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RAPPEL DES PRINCIPES INTANGIBLES : LA BRETAGNE N’EST PAS FRANCAISE. LA FRANCE EST EN TRAIN DE SE DESINTEGRER SOUS NOS YEUX.
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Certains Bretons ayant beaucoup de loisirs à dépenser, j’apprends – par un média qui n’a heureusement que peu de lecteurs -, que le bon docteur Mélennec serait « favorable à la dilution de la Bretagne dans une région du grand ouest, incluant l’ancienne région des pays de Loire ».
Ma position n’ayant pas varié d’un iota depuis quarante ans, je rappelle d’une manière claire ce qu’elle est, irréductiblement, ce qui constituera une excellente mise au point :
1 – En droit, la Bretagne n’a jamais fait partie de la France, elle n’en fait pas partie, elle n’en fera jamais partie. Elle a été envahie en 1491, puis annexée en 1532, en aucun cas « réunie » par un processus délibéré et accepté par les Bretons. Ses Institutions, sa législation, sa fiscalité, sa langue ont été détruites par le pays situé à l’est de ses frontières, sans qu’elle ait été consultée, et sans avoir consenti à rien.
2 – La France n’est en Bretagne que par la force, la manipulation, la contrainte, l’achat des consciences, et par la maîtrise qu’elle s’est attribuée par l’enseignement, les programmes scolaires, les carrières, une partie importante de l’économie.
3 – En droit international, la France est un pays annexé, occupé, colonisé. Le colonisateur n’a qu’un droit : partir.
4 – Le territoire national de la Bretagne comporte CINQ départements. Ce territoire a très peu varié depuis l’année 851. Le plus important, par le symbole qu’il représente, l’histoire, la prospérité (30 pour cent de la richesse de la Bretagne, exprimée en termes de PIB), est la Loire Atlantique, dénommée « Comté de Nantes », sous ses Ducs souverains et jusqu’en 1789.
5 – Les ministres « bretons » en exercice a Paris sont coupables d’avoir laissé promulguer le plan du maintien de l’occupation de la Loire Atlantique par l’Etat colonisateur. Leur devoir impératif eût été de se manifester devant la France, la Bretagne, et le monde, en démissionnant avec éclat, pour ne plus jamais revenir, et réclamer son émancipation immédiate, sous le contrôle des Instances internationales.
6 – L’un d’entre-eux est notoirement désigné, et assume cette responsabilité écrasante, comme ayant persuadé le Président de la République française que la Bretagne doit rester composée des quatre départements auxquels l’a réduit l’Etat collaborationiste français de Vichy, en 1941. La Bretagne a appris cette incroyable nouvelle par la presse française, sans avoir été consultée, et sans y avoir, ni de près ni de loin, consenti à cette nouvelle spoliation.
Un autre « Breton », par l’incroyable abus des fonctions détenues par lui pendant plus de vingt ans, a permis jusqu’à aujourd’hui, en violation du droit et de la volonté des populations, le maintien de la scission de la Bretagne en deux parties, comme jadis l’Allemagne de l’Est.
7 – Le droit international comporte depuis des années un corpus de principes qui garantissent aux nations incluses contre leur volonté dans d’autres pays, la protection sacrée de leur langue, de leur culture, de leurs valeurs, ainsi que leur enseignement et leur transmission aux enfants.
Tous ces principes sont bafoués au quotidien par le pays auto-proclamé « des droits de l’homme ». La France est hors la loi internationale. Les crimes qu’elle commet au quotidien contre les « minorités » incluses dans les frontières qu’elle a elle-même fixées, sont d’une extrême gravité.
8 – En droit européen et en droit international, la Loire Atlantique ne fait en AUCUN CAS partie de la France, elle est partie intégrante de notre territoire national, propriété indivise de tous les Bretons. Même si des procédures sont nécessaires, il ne s’agit, EN AUCUN CAS, en droit, de solliciter l’état colonisateur de « reconstituer administrativement » (!!!!) la Bretagne, mais de restituer aux Bretons ce qui leur a été volé, et qui reste leur propriété, le voleur n’ayant aucun droit sur ce qu’il a volé. Aucun referendum n’est envisageable en Loire Atlantique – surtout pas organisé par la France, qui s’y trouve en pays colonisé -, puisque ce département fait juridiquement partie de la Bretagne. Ce dont il est question, c’est de l’évacuation de ce pays hors de Bretagne, en aucun cas d’une quelconque « autorisation » à lui demander.
9 – En encourageant les autorités françaises, représentées en Bretagne par leurs Gouverneurs (les préfets), à maintenir la partition du Pays, M. Jean-Yves le DRIAN a anéanti plusieurs dizaines d’années d’efforts de nombreuses associations – dont Bretagne Réunie, la plus importante – d’obtenir la réintégration dans notre territoire national ce qui nous appartient. CECI POUR UN NOMBRE D’ANNEES INDETERMINE. En français comme dans toutes les langues, cet acte porte un nom.
10 – La réintégration de NANTES dans notre territoire national est une priorité absolue, elle est VITALE pour notre identité, notre survie politique, économique, et notre réapparition sur la scène mondiale.
Une opportunité stratégique se présentait : REINTEGRER LA LOIRE ATLANTIQUE DANS NOTRE TERRITOIRE – sur le papier et dans les esprits dans un premier temps, avant de devenir effective – en l’enlevant aux Pays de Loire où elle n’a de place que par l’effet de la politique de colonisation. Menée avec intelligence – voire avec souplesse – c’eût été une étape déterminante. Mais pour mener une telle action, il faut être intelligent, et intransigeant sur les droits nationaux et internationaux de Notre Pays.
Qu’un département voisin, ou deux départements, pendant quelques années soient inclus dans cette combinaison politique, est sans inconvénient aucun, au regard du but poursuivi : la reconstitution ad integrum de notre pays. La Loire Atlantique, réintégrée dans notre territoire historique, ne pourra plus être ni soustraite, ni annexée une nouvelle fois par notre voisin de l’Est.
Que la Vendée militaire, par exemple, nous soit associée de son plein accord pendant plusieurs années ou d’une manière définitive, accroissant notre capital humain, notre surface maritime, et notre économie par sa très forte concentration en PME et en PMI, mériterait la plus grande attention. La Bretagne est ouverte à tout ce qui peut la rendre plus forte : ELLE N’EST PAS UN NOMBRIL.
La France n’est pas menacée de se désintégrer, c’est pire que cela : son processus de désintégration se déroule devant nos yeux, par l’incompétence de ses « politiques », leur absence totale de vues sur l’avenir, l’attachement pathologique à leurs intérêts personnels, la totale inadéquation de sa Constitution et de ses institutions. Les Bretons doivent tout mettre en oeuvre pour échapper à ce malheur qui frappe notre voisin; il nous concerne tout autant que lui, tant que nous ne seront pas redevenus une puissance souveraine, et que nous n’aurons pas repris la gestion de nos affaires. Si le pays situé à l’est de nos frontières a toujours été notre ennemi, nos voisins français ne le sont pas; ils méritent notre compassion : ce qui leur arrive est pire qu’une guerre, tous le ressentent ainsi, quoique tous ont peur de s’exprimer librement, leurs médias étant sous contrôle, et bridés par des lois liberticides.
En Bretagne, tout pouvait cette fois être réalisé, au prix de quelques aménagements ultérieurs. L’occasion était exceptionnelle, le pays ayant sans ambiguité fait connaître sa volonté par des sondages répétés. Il s’agit ici de stratégie, c’est à dire d’un savoir-faire de grande envergure. L’enjeu ne supporte aucune erreur, certainement aucune lâcheté, la Bretagne ayant en face d’elle, depuis des siècles, un Etat menteur, manipulateur et spoliateur, considéré comme tel sur la scène internationale.
Par la volonté conjuguée de deux Judas bretons, tout est encore à faire : bravo, messieurs les destructeurs de notre pays; un nouveau crime a été commis; on se souviendra de ce qui vient de se passer.
Qui a pu supposer que le bon docteur Mélennec ait pu être effleuré par l’idée de voir la Bretagne « diluée », « noyée », « neutralisée » dans un ensemble géographique et politique auquel elle n’appartient pas ?
Mais nous continuons, jusqu’à la restitution complète de nos droits.
LOUIS MELENNEC, docteur en droit, ex-consultant près le Médiateur de la République française.
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DE LA COLLABORATION, PHENOMENE UNIVERSEL.
Un ex-correspondant, qui ne me veut certainement que du bien, je crois, m’a écrit cette incroyable lettre : « Nous sommes tous des collaborateurs, vous le premier ».
Vous avez compris que cette missive ne vient pas de France, mais de notre cher pays, la Bretagne. En cette période dans laquelle une fraction de la population de Bretagne se réveille – très mollement -, il faut se remémorer comment, par un processus colonial enfin dénoncé par les instances internationales – l’ONU en premier lieu -, la France, pays des arts, des armes et du droit, s’est emparée de la Polynésie, et a jeté en prison le père de la Nation Tahitienne, POUVANA A OOPA (nombreuses références sur la toile), puis fait …. SENATEUR ! Il demandait pour son peuple la restitution de la Souveraineté : LA FRANCE L’A JETE EN PRISON. L’histoire abonde de faits de cette nature : le reine de Madagascar Ranavalona III, exilée à la Réunion, puis en Algérie, le Sultan du Maroc, exilé en France …. les souverains légitimes du Vietnam remplacés par des « pions » dociles … « Nos » ministres, qui n’ont jamais été à l’école, ne peuvent que les ignorer, ou feindre de les ignorer.
Nous connaissons d’autres exemples, pires encore, car contemporains : on décore aujourd’hui du nom de « ministres » ceux qu’ont veut anesthésier (peine inutile, car ils sont porteurs du gène des sujets congénitalement anesthésiés). Ces exemples plongent leurs origines dans l’histoire de l’Humanité. Phénomène universel, que la libération des langues – à quoi nous travaillons depuis longtemps, en nous mettant en première ligne, et en utilisant toujours les mots adéquats pour désigner les faits et les choses auxquels ils se rapportent, notre patrimoine génétique personnel ne comportant aucune fraction du gène de l’hypocrisie -, permet d’énoncer ceci en termes CLAIRS : les collabos ont toujours été méprisés par le peuple; lorsque les temps sont venus, ils sont traduits en justice. Les historiens juifs ne manquent jamais de rappeler qu’au temps de Jésus, les collaborateurs du pouvoir romain étaient honnis de tous.
Bretagne, où en est tu dans ton itinéraire mental ? Vas-tu enfin laisser la vérité affleurer tes intelligentes circonvolutions cérébrales, et ouvrir la bouche, au lieu de « solliciter humblement » que le voleur consente à « reconstituer administrativement (!) » les territoires prestigieux qu’il t’ a volés ? Par ta lâcheté, vas-tu encore nous HUMILIER LONGTEMPS ?
LA FRANCE EST EN TRAIN D’ÊTRE BROYEE PAR DES IMBECILES. LES IDENTITES BRETONNE ET FRANCAISE SONT GRAVEMENT EN PERIL.
L’identité est ce qu’un être humain a de plus cher. Tout être humain a, d’ailleurs, plusieurs identités. Pour ne se placer que sur ce plan, il appartient à sa famille, à sa fratrie, à son quartier, à sa ville, à son canton, à sa région, à sa Nation.
L’identité nationale est une composante essentielle de la personnalité. La Nation est cette vaste famille , ce groupe humain élargi qui a vécu, pendant plusieurs siècles, parfois pendant plusieurs millénaires, les mêmes épreuves, les mêmes joies, les mêmes chagrins, qui partage les mêmes valeurs, souvent la même langue et la même religion …
Les fascistes de tous bords, de droite ou de gauche, marxistes ou nazis, ont toujours rêvé d’anéantir cette liberté fondamentale de tout homme de communier avec les hommes et les femmes du groupe humain auquel il appartient viscéralement. Ils ont voulu « chosifier » l’être humain, faire un « homme nouveau » (expression horrible), dont ils ne savent même pas, malades qu’ils sont, ce qu’il est et ce qu’il doit être, sauf qu’il doit être broyé dans une énorme moulinette, pour ressembler à tous ses congénères, pour former des millions de sosies, plutôt de clones, en une effrayante humanité formée de personnes identiques, pensant la même chose en même temps ….
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Fait INCROYABLE : c’est LA PREMIERE FOIS DANS L’HISTOIRE que la France, le Pays autoproclamé des Libertés, le Pays qui se dit l’inventeur des Droits de l’Homme, ouvre le débat sur la ferme volonté de la Bretagne de redevenir une puissance souveraine, et de se projeter dans la mondialité.
La télévision qui nous a prié d’exposer publiquement ce que beaucoup de bretons pensent, sans oser encore s’exprimer, n’est pas la télévision lamentable qui déverse avec vos deniers des insanités sur vous tous les jours, tous les soirs, assassine votre identité, et contribue à répandre sur votre pays un sentiment d’angoisse et de peur, qui est maintenant perceptible dans toutes les couches de la population : car l’Identité française étant en voie d’être détruite, par les manœuvres perpétrées par des idéologues criminels et des médias totalement inconscients, les signes de déliquescence sont maintenant partout : Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Il y a trente ans que nous sommes solennellement prévenus par la Serbie de ce qui va nous arriver si la France, aux mains de débiles, ne prennent pas les mesures politiques indispensables. Toute la population a exigé que l’immigration soit maîtrisée d’une manière stricte. 75 pour cent de la population juge qu’il y a trop d’immigrés en France. Jusqu’à ces toutes dernières années, il était interdit de dire cela. Le racisme n’a rien à voir dans cette affaire, car les Français sont accueillants. Le racisme augmente, c’est vrai, mais par la faute non du peuple français, mais de ceux qui ont induit la situation actuelle, par leurs discours sots, déconnectés de l’histoire du monde, émanant d’un monde psychique apparenté à ceux qui ont provoqué les pires catastrophes de l’humanité : le destruction de la Russie, de la Chine, de l’Allemagne nazie, des pays satellites de l’est, du Cambodge, de la Corée du Nord .. Les politiques criminels n’ont rien fait, hors des promesses sans cesse répétées. Une nouvelle forme de responsabilité se met en place peu à peu : la responsabilité pour fautes politiques : un jour, ces hommes et leurs complices seront jugés. Tous, en France, craignent des affrontements gravissimes comme ceux qui se sont produits en Croatie, en Bosnie, en Turquie, au Liban, en Irak, au Rwanda, en Yougoslavie …. La liste au cours de l’histoire du monde comporte plusieurs milliers d’exemples, parmi les plus dramatiques : la Turquie, le Kosovo, le berceau de la Serbie, le Rwanda …
Ce n’est plus de crainte de perte d’ l’identité qu’il s’agit, mais d’affrontements graves, de guerre civile, entre des ethnies aux valeurs incompatibles, qui finissent toujours par éclater, même si les ethnies mélangées ensemble sans aucune analyse ni connaissance de ce phénomène mondial et irrépressible sont en majorité des personnes modérées, qui ne souhaitent ni la guerre, ni les affrontements, et n’aspirent qu’à vivre en paix avec leurs voisins qui n’appartiennent pas à leur civilisation. Dans l’histoire du monde, ce ne sont pas ces populations-là qui initient et provoquent les atrocités, ce sont les extrémistes. Et lorsque le phénomène est enclenché, ce ne sont certes pas les plus pacifiques qui contrôlent la situation, mais toujours, des malades mentaux graves, psychopathes, délirants chroniques, paranoiaques surtout. On peut en citer de nombreux : Hitler, Mao-Tsé-Dong, Pol Pot, Trotsky, Staline … Sans même être manipulées par personne, les populations frustrées pendant des siècles peuvent tout d’un coup, en quelques heures, se transformer en masses furibondes se livrant aux massacres les plus cruels.
La population a-t-elle le droit de dire ouvertement qu’elle a peur. N’est-ce pas une abominable hérésie cousine germaine du racisme abominable ?
C’est de cela que l’occident est menacé : TOUS EN ONT CONSCIENCE.
Pendant que les Bretons sont à peu près d’accord sur l’essentiel (la réintégration des territoires volés dans notre patrimoine national, l’enseignement de la langue et de l’histoire nationales, la récupération par la Bretagne de ses droits nationaux et internationaux, la réapparition sur la scène mondiale en tant que puissance à part entière, surtout, le retrait de la puissance coloniale hors de nos frontières, la mise en jugement de ceux qui collaborent …), les Bretons se disputent, s’injurient, se harponnent, répandent des médisances les uns sur les autres, surtout, se jalousent, pas un n’étant capable de reconnaître ce que son voisin a fait pour lui et pour son pays, et de l’en remercier. Avec un programme à peu près identique, ils sont incapables de se réunir autour d’une table et de se mettre d’accord sur une stratégie commune, et de se tendre la main : avant que la discussion soit ouverte, ils en viennent aux mains, et se donnent des coups.
Les injures déversées sur M. TROADEC, cet homme d’action qui a tant fait pour son pays, maire de Carhaix, sont une HONTE pour toute la Bretagne.
Pendant ce temps, les Français, nos voisins, nous donnent la parole et nous écoutent, même s’ils ne partagent pas nos analyses. Ce qui est leur droit strict. Quelle tristesse !
Echanges avec les lecteurs qui ont l’incroyable courage de m’écrire sans se dissimuler sous le masque hideux et lâche de l’anonymat. – B. PARIS. Accepteriez vous de participer à une interview, et de répondre aux questions ci après ? – Réponse. Je réponds à tous ceux qui me questionnent sur la Bretagne, de l’extrême gauche à l’extrême droite, sans discrimination, dès lors que mes propos peuvent être utiles. Force est de constater que jusqu’ici, ni les communistes ni les socialistes, ni les médias subventionnés par l’Etat français et par les annonces publicitaires – qui sont de loin l’essentiel de leur budget – ne m’interrogent souvent. Seraient-ils peu doués pour le dialogue ? Pour moi, je le suis tout-à-fait. Je présume que les questions ci-dessus ne sont pas une seule et même interview – car elles embrassent un univers, surtout pour Anne de Bretagne, dont j’ai étudié la vie pendant des années. Je vous adresse ci après un long article et une longue émission sur mon parcours, qui vous permettront de me poser des questions sur ce parcours, auxquelles je répondrai, sans détour, comme toujours. Vos lettres doivent évidemment être identifiées par le nom de leur auteur, non par un prénom, ou par des initiales, qui ne me permettent pas de savoir qui est mon interlocuteur, si j’en ai un : comme vous le savez, je n’avance jamais masqué. J’aime regarder mes interlocuteurs dans le blanc des yeux. La lâcheté m’est insupportable. – T. Versailles. On vous prête d’être favorable à la « dilution » de la Bretagne dans un région du « Grand Ouest », qui la noierait. – Réponse. J’ai lu cela. Chaque fois qu’il y a une sottise à dire, cherchez les auteurs. Je vais rappeler, avec plus de fermeté encore, ce qu’est ma position sur la récupération par la Bretagne de son inaltérable Souveraineté (30 juin 2014). |
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