore les autres; avant ceux-là, d’autres encore. J’ai démontré – après ou avec d’autres historiens, je le souligne -, que la résistance bretonne ne commence pas au 19ème siècle : elle a commencé dès 1492, quelques mois après le mariage forcé de la Duchesse Souveraine ANNE de BRETAGNE, en décembre 1491; elle a été continue, jamais interrompue – sauf après les massacres abominables de 1675, les Français ayant déversé sur la Bretagne 10 000 (je dis : dix mille) soudards se livrant à des viols, des sévices corporels, des vols, des tortures, des meurtres, des incendies, des pendaisons par milliers, ont littéralement mis les Bretons terrifiés à genoux, jusqu’à la mort de l’homme responsable de ces tueries, Louis XIV, roi des Français, qui eut le mauvais goût de ne mourir que quarante ans plus tard, le 1er septembre 1715, laissant un royaume de France ruiné, une Bretagne asphyxiée et détruite. Pourquoi ce massacre ? Aucun journaliste français n’a cherché à le savoir, et n’aurait rien su si je n’étais répétitivement intervenu auprès des médias, par mails répétitifs et insistants, pour leur adresser l’article que j’ai publié jadis dans ABP sur cet épisode abominable de notre histoire, et de la férocité de nos tortionnaires.

Sachez que si des allusions à l’histoire et au problème breton sortent maintenant dans la presse française, que cela n’est pas l’effet de l’opération du Saint Esprit, mais d’une stratégie voulue, acharnée, menée sans faiblesse  auprès de ces médias – et sans aide aucune – depuis plus de quinze ans.

 

Les Bretons savent-ils encore vomir ???

Qui tend les fesses pour qu’on leur cogne dessus se fait botter le cul, dit le proverbe : c’est fait, une fois de plus. Voila les Bretons à nouveau humiliés. D’une manière magistrale. Cette fois l’écrasement des cerveaux n’opérant plus en Bretagne,  ils avaient tous les moyens d’agir : ILS ONT ENCORE ECHOUE, malgré toutes les armes dont ils disposent. Voudrait-on le faire, qu’on n’y parviendrait pas !

Accuser sans cesse les autres de ses propres insuffisances est insupportable. Ce n’est pas la France que j’accuse : elle joue son jeu, ce qui, en somme, est normal. Par nécessité, j’exalte ici quelques fois le peuple breton; croyez vous que je ne suis  pas lucide ? La lâcheté bretonne, je sais  ce que c’est, pour en avoir éprouvé les effets, dès le début de nos interventions sur internet pour restaurer la vérité et l’histoire falsifiées de la Bretagne. A l’exception des jeunes courageux qui manifestent leurs convictions en brandissant partout nos emblèmes nationaux, la Bretagne a cherché ce qui lui arrive, par sa veulerie.

L’INCROYABLE, L’EFFARANTE PROPENSION DES BRETONS A INJURIER LEURS CONGENERES.

M. TROADEC, maire de CARHAIX, fondateur des vieilles charrues. Il y a peu, cet homme courageux a annoncé sa candidature aux élections présidentielles de 2017, pour y brandir nos couleurs nationales. L’a-t-on remercié avec effsion de sa décision ?

NON, BIEN SÛR : les loups et les bêtes sont plus féroces en Bretagne qu’ailleurs. Des avalanches d’injures se sont abattues sur sa couenne. Des tonnes d’injures ont été aussitôt déversées sur lui, et pas des plus tendres : voici quelques unes que j’ai relevées : ….

Qui sont les auteurs des ce insanités ? Des Français ? NON ! DES BRETONS ! Là où il y a injures et jalousie, des Bretons sont toujours au premier rang …

Sachez, M. TROADEC, qu’au nom de ceux qui applaudissent à votre décision, au nom des courageux qui ne se sont pas manifestés, JE VOTERAI POUR VOUS. Et toujours, dans ce combat, si j’ai à vous dire, ce sera avec courtoisie, même si certains de mes propos doivent rester fermes. Il est grand temps que nos compatriotes qui les utilisent abandonnent définitivement les termes injurieux qui les déshonorent.

Une militante de toujours, qui a tout donné à son pays, ayant lu ma brève chronique publiée dans l’Agence Bretagne Presse sur les campagnes d’injures dont j’ai été moi-même l’objet à plusieurs reprises, dans laquelle je fustige les injurieurs anonymes, m’écrit ceci, le …

« Nul ne peut s’auto-déclarer le plus injurié, le plus malmené sans avoir auparavant mené une enquête. Que vous ayez été injurié, cela ne m’étonne nullement, car j’ai eu l’occasion depuis quelques six années de mesurer la stupidité d’un grand nombre de nos compatriotes. Plus ils sont bêtes et plus ils sont méchants, plus il faut s’en méfier. J’ai personnellement subi de la part d’un nombre incalculable de Bretons les attaques les plus invraisemblables et les plus sournoises. Je ne vous donne pas de détails …..  ils ont dévasté ma vie privée, ma vie familiale, ma vie relationnelle et ma vie sociale. J’ai du mal à m’en remettre d’autant que rien n’est réellement fini. Je ne prétends pas pour autant figurer sur aucun livre des records. Les records ne m’intéressent pas, et surtout pas celui-là, pas plus que les médailles ne m’intéressent. Je demande simplement le droit d’exister et le droit au respect. Apparemment c’est encore trop demander. Comme vous, inlassablement je dénonce les violations de nos droits par l’Etat Français. Mais les Bretons sont tellement conditionnés qu’ils ne comprennent pas l’intérêt et même le devoir qu’ils ont de faire respecter leurs propres droits. C’est pourquoi ils sont si méchants. C’est vrai aussi, les choses changent, petit à petit. Je le constate chaque jour davantage, heureusement. Je vais aller faire un tour sur votre blog puisque vous m’y invitez.
Bon courage. Mais dites vous que les insultes ne salissent que ceux qui les profèrent.
Amicalement. »

 

DES MEDIAS FRANCAIS PLUS ENCORE BRETONS, CORROMPUS ET ACHETES PAR L’ARGENT.

 

Le livre phare de Jean-Yves LE GALLOU, LA TYRANNIE DES MEDIATIQUE (Via Roma, Versailles 2013, 23 euros), sera analysé dans une autre chronique. Cet homme est breton; plus français que breton, ce qui est son droit strict. Il est réputé honnête, et d’avoir des principes moraux plutôt intransigeants. Il n’a ni tué, ni volé, ni été emprisonné : DONC, selon les journaleux des merdias achetés et vendus par les minables qui tiennent le pouvoir à Paris : c’est un salaud…. Il a entrepris, depuis de nombreuses années, de scruter, de disséquer ce qu’il appelle la « Médiacratie » ..

(Soit dit en passant, vous ne verrez jamais Jean-Yves LE GALLOU dire le moindre bien de Louis MELENNEC : sur ce chapitre, ils sont bien pareils !) …

A suivre, donc ..

 

 

TOUS LES IMPÔTS PERCUS EN BRETAGNE SONT ILLEGAUX, pas seulement l’écotaxe . LA POLITIQUE D’ASSIMILATION FORCEE IMPOSEE A LA BRETAGNE PAR L’ETAT FRANCAIS .

QUELQUES PIQÛRES DE RAPPEL DESTINEES AUX HOMMES POLITIQUES ET AUX JOURNALISTES MEPRISABLES QUI CONTINUENT A TAIRE LA VERITE :

 

Camille DESMOULINS, héros de la révolution française, exprimant son aversion pour ces être méprisables que sont les Bretons et les Vendéens : « De tels hommes déshonorent la guillotine, comme autrefois la potence était déshonorée par ces chiens qu’on avait pris en contrebande, et qui étaient pendus avec leurs maîtres. Je ne conçois pas comment on peut condamner à mort ces animaux à face humaine ; on ne peut que leur courir dessus, non pas comme dans une guerre,  mais comme dans une chasse » . (Source : son Histoire des Brissotins).

CARRIER, le boucher de Nantes :  « C’est par principe d’humanité que je purge la terre de la liberté de ces monstres » . (in Gracchus BABEUF, page 189).

Reynald SECHER, historien spécialiste du génocide brito-vendéen, sur le sort que la république des droits de l’homme réserve aux bouchers qui ont massacré la Bretagne et la Vendée :  « Les bourreaux sont devenus des héros. Ils ont leurs noms sur l’Arc de triomphe, sur des lycées, des stations de métro … Pire : ceux qui nient ce génocide ont droit à tous les honneurs : ils sont enseignants, ils ont la Légion d’honneur … La France continue à rendre hommage à ceux qui nient ces crimes contre l’humanité » (Interview, La Baule, novembre 2011).

 

 

I – UN CHANGEMENT RADICAL DANS L’APPROCHE DU PROBLEME BRETON : LA REVELATION DE L’HISTOIRE COLONIALE DE LA BRETAGNE, LE VOCABULAIRE ADAPTE A CETTE NOUVELLE REALITE, SOIGNEUSEMENT OCCULTEE, JUSQU’À CES DERNIERES ANNEES, comme l’une des tares les plus sanglantes et les plus honteuses de la république des droits de l’homme.

LA LEVEE DU BOUCLIER VERBAL : l’association Bretagne réunie et l’Institut culturel de Bretagne n’hésitent plus à parler aujourd’hui de la « politique d’assimilation forcée, imposée par l’Etat français ». C’est une avancée notable, mais c’est encore beaucoup trop timide, très en  deçà de la vérité historique.

Il y a peu, une chaine publique a diffusé une longue émission sur le génocide arménien. Je connaissais tout cela. Malgré ma très bonne connaissance de la matière, j’ai frémi d’horreur. Une image effroyable reste en surface de ma mémoire : des centaines de mains d’enfants coupées par les soldats turcs, dispersées sur le chemin.

Tous les soirs, depuis de longues années, on diffuse plusieurs émissions sur la shoah. Il est humain que les Juifs dénoncent devant le monde les abominations dont ils ont été victimes. Je suis dans la même démarche qu’eux lorsque je parle, sans cesse et sans cesse du génocide brito-vendéen. J’approuve sans réserve qu’ils aient traqué pendant plusieurs dizaines d’années, jusqu’à aujourd’hui, les criminels de guerre, et qu’ils les aient fait condamner à mort, non sans leur avoir donné les moyens de se défendre devant leurs tribunaux : les auteurs de tels crimes ne sont pas des êtres humains, mais des animaux, ils ne méritent pas de vivre dans l’espèce humaine, qu’ils ont polluée et déshonorée. Jugés, la plupart ont nié, presqu’aucun n’a exprimé de regrets.

Mais je désapprouve absolument qu’on ne parle presque jamais du génocide arménien, jamais du génocide breton. Je condamne sans réserve le honteux silence de nos compatriotes bretons, qui ont été totalement incapables de produire un seul film, une seule oeuvre d’envergure, sur ce qui nous est arrivé, en particulier en Loire Atlantique en 1793 et en 1794, et la destruction de notre culture et de notre langue nationale au nom de ce que les Français continuent à appeler la révolution universelle des droits de l’homme. Le nombre des Juifs victimes des nazis est sans commune mesure avec celui qui résulte des nos conflits avec les Français. Mais en termes d’horreurs, les invraisemblables abominations commises par les armées françaises en 1675, lors de la révolte des Bonnets rouges, surtout en 1793 et en 1794 à Nantes et en Loire Atlantique atteignent un sommet morbide, sans doute comparable à ce que l’on a pu observer ailleurs dans l’histoire du monde, mais jamais dépassé en termes de barbarie et de cruauté. Plusieurs images épouvantables hantent ma mémoire : les femmes enceintes écrasées sous des pressoirs à raisin; des femmes vidées de leur enfant en gestation au moyen de couteaux ou de sabres, l’abdomen rempli d’avoine donné en pâture aux chevaux; des hommes dépecés comme des animaux, leur peau étant traitée comme du cuir pour fabriquer des culottes pour les officiers français; des corps humains coupés en morceaux, grillés dans des fours pour en extraire la graisse aux fins de lubrifier les essieux des chariots; des femmes tuées pendant leur viol, par des soldats abusant d’elles; d’autres éventrées pour tuer devant elles leur enfant, extrait de leurs entrailles; des organes génitaux éclatés par des décharges de fusils introduits dans les vagins; des viols collectifs, devant les maris, les pères, les mères, les enfants; des mères et des fils, des pères et des filles ligotés tête bêche ensemble, la bouche de la mère au contact du pénis et des testicules de son fils, celle du père au contact du vagin de sa fille, jetés dans la Loire, par ce que l’abominable Carrier appelle horriblement les « mariages révolutionnaires »  …. (Preuves surabondantes et écrasantes, plusieurs centaines d’ouvrages publiés sur cette abominable barbarie : Louis Mélennec : Le Livre Bleu de la Bretagne; Emile Gabory : Les guerres de Vendée; Reynald Sécher : Vendée, du génocide au mémoricide; Gracchus Baboeuf, la guerre de Vendée, et le système de dépopulation : voir les références précises sur Internet).

Les journalistes français, complices par leur silence, sont-il assez vils pour taire ces abominations, dont ils sont maintenant informés, en même temps que les pouvoirs publics, en particulier le premier ministère, qui a commandé deux exemplaires du Livre Bleu, sur papier à en-tête de l’Hôtel Matignon, dès sa parution ?

Voilà ce que la France, qui se dit héritière de la « révolution des droits de l’homme », a fait en Bretagne, à Nantes, en Loire Atlantique, et en Vendée.

Les Bretons sont-ils une race si lâche et si méprisable pour continuer à se taire ? Alors même qu’avec la publication du LIVRE BLEU tous ceux qui lisent et réfléchissent connaissent l’affreuse vérité ? Dire la vérité, lorsqu’elle est nécessaire à la construction de l’avenir, n’est pas une oeuvre de pleureuses, mais un travail de mémoire indispensable, même si on regrette – oh combien ! – d’avoir à le faire. Ce n’est pas davantage un travail de vengeance : nous sommes à des années lumières d’un pareil état d’esprit, nous condamnons la haine sous toutes ses formes.

La gent journaleuse française, dans sa presque totalité, à quelques exceptions près, pour oser encore maintenir la chape de plomb sur l’histoire de la Bretagne, et ne passer son temps qu’à accabler les dégâts matériels commis en Bretagne par quelques malheureux, mérite le mépris le plus profond. Elle peut être assurée que sa vénalité et sa lâcheté sont jugées de cette manière, partout dans l’hexagone : « on ne les achète même plus », dit un commentateur, ancien rédacteur en chef d’un périodique très connu , » on les loue : cela coûte moins cher ».

(Pour être honnête, les journalistes bretons sont pires : car là, il s’agit de leur pays, une peur indicible les fait trembler en permanence d’un péril qui n’existe nulle part, sauf dans leur cervelle. Je n’ai jamais compris de quoi ils ont peur. Il est vrai que deux quotidiens au moins sont grassement subventionnés par l’Etat français, et sont tenus par l’argent de mentir; le montant des subventions a été publié, pour la première fois, il y a peu de temps : les Bretons ne savaient donc pas qu’on les trompait, contre espèces sonnantes et trébuchantes).

 

 

J’affirme ici, avec la force la plus intransigeante, sans la moindre concession à l’égard de quiconque, que les massacres et les horreurs commis en Bretagne par la France depuis les invasions de la fin du quinzième siècle en Bretagne doivent désormais occuper une place importante dans les programmes  des télévisons nationales françaises, que la discrimination dont sont victimes les Bretons dans ce domaine sont intolérables, scandaleuses, illégales, contraires au droit et à la dignité des hommes, et qu’elles doivent être intégrées dans les programmes scolaires, à l’égal des colonisations, et des génocides juif et arménien, et que l’on désigne comme coupables au yeux des enfants des écoles. Les « politiques » bretons sont priés ne ne se mêler en rien de ce débat : C’EST TROP TARD. Ce ralliement beaucoup trop tardif ne leur vaudra pas une seule écuelle de soupe : qu’ils aillent manger dans leur cantine habituelle : personne ne veut plus d’eux, qu’ils s’en aillent, et que, de honte, ils ne se remontrent plus jamais, nulle part.

 

Sur la lâcheté des journalistes français et bretons, lire : Lettre aux journalistes du journal « Le Monde » :

http://louis-melennec.fr/2013/page/3/

 

 

On n’a absolument pas compris ma manière de m’exprimer pendant des années. J’ai assez écrit et mis en garde sur cette réalité incontournable : le problème breton ne peut se résoudre qu’en utilisant les mots justes pour désigner les faits, non en se cachant derrière son petit doigt, ou en croyant qu’en pliant l’échine, on nous saura gré en face : la Bretagne n’a jamais demandé à être intégrée dans le pays voisin; elle a été envahie; elle a été annexée; elle a été ruinée par la France; sa dynastie nationale a été détruite; son histoire a été falsifiée; sa langue a été persécutée et anéantie, etc. Ce langage, qui a toujours été le mien, depuis que j’ai eu accès à la vérité, devient enfin limpide pour ceux qui me lisent, et même pour ceux qui ne me lisent pas : la tâche d’huile s’étend, sans cesse plus loin. Il va devenir de plus en plus courant. Certaines idées exposées, argumentées et démontrées ici sont devenues en quelques années de véritables slogans, impensables il y a seulement dix ans : notamment celui-ci :  » La Bretagne a été annexée par la force; elle n’a jamais été française, elle ne l’est pas, elle ne le sera jamais »; et encore : « au regard du droit international, la Bretagne n’a jamais cessé d’être une puissance souveraine »; et encore :  » Le maintien d’un pays et d’une nation sous le boisseau par la force ne donne aucun droit pour le colonisateur, il crée un seul devoir : s’en aller, et réparer les dégâts ».

Les esprits se libèrent. Dans peu de temps, on se sera approprié ces idées, qui ne sont déjà plus révolutionnaires pour une partie de la population : chacun, persuadé les avoir inventées, parce qu’elles sont vraies, et qu’il y a maintenant un besoin irrépressible de les clamer en public, aura oublié le nom de leur auteur, ce qui est ce que l’on peut souhaiter de mieux, car alors, leur succès sera total.

Même s’il est parfois utile d’exprimer les choses d’une manière ferme – au point que cette manière de faire parait agressive, alors qu’elle n’est que l’effet d’une stratégie mûrement réfléchie, fondée sur la vérité historique comme révélateur d’une très ancienne identité, bafouée de toutes les manières) -, à peine de n’être pas entendu, tout cela doit se faire d’une manière calme et raisonnée, dans le respect strict des principes généraux du droit et des textes qui les formalisent, du droit international, du droit européen, du respect des êtres humains : la violence doit péremptoirement être exclue de cette démarche, comme extrêmement négative, et source certaine d’échec au bout du chemin.

Comprenez-vous ce que les Bretons ont vécu, ce qui les lie indissolublement ensemble, et qu’ils ne renonceront jamais à leur héritage historique ?

UNE LETTRE TRES IMPORTANTES, ADRESSEE A MADAME IRINA BOKOVA, directrice générale de l’UNESCO, datée du 14 mars 2014, co-rédigée par Jean-François LE BIHAN, président de l’association BRETAGNE REUNIE, et par l’institut culturel de Bretagne, qui a si souvent « navigué » et triché avec les mots, dans le passé …vient de jeter une lumière crue sur les « audaces » que se permettent aujourd’hui d’écrire leurs auteurs, témoins des progrès accomplis dans la prise de conscience qui se déroule sous nos yeux ces derrières années :  « agressions », « falsifications », « manipulations », »complicité », « insultes à la mémoire des Bretons », les termes et les expressions utilisés, enfin, sont particulièrement forts et inhabituels de la part de personnes qui ont surtout agi avec une diplomatie qui n’a certes pas été sans résultats (dont les magnifiques manifestations nantaises), mais qui étaient en retard quant à la seule terminologie et le seul langage que les colonisateurs comprennent : la vérité due et crue, martelée et répétée sans concession, l’exigence intransigeante de reconnaître publiquement les fautes commises, la reddition des comptes, notamment de la part de ceux qui les ont commises, et de les faire condamner pour cela …. On relève, en particulier, cette phrase particulièrement significative, lourde de menaces  :

 « Nous jugeons cette affaire très préoccupante, compte tenu de sa persistance et que nous allons saisir les institutions européennes pour dénoncer la politique d’assimilation forcée que nous impose l’État français par l’intermédiaire de la région technocratique « des Pays de la Loire » créée suite au décret vichyste du 30 juin 1941″.

Dénoncer la politique d’assimilation forcée imposée par l’Etat français !!!! Voilà qui s’appelle parler ! Combien de fois avons nous écrit à Jean-François LE BIHAN pour que les Bretons utilisent enfin les vrais mots pour exprimer les vraies vérités !

Cette époque est  arrivée : nous avançons à grands pas, ces nouvelles avancées vont en entraîner d’autres.

II – LE PROCES DES BONNETS ROUGES. LE PROCUREUR DE RENNES DEMANDERA L’APPLICATION DE LA LOI FRANCAISE. MAIS, COMME BEAUCOUP DE BRETONS DESORMAIS, IL EST AU COURANT DE NOTRE HISTOIRE NATIONALE.

Le procès des Bonnets rouges sera jugé à compter du jeudi 15 mai 2014, au Palais de justice de Rennes. Onze militants de 21 à 47 ans,  seront jugés pour « association de malfaiteurs en vue de la dégradation de biens d’utilité publique ». Les grands malfaiteurs et maffieux, le développement pharamineux des « affaires » et des mises en examen le démontrent sans aucune contestation possible, sont à Paris, comme je l’écris depuis des années. Il reste que des dégradations matérielles importantes  ont été commises en Bretagne, et qu’il est nécessaire que la loi passe, quelle que soit la sympathie que l’on éprouve pour ce vaste mouvement de libération et d’aspiration à la vérité qui s’est emparé des Bretons. Six des inculpés devront répondre de la destruction d’un portique écotaxe le 28 décembre, dans la Manche. Ils risquent dix ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende. L’audience, initialement prévue pour le 22 avril, a été reportée, à deux reprises. Quatre Bonnets rouges, pour la raison invoquée du «risque de réitération de ces infractions», ont été maintenus en détention, puis récemment libérés. La tension est d’autant plus forte que le gouvernement français n’envisage pas de renoncer à l’écotaxe, en dépit de la position affirmée publiquement par Ségolène ROYAL – qui n’a aucune compétence pour ce faire, ni même pour comprendre de quoi il s’agit – de vouloir la supprimer.

LES AVOCATS DES INCULPES BONNETS VONT-ILS SE LIQUEFIER ET S’APLATIR DEVANT L’ETAT FRANCAIS, solliciter « humblement » le pardon , se rouler dans la boue, donc, ou, redressant enfin la tête, le cou, le torse, après tant de siècles d’humiliations, leurs dire : « messieurs les juges, vous êtes ici en pays étranger, vous n’avez aucun droit de nous juger « ? Attendons.

Le Procureur de la République de Rennes, M.Thierry  Pocquet du Haut Jussé, a été mis en possession par moi-même, le 13 mai 2014, non par les inculpés, pas davantage par leurs avocats, du livre bleu de la Bretagne. J’ai accompagne mon envoi du livre bleu d’une lettre et d’une dédicace appropriées.

M. Thierry Pocquet du Haut Jussé est le petit fils et l’arrière petit fils de Barthélémy et de  Barthélémy Amédée POCQUET du HAUT JUSSE, historiens illustres, qui ont écrit des ouvrages monumentaux sur l’histoire de la Bretagne. Son grand père, notamment, a écrit des ouvrages d’érudition sur la Bretagne ducale, en particulier les dernières cinquante années de l’indépendance du Duché. Ces ouvrages m’ont beaucoup aidé pour les périodes traitées. Ils sont quasi-inconnus dans nos universités. Son ouvrage intitulé « Les papes et les Ducs de Bretagne. Essai sur les rapports du Saint-Siège avec un Etat » (Spézet, Coop Breizh, 2000, 698 pages) est un monument.

Ces considérations ne sont pas anodines, il s’en faut, comme on va le voir.

Barthélémy Amédée POCQUET du HAUT JUSSE (voir ce nom dans Wikipédia), le grand père du procureur de Rennes,  a eu le mérite – il est l’un rares historiens à avoir eu l’intelligence et le courage de le faire -, d’écrire que le prétendu traité de 1532 n’est pas un traité, mais une annexion. Nous sommes quelques uns à avoir écrit cela. Ma démonstration, plus fouillée, très juridique, a exigé des années de recherches sur l’histoire des traités internationaux, qui s’étendent de l’antiquité à nos jours. Les premiers traités écrits retrouvés remontent à 3000 ans avant Jésus Christ; ils existaient, comme je l’ai écrit maintes fois, bien avant cette époque, comme d’ailleurs les nations  : M. Alain CROIX, l’éminent historien, ignore cela, comme il ignore que les nations ne sont pas nées ces derniers siècles, que la nation bretonne existait dès l’antiquité, et qu’elle n’est en rien une création de ceux qu’on a désigné sous l’appellation méprisante de « folkloristes du 19ème siècle » : honte aux faux « érudits » bretons, qui trompent leurs élèves par ignorance et par malhonnêteté.

J’ai eu quelque temps pour méditer ma démonstration : c’est en 1969 que j’ai obtenu, à la faculté de droit de Paris, devant un jury présidé par la professeur N GUYEN QUOC DINH (voir ce nom dans Wikipédia) dont le traité monumental encore édité et réédité sert toujours de référence, mon diplôme d’études supérieures de droit public. Si l’on considère que j’ai suivi les premiers cours de droit international en 1962, J’ai donc médité ma théorie sur la nullité du prétendu traité de 1532, pendant …. quarante ans. Un délai suffisant pour penser que cette théorie est très réfléchie, qu’elle est juste, et qu’il est temps que les Bretons en tirent les conséquences : la Bretagne n’a jamais consenti à être digérée par son ennemi pluri-séculaire, elle a été dévorée sous un habillage hypocrite, qui n’a trompé personne à l’époque, surtout pas les autres Etats européens, notamment l’Espagne et l’Angleterre. Nous reviendrons sur ce point qui, fait effarant, n’a donné lieu à aucune thèse dans les facultés bretonnes, négationnistes par marxisme, par ignorance et par malhonnêteté intellectuelle …

(Je rappelle brièvement, car ces faits ne sont pas connus, que le prétendu traité de 1532 a été très rapidement et très fermement mis en question pour cause de nullité par la propre fille d’Anne de Bretagne, Renée de France, qui a intenté un très long procès à son neveu le roi de France CHARLES IX (voir par Wikipédia mon article : « Comment Renée de Bretagne …« ), et très peu de temps après par le roi d’Espagne PHILIPPE II, au nom de sa fille l’infante Isabelle, arrière petite fille d’Anne de Bretagne. Philippe II d’Espagne avait été marié avec Elizabeth de Valois, fille du roi Henri II de France, celui-ci étant le fils de la duchesse Claude, donc le petit fils d’Anne de Bretagne …. Aucun « hystorien » breton n’a entendu parler de cela, bien entendu : l’ignorance – comme l’erreur – est humaine : errare humanun est, perseverare diabolicum, dit le proverbe : l‘erreur est humaine, mais persévérer dans son erreur est diabolique »).

Le procureur de Rennes me fait savoir, par retour du courrier, qu’il a reçu le livre bleu. Il m’en remercie – avec courtoisie, comme il sied à un homme de sa qualité -, évoque le souvenir ému de son grand père et de son arrière grand père, me dit qu’il va lire ce livre avec le plus grand intérêt  – ce qui est probablement fait à cette heure.

Fait ironique : ni les Bonnets rouges ni leurs avocats n’ont lu le livre bleu, écrit pour tous les Bretons, pour eux à plus forte raison, surtout en ces temps troublés. Lacune très regrettable, car l’histoire de Bretagne est un tout : les évènements dramatiques récents ne résultent qu’en apparence du problème de l’écotaxe : la cause véritable réside dans cette longue suite d’horreurs infligées aux Bretons depuis les invasions de 1491, de l’annexion de 1532, et surtout  depuis les abominations révolutionnaires et post- révolutionnaires par lesquelles les Bretons ont été privés de leur nationalité, de leurs institutions, de leur législation, de leur fiscalité, de leur langue, de leur dignité d’hommes fiers et libres puis, plus tard, amputés de la partie la plus noble de leur territoire national, le Comté de Nantes, dit « Loire Atlantique ».

 

Le procureur aura sûrement lu cet ouvrage avant le procès, qui ne va certes pas changer sa position – son rôle est de faire appliquer la loi -, mais va très probablement  lui révéler des faits qu’il ne soupçonnait pas sur les horreurs commises en Bretagne par la France. Tôt ou tard, ces faits devaient remonter à la surface. Ce n’est ni le courage ni le patriotisme de nos compatriotes qui ont permis cela, mais l’existence d’Internet. Je n’ai pas à les remercier de m’avoir si peu aidé dans ma démarche d’homme honnête.

III – LES IMPÔTS PERCUS EN BRETAGNE SONT TOUS ILLEGAUX. COMMENT L’ETAT FRANCAIS BAFOUE LES PREROGATIVES DES NATIONS DITES « MINORITAIRES », EN VIOLATION FLAGRANTE DU DROIT INTERNATIONAL.

Le premier acte de la Bretagne indépendante sera d’abolir, le jour même de la proclamation de la souveraineté internationale retrouvée, l’hallucinant bordel fiscal français. Bien sûr, il sera nécessaire de ménager une période transitoire, durant laquelle les fiscalistes bretons, ceux qui ont déjà réfléchi au problème – j’en connais au moins un -, réfléchiront à la manière de simplifier à outrance cet imbroglio dément. Il faudra – impérieusement -, associer à nos travaux les fiscalistes les plus performants du monde, ceux de la Suisse, du Luxembourg, et de ceux qui ont instauré un impôt de même taux pour tous, en application du principe de l’égalité des citoyens devant la loi et les charges publiques, notamment. Je le dis avec force : dans le gouvernement français – même si la France possède des spécialistes éminents de la fiscalité -, PAS UN SEUL MINISTRE, SOUS MINISTRE ou secrétaire d’Etat n’est capable d’initier la moindre réforme intelligente de la fiscalité. Ce pauvre Jean-Marc AYRAULT avait annoncé qu’il allait simplifier la fiscalité française : TOUT LE MONDE A RI. Il aurait fallu pleurer, tant l’indigence des gouvernants français est abyssale.

Récemment, un breton, M. Visan Ar Floch, a refusé de payer des impôts à un pays qu’il considère, à juste titre, comme étranger (cf. nombreuses références sur Internet). Cette décision très courageuse a été abondamment été commentée sur la toile, quoique non comprise de ceux qui avaient mission de la soutenir (bien entendu !)

Il y eu des antécédents mémorables, qu’il est indispensable de rappeler avec force dans le contexte actuel.

L’affaire Kerhuel (1973-1976). (Extrait de notre mémoire de DEA, soutenu en Sorbonne en 2001). Mademoiselle Marie Kerhuel, avait exercé pendant vingt deux ans dans le cadre des services de l’administration des finances de la république française. En 1968, elle se retira à Mûr-de-Bretagne, dans les Côtes du Nord. Animatrice du « mouvement pour l’application du traité de 1532″ (Asdav 1532), elle avait fondé un périodique, et avait eu à acquitter, au titre de la taxe sur la valeur ajoutée, un acompte provisionnel. Se voyant réclamer une pénalité de retard de 9,45 francs, elle décida, pour le principe, pour mettre en application ses idées, et pour tester l’appareil judiciaire français, d’intenter une action contre l’État. Docteur en droit, excellente juriste, il lui importait de savoir comment, dans cette affaire qu’elle connaissait bien, les magistrats et l’Etat allaient se comporter. Elle contesta devant le tribunal administratif de Rennes la légalité des impositions dont elle s’estimait injustement frappée, le Code des Impôts français ne s’appliquant pas, selon son analyse, sur le territoire breton.

Bien entendu, l’issue était connue d’avance : dans ce genre d’affaire, la justice française se garde bien d’administrer la Justice : Marie Kerhuel perdit son procès. Elle se pourvut devant le Conseil d’État, et développa une argumentation qu’elle a publiée dans une plaquette dactylographiée (en notre possession, communiquée par Yann BREKILIEN, un Grand Breton, alors vice-président du tribunal de grande instance de Vannes), dont voici les principaux éléments :

 » Les trois pourvois présentés au Tribunal Administratif soulèvent la question de l’irrégularité de l’application du Code des Impôts français en Bretagne …..

« La Cour Internationale de la Haye a jugé (arrêt les Minquiers, 17 novembre 1953), qu’il n’y a aucune prescription pour les traités, et que leurs clauses restent en vigueur aussi longtemps qu’elles n’ont pas été modifiées par un nouvel accord entre les mêmes parties… »

« Depuis 1789, les gouvernements français successifs, s’installant dans le coup de force, n’ont plus demandé (aucun) accord (aux Bretons)de sorte que tous les textes juridiques français pris depuis cette date, y compris les constitutions sont inapplicables en Bretagne… Les Assemblées Révolutionnaires qui ont fait interdiction aux États de se réunir et l’en ont empêché par la force ont poursuivi ses membres. Elle a été supprimée par la violence jusqu’à la loi du 5 juillet 1972 qui, en instituant des Conseils de Région, a permis à une Assemblée Bretonne de se reconstituer et de siéger. »

Voici la chute, tout-à-fait remarquable :

« De ce refus, il résulte que tous les textes pris à Paris continuent à être juridiquement inapplicables en Bretagne, y compris les textes fiscaux. Les impôts établis postérieurement à 1789 sont irrégulièrement perçus en Bretagne… »

Le Conseil d’État, dans son arrêt du 3 novembre 1976, donna tort à la demoiselle Kerhuel, et confirma la décision du Tribunal Administratif :

 » Aux termes de l’article premier du Code civil, les lois sont exécutoires dans tout le territoire français ; le département des Côtes du Nord fait partie du territoire national ; le code général des impôts est exécutoire sur l’ensemble du territoire national …

Aux termes de l’article 10 du décret de l’Assemblée Nationale constituante des 4, 6, 7, 8 et 11 août 1789 : « une constitution nationale et la liberté publique étant plus avantageuse aux provinces que les privilèges dont quelques-unes jouissaient, et dont le sacrifice est nécessaire à l’union intime de toutes les parties de l’empire, il est déclaré que tous les privilèges particuliers des provinces, principautés, pays, cantons…sont abolis sans retour et demeureront confondus dans le droit commun de tous les français  » ; ce texte, en raison du caractère général et absolu de ses dispositions doit être regardé comme ayant définitivement aboli les dispositions remontant à l’Ancien Régime, dont se prévaut la requérante, et qui auraient prévu le consentement à l’impôt des États de Bretagne ».

Au plan juridique, cette argumentation du Conseil d’Etat français n’est en aucun cas pertinente : C’EST DE LA SOUPE.  On me croira sur parole si je dis ici qu’il y a bien longtemps que j’ai été  affranchi – par des amis magistrats et ma propre expérience -, sur la manière dont se traitent au sein des juridictions françaises, par des rédacteurs « habiles », ce genre d’ « affaires ». Je raconterai en détail mon parcours initiatique, lorsqu’il sera possible de parler, et lorsque le temps sera venu.

(Lire mon intervention dans l’article publié par France Inter : « Comment François Mitterrand a échappé à la justice : cf Google

).

Le  code civil français, promulgué en 1804, ne peut évidemment servir à démontrer l’applicabilité du décret de la Constituante, antérieur à lui ; le Conseil d’État, d’autre part, se met résolument en dehors du droit en ne prenant pas la peine de répondre aux arguments invoqués par la demoiselle Kerhuel, ainsi qu’il en a l’obligation. Compte tenu du contexte de l’époque (qui n’a pas changé aujourd’hui), on ne pouvait attendre du Conseil d’État qu’il argumentât selon le droit, il a donc éludé purement et simplement le problème posé, plus clairement, il l’a violé, dans des termes juridiquement ridicules de surcroît.

 

Sur le rôle singulier du Conseil d’Etat dans la violation du droit des nations incluses contre leur gré dans « l’Hexagone », bafouant ouvertement le droit international, lire notre article bref mais motivé et incisif : Au regard du droit des Nations minoritaires, la France est un Etat voyou :

http://louis-melennec.fr/2013/03/27/la-france-viole-en-toute-connaissance-de-cause-dune-maniere-

 

 

S’agissant de la présence ininterrompue de la présence française en Bretagne, et sur le processus colonial drastique mis en oeuvre dans notre pays par notre voisin de l’est, mon argumentation est plus radicale – et bien plus détaillée – que celle développée par mademoiselle KERHUEL. Celle-ci , comme de nombreux auteurs de l’époque, admettait la validité faux traité de 1532. Elle ne faisait commencer l’illégalité de la présence de la France qu’en 1789. De longues et patientes recherches, une étude très approfondie de ce qu’ont été les traités dans l’histoire des hommes, m’ont permis de démonter toute l’affaire de 1532 sur le fondement d’arguments juridiques irrépressibles, et de faire voler en éclats cette supercherie : convocation unilatérale par le roi de France François Ier des Etats de Bretagne à Vannes, et, au château de Chateaubriand de quelques personnes appelées à jouer un rôle important dans l’annexion du mois d’août; installation de la cour, de l’armée (plus de 10 000 personnes, autant de chevaux) autour de Vannes; lecture du texte rédigé par la seule chancellerie française (le premier ministère du temps); absence de vote des députés bretons, mis devant le fait accompli; refus des Français de permettre aux députés de retourner devant leurs mandants pour leur demander des directives;  achat des consciences qui étaient à vendre; pressions exercées depuis la mort d’Anne de Bretagne, dix-huit ans auparavant, sur les principaux du Duché et sur les opposants; proclamation unilatérale par le pouvoir français du texte rédigé par lui, sous la forme d’un édit; absence totale de discussion de ce texte avec les représentants légitimes du peuple breton … … Toutes irrégularités gravissimes qui non seulement affectent de nullité absolue ce prétendu « traité d’union de la Bretagne à la France », mais, comme le disent les spécialistes, le rendent juridiquement inexistant, tant les irrégularités commises sont importantes.

En d’autres termes : la France ne s’est jamais trouvée en Bretagne que par la force, jamais les Bretons n’ont été consultés sur cette situation, la France a la qualité de pays occupant depuis la mort d’Anne de Bretagne, en 1514, non depuis 1789 …

Nos conclusions sont strictement les mêmes, bien entendu, que celles de mademoiselle KERHUEL – et des avocats de l’affaire ROMANET, qui se plaide actuellement devant le tribunal de proximité d’Alberville, en Savoie :  aucun des textes promulgués en Bretagne par la France n’a la moindre valeur juridique.

Un certain nombre de personnes sont désormais au courant en France de cette dure réalité. Et l’admettent. Certain Français se mettent même à comprendre les Bretons dans leurs revendications, et vont jusqu’à les soutenir.

Un chapitre important a été consacré à ce problème dans le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE (pages 45 à 54). Un passage important de l’avant propos, co-rédigé avec Pierre LEMOINE trace les grandes lignes de la réforme fiscale que nous proposons (pages 17 et 18), dont les principes, au demeurant, furent au centre de la campagne de Claude REICHMAN, en 2002, étalées sur de nombreuses années, extrêmement méthodiques. Plusieurs articles  brefs mais documentés sont consacrés à cette fiscalité conçue par les grands infortunés de l’esprit qui se succèdent dans les fonctions ministérielles, qui ruine les Français et les populations satellites annexées, en premier lieu la nôtre ( Cf : Mélennec, Quelle fiscalité pour la Bretagne souveraine, L’impôt sur le revenu est anticonstitutionnel, etc ….)

…..

http://louis-melennec.fr/2013/01/27/limpot-sur-le-revenu-tel-quil-est-percu-en-france-a-plus-forte-raison

 

Les réactions de la population française, d’après mon expérience, stupéfaites lorsque j’ai exposé en public au Sénat en 1997, devant plus de 300 personnes, que la Bretagne est une colonie de la France, pays résolument étranger, sont aujourd’hui calmes et résignées : on considère comme de plus en plus plausible l’accession de la Bretagne à la souveraineté internationale. Seule l’échéance est inconnue.

L’AFFAIRE ROMANET. Tribunal de proximité d’Albertville : les tribunaux français n’ont aucune compétence pour juger des affaires extérieures à leur territoire.

 

Juridiction de proximité d’Albertville (Savoie); affaire ROMANET contre Ministère public, audience du 19 avrils 2011; affaire 10/0017533 (publié sur la toile et par le Ficanas Enchaîné ..)

M. ROMANET est poursuivi pour avoir dépassé la vitesse autorisée – par la France -, soit moins de 20 klm/ heure. Ses conclusions, déposées auprès de la juridiction de proximité d’Albertville, en 2011, dans un langage impeccable, sont particulièrement réjouissantes pour les lecteurs bretons. La France, dit-il, est un pays qui occupe illégalement la Savoie. Le traité d’annexion de 1860 est sans effet juridique. en Savoie, pays étranger. La verbalisation a été faite par des fonctionnaires français – des étrangers, donc -, avec du matériel français (!), non habilité en Savoie (!). De plus, les avocats du barreau d’Albertville, attendu qu’il tirent leur droit de plaider de l’Etat français, n’ont aucune existence juridique. Mieux : les magistrats en poste à Albertville, n’ont pas la citoyenneté savoisienne, et DONC, n’existent pas au regard du droit ! Le tribunal est un tribunal …. PUTATIF !

http://www.pour-la-savoie.com/wp-content/uploads/2011/07/Conclusions-T.Prox_.-ALBERTVILLE-3-aff-ROMANET

En droit, tout cela, exprimé avec tant d’extrême fermeté courtoise, mérite que l’on rende un hommage appuyé au rédacteur du mémoire – un avocat savoisien patriote – tant l’Etat français, promoteur, inventeur, propagateur des Droits de l’homme, est capable des pires violations du droit, et de prendre des mesures de rétorsion qui le font craindre …. (Voyez nos articles sur la colonisation de la Bretagne, pire : sur les crimes commis par le pays des droits de l’homme en Bretagne et en Vendée, en 1793 et 1794 ..)

 

Le bon docteur LOUIS MELENNEC.

 

 

LA DECOLONISATION DES ESPRITS EST TRES AVANCEE EN BRETAGNE. LA CONNAISSANCE DE L’HISTOIRE et des « AFFAIRES » OUVRENT LES YEUX DES BRETONS et des FRANÇAIS .

 

SUR LA COLONISATION DES ESPRITS PAR LA FRANCE, PAS SEULEMENT DES BRETONS : des citoyens considérés comme des veaux. Quelques exemples, parmi des centaines d’autres :

La colonisation de la Bretagne par la France, de 1532 à nos jours : 

 

http://blog-louis-melennec.fr/2012/07/02/la-colonisation-de-la-bretagne-de-1532-a-2012-2/

La langue française :

 

Le passé colonial de la France : plusieurs dizaines de journaux turcs ont parlé de cette lettre; aucune journal français ne l’a mentionnée; un seul (!) média breton.

 

http://www.agencebretagnepresse.com/pdfs/a/ambassadeur_turquie.pdf

 

Des annexions présentées comme des victoires de la démocratie française :

http://blog-louis-melennec.fr/2013/08/28/la-savoie-et-nice-affirment-la-nullite-juridique-de-leur-annexion-par-le-pays-des

L’Etat gangster français, protégé par sa maffia :

 

 

 

 

II – DES MANOEUVRES SURPRENANTES de l’ETAT FRANCAIS .

Alors que les tribunaux français se préparent à condamner très durement les Bonnets rouges inculpés, la France essaie de séduire les Bretons et de les rattraper. Par la queue. Après avoir nié l’existence de ce peuple, la télévision française, tous sourires dehors, ne parle plus que d’eux, en cette période charnière, ou elle prépare de plus en plus ouvertement son accession à l’indépendance, et commence à le dire, même si, encore effrayée par les persécutions passées, elle le fait d’une manière assez hypocrite, en utilisant une terminologie encore résolument non adéquate (« vivre, décider, en Bretagne »; « réunifier administrativement (!) la Bretagne », etc.), mais qui ne trompe personne.

Derrière les sourires français, étalés partout, surtout sur les écrans de télévision,  on voit les dents pointues. Elles ont toujours été pointues, cela ne peut changer, avant quelque temps. En ce moment, on étale complaisamment la ferveur du peuple breton pour …. le football, on permet l’introduction de dizaines de milliers de drapeaux bretons au stade de France, on programme « l’hymne de la Bretagne » – on n’ose pas encore parler de « l’hymne national breton », on programme ce chant patriotique avant la Marseillaise (!) … On ne parle plus que de Guingamp et de Rennes … Ah, ces Bretons, qu’ils sont braves ! Vont-ils encore ingurgiter les promesses fallacieuses que l’on va tenter de déverser sur eux, pour tenter de les garder captifs dans l’Etat colonial ?

Ici, vous avez le droit de prendre une longue respiration, et d’adresser la version KARA OKE à vos conseillers municipaux – ceux de Nantes, je m’en suis chargé, je les ai invité à répéter dare-dare, car le grand jour va venir, celui où ils entonneront en choeur, la main sur la poitrine, cet hymne dont il vont vous assurer qu’il a toujours été enfoui dans leurs tripes : ce qui ne vous empêche pas, de réitérer cette démarche, qu’aucun de vous n’a faite jusqu’à présent, n’est-ce pas ?

http://videos.animation-karaoke.com/video/NXjomMoAg3Q/Bro-Gozh_0001.WMV.html

 

La France est-elle devenue folle ?

Non : dans les sphères gouvernementales, on sait qu’on ne va plus pouvoir tricher, que la vérité historique diffuse maintenant rapidement, que les horreurs commises en Bretagne vont être connues d’une frange de plus en plus large de la population. La Bretagne a déjà commencé à demander des comptes, le mouvement va s’accentuer. La France essaie de séduire, car elle ne peut plus rien faire d’autre. Cette politique est minable, personne ne s’y laissera prendre, à mesure que les années passeront. Cette marque est une signature : la France va perdre, comme elle a perdu en Algérie, en Indochine, en Nouvelle Calédonie, partout ailleurs dans ses colonies …. mieux : elle est perdue, elle ne peut plus laver les cerveaux, on sait qu’elle l’a fait sans discontinuer depuis 1789, ce que n’avaient pas osé faire les rois capétiens, pas même Louis XIV. Au point, nous l’avons dit, que quelques jours seulement après sa parution, le premier ministère a commandé deux exemplaires du livre bleu. On dit, ce que je tiens pour certain, que Jean-Marc AYRAULT et François HOLLANDE ont lu ce livre – ce qui nous est totalement indifférent -,  là ou la fine « intelligentsia » bretonne fait encore la fine bouche : jalousie idiote, rien d’autre, au nom de quoi, on freine l’irrépressible.

Allez vous, comme M. LE DRIAN et madame LEBRANCHU – des exemples exemplaires souvent cités ici – saisir votre courage à deux mains, et l’agiter comme un grelot devant votre pays ?

 La nation bretonne aurait pu être assassinée, ce qu’on a tenté de faire de 1789 à nos jours. Mais ce peuple rebelle, s’il accède à la vérité, ne pourra être séduit par des comportements hypocrites ni par des propos faussement mielleux. Comme le disait ce bon monsieur Charles PASQUA, ex-ministre de l’Intérieur, maintes fois condamné, il y a très peu d’années,« les Bretons, c’est comme les cochons ». 

Le très médiocre chanteur Berroyer, dans un « tube » largement diffusé il y a très peu d’années, a vu dans les landaus poussés par les bretonnes … les dignes rejetons de ces êtres imbéciles et stupides : des gorets. 

C’est connu aussi : les bretonnes enfantent de monstres à grosse tête et de débiles mentaux. Les chats ne peuvent générer des chiens. Porcs, truies, de père et de mères en fils et en filles,  ils ne peuvent engendrer que dans leur arbre généalogique.

Voici quelques extraits de cette littérature malodorante, qui date seulement de 2006 :

 » Ah ! Connaissez-vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants sont hydrocéphales, les garçons sont aussi méchants que les filles sont sales.«

Refrain : En Bretagne, en Bretagne, on boit du jus d’andouille et du sirop d’artichaut, et nus sur la lande, ronds comme des chapeaux, on fait la nuit des rondes à la lueur des fars aux pruneaux.

« Et de Quimper jusqu’à Concarneau, on voit passer des femmes promenant des porcs dans des landaus pendant que leurs marins de maris se soulagent dans les flots et refusent de signer le protocole de Kyoto. « 

La justice française a été saisie par des associations bretonnes. Elle a éludé la plainte, fait incroyable, aberrant, scandaleux. Besoin de souligner que ni le bon M. LE DRIAN, ni la bonne dame MARIE-LOU, ni aucun des « pennou-braz » n’ont avancé le moindre argument dans l’affaire ?

 

 

 

LA FRANCE n’est en Bretagne que par la force. Les Bonnets rouges vont-ils DECLINER LA COMPETENCE JUDICIAIRE D’UN ETAT QUI A ENVAHI LA BRETAGNE, DETRUIT SES INSTITUTIONS, ANEANTI SA LEGISLATION, SES LOIS FISCALES, SA LANGUE, SA CULTURE, AMPUTE son territoire, et n’a jamais consulté le peuple breton sur RIEN ?

 

 LES BONNETS ROUGES VONT-ILS DECLINER LA COMPETENCE JUDICIAIRE D’UN ETAT QUI A ENVAHI LA BRETAGNE, DETRUIT SES INSTITUTIONS, ANEANTI SA LEGISLATION, SES LOIS FISCALES, SA LANGUE, SA CULTURE, AMPUTE son territoire, et n’a jamais consulté le peuple breton sur RIEN ?

 

 

 

Même en se grattant le cuir chevelu et la boite crânienne jusqu’au sang, on ne peut plus aujourd’hui comprendre la frayeur qui s’empare des Bretons lorsqu’on leur demande s’ils sont autonomistes, pire : indépendantistes. La France, ce pays qui a enseigné dans les écoles jusqu’à mon enfance un nationalisme furieux, à son seul bénéfice, a réussi l’exploit incroyable de culpabiliser les Bretons au point de leur faire croire qu’aimer leur pays, et souhaiter qu’il décide seul de son destin – à quoi se résume le nationalisme breton, doux et inoffensif -, est un crime, une démarche « réactionnaire », retardataire, « identitaire » (ah! l’abominable identité bretonne !), « ethniciste », pire : un crime perpétré par des racistes (sic transibus, ni plus ni moins : voyez la « littérature » de l’héroïne citée ci-après) !  Et qu’il n’y a dans l’espace hexagonal qu’une seule nation, que les autres n’existent pas ! La pauvreté et la débilité de ces raisonnements transparaissent encore dans certaines publications anti-bretonnes et dans certaines campagnes de presse dont le ridicule devient de plus en plus pesant .. Le journal Le Monde, Médiapart véhiculent cette philosophie de caractère totalitaire pour débiles mentaux, quelques autres publications aussi; voir, par exemple, sous la plume d’une héroïne bretonne des temps modernes, que d’aucun comparent à une Anne de Bretagne  à l’envers : contre la charte des langues régionales :

 

http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/240413/contre-la-charte-des-langues-regionales

 

« Vivre, travailler, décider en Bretagne », clament en choeur les Bonnets Rouges, et ceux qui les inspirent. Pourquoi diantre éviter les mots justes ? Les statistiques font ressortir que plus de 25 pour 100 des jeunes Bretons, conscients des enjeux, ne veulent plus être qualifiés de Français, ni voir leur pays continuer à être massacré sous l’incompétente et irresponsable férule française. Tous les observateurs avisés – ceux qui, sans aucun héroïsme, se contentent d’ouvrir les yeux – admettent aujourd’hui que la carte de l’Europe va, sans aucun doute, avant que vingt ans soient écoulés, se modifier sous la pression sans cesse accrue de ces nations qui ont réussi à ne pas être écrasées par leurs envahisseurs et leurs tortionnaires : nous le répétons : la réapparition de la Bretagne – probablement sous le titre de République-Duché – sur la scène internationale est une certitude, comme sont des certitudes les réapparitions de la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie, la Slovaquie, la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, la Macédoine, la Slovénie, la Moldavie …. 

Les héritiers des grands criminels de l’humanité, qui voulurent au nom de principes issus de leurs délires mentaux, créer un homme nouveau (un homme nouveau : imaginez l’incroyable sottise !), supprimer le droit sacré des hommes et des femmes de choisir et d’adhérer librement  à leur peuple, celui que leurs ancêtres ont construit et élaboré au fil des siècles, sont de dangereux délirants, au sens psychiatrique du terme : ils n’ont aucune place chez nous; une seule prison dont ils soient dignes : la Corée du Nord, symbole même de la démocratie idéale dont ils nous menacent : expédions les dans ce paradis, nous les verrons se décomposer en cendres en moins d’une semaine.

 

La destruction de biens publics, dans tous les pays du monde, est sévèrement réprimée par la loi. Elle est toujours contre productive : les populations réprouvent, dans tous les cas, les atteintes aux biens et aux personnes. Les rares attentats corporels qui ont fait des victimes ou causé des blessures en Bretagne ont été aussi sévèrement condamnés par les Bretons que par les Français. Là où il était impératif d’éduquer, d’enseigner, de convaincre dans un souci rigoureux de vérité historique, les mouvements autonomistes ou indépendantistes, non seulement ne se sont attiré aucune sympathie, mais se sont constitués des adversaires résolus. La situation n’a pas changé. C’était une erreur de stratégie. Leur a-t-on laissé d’autre choix que de se tromper ? Nous avons maintes et maintes fois répété – ce que nous faisons une fois de plus -, que la violence ne résoudra RIEN en Bretagne, mais que, la France n’ayant cessé de violer très gravement le droit des gens – en particulier le droit international -, c’est sur ce terrain – et celui-là seul – qu’il faut combattre. Si l’on agit dans ce sens, avec une détermination qui fait totalement défaut actuellement, la victoire est certaine.

Il ne faut plus jamais laisser les imbéciles de service nous traiter de racistes et de violents : le peuple breton est accueillant pour tous ceux qui se comportent avec amitié à son égard, et résolument non agressif, depuis des siècles. Le nationalisme breton a fait quelques victimes, c’est exact : mais pour la seule guerre 1914-1918, 200 000 Bretons ont été sacrifiés sur l’autel de l’ambition démesurée et inconsciente du pays qui jouxte le nôtre à l’est de nos frontières, dans une guerre qui ne nous concernait ni de près ni de loin : voilà pour clouer le bec des débiles mentaux, qui replace les choses dans leurs justes proportions, et qu’on ne leur permette plus d’y revenir. La Nation est une famille élargie, dont on est membre par le droit et par le coeur; cette démarche est légitime, honorable et nécessaire; il est normal d’aimer sa ville, sa région, ses amis, son pays; plus encore d’aimer le peuple auquel on appartient, ce qui n’est ni de près ni de loin une exclusion des autres peuples, bien au contraire. Les imbéciles, qui ne savent raisonner qu’à partir de schémas simplistes, ne peuvent comprendre cela, qui dépasse leurs capacités d’entendement : nous ne pouvons rien pour infuser dans leur cerveau une parcelle de la subtilité dont la nature les a privés; le gouvernement mondial est une utopie dangereuse, au moins pendant plusieurs générations encore. La France est une nation comme une autre, sans doute aussi estimable que la nôtre, mais rien de plus. Il y a tout à redouter des totalitaires qui veulent abolir les peuples et les nations que l’histoire millénaire a créées : ceux dont ils n’osent plus se réclamer ouvertement – les Staline, Trotsky, Pol Pot et autres monstres – ont à leur actif plusieurs centaines de millions de victimes, ce n’est ni de près ni de loin notre philosophie bretonne. Les peuples et les individus ont le devoir de se comprendre et d’aller les uns vers les autres, de partager ce que leurs valeurs communes ont de bon, et de nature à améliorer la communauté des humains. Mais ce sera par la volonté commune des peuples de progresser, voire un jour de s’unir, en aucun cas par la répression, les massacres, les anathèmes, les coups de matraque totalitaires et ce qui reste  des discours absurdes des réchapés des doctrines staliniennes et maoïstes.

 

Les choses étant ce qu’elles sont, il faut les regarder avec réalisme.

Lorsqu’on a lu l’histoire des atrocités commises pendant des siècles par la France en Bretagne – ce qui est précisément l’objet du LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE -, on peut comprendre, sans les nier, des excès qui ont été engendré par d’autres excès, infiniment plus nombreux, et, pour certains, d’une cruauté abominable. La Turquie vient de présenter ses condoléances aux massacres arméniens. La France, inventrice auto-proclamée des droits de l’homme, continue à nier les abominations commises en Bretagne, et à violer quotidiennement les droits solennellement reconnus au peuple breton par le doit international.

http://louis-melennec.fr/2013/03/27/la-france-viole-en-toute-connaissance-de-cause-dune-maniere-permanente-le-dro

On ne compte encore aucun député, aucun sénateur, qui ait osé proclamer ce qu’a été « l’oeuvre civilisatrice » de la marâtre France en Bretagne, moins encore d’exiger que son président de la République vienne demander pardon à genoux. Pour cela, il faudrait être courageux, et ne jamais faire passer ses intérêts de carrière avant ses idéaux. Mais cela viendra, comme nous l’avons écrit plusieurs dizaines de fois : lorsque d’autres auront agi à leur place, nos homme politiques, alors, seront tous présents, ils ferons mine de pleurer d’énormes larmes de crocodile, et crieront à la victoire, leur victoire. Et les braves Bretons, au fond de leur chaumière, la gorge serrée devant leur poste de télévision, diront : « ah !, les braves gens » ! Ils roulaient pour nous : nous ne le savions pas, nous sommes coupables.

Heureux Bretons ! Heureux peuple qui engendre de tels héros !

La France va donc jouer sur du velours dans cette affaire des Bonnets Rouges : ils seront sanctionnés avec fureur, sans qu’aucun média français expose les abominations pluri-séculaires qui sont à l’origine de la situation actuelle,  sans rien connaître de la première révolte populaire qui porta ce nom; les médias vont se donner à coeur joie, la ronde infernale est déjà commencée : messieurs les Bonnets rouges inculpés, vous êtes voués aux gémonies, et même en Bretagne, peu de vos compatriotes tenteront d’expliquer le désespoir qui vous a fait agir : vous avez cru agir pour eux, ils agiront contre vous : croyez en un spécialiste.

 

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=14110

Je n’ai lu encore dans aucun journal français le quart de la moitié de l’ombre d’une analyse du problème breton : ce peuple est, à l’évidence, composé de brutes obscènes qui détruisent et qui démolissent tout, tout ce que la France y a construit de remarquable, en particulier des portiques illégaux, ce pays n’ayant aucun droit d’y lever le moindre impôt, la moindre taxe ou écotaxe et autres …

 

CECI POSE UN PROBLEME ESSENTIEL : LA FRANCE A-T-ELLE COMPETENCE, à une époque ou l’ONU RAPPELLE A CE PAYS qu’il n’est en polynésie que par l’effet de la COLONISATION – en Guyanne aussi, soit dit en passant, ce qu’il faut admettre, même si Christiane TAUBIRA donne à tous l’impression de détester la France, ce qui est singulier de la part de ceux qui lui ont confié un portefeuille pour lequel elle n’a pas la moindre compétence – et à l’époque où l’opinion bretonne sait maintenant que la BRETAGNE N’A JAMAIS – JAMAIS – demandé à faire partie DU PAYS situé à l’est de ses frontières, et qui n’a cessé de l’épuiser en aspirant à lui, avec une énorme pompe, ses hommes, ses soldats, les produits de son industrie et de son économie son argent (mais OUI, Français, cessez de croire que la Bretagne vit sous perfusion, c’est l’inverse : la Bretagne travaille, la France dépense l’argent qu’elle n’a pas, la désastreuse « gestion » des clans qui se partagent le pouvoir à Paris, a précipité votre pays dans la ruine et la désolation, auxquelles nous voulons maintenant nous soustraire) ….

La SAVOIE DONNE L’EXEMPLE AUX BRETONS, LA OU LES BRETONS CONTINUENT A ÊTRE EFFRAYES PAR LA VERITE.

Une affaire se plaide actuellement en Savoie, qui ferait la Une de l’actualité si les médias ne l’étouffaient, comme ils l’ont fait, plus que honteusement, pour la manifestation nantaise de septembre 2008, sur laquelle nous ne cesseront de revenir encore et encore, car elle est le témoignage accablant de la manière dont les Bretons sont traités : comme des porcs. Là, on fait une grossière erreur : les porcs ne sont pas les victimes de ce crime contre la démocratie : ce sont ceux qui l’ont commis qui appartiennent à l’espèce porcine.

Pas davantage qu’en Bretagne, la France n’est chez elle ni à Nice, ni en Savoie. Ce Duché et ce comté ont été annexé dans des conditions scandaleuses :

http://blog-louis-melennec.fr/2013/08/28/la-savoie-et-nice-affirment-la-nullite-juridique-de-leur-annexion-par-le-pays-des

Mais alors que les Bretons – à quelques associations près – s’ « écrasent » littéralement, plusieurs auteurs Savoisiens et Niçois, traquant leurs archives, avec une rigueur scientifique impitoyable, démontent pièce par pièce le monstrueux « plébiscite », dont on enseignait encore dans mon enfance, dans les écoles du pays des droits de l’homme, que les citoyens votèrent le « rattachement » à plus de 90 pour 100, là où la très grande majorité détestait la France, pour des raisons qu’elle connaissait bien ! … les Bretons, eux, effrayés par la seule idée qu’on puise les qualifier « d’autonomistes » ou pire, « d’indépendantistes », s’effarouchent, comme des vierges prudes qu’on menace de violer ou de conduire au bûcher  …

Bretons, cessez de geindre : vous avez été déjà violés des centaines de fois. Il est temps maintenant de passer aux actes.

L’AFFAIRE ROMANET : UN JOUR DE FÊTE POUR LA BRETAGNE. LA FRANCE EST EN SAVOIE EN TERRE ETRANGERE, ELLE N’A AUCUNE COMPETENCE DANS CE PAYS POUR JUGER QUI QUE CE SOIT NI QUOI QUE CE SOIT.

 

Juridiction de proximité d’Albertville (Savoie); affaire ROMANET contre Ministère public, audience du 19 avrils 2011; affaire 10/0017533 (publié sur la toile et par le Ficanas Enchaîné ..)

M. ROMANET est poursuivi pour avoir dépassé la vitesse autorisée – par la France -, soit moins de 20 klm/ heure. Ses conclusions, déposées auprès de la juridiction de proximité d’Albertville, en 2011, dans un langage impeccable et élégant, sont particulièrement réjouissantes pour les lecteurs bretons. La France, dit-il, est un pays qui occupe illégalement la Savoie. Le traité d’annexion de 1860 est sans effet juridique en Savoie, pays étranger. La verbalisation a été faite par des fonctionnaires français – des étrangers, donc -, avec du matériel français (!), non habilité en Savoie (!). De plus, les avocats du barreau d’Albertville, attendu qu’il tirent leur droit de plaider de l’Etat français, n’ont aucune existence juridique. Mieux : les magistrats en poste à Albertville, n’ont pas la citoyenneté savoisienne, et DONC, n’existent pas au regard du droit ! Le tribunal est un tribunal …. PUTATIF !

En droit, tout cela est exact. Et exprimé avec tant d’extrême fermeté courtoise, que l’on doit rendre un hommage appuyé au rédacteur du mémoire, un avocat savoisien patriote …

Vous qui êtes effrayés par l’ombre de votre ombre, lisez le mémoire rédigé par l’avocat de M. ROMANET. Et respirez un bon coup : cela vous donnera au moins le courage de dire ce que vous pensez.

 

 

M.M. les avocats des Bonnets Rouges, prenez aussi le courage de passer aux actes : ils vous en faudra peu désormais, là où d’autres ont agi, avec moins de raisons sérieuses que nous avons de le faire : votre confrère savoyard a bien travaillé pour vous, il ne vous coûtera rien (hélas, je le regrette !), de lui emboiter le pas.

LOUIS MELENNEC, docteur en droit.

 

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L’ERREUR GRAVISSIME : CROIRE QUE LA BRETAGNE A JAMAIS ACCEPTE SA PHAGOCYTOSE PAR LA FRANCE, SA NEANTISATION PAR CE PAYS.

 

(A suivre …)

NANTES, CAPITALE BRETONNE ET MONDIALE DE LA LIBERTE. LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE SERA EPUISE DANS QUELQUES JOURS.

 

« L’oubli, et je dirai même l’erreur historique, sont un facteur essentiel de la création d’une nation …. le progrès des études historiques est souvent pour la nationalité un danger. L’investigation historique, en effet, remet en lumière les faits de violence qui se sont passés à l’origine de toutes les formations politiques …. L’unité se fait toujours brutalement ; la réunion de la France du Nord et de la France du Midi a été le résultat d’une extermination et d’une terreur continuée pendant près d’un siècle.  le roi de France, vu de trop près, a perdu son prestige ; la nation qu’il avait formée l’a maudit ….. »

Ernest RENAN, breton. « Qu’est-ce qu’une nation ? »

Ces phrases magnifiques, aujourd’hui connues de tous les intellectuels de la planète, scotomisent leur corollaire, tout aussi important, que je vais formuler ici, et qui a plus d’importance, pour nous Bretons, que le principe qu’ils énoncent :

 » Les progrès des études historiques détruisent d’une façon irrémédiable les mensonges élaborés par les puissances d’invasion et colonisatrices, et les mythes fabriqués honteusement par elles pour extraire des cerveaux des populations asservies jusqu’au souvenir de leurs origines, en même temps que leur action honteuse de détruire leur langue, leur culture, leur âme  ……………. La France est l’un des pays les plus concernés par ces vérités aujourd’hui aveuglantes, y compris dans l’esprit de beaucoup de Français; ce mouvement est irréversible; plus la France attendra pour en tirer les conséquences, plus l’humiliation des ses habitants, d’avoir falsifié l’histoire, et de les avoir traités comme des animaux sera grande…. 

Voici maintenant le corollaire, que RENAN n’a pas énoncé, mais qui découle d’une manière irrémissible des phrases ci dessus :

 » La France n’est présente en Bretagne que par la violence, l’humiliation des populations et des élites, la manipulation, l’écrasement des cerveaux, la corruption, l’achat de consciences, la peur.  L a remise à jour de l’histoire, telle qu’elle s’est déroulée, produit aujourd’hui ses effets : les relations entre la Bretagne et la France sont violemment remises en cause, l’inclusion de la Bretagne dans le pays qui l’a conquis est en train de prendre fin ». 

La vraie histoire de l’assimilation de la Bretagne, particulièrement sanglante et humiliante, a été dissimulée d’une manière machiavélique pendant des siècles, surtout et essentiellement par la prétendue « révolution des Lumières et des Droits de l’Homme« , sous peine pour les Bretons récalcitrants ou courageux d’en payer le prix. L’université marxiste a apporté une très large contribution à cette oeuvre destructrice, falsificatrice, négationniste.

Mais les Bretons savent aujourd’hui d’où ils viennent, qui ils sont, où ils veulent aller : cela s’exprime par trois mots : LA DIGNITE, LA LIBERTE, LE DROIT.

Nous voila aujourd’hui à la croisée des chemins. Une étape décisive a – probablement – été franchie à Nantes, le 19 avril 2014. Les couleurs bretonnes, le noir et le blanc,  les drapeaux gwen a du ont flotté partout. Les drapeaux français étaient absents. L’Etat totalitaire de M.M. HOLLANDE et AYRAULT n’est plus en situation de réagir. Il n’appartient qu’aux Bretons de reprendre la main et d’assumer pleinement leur destin.

En ont-ils le courage ?

A ce jour : NON.

Mais les choses évoluent très vite. Tous s’attendent à un recadrage impitoyable des relations brito-françaises, et à la remise de la France dans la position qui est la sienne en Bretagne, et que les Bretons voient enfin sous un soleil éclatant : celle d’un Etat colonial, qui a détruit presque tout, sauf ce qui reste de la conscience de l’identité de ce peuple plus de deux fois millénaire.

Un Etat obscène, des complices obscènes, des procédés obscènes pour priver les Bretons, seuls propriétaires de leurs droits, de leur droit à l’information.

Souvenez-vous de ce crime abominable contre la démocratie : en septembre 2008, dix mille jeunes bretons pacifiques, réclamant les droits de tous les peuples, ont envahi les rues de Nantes … Le pouvoir totalitaire de Paris, avec ses complices locaux, a réussi à étouffer drastiquement cette manifestation, dont aucun média n’a parlé. Une sorte de chef d’oeuvre de la HONTE. Qui sont ces complices ? On les connaît, par leurs noms et par leurs prénoms. Aucune enquête, aucune sanction – pour le moment. Un quotidien « breton », subventionné par Paris, dénommé « Ou.. – torche », a conduit la sarabande. On craint d’avoir fait un mauvais rêve, tant cela est monstrueux. SAUF ERREUR DE MA PART, AUCUN DE NOS DEPUTES NI DE NOS SENATEURS n’a protesté : se peut-il que nous soyons tombés à ce degré de limaces rampant sur le sol, dans leur BAVE ? Cette sinistre affaire, connue au grand jour en raison de son caractère scandaleux , avec maintes autres, dont l’interdiction pour la magazine « Bretons », en … 2013, de publier  que 18 pour 100 de la population bretonne est favorable à l’indépendance, et plus de 30 pour cent  des jeunes adhèrent à l’idée d’une Bretagne totalement souveraine (53 pour cent selon An Amzer, chiffre surement surestimé, en tout cas à l’heure actuelle), montrent à quel point un Etat totalitaire peut étouffer la vérité, trouver des complices pour ce type d’opérations, l’interdire de s’exprimer, au mépris des lois élémentaires de la démocratie, et combien il sera nécessaire que la future législation de la Bretagne punisse de peines exemplaires des comportements d’une vulgarité et d’une bassesse aussi invraisemblables.

Plus l’appareil d’Etat dispose de moyens de pression sur les nouvelles qu’il diffuse à travers les médias, plus il contrôle les carrières aux postes clés, plus graves sont les menaces sur l’identité des peuples qui leur sont soumis. La Bretagne a failli, en tant que nation, disparaître. Le mouvement des Bonnets Rouges vient de démontrer que cette nation est en pleine renaissance, et qu’il est impossible de ne plus compter avec elle.

On a compris pourquoi il était impérieux et impératif de réécrire notre histoire, ce que nous avons fait dans le livre bleu de la Bretagne.

Ce 19 avril 2014, il reste 200 exemplaires du livre bleu. La deuxième édition s’est épuisée en quelques semaines. On peut encore commander les derniers exemplaires, en se mettant en rapport avec klesseven@hotmail.com. C’est un record absolu, si l’on sait que leurs auteurs furent injuriés maintes fois dans le passé, pour cause de prétendus mensonges sur la manière dont la France, pays envahisseur et colonisateur, nous a traités : avec ignominie. Ces injures, il faut le répéter, sont venues de Bretagne : c’est un grand chagrin pour nous.

Mais il fallait que la vérité soit dite : c’est fait, on ne reviendra plus jamais en arrière.

La troisième édition est en projet.

Les courageux Bretons « officiels » n’ont, rappelons-le, collaboré EN RIEN ni à la première, ni à la seconde édition. Ils se sont procuré ledit ouvrage, mais jamais sous leur nom : Ces courageux ont envoyé leurs secrétaires au combat, de peur de se compromettre. Les médias, à l’exception de quatre ou cinq, à faible tirage (exception faite de LA BAULE PLUS, qui tire à 35 000 exemplaires), n’ont pas « moufté » : quelle gloire ! Nous sommes un pays de mythes et de héros, n’est-ce pas ? Cependant, plusieurs de « nos » politiques ont défilé à Nantes, notre capitale historique et politique ce samedi 19 avril 2014 : nous l’avons annoncé maintes et maintes fois dans nos chroniques, depuis de longues années : lorsque tout danger sera écarté, ILS SORTIRONT DU BOIS, comme des chacals.

Ils oseront aller plus loin : ils revendiqueront la victoire, affirmant qu’ils l’ont remportée par leur courage, là ou, transis, ils ont eu peur de leur ombre.

Cependant, on n’a vu à Nantes aujourd’hui ni Jean-Yves LE DRIAN (https://www.google.fr/#q=m%C3%A9lennec+le+drian&safe=off), ni Marie-Lou LEBRANCHU, nos héros vivants, ces brillantissimes ministres du gouvernement AYRAULT, celui-là même par qui les territoires volés ne nous ont pas encore été restitués : cela ne saurait tarder désormais. On leur avait préparé des arcs de triomphe, comme dans la Rome antique, ce que Nantes est pour nous. La foule en délire les attendait pour les acclamer : ils ne sont pas venus ! Dame ! La météorologie annonçait une légère baisse de la température, les frileux doivent protéger leur peau fragile et délicate. Et assurer leurs revenus futurs, sur des bases qu’ils ont cru solides jusqu’aux événements de ces dernières semaines. Des fois que ….

Les Bretons « de la base » ont, par l’effet du bouche à oreille, assuré un plein succès au livre bleu, et exprimé leur remerciements aux auteurs, et leur indignation devant la lâcheté ambiante. Est-il besoin de le dire ? Cela nous a fait chaud au coeur : nous en avions le plus grand besoin, et ces témoignages venus de la vraie Bretagne, non du pays falsifié et frelaté, celui de la politique et de la corruption, nous ont très profondément touchés. Plus tard, une sélection de lettres sera publiée : certaines font monter les larmes aux yeux : tant de souffrance et d’humiliation ont enfin trouvé à s’exprimer.

Ceux qui ont pris le parti de dire la vérité, connaissaient par avance les épines du chemin à parcourir : nulle surprise de ce côté, même si ce ne fut pas un chemin agréable, loin s’en faut. La lâcheté est dans la nature de l’homme, c’est après la victoire, se parant des plumes du paon, que ce lamentable passereau ose montrer l’exceptionnel courage dont il prétend avoir fait preuve. Le plus affligeant : les badauds s’y laissent prendre. Nous sommes un peuple de naïfs; ce qui apparaît dès les textes latins qui nous décrivent au moyen âge; ne mentant pas, ou mentant peu, nous croyons que ce qu’on nous dit est vrai. C’est la raison pour laquelle M.M. LE FUR et MOLAC se sont laissés tromper par les promesses mensongères de la France, et continuent dans cette voie, l’expérience ne leur ayant RIEN APPRIS. Samedi, ils se sont congratulés : « Cette fois, nous tenons la victoire, se sont-ils encore dit ».

 

Interview de LOUIS MELENNEC au mensuel « LA BAULE PLUS », mars 2014, sur le décervelage des Bretons par la France, inventrice auto-proclamée des droits de l’Homme :

 

 

 L’HOMME BRETON REVU ET CORRIGE  par le pays des Droits de l’Homme : hommage à la glorieuse Bretagne, et aux Bretons « officiels » qui n’ont RIEN FAIT POUR FAIRE CONNAÎTRE AU PAYS CETTE HONTE, ET POUR EN DEMANDER REPARATION (pages 76 et 77 du livre bleu) :

 

« En 2008, les efforts de la France ont abouti à un résultat inespéré pour un colonisateur : il reste un peu plus de 100 000 locuteurs bretons, tous âgés : la langue est virtuellement morte. Pour entretenir l’illusion, et perpétuer l’hypocrisie, la France a « autorisé » la création de quelques classes bilingues, mais freine de toutes ses forces en s’opposant à toute progression de la langue nationale. Après un simulacre de débat au Parlement, elle a fait semblant d’autoriser les langues qu’elle dénomme avec mépris « régionales », ce qui est fermement démenti sur le terrain. La politique de la France est l’éradication totale du breton. Deux ou trois députés bretons, plus naïfs que les autres, ont cru à cette imposture : qu’ils soient pardonnés, ils étaient de bonne foi.

L’HOMME BRETON EST RÉDUIT AU RANG D’UN ANIMAL
Ce qui se produit ici est insupportable. Les pires adjectifs, les pires formules sont utilisés pour décrire l’homme breton, y compris par ceux que l’on dénomme aujourd’hui les « grands écrivains » : Victor Hugo ; Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Prosper Mérimée, Émile Zola et d’autres, traînent ce peuple de ploucs et de bouseux dans la boue.

Les Bretons sont une race inférieure. Ils sont, par nature, paresseux, sales et puants ; dans les villages, les enfants jouent dans la fange avec les cochons ; une mère n’y reconnaît pas ses petits : il n’y a pas de différence entre eux ; certains Français se demandent s’ils sont des êtres humains ; d’autres consentent à les situer quelque part entre les animaux et les hommes ; le paysan breton, dit Hugo, « vénère d’abord sa charrue, sa grand-mère ensuite ; il aime ses poux » (citation littérale).

L’intellect du Breton celui des animaux ; il devient le prototype de l’arriéré mental, de l’idiot congénital. Il a un âge mental infantile, cela est dû à la dégénérescence de cette race. « On se demande, précise encore Hugo, si cet aveugle peut accepter la clarté ».

Les hommes qui profèrent ces horreurs – inscrites d’une manière indélébile dans la conscience des Bretons -, incultes, ignorent que ce pays, qui a ensemencé toute l’Europe au moyen âge par sa mythologie et sa spiritualité, tant religieuse que profane a toujours produit des hommes de lettres, des poètes, des juristes, de grands écrivains. Parmi ceux que la France s’est appropriée, comme faisant partie de leurs écrivains, alors qu’ils ne sont pas Français, et qui ont conquis une audience internationale :  Abélard, l’un des plus grands théologiens de son temps ; Chateaubriand, Victor Hugo (breton par sa mère), Renan, Lamennais, et tant d’autres. »

 

LOUIS MELENNEC, breton vivant en France, et heureux de reconnaître que les Français l’ont gratifié et écouté, sans parti-pris.

 

LES BONNETS ROUGES. LE NOIR et le BLANC, les couleurs nationales bretonnes, flottent sur TOUTE LA BRETAGNE. Aucun Etat totalitaire ne peut empêcher la renaissance de l’identité .

 

Livre bleu de la Bretagne. Analyse publiée par l’hebdomadaire BOURSE PLUS (28 février 2014).

 

 

 

Les Bonnets rouges : la révolte bretonne de 1675, et les massacres atroces perpétrés par les armées françaises : meurtres, assassinats, viols, pendaisons sans jugement .. Des milliers de Bretons massacrés pour s’être révoltés contre des impôts illégaux levés illégalement, à deux reprises de surcroît, par un pays – LA FRANCE, la « mère des Arts, des Armes et des Lois » -, (et de la Justice, bien sûr !), qui n’a AUCUN DROIT DE LES PERCEVOIR dans un pays statutairement réputé « Province étrangère ». (voir dans Google : provinces réputées étrangères).

Tant d’invraisemblables sottises ont été écrites ces dernières semaines sur la révolte de 1675, survenue en Bretagne, en particulier par les « hystoriens » marxistes bretons, ceux que les jeunes appellent désormais par leur nom, LES NEGATIONNISTES, ainsi que les journaleux français, incultes, qui ont tant de matériaux à leur disposition, mais qu’ils n’utilisent pas, qu’il est nécessaire de reprendre la plume.

Vivre, travailler, décider en Bretagne. Il est étrange, pour l’observateur extérieur, et même pour les Bretons qui ont conscience de la réalité politique du Pays, de constater combien les mots justes font encore peur, pire : effraient la population ..

Commentaire de l’actualité : un désastre pour la France : les NULS, qui auraient dû être chassés à coup de trique, se retrouvent au pouvoir. Les mêmes incompétents, les mêmes nuls, en pire, se partagent les postes ministériels, vécus comme autant de fromages, et comme des primes à la bouffissure individuelle. Certains de ces incompétents absolus commençaient à comprendre le tout début de certains dossiers. Les voila dans d’autres ministères, pour lesquels aucun n’a la moindre expérience. A ce degré, on dépasse le vraisemblable.  Donnons nous rendez-vous dans quelques mois, pour constater le désastre. Le malheur est que la Bretagne est concernée par ce ballet désastreux, et va en payer le prix, avec, en prime, la complicité de plusieurs des leurs dans cette équipe sanglante. L’erreur la plus grave : avoir nommé aux finances un incompétent notoire, qui ne connaît rien à la fiscalité, ni au budget de l’Etat, ni à aucun problème financier. Ni d’ailleurs à rien.

L’avocat général honoraire Philippe BILGER se demande laquelle, de Rachida DATI ou de Christiane TAUBIRA a été la plus nulle. En termes d’incompétence, elles se valent, elles sont en dessous du zéro : ce n’est pas un zéro sur vingt qu’elles méritent, mais une note négative. Mais alors que la première, incapable d’avancer une seule idée personnelle, avait au moins le mérite de défendre un projet conforme à celui que TOUTES LES CIVILISATIONS, sans exception, ont appliqué au cours de l’histoire pour traiter la délinquance – la sanction, d’autant plus sévère que les crimes et les délits sont graves -, TAUBIRA frise le délire absolu : bafouant ce que le peuple demande avec insistance, elle propose de remettre en circulation, dans les rues, les criminels, afin qu’ils  puissent perpétrer, à l’abri de la loi, leurs méfaits. TAUBIRA n’est pas seulement nulle, comme le dit BILGER, elle est est un danger extrême pour la société, un poison violent à éliminer. En attendant que sa responsabilité politique soit mise en oeuvre, comme celle de ceux qui l’ont « sélectionnée », et qui l’ont maintenue dans son poste.

La priorité absolue était de tout remettre en chantier : la législation, stupide dans sa totalité; la fiscalité, idiote en chacune de ses dispositions. le système politique, dont il est prouvé, aujourd’hui, que les élections périodiques, telles qu’elles sont conçues, ont pour effet de conduire à un marché captif, dont quelques débiles et insuffisants mentaux sont quasi-propriétaires, se partageant les postes, les prébendes, les hauts revenus, sans la moindre compétence pour conduire les affaires nationales, ni d’ailleurs à peu près aucune forme d’action. Cela supposait, non de consacrer tout son temps à de petites manoeuvres politiques, toutes minables, pour se pousser du col, et mettre son nombril en avant, mais de se cultiver, au contact de la réalité, des désastres passés, des savants dans les disciplines de gouvernance, de visiter encore et encore les pays qui ont réussi, de solliciter les leçons de ceux qui savent, surtout de ceux qui ont réussi dans leurs vies, en premier lieu ceux qui ont créé des richesses utiles à la collectivité, et créé des emplois dans des secteurs au service du pays.

J’ai exposé dans un article précédent de quelle manière évolue depuis un siècle l’institution de la Responsabilité, à grande vitesse encore, plus vite que je n’avais osé l’espérer (Google : mélennec responsabilité). Cela paraît aujourd’hui assez difficile à imaginer : ces politiques incompétents et fanfarons seront un jour poursuivis, non pour leurs fautes civiles et pénales, mais pour leurs fautes strictement politiques, et seront condamnés, sur le fondement de leur incompétence, et des fautes graves de gouvernance dont ils se rendent coupables chaque jour de leur existence.

La candidate « Nunuche » de 2007, dès le surlendemain de sa nomination, commet déja des conneries monstrueuses : sans rien connaître à RIEN, elle donne des leçons, et décide sans connaître aucun dossier, certainement pas celui de l’écotaxe.

 

SAVOIE : UNE PARTIE DE L’OPINION SAVOYARDE, désormais informée du scandale de l’annexion très gravement truquée du Pays, en 1860, conteste son appartenance à la France.

Les Savoyards et les Niçois commencent – enfin ! -, à exprimer leur colère. Ceux qui réfléchissent, nombreux, s’éveillent à leur histoire, aux mensonges dont ils ont été victimes. Comme les Occitans, les Basques, les Bretons, d’autres peuples encore, ils s’éveillent d’un rêve affreusement douloureux : eux aussi ont été victimes du même lavage de cerveaux que les Bretons. Ils avaient oublié, eux-aussi, qu’ils constituent une authentique Nation, et que, lorsque se posa pour eux la stupeur d’être séparés de leur dynastie fondatrice,  c’est à la Suisse qu’ils voulaient être rattachés, non à la France. Combien cruelle apparaît cette annexion résolument non voulue et non consentie, surtout depuis les élections triomphales de 2012, qui ont porté au pouvoir, en France, quelques génies, en forme d’ectoplasmes, qui ont définitivement réussi à tourner en ridicule le prétendu régime démocratique français. Les Savoyards et les Suisses, ces deux peuples réunis, travailleurs, consciencieux et sérieux, auraient fait merveille ensemble. Quel malheur pour eux, quel malheur pour les Bretons !

Mais il est encore temps, largement : l’histoire continue : l’Europe actuelle est un échec cuisant : elle est encore à construire.

Les députés et les sénateurs savoyards ont reçu et lu l’étude qui suit. En particulier Hervé GAYMARD, interdit désormais de se cacher derrière son petit doigt, pour faire semblant QU’IL NE CONNAIISAIT CES VIOLTIONS MONSTRUEUSES DES DROITS SACRES DU PEUPLE SAVOYARD : redressez vous, M. GAYMARD, les Savoyards vous observent ! Que pensent-ils de vous ????? Lisez aussi, et faites le savoir : la vérité progresse à grands pas, l’imposture de la prétendue invention des droits de l’homme par le génial pays qui s’en est attribué le mérite insensé, est en charpie.

 

La France viole, chaque jour, eu toute connaissance de cause, les droits internationaux des nations périphériques qu’elle a annexées sans leur consentement :