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Louis Mélennec est né à Guilvinec (Bretagne), en 1941. Il effectue ses études de médecine, de droit, d'histoire, de musique, à Nantes (Bretagne), puis à paris. Il est titulaire du certificat de physique, chimie, biologie, du doctorat en médecine, de la licence de droit, des diplômes d'études supérieures de droit privé, de droit public, de sciences criminelles, du certificat d'études spéciales de médecine légale, du certificat d'études spéciales de médecine du travail, du diplôme de réparation du dommage corporel, de distinctions obtenues dans divers concours de chant. Il est consultant national et international dans les disciplines relevant de ses compétences.

LA REPUBLIQUE  » UNE, INDIVISIBLE and co. » SOMBRE DANS LA MEDIOCRITE, ET PART EN COUILLES : A FORCE DE MENTIR, ET DE CONFIER LE POUVOIR A DES INSUFFISANTS INTELLECTUELS, CE DESTIN EST NORMAL.

(Article en voie de rédaction).

UNE, INDIVISIBLE and CO. Signification, selon le dictionnaire COLLINS :  » Co is used as an abrevation for a company, when it is part of the name of an organization (BUSINESS). Example :  … The Blue Star Amusement Co. »

Ici, Co est utilisé par dérision. Un lecteur m’écrit que lorsqu’un membre est pourri, on doit l’amputer. Ici, la France n’est même plus amputable, elle est transformée en un liquide putride : elle est en faillite intellectuelle, morale, économique et financière; elle ne sait plus qui elle est, par les fautes graves, répétées et grossières de ceux qu’elle s’est donnée pour  » dirigeants « , par la voie d’élections manipulées par les deux ou trois clans qui se partagent le pouvoir – et les avantages très substantiels qu’ils en retirent -, et de médias qui désinforment systématiquement la population française, totalement désemparée par ce qui advient malgré elle. Les Français sont comme les Bretons : ils forment – encore, pour combien de temps ? – une authentique nation, et ils aiment leur pays. Mais la France actuelle est devenue une masse gélatineuse, informe et incohérente, un  » zombie « . Les Français ne méritent pas cela : ils sont prisonniers d’un système politique aberrant, et de médias entièrement acquis à une idéologie fausse, imposée par un discours unique entièrement déconnecté de la réalité, qui ne prospère qu’à la faveur de mensonges, de dissimulations systématiques de la vérité (immigration, racisme, délinquance, chômage …), de rapports de force, de crainte, et d’intérêts de carrière à l’intérieur de l’organisation clanique qui la diffuse. La prétendue égalité que prône à longueur de journée ce monde par essence inégalitaire et truffé de privilèges scandaleux, c’est L’EGALITE DANS LA MEDIOCRITE. Cette conception bête (bêbête plus exactement), est éclairée par cette phrase de madame François GIROUD, qui n’est pas seulement une boutade :  » La femme sera vraiment l’égale de l’homme, le jour où, à un poste important, on désignera une femme incompétente « .

En Bretagne, l’égalité, selon la vieille tradition immémoriale de Notre Civilisation, a une autre signification : LES HOMMES SONT EGAUX EN DIGNITE HUMAINE. A chaque individu de MERITER cette égalité : s’il est en dessous de ses devoirs à l’égard de ses congénères, il doit être déchu.

Breton, je sympathise avec les Français, qui sont victimes des mêmes insuffisants intellectuels et des mêmes personnes malhonnêtes que nous. Nous ne devons en aucune sorte confondre  » LA  » FRANCE et les FRANCAIS. Les horreurs commises par la France en Bretagne ne sont pas le fait des Français : eux, ne nous ont rien fait. Pire : ils ont subi les mêmes dirigeants que nous; comme nous, ils ont été trompés, et continuent à l’être : ILS SONT VICTIMES DES MÊMES POLITIQUES PITOYABLES QUE NOUS.

J’aime les Français autant que les Bretons, je tiens à le redire. S’il existe de la haine en Bretagne à l’encontre des Français – elle existe, et grandit à mesure que les Bretons accèdent à la vérité -, je ne partage ni de près ni de loin ce sentiment, qui résulte d’un amalgame entre la France et son peuple, amalgame qui n’a aucune raison d’être.

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LU DANS LE FICANAS ENCHAÎNE : AIMEZ LA FRANCE, OU QUITTEZ LA : CHICHE !

Que les tièdes, les timides, ceux qui refusent encore de croire, intoxiqués par le lavage de cerveau dont leurs parents, leurs grands parents, eux-mêmes, ont été victimes depuis 1789, lisent le FICANAS ENCHAINE, ce site Niçois fort bien rédigé et présenté, qui nous fait l’honneur de relayer certaines de nos chroniques, de porter à la connaissance de ses lecteurs le malheur d’être breton (de l’avoir été, en tout cas, sous la férule d’un pays totalitaire, qui a commis l’affreux forfait de se servir des enfants des écoles pendant plus d’un siècle et demi pour, en les rendant honteux d’eux-mêmes, y injecter une religion falsifiée), et, pour nous Bretons, d’ouvrir les yeux sur ce qu’ont vécu et subi, durant la même période, les nations occitane, corse, alsacienne, basque, flamande, savoyarde …

(Lire le très intéressant mémoire sur  » l’intégration  » du Comté de Nice dans le merveilleux pays des droits de l’homme, sous le titre  » La Contre-révolution dans le Pays Niçois « , par Michel-André IAFELICE; mêmes procédés, mêmes violences : une petite Bretagne, en somme, écrasée par son délicieux voisin). (Et encore : Racines du Pays Niçois, La tare originelle de la République française).

Ce n’est pas une nouveauté : la France, qui pourtant a connu ses heures de gloire et de triomphe, s’est faite la championne de la médiocrité.

Un navire ne tient le vent et la tempête que si le bâtiment est solide, et si, à la barre, on a pris la précaution de placer un capitaine compétent.

AH ! QU’ELLES SONT JOLIES LES FILLES DE MON VILLAGE !

Les riches français apparentés au pouvoir en place, viennent de sabrer une fois de plus le Champagne : l’une des leurs – l’invraisemblable  » candidate nunuche  » de 2007, banquière réputée, financière émérite, compétente en tout, chroniqueur(e) financière adulée par ses analyses perçantes sur les cinq continents, conférencière brillante (oh combien, en dépit du désordre apparent de sa pensée, mais ne vous fiez pas à l’apparence, cette femme est – dit-on -, un aigle intellectuel), vient d’être nommée à la tête de la BANQUE PUBLIQUE D’INVESTISSEMENT (BPI, voir ce nom dans internet)  … Elle avait été écartée de la candidature à l’élection présidentielle, battue aux élections législatives … Elle avait rêvé, à défaut de l’Elysée, d’habiter le somptueux palais de LASSAY, en montant au perchoir de l’Assemblée nationale (française) … On désespérait de lui trouver une fonction répondant à tant de talents (cachés ou inavoués, par pure modestie) … C’est fait ! Madame ROYAL – c’est d’elle qu’il s’agit -, est désormais affublée d’un nouveau sobriquet : de  » nunuche  » qu’elle était, la voila banquière .. : si haut que l’on soit assis, comme le disait avec une élégance raffinée ce brave MONTAIGNE, on n’est jamais assis que sur son propre cul. Un très modeste salaire, au demeurant, perçu directement dans les poches des contribuables .. Bref, cette lumière, ce reflet de la pensée universelle, un des esprits les plus brillants de la planète, qui n’a eu son équivalent dans l’histoire récente de  » LA  » République, que ce bon Jacques CHIRAC, le plus mauvais en mille ans depuis Hugues CAPET, qui n’eut jamais d’autre idée politique – d’après ses proches -, que celles lues la matin au cours d’un petit déjeuner hâtif, opinions valables jusqu’au lendemain, bien entendu, et dont son premier ministre, M. de VILLEPIN, a pu dire – propos rapporté par deux témoins dans un grand quotidien – :  » CE TYPE N’A RIEN DANS LE CRÂNE; MOI, JE SUIS SA CERVELLE; C’EST MOI QUI LE GUIDE » (Jérôme Monod, retrouvez ces propos dans Internet).

Ah ! Qu’elle est belle, la France !

On voit ici à quel point le  » modèle  » démocratique français n’en est pas un : c’est une hérésie, pire : une TROMPERIE QUOTIDIENNE, UNE CHIENLIT ORGANISEE, un pays dans lequel des vautours, entourés de chacals, s’acharnent sur la bête, sous les hourrah d’une télévision et de médias complaisants, ou les courtisans, front courbé jusqu’au sol, décernent des éloges dithyranbiques aux génies du jour.

LA CONNIVENCE VIA INTERNET : LA PRESSE FRANCAISE, PLUS ENCORE LA PRESSE FRANCO-BRETONNE SONT MAINTENANT, A JUSTE TITRE, MEPRISEES.

Les Français ne s’y sont pas trompés. Les Bretons commencent à y voir clair : ce n’est pas faute d’avoir tenté de les éclairer depuis des années.

Les quotidiens, les médias de tous acabits, par bonheur, sont désormais bien loin de détenir le monopole de l’information. Un téléphone gaulois – et breton, dans le pays qui jouxte l’Une et Indivisible, à l’ouest de sa frontière occidentale -, diffuse maintenant des nouvelles de toutes sortes …

Le journal Le MONDE, gardien de l’héritage trotsko-marxiste, sous des dehors, parfois, de pseudo objectivité, qui a fait tant de mal à la France (hélas aussi aux nations étrangères que ce pays tient muselées dans ses frontières …) …

Ce journal s’est signalé par des traits de génie, c’est pourquoi, assez régulièrement, j’adresse à ses principaux journalistes, dont M. COURTOIS, mes principales chroniques. Voici quelques exemples :

. Sur la  » Libération  » du Cambodge par les armées vietnamiennes :

 » 17 avril 1975 : « Le drapeau [khmer rouge] de la Résistance flotte sur Phnom Penh », titrait Libération. « Phnom Penh libérée », lui répondait Le Monde, dans lequel on pouvait lire : « Une société nouvelle sera créée, […] le Cambodge sera démocratique, toutes les libertés seront respectées »

Résultats : 1,7 million de morts – un quart de la population -, massacrés dans des conditions atroces, le pays « démocratique » transformé en un immense camp d’esclavage et de torture ..

. Sur la  » découverte  » du racisme anti-blanc … Le Monde des 26 octobre, 27 octobre, 14 novembre, 15 novembre 2012, ose publier des articles de  » sociologues » qui nient que le racisme anti-blanc puisse même exister : c’est « une invention du … Front National » …

. Sur la colonisation, la torture, l’esclavage … imputés exclusivement à la France et à l’occident …

L’ « Affaire » du journal BRETONS a fait grand bruit. Toujours aussi naïfs – ce qui est un trait marquant de leur psychologie nationale -, les Bretons ne voulaient pas croire ce qu’on leur disait .. Comment ? La presse éditée dans ce noble Pays de Bretagne touche des subventions pour dissimuler la vérité, pire : pour mentir ? …..

UNE TRAHISON DE PLUS DE LA FRANCE : L’UNE, INDIVISIBLE  and Co., NE SIGNERA PAS LA CHARTE DES LANGUES NATIONALES dites minoritaires.


LA SOUMISSION SCANDALEUSE DES MEDIAS BRITO-FRANCAIS, SUBVENTIONNES PAR UN ETAT ETRANGER.

On le savait. En tous cas, les personnes informées le savaient de longue date. La presse quotidienne bretonne est subventionnée par le gouvernement français. Pour informer les masses bretonnes ? NON, POUR MENTIR, POUR LES TROMPER, avec leur argent, volé dans leurs poches ..

LA BRETAGNE, COMME TOUTES LES NATIONS OPPRIMEES DU MONDE, A BESOIN D’UN CHEF CHARISMATIQUE, QUI CONDUISE AVEC LA PLUS GRANDE FERMETE LE COMBAT DE LIBERATION. GENETIQUEMENT, PAR TRADITION, ELLE EST INCAPABLE DE SE REUNIR DERRIERE UN SEUL HOMME.

IL Y AURA EN BRETAGNE, COMME EN FRANCE  EN 1945, COMME DANS TOUS LES PAYS QUI ONT ETE OCCUPES ET SE SONT LIBERES, DES PROCES DE LA COLLABORATION. UN HOMME A SYMBOLISE EN BRETAGNE PENDANT PLUS DE VINGT ANS, LA VOLONTE PATHOLOGIQUE DE S’OPPOSER PAR TOUS LES MOYENS A LA RESTITUTION A LA BRETAGNE SES TERRITOIRES ANCESTRAUX : CET HOMME SERA UN JOUR JUGE PAR LES TRIBUNAUX; IL L’EST MORALEMENT, IL EST MEPRISE, SES DESCENDANTS SERONT FRAPPES DE L’OPPROBE QU’IL LEUR LAISSE EN HERITAGE.

QUELQUES NOTES POUR NOTRE FUTURE CONSTITUTION BRETONNE.

– AVANT TOUTE CHOSE : ne pas confondre la démocratie avec un  » système  » d’élections périodiques tel qu’il fonctionne en France, c’est à dire TRUQUE, et qui dépouille la population, à la faveur du clan parvenu au pouvoir, de toute possibilité d’exprimer ce qu’elle souhaite. C’est un abus grossier de prétendre que ce mode de fonctionnement procure une légitimité au pouvoir politique : c’est un leurre, un miroir aux alouettes, un attrape-nigauds. La population française actuelle abhorre ce système, elle MEPRISE les hommes du pouvoir, elle les sait, pour le plus grand nombre, insincères, carriéristes, intéressés, voire corrompus … La souveraineté, qui appartient au peuple selon la constitution, lui est totalement ôtée dans le système français.

– LA POSSIBILITE POUR TOUTE PERSONNE DE SE PRESENTER AUX SUFFRAGES DES ELECTEURS, conduit, dans les postes importants dans l’Etat, à d’authentiques ignares, incompétents, mus par leurs seules ambitions. La dernière génération a vu se succéder dans les fonctions de chefs de l’Etat, au moins trois des quatre titulaires désignés par le suffrage populaire … Existe-t-il un moyen simple pour empêcher cette situation ? Il faut, en tout cas,  y réfléchir. Jacques CHIRAC, François HOLLANDE, Ségolène ROYAL …., la France est-elle condamnée à la médiocrité ?

LA BRETAGNE AVANCE FERMEMENT VERS L’INDEPENDANCE : LES BRETONS DECIDES A REPRENDRE LEURS DROITS NATIONAUX .

 

La France est malade de ses déficits publics, par une dépense tous azimuts, dans un climat d’incompétence absolue. Va-t-on freiner la dépense inutile ? Pas du tout : comme Diafoirus, on va saigner à mort les contribuables : encore plus, toujours plus. 47 pour cent de la richesse nationale passent dans des impôts, avec une gabegie insensée. Ce n’est pas terminé : la pression fiscale va être alourdie au cours de l’année à venir …

Que faites vous, Bretons, après cinq siècles de soumission ?

Comment la France des droits de l’homme, nulle de nullité absolue en matière de gouvernance, vole et gaspille vos impôts, vos revenus, votre argent.

Je ne possède pas les chiffres exacts des impôts perçus en Bretagne, ni ceux des subventions versées par la France à ce pays. Mais je me suis entretenu avec des économistes bretons, qui m’ont assuré que le solde est positif en faveur de la France, négatif en défaveur de la Bretagne : en clair, toutes choses confondues, LA BRETAGNE VERSE DAVANTAGE DE SES RICHESSES A LA FRANCE QU’ELLE N’EN RECOIT !

Remarque acide d’un ami français :  » Nous voulons bien que vous soyez indépendants. Mais dès que cela sera, nous ne vous verserons plus vos allocations familiales (!!!!!!!!!!). Incroyable : la France nous ayant traités en serfs, puis en esclaves, prétend s’en tirer en nous transformant en sangsues, sous perfusion française !!!!!!!!

…………..

Reportez vous immédiatement au site de l’Observatoire des subventions, édité par l’association Contribuables associés. Le dégoût va vous prendre immédiatement à la gorge .. Sous le régime français, cela s’est toujours passé ainsi. Que la France pille ses propres  » sujets « , est en soi un scandale insupportable. Mais depuis 1491, année de la dernière invasion de Charles VIII, roi de France, le pillage des finances bretonnes a été systématique. Des thèses énormes ont été consacrées au sujet, que j’ai cité cent fois : Planiol – notre plus grand juriste, presqu’inconnu en Bretagne -, A. Le MOY, Yves BONVALET, REBILLON, ….  à quoi bon les citer ? Lire est fatiguant …

 

( ……………)

I – JE PORTE A LA CONNAISSANCE DES FRANCAIS ET DES BRETONS QUI LIRONT LA PRESENTE CHRONIQUE, UNE DEMARCHE DECISIVE : LE TRES IMPORTANT COMMUNIQUE PUBLIE PAR LE PARTI BRETON LE 31 janvier dernier.

 

 

Ce mardi 5 février 2013, les principaux journalistes français, les rédacteurs en chef des grands journaux français sont mis en possession du présent article, par mail, auquel est annexé ledit communiqué. Les quotidiens bretons financés par Paris, qui ont prouvé par leur enthousiasme l’insigne honneur d’informer d’une manière sereine et objective le pays dans lequel ils paraissent (confere : la grande manifestation nantaise de 2008), l’auront scruté avec la plus grande attention, et n’en parleront certes pas, tant l’honnêteté leur est familière, que ce sentiment leur serre la gorge, et les étouffe, littéralement.

IL EST DONC IMPOSSIBLE, ceci s’ajoutant à bien d’autres choses, que la France, son gouvernement, ses médias, ne soient pas au courant de ce qui s’est passé et se passe en Bretagne, et que l’on tente encore, ridiculement, de dissimuler : la grande majorité de ceux qui pensent CONNAISSENT MAINTENANT L’ESSENTIEL  DES HORREURS QUI SE SONT DEROULEES EN BRETAGNE, et qui en est l’auteur. Les retardataires bretons ont donc le champ libre : s’ils avaient peur, s’ils étaient timorés, ils peuvent, sans crainte aucune, se manifester : ILS NE RISQUENT PLUS RIEN. D’autres leur ont frayé le chemin.

CE TEXTE VA FAIRE BOULE DE NEIGE.

Enfin libéré de tout complexe, il marque une étape importante dans notre marche vers LA LIBERTE. La Bretagne veut, sans concession, non d’une « autonomie » concédée et manipulée par PARIS, mais reprendre possession effective des DROITS QUI ONT TOUJOURS ETE LES SIENS, et dont elle a purement et simplement dépouillée, à la suite des invasions françaises de 1487 et de 1491, du faux traité de  » réunion  » de 1532, surtout de la prétendue révolution de 1789, qui a aboli d’une manière unilatérale toutes les Institutions bretonnes et la Constitution de la Bretagne, dans des conditions plus qu’ humiliantes.

 

LA BRETAGNE, QUI VIENT DE RETROUVER SON IDENTITE, NE VEUT PAS MOURIR AVEC LA FRANCE, QUI AGONISE.

 

Louis MELENNEC adhère entièrement à cette démarche. Les idées exprimées dans ce communiqué sont celles qu’il a développées lui même, sans relâche, depuis trente ans – avec d’autres Bretons, bien entendu -, d’une manière de plus en plus explicite, au fur et à mesure que la possibilité de les exprimer se faisait plus grande, et que, reçues au début avec une agressivité extrême, elles sont devenues recevables par une partie de la population française et bretonne, par une partie des médias, et aujourd’hui évidentes pour beaucoup.

Il demande à tous ses compatriotes de s’exprimer librement, et, une fois de plus, de dire ce qu’ils pensent réellement, et de n’avoir plus peur de personne, surtout de ceux qui n’ont que des leçons à recevoir, et aucune qualité pour en donner : le temps est venu d’avancer, non de rester dans l’expectative.

Ces idées vont maintenant être  » récupérées  » et instrumentalisées par les myriades d’associations bretonnes qui constituent le  » mouvement breton « , chacune réclamant pour elle- même la priorité et l’antériorité. L’important est que se dessine une action COMMUNE A TOUS LES BRETONS, qui seuls ont qualité, au delà des jalousies et des mesquineries, de décider de leur destin. Ceux qui ont agi, souvent en se mettant en péril, doivent se considérer comme les instruments de ce destin pour le Pays, en aucun cas comme les propriétaires de cette philosophie, QUI EST LE PATRIMOINE COMMUN DE TOUS LES BRETONS, toutes obédiences politiques confondues. Les Bretons ont été des Résistants dès les invasions françaises, et n’ont échoué jusqu’à aujourd’hui que parce que, écrasés par la violence de l’occupant, le rapport de forces leur a été défavorable.

Aujourd’hui, enfin, la force se définit par le DROIT, principalement le droit international : les plus forts sont ceux qui ont le droit pour eux, non les canons.  Sur ce terrain, nous sommes en train de gagner, nous allons gagner. La reconstruction des Institutions, de la législation, de la Justice, de la fiscalité, de la démocratie – si bafouée au delà de nos frontières historiques, dans le pays qui jouxte le nôtre à l’Est -, de l’économie, seront l’oeuvre de tous.

 

JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, les Bretons n’ont consenti à être annexés par la France. Du temps de la Monarchie capétienne, ils disposent de la possibilité de s’opposer aux lois de la France. Ils votent leurs impôts. Il leur est permis de s’intituler NATION BRETONNE, car ils sont un peuple beaucoup plus ancien que les Français. Ceci dure jusqu’en 1789. La Bretagne de 1789, par sa résistance FEROCE à la France, depuis son annexion non consentie deux siècles et demi auparavant, a récupéré une très large autonomie, et s’administre elle-même. La révolution dite  » des droits de l’homme « , le pays qui prétend avoir apporté la liberté au monde, réduisent les Bretons à l’état de serfs. Le pays disparaît de la carte en tant que tel, il est divisé en  » départements « , et administré comme toutes les colonies, par des gouverneurs, sous le nom de  » préfets  » (en Allemagne, des  » gauleiters « ).  Leur assemblée parlementaire politique (les Etats de Bretagne) est purement et simplement supprimée, leur langue et leur culture sont détruites d’une manière systématique, avec une cruauté mentale sauvage, ils sont stigmatisés comme des animaux, leur histoire nationale est interdite d’enseignement, remplacée par le cathéchisme français, qui laboure les cerveaux des enfants dans les écoles de la  » République « .

Le Peuple de Bretagne n’a JAMAIS été consulté sur son sort, ni en quoi que ce soit. Croire que les Bretons vont  » oublier  » cela est pire qu’une sottise : UNE STUPIDITE.

 

La démarche des Bretons, maintes fois soutenue par les Institutions internationales et organismes assimilés ou autorisés, en particulier l’ONU, le CONSEIL de l’EUROPE, le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, la FUEN, le Comité d’experts de la Chartes des langues dites  » régionales  » ou  » minoritaires  » …., parfaitement connue de tous les pays Européens, notamment quant aux droits solennellement reconnus par les textes internationaux, protégeant les langues, les coutumes, l’identité des Nations dites minoritaires, se situe dans la droite ligne de la prérogative sacrée des PEUPLES A DISPOSER D’EUX-MÊMES …

 

Louis MELENNEC, breton depuis 2000 ans.

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II – LE COMMUNIQUE DU PARTI BRETON (31 janvier 2013).

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Un sentiment national réaffirmé en Bretagne malgré l’emprise française

Publié le jeudi 31 janvier 2013 21:20

 

 Le magazine « Bretons » a publié dans son numéro du mois de février un sondage portant sur différents aspects, notamment politiques et culturels, de l’identité bretonne. Cette initiative était d’autant plus nécessaire qu’il n’y avait pas eu depuis 13 ans d’enquête sur la position des Bretons par rapport à l’indépendance, tant le sujet apparaît sensible.

Les résultats de ce sondage qui donnent 18% de Bretons favorables à l’indépendance, avec même des chiffres dépassant 30% chez les plus jeunes, montrent clairement la persistance d’un sentiment national fort en Bretagne. Cela, malgré 500 ans de présence française et  une propagande incessante de l’appareil d’Etat français, et des différentes forces qui le servent, comme par exemple les partis hexagonaux et la plupart des médias en Bretagne. Pourtant, les ravages de cette propagande, on les retrouve clairement dans les générations les plus anciennes, les « sacrifiées », celles à qui on a inculqué la honte de leur origine et de leurs langues, aussi la faiblesse de leur sentiment national n’est pas étonnante. Elle apparaît aussi dans ces 20% de Bretons, qui ignorent que la Bretagne a été indépendante pendant près de 700 ans et qu’ ELLE CONSTITUE UNE DES PLUS VIEILLES NATIONS D’EUROPE. 

Le Parti Breton a été fondé par des hommes et des femmes pour qui il n’a jamais fait de doute que le sentiment national breton était bien toujours présent en Bretagne, et pour qui il était urgent que la Bretagne retrouve sa souveraineté, pour que son peuple puisse répondre aux défis de notre temps. Depuis, cette analyse a été mainte fois validée, et l’incapacité de la France à se réformer, l’impuissance du personnel politique hexagonal ne font qu’ajouter à l’urgence d’une reprise en mains de son destin par la Bretagne.

Dans ce contexte, les petites manœuvres MINABLES des socialistes dans le pays de Nantes pour faire disparaître l’identité bretonne ou la réaction grotesque du président de Ouest-France pour faire effacer de la Une de « Bretons » le chiffre des 18% d’indépendantistes en Bretagne, qui s’apparente à un véritable exorcisme, ne sont pas anecdotiques. Pourtant, elles montrent la véritable nature de ce qu’est le pouvoir en France qui, sous couvert d’un vernis démocratique, a d’abord le visage de l’intolérance face à tous ceux qui ne font que demander le respect de leurs droits les plus fondamentaux.

Le Parti Breton s’élève et s’élèvera toujours contre ceux qui bafouent les libertés d’opinion, d’expression, contre ceux qui n’ont d’autre but que de faire disparaître des cultures, des peuples sur le territoire hexagonal au nom d’une idéologie sinistre.

Pour le Parti Breton, l’essentiel est bien maintenant de transformer ce sentiment national, notamment chez les plus jeunes, en véritable action politique, pour aboutir à une souveraineté retrouvée de la Bretagne. Depuis 10 ans ses militants se battent pour cela, ils vont continuer avec l’espoir de constituer, avec d’autres, la grande force politique bretonne qui offrira enfin un nouveau destin à la Bretagne et aux Bretons.

Gérard Guillemot

Secrétaire Général du Parti Breton

 

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LE MOT DU PRESIDENT DU PARTI BRETON

 

Il y a un autre choix pour la Bretagne

A l’heure où les partis hexagonaux dits  » de gouvernement  » ont perdu tout crédit , nous voulons promouvoir la voie de la raison, celle d’un pouvoir rééquilibré et transféré là où il sera sous l’œil des citoyens. Nous n’avons d’autre ambition que de permettre à nos enfants de mieux vivre en Bretagne demain.

Yves Pelle

III – LA REPUBLIQUE  » UNE et INDIVISIBLE  » N’EST NI UNE NI INDIVISIBLE. LA BRETAGNE SE FERA ELLE-MÊME.

PIQURE DE RAPPEL, très importante, à véhiculer PARTOUT, des centaines de milliers de fois, sans jamais se lasser, particulièrement à l’attention des médias français, des médias bretons, et des PLOUCS qui prétendent représenter la Bretagne :

MICHEL ROCARD, comme l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing, croit que l’histoire de France fournit les clés pour comprendre la politique française. M. Rocard remonte à l’époque de l’émergence de l’État-nation :

 » L’histoire des autres États-nations européens est celle de communautés linguistiques au service de leurs intérêts commerciaux. La France s’est créée par la destruction de cinq cultures — bretonne, occitane, alsacienne, corse et flamande « .

 » Nous sommes la seule nation européenne qui soit la création militaire d’un État non homogène. C’est ce qui rend la France difficile à gouverner et explique notre difficulté à réformer, notre lenteur « .

Veuillez taper dans la case  » Google  » ces simples mots : michel rocard wikileaks. Les Nations qui, comme les Bretons, ont souffert de la politique ABOMINABLE de la France, sont au courant, et citent abondamment ces phrases terribles d’un homme profondément honnête, considéré tel par tous.

La Bretagne n’a besoin que d’elle même, du courage de ses habitants, de sa diaspora, de ses nombreux amis, pour se construire. Elle n’a sûrement pas besoin de la France, qui l’a envahie, anéantie et détruite pour accéder à la pleine et entière souveraineté ..

La France  » abrite en son sein « , pour employer une formule ridicule, au moins cinq autres nations : la nation bretonne, la nation basque, la nation alsacienne, la nation savoyarde, la nation flamande : QU’ON LES LIBERE ! Elles n’en peuvent plus de tant d’incompétence, de combines, de nullité … Toutes ces Nations sont maintenant au courant de la manière dont elles ont été  » rattachées  » à leur marâtre la France.

De M. HAZO Nétanel, né à Nantes, juif, breton de coeur,  président de l’Association Bretagne – Israel, parlant des Bretons, le 31 août 2010 :

” Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La pugnacité, l’opiniâtreté, souvent perçues comme négatives, ne sont pas de vains mots pour désigner les Bretons. Les Juifs ont les mêmes qualités….. Le chemin sera long jusqu’à l’indépendance. Mais elle est inéluctable. La France est en faillite morale. Elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent …”

(Agence Bretagne Presse, commentaire sous l’article de Louis Mélennec, publié le 17 février 2009, Les massacres ….).

Cet avenir, ce sont les jeunes qui le feront. C’est pour eux que nous, les anciens, avons travaillé. Ils vont peu à peu nous remplacer. Ils ont retrouvé leur fierté nationale, ne souffrent plus de cette affreuse névrose d’acculturation que nous avons vécue dans notre enfance et dans notre adolescence, à base de HONTE DE SOI, inculquée par le colonisateur. Ils sont déjà plus de 30 pour cent qui veulent l’accession à une pleine et totale souveraineté pour leur Pays. Par la simple évolution naturelle des choses, comme en Ecosse, en Catalogne, au Pays Basque …, ils seront de plus en plus nombreux à accéder à une prise de conscience qui les conduira vers la liberté.

LOUIS MELENNEC.

 

 

LE SONDAGE QUI FAIT SCANDALE : LES FRANCAIS OSENT DIRE (une petite partie de) CE QU’ILS PENSENT !!!

 LA BRETAGNE MARCHE VERS L’INDEPENDANCE.

UN DE NOS PROCHAINS ARTICLES : LA BRETAGNE, D’UNE MANIERE RESOLUE, LARGEMENT INFORMEE AUJOURD’HUI DE SON PASSE COLONIAL, EVOLUE VERS SA LIBERATION : L’INDEPENDANCE, par le même processus que le Canada français, La CATALOGNE, L’ECOSSE, et tant d’autrepays qui ont secoué le joug de leurs colonisateurs.

EXCELLENTE NOUVELLE : UN BRETON SUR CINQ (selon le dernier sondage officiel autorisé) est FAVORABLE A L’INDEPENDANCE. Chez les jeunes, informés par Internet, le pourcentage serait proche de 50 pour 100. Les Bretons vivant à Paris (un million de personnes), et les Bretons de la diaspora sont très majoritairement favorables à la Liberté de leur Pays et à la suppression de toute censure. Cinq siècles d’attente ! On attend le  » coming out  » des personnalités bretonnes avec une impatience non contenue … L’affaire fait grand bruit en Bretagne : enfin, le bout du tunnel !

LISTE DES ARTICLES DE LOUIS MELENNEC PUBLIES sur l’histoire et sur l’avenir de la Bretagne PAR L’AGENCE BRETAGNE PRESSE (ABP) :

http://www.agencebretagnepresse.com/monmur.php?auteur=Histoire%20et%20Identit%E9

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Du jamais vu, depuis trente ans : les Français EN ONT MARRE de tant de souffrance, d’hypocrisie et de MEDIOCRITE.

1 – LECTURE PRIORITAIRE : LES PROFESSEURS DE MORALE QUI GOUVERNENT LA FRANCE (et la Bretagne, hélas), SONT DES RICHES : HARO SUR LE BAUDET (Journal du net, ou JDN).

Cette incroyable lecture va vous apprendre que les philosophes de la tolérance et les professeurs de morale que nous ne connaissons que trop bien, ont les poches mieux que bien garnies.

http://www.journaldunet.com/economie/magazine/primes-des-ministres/ 

2 – FRANCOIS HOLLANDE, QUI AVAIT ANNONCE UNE DIMINUTION TRES NOTABLE de ses revenus de Président de la République, aurait conservé les mêmes avantages : les médias escamotent totalement cet état de chose qui, s’il est exact, est REPUGNANT.

Un correspondant m’adresse ce mail, qui mérite d’être vérifié : Hollande avait annoncé qu’il allait diminuer ses revenus. Il l’a fait. Mais le Conseil constitutionnel a déclaré cette diminution non conforme à la loi.

2 – A LIRE ABSOLUMENT, D’URGENCE AUSSI : PHILIPPE BOUVARD, LETTRE A FRANCOIS  HOLLANDE.

Les passifs Bretons vont-ils enfin comprendre qu’il est temps pour eux de dire ce qu’ils pensent ? Quelle trouille les empêche d’ouvrir la bouche, alors que tous autour d’eux se lâchent, enfin ?

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On parle de béatifier Philippe BOUVARD, après Gérard DEPARDIEU, pour la déculottée qu’il vient d’administrer aux MINABLES que les Français ont poussé à la tête de la France – et que les BRETONS, nation étrangère, doivent  subir.

Beaucoup mieux : Gérard LANVIN :

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-coup-de-gueule-de-Gerard-Lanvin-16025.html

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3 – LE JOURNAL LE MONDE, AVEC 40 ANS DE RETARD, OUVRE LES YEUX SUR CE QU’IL A TOUJOURS DISSIMULE, AVEUGLE PAR L’IDEOLOGIE. UN CAMOUFLET SANGLANT ADMINISTRE PAR LES GAULOIS, SUR FOND DE NEGATION FEROCE DES REALITES VECUES AU QUOTIDIEN, NIEES AU NOM D’UNE IDEOLOGIE STUPIDE.

Je lis le journal Le Monde, depuis … 1957, l’année de mes 16 ans. Ce journal – qui continue à publier des articles de fond de qualité, je le souligne – sur certains sujets, pas tous, loin s’en faut, la géniale pensée marxiste étant toujours à portée de main ! -, en particulier la justice, les affaires judiciaires et de corruption, certains dysfonctionnements de la justice française, a joué un rôle extrêmement néfaste dans l’élaboration de ce que l’on dénomme le « politiquement correct  » ou  » le discours unique « , ou encore  » la bien pensance « , ou le  » prêt-à-penser  « ..

Les conséquences ont été et sont gravissimes, pour la France comme pour la Bretagne, prisonnière de sa marâtre, la République des Droits de l’Homme, ce pays qui  » a apporté la LIBERTE à l’Univers  » ……..

Le Monde vient enfin, après quelques tentatives en zig-zag, non pas d’essayer de comprendre ce qui se passe en France, non pas de tenter de raisonner en regardant la REALITE EN FACE, mais de constater, en publiant un sondage aux termes duquel le pays dément cruellement tout ce que ce journal a prêché depuis des dizaines d’années, ce qui ne l’empêche pas de continuer à plaquer sur cette réalité un catéchisme farfelu, hérité d’un autre âge ….

Que viennent donc de découvrir les journalistes du Monde, en dépouillant ce sondage ?

Tenez vous bien : ces génies découvrent ce que le peuple français pense :

1 – Les Français ont PEUR.

2 – Les Français aspirent à la sécurité.

3 – Les Français pensent que la situation va s’aggraver. Pour être clair – le journal le Monde se garde bien de l’être sur ce point : pour les Français, la guerre civile se précise, le territoire risque d’être morcelé comme le KOSOVO, la France n’est déja plus la France, de nombreux français – comme le s Serbes, seront chassés de leurs régions et de leurs terres ancestrales.

4 – L’immigration est très mal vécue, mal acceptée :  70 pour  cent de la population pense qu’il y a trop d’étrangers en France, et qu’on n’est plus chez soi (pardon ! qu’on ne se sent plus chez soi). Les étrangers ne sont pas bien intégrés (pas tous, bien sûr !). Personne n’ose dire que l’émigration alimente la délinquance, sauf quelques journalistes, comme Zemmour, condamné en correctionnelle, au pays de la liberté, pour avoir dit qu’il suffit …

5 – Les Français aspirent – tenez vous bien encore -, à être gouvernés. Il y a, souligne l’éminent journaliste,  » une très forte demande d’autorité « . Une majorité importante aspire à bénéficier d’un vrai Chef, ce qui, à contrario, élimine M.M. HOLLANDE et AYRAULT, qui n’ont pas le profil voulu.

6 – La religion musulmane est jugée incompatible avec les valeurs républicaines. (Il serait honnête de dire pourquoi le Français la ressentent profondément comme non tolérante : là, on reste sur sa faim : mauvais point pour les sondeurs : copie à refaire).

7 –  Le pays est étouffé par une règlementation insupportable. (Tous ne le perçoivent pas bien, pour être honnête).

8 – Enfin – bonne  nouvelle -, les français  sont massivement critiques à l’égard des journalistes… Ils ne sont pas dupes de leur simagrées ridicules, de leur incompétence, de leur inculture, de leur mauvaise foi. Là, c’est une très bonne surprise : on pensait que la propagande aux ordres – ou esclave – les grugeait : ils sont lucides, ils y voient comme en plein jour !

En somme, les Français sont des gens normaux.

A tel point que madame LE PEN clame haut et fort : LES FRANCAIS PENSENT COMME NOUS ! Bien sûr, madame LE PEN : ils pensent comme vous, non pas parce qu’ils sont membres de votre parti, ni que tous aspirent à le devenir, mais parce que ce sondage révèle la frayeur très réelle devant la situation catastrophique dans laquelle se trouve leur pays, et que les citoyens français ont l’audace, aujourd’hui, devant le désastre qu’ils pressentent, de dire  presque tout ce qu’ils éprouvent. (Il serait injuste de ne pas reconnaître que votre père Jean Marie a dit tout cela depuis plusieurs dizaines d’années, quelques uns l’ont dit aussi, j’ai dit moi-même, sur les ondes, ce que pensent les Français, car leur discours était le même il y a quinze ans et plus (en privé, car il était interdit de parler en public de ces sujets, sous menace de la peine du fouet et du knout); mais votre père l’a fort mal dit, car son agressivité verbale, épouvantable, a gâché tout son discours, il s’est diabolisé tout seul, alors que certains de ses propos et de ses prévisions étaient justes, et que certaines étaient parfaitement recevables.

N’allez pas croire que l’éminent journal, en la personne de M. Gérard COURTOIS, s’incline devant les aspirations du peuple français.

Lisez, et soyez effarés, car il y a matière à l’être :

 » Les ingrédients d’un populisme massif sont donc réunis : le traditionnel  » tous pourris « , l’appel au chef, et la désignation de boucs émissaires ….. Si l’histoire ne se répète pas, …. ils feraient mieux d’y voir le résultat de leur travail d’incendiaires « .

En d’autres termes : misérables Français, on vous manipule, vous êtes victimes d’incendiaires, de démons qui ont réussi à vous tromper !

En d’autres termes encore  :  » Vous avez peur, Français : salauds de lâches ! »;  » vous voulez la sécurité : salauds de sécuritaires !! « ;   » vous pensez que la situation va s’aggraver : salauds de trouillards !!! « ;  » vous trouvez qu’il y a trop d’étrangers en France : salauds de racistes !!!! « ;  » vous voulez être gouvernés par un chef à poigne : salauds de fascistes !!!!  » Salauds, salauds, salauds !!!!!  »

Vous vous oubliez, monsieur le journaliste ! Quoique les Bretons soient une Nation étrangère aux Français, ils pensent comme eux, dans leur grande majorité, sur tous ces points. Moi aussi, bien sûr ! Que voulez -vous, les peuples Européens appartiennent à la même civilisation celto-judéo-gréco-romaine, et ils sont les héritiers spirituels du christianisme, qui a façonné leur morale et leur conscience : moi aussi, qui suis athée convaincu, je partage ces valeurs, et je le revendique hautement.

En publiant ce sondage scandaleux, savez vous que vous vous exposez à être traduit en correctionnelle, pour incitation à la haine ! Comment, vous OSEZ DIRE PUBLIQUEMENT que les français ont peur de la guerre civile, qu’il demandent une politique de sécurité, qu’ils aspirent à avoir un chef … Savez vous que des dizaines de personnes ont été condamnés à de lourdes peines pour cent fois moins que cela ? Monsieur le journaliste, vous OSEZ STIGMATISER une religion et une fraction nommément désignée de la population française !  Ne mêlez pas les Français à cela : vous les compromettez : ils n’ont pas peur, ils n’aspirent ni de près ni de loin à une quelconque sécurité, surtout, ils aiment toutes les religions, y compris celles qui enseignent dans leurs livres sacrés : TUEZ LES TOUS !!!! (Bien sûr, cette mention ne concerne que les juifs et les chrétiens, et les athées, bien entendu : cela n’a donc aucune importance) …

On me rapporte une émission de France Inter, il y quelques mois, d’un sondage similaire réalisé par Le FIGARO. La journaliste, dans l’émission de Claire Fervageon, osa dire en substance ceci (je traduis approximativement ses propos, car je n’ai pas écouté cette émission) :  » Les Français pensent mal; tout cela est du bluff; il n’y a pas d’insécurité; ils n’ont aucune raison d’avoir peur; on les manipule; C’EST UNE QUESTION DE PEDAGOGIE, ON NE LEUR DIT PAS LA VERITE, ils sont mal éduqués « .

Incroyable, non ?

Ah ! Qu’il faisait bon respirer l’air si pur du temps de papa STALINE, et de l’oncle MAO ! Là, on vous enseignait la vérité sur les ondes, du matin au soir ! Et que cela était doux à entendre ! Et puis, ceux qui, insuffisants intellectuels qu’ils étaient, n’arrivaient pas à comprendre, il y avait le bon vieux goulag, si efficace ! Les intellectuels chinois qui persistaient dans leurs dénégations – ceux qui n’avaient pas été trucidés, s’entend, il n’en restait plus beaucoup -, se fiant à leurs yeux, à leurs oreilles, à ce qu’il leur restait de raison, allaient dans la campagne, élever les cochons, et respirer à pleins poumons l’odeur suave du purin. C’était délicieux ! Chassons ces vieux souvenirs : voila que la mélancolie des temps heureux nous serre la gorge, et que des larmes d’attendrissement se mettent à couler sur nos joues ….

(A suivre …..)

LOUIS MELENNEC, docteur en droit, ex-Consultant près le Médiateur de la République fraçaise.

L’IMPÔT SUR LE REVENU et l’ISF sont INCONSTITUTIONNELS, tels qu’ils sont perçus en France, à plus forte raison en Bretagne .

L’INSTAURATION DE LA « FLAT » TAX, dans l’état actuel des choses, est la seule solution constitutionnelle. UNE NOUVELLE ILLUSTRATION DE L’HALLUCINANT DESORDRE FISCAL FRANCAIS, que d’aucuns qualifient d’authentique bordel : l’inégalité insupportable au regard des principes du droit et de l’égalitarisme affiché par le pouvoir en place, organisée par l’Etat français au nom de principes saugrenus, du niveau de la classe maternelle. (Cet article a été actualisé le 24 mai 2016).

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LA CITATION DU JOUR : GERARD LANVIN REGLE SON COMPTE A  FRANCOIS HOLLANDE, dans des termes pour le moins très vifs :

 

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-coup-de-gueule-de-Gerard-Lanvin-16025.html

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La colère monte. C’est vrai que nous vivons dans un pays D’IMBECILES. Nous ne parlons pas de la population, qui est tondue est exploitée depuis toujours, mais de ceux qu’un système stupide porte au pouvoir, sans aucune compétence en rien, et qui se vautrent dans les privilèges de toutes natures, notamment fiscaux.

La fiscalité française est incohérente, inintelligible, confiscatoire :  un désordre ABSOLU, une construction fondamentalement injuste, pour tout résumer : UN BORDEL.

Claude REICHMANN, candidat malheureux aux élections de 2002 – il n’avait pas obtenu, à l’époque, les 500 parrainages imposés par une loi stupide, dont Lionel JOSPIN, un homme prisonnier d’une idéologie archi-dépassée, héritée du marxisme, qui a tué plus de 100 millions d’innocents, vient de reconnaître, dix ans plus tard, la sottise  -, avait constitué un shadow cabinet. Dans le même temps que j’acceptais de présider son comité de soutien, le portefeuille de la justice me fut attribué. In partibus, bien entendu : Il n’y avait guère de chance que cela fût suivi d’effet, les médias s’étant détournés de Claude Reichman, au seul motif qu’il avait publié le seul programme pertinent, et qu’il ne fait résolument pas partie du système putride qui gouverne la France. Ce pourquoi j’ai accepté ces fonctions théoriques, en ma qualité d’observateur du fonctionnement des sociétés, non de quelqu’un dévoré par l’ambition stupide de détenir un maroquin effectif : je déteste la politique, le monde qu’on y côtoie, et le ridicule des pantomimes absurdes auxquelles se livrent en public les pantins de ces gouvernements incompétents en tout, ces boursouflés qui se prennent pour quelque chose, alors que tous, à deux ou trois exceptions, ne sont rien, si ce n’est des pieds nickelés, ou encore, plus récemment, des brêles, comme ledit Strauss-Kahn). Ce que la population unanime a parfaitement compris, après l’accession de l’Honorable Capitaine de l’équipe de pédalos, selon l’expression devenue célèbre, qui peuple inutilement le palais de l’Elysée depuis le mois de mai 2012.

Claude Reichman aurait pu – aurait du – devenir président de Contribuables associés, qui compte aujourd’hui plus de 300 000 adhérents. Connaissant l’homme, je sais le poids qu’il aurait donné à cette association, par ailleurs très combattive, si ce n’est remarquable. J’ai vivement regretté qu’on ait désigné un candidat plus « politique ». Les travaux de cette association m’intéressaient au plus haut point; à la demande de Reichman, j’aurais certainement, à l’époque, accepté d’en faire partie.

La fiscalité avait particulièrement retenu notre attention à l’époque, comme au cours des années qui précédèrent. Claude Reichman m’a souvent invité dans ses émissions radiophoniques, de 1997 à 2006.

Notre ministre de l’Economie était Yves Marie LAULAN (voir ce nom par Google), un homme affable, compétent, courageux (comme Claude REICHMAN, un modèle dans son genre, pesant plus de cent fois le poids politique du ” couple ” actuel, ce qui le prédestinait, naturellement à n’ être pas élu, et à ne jamais occuper aucune fonction importante dans l’Etat Français).

Yves-Marie LAULAN a commis plusieurs crimes, dont deux intéressent tous les Français : oser parler de la démographie, de l’immigration et son coût. 75 pour cent de la population française pense qu’il y a trop d’étrangers en France. Pour avoir dit cela, preuves chiffrées à l’appui, Laulan a été taxé de racisme – l’injure passe-partout, celle des insuffisants mentaux, des débiles de l’intelligence -, et a tâté de la correctionnelle. Il a été blanchi par la Cour de cassation, qui estime (encore) que ces questions sont des problèmes de société, et que chacun a (encore) le droit de s’exprimer librement sur l’avenir de son pays, à plus forte raison lorsqu’on a occupé les fonctions éminentes d’un Yves Marie LAULAN, et qu’on a, plus que nul autre, qualité et compétence pour parler.

L’impôt sur le revenu alimente querelles, conflits, combats, et surtout rancoeurs, motivant des exils des industriels, des délocalisations, des accusations essentiellement fondées sur la jalousie sociale. Des pertes considérables, in fine, pour le pays, sans aucun avantage pour personne. Pire : cet impôt absurde conduit les artisans, commerçants, industriels et autres, à amputer volontairement leurs revenus, pour échapper à une fiscalité qui les dépouille, ce qui aboutit à un fort affaiblissement de la force productive de richesses et d’emplois. Il pousse les créateurs d’entreprises, à quitter le territoire français, et à appauvrir leur pays : ce n’est pas eux qu’on doit pendre, mais aux imbéciles qui ont créé ce système, qui l’ont maintenu, et qui s’en vantent : ceux là sont à l’abri de la pauvreté, car ce sont eux qui se votent à mieux mêmes des avantages et des salaires scandaleux, eux qui devraient payer à la nation de lourdes amendes au pays, en rapport avec leur nocivité sociale.

Pire : beaucoup sont des fraudeurs fiscaux, et sont maintenant « en délicatesse » avec l’administration fiscale. Aucun, bien entendu, n’ira en prison, et ne sera exclu d’être rééelu.

(Voyez sur la toile les revenus de Martine Aubry, qui a ruiné le pays, de François Hollande, des députés, des sénateurs hargneux contre les « possédants », alors que, munis de plus que confortables revenus, ils échappent à l’impôt pour certains d’entre eux !) …

L’impôt sur le revenu doit être supprimé dans sa forme actuelle. Il est peu rentable, ingérable, d’une complexité inouïe, extrêmement coûteux pour la collectivité. Il n’est en aucun cas un instrument de justice sociale, mais au contraire, une surenchère permanente qui entretient la jalousie sociale, qui empoisonne toute la société française.

Si l’on conserve un impôt sur le revenu, seule la ” FLAT TAX “ – c’est-à-dire un impôt à taux unique – répond à nos exigences constitutionnelles et morales. Les citoyens sont constitutionnellement égaux devant les charges publiques. Frapper les uns plus que les autres, par ce moyen au service de la jalousie et de l’envie, sous le prétexte fallacieux de justice sociale, est une discrimination manifeste, d’autant plus choquante que ce sont les plus fortunés qui sont créateurs de richesses et d’emplois, ce qui est aujourd’hui admis par tous. Ce n’est pas sa seule tare, loin s’en faut.

L’impôt à taux unique met les citoyens en situation d’EGALITE STRICTE DEVANT L’IMPÔT. Plus de dix pays européens  ont, depuis une époque récente, adopté ce système (la Russie, la Roumanie, la Bulgarie, la Hongrie, la république Tchèque, la Slovaquie …), six Etats des Etats Unis l’ont adopté, un Etat du Canada (l’Alberta), d’autres pays encore. Le mouvement va prendre de l’ampleur.

Qu’est-ce à dire ?

1 – Tous les citoyens doivent payer l’impôt (à l’exception des plus pauvres, non pour des raisons idéologiques, mais réalistes : le recouvrement ne rapporterait rien à l’Etat, et coûterait beaucoup plus cher, en toute hypothèse, qu’il ne rapporterait, en frais de calcul, de gestion, de recouvrement, de contentieux …).

 2 – Tous les citoyens doivent contribuer de la même manière, selon le même taux. Il ne peut être question de frapper certains citoyens d’un taux de 10 pour 100, d’autres de 20 pour 100, d’autres de 50 pour cent … L’IMPÔT DIT “PROGRESSIF” –  je suis péremptoire sur ce point, connaissant parfaitement bien le droit constitutionnel depuis au moins 50 ans  -, outre qu’il devient rapidement confiscatoire, EST INCONSTITUTIONNEL, car il place les citoyens en situation d’ INEGALITE CHOQUANTE, et LES DISCRIMINE, ce qui est interdit par les principes généraux du droit, et surtout par le DROIT EUROPEEN, qui s’impose à la France – et, pour le moment, à la Bretagne, tant qu’elle n’aura pas reconquis son indépendance.

Il est STUPIDE, pour des raisons de pur électoralisme et de DEMAGOGIE, de frapper certains citoyens de taux d’imposition monstrueux, fondamentalement injustes, qui les fait fuir de France. Leur seul mérite de ces impôts – Hélas ! – tourner en ridicule ceux qui, sans compétence aucune, gouvernent le pays. (Davantage était possible, il est vrai : l’insensée Ségolène ROYAL, la ” candidate Nunuche “, selon les observateurs, a failli devenir Président de la République en 2007 !).

Toute l’Europe se moque et fait des gorges chaudes de l’amateurisme effarant de l’équipe au pouvoir en France, pour qui la philosophie de la fiscalité – celle de M.M. HOLLANDE et AYRAULT notamment – , se résumait, à peu de choses près, jusqu’à ce qu’ils découvrent la complexité des affaires de gouvernement, en une formule : ” FAIRE PAYER LES RICHES ” (!!!!!!)

Peu de citoyens connaissent, aveuglés par l’idéologie, le principe fondamental, ancien, selon lequel ” trop d’impôt tue l’impôt “, et les travaux des économistes comme LAFFER, appliqués par les pays qui obtiennent les meilleurs rendements fiscaux, avec des taux de prélèvement très modérés. Je reviendrai sur ce point dès que l’occasion se présentera. Frapper les plus riches d’un impôt monstrueux n’est pas un acte de gouvernement, mais un acte primaire, voire primitif, relevant de la classe maternelle : outre l’ignorance crasse des principes élémentaires du fonctionnement de l’économie et de la création des richesses, il s’agit de SE VENGER D’EUX, parce qu’ils sont fortunés. En termes de rentabilité fiscale, un impôt au taux de 75 pour 100 ne rapporte  presque RIEN à l’ETAT; il lui fait perdre de l’argent, parce que ceux susceptibles d’être concernés, minimisent volontairement leurs gains, lorsqu’ils peuvent le faire. On a dit, à juste titre, que l’ISF est l’impôt de la haine et de la jalousie. Cela est aussi vrai pour cette tranche aberrante. Ceux qui sont frappés par cette aberration, sont fondés à se pourvoir devant le Conseil Constitutionnel, qui, plutôt tôt que tard, se rangera aux seuls arguments juridiques qui peuvent être retenus en la matière.

Le problème de gouvernance fiscale, dans un pays bien administré, ne consiste pas à dépouiller les plus riches, mais à mieux équilibrer le partage des richesses produites par l’économie  : faire en sorte que les plus démunis puissent vivre dans la dignité, et pourvoir à leurs besoins comme à ceux de leurs familles dans des conditions honorables, qui ne fassent pas d’eux des parias ou des assistés, et que les mieux pourvus gardent intactes leur capacité de produire des richesses et de créer. Les sophismes bâtis sur la jalousie sont contre-productifs. Taxer outrageusement ceux qui jouent le rôle primordial dans la création des richesses, sous prétexte de les répartir équitablement, dissimule trois choses : l’incompétence dans le domaine des règles élémentaires de la fiscalité; l’envie morbide à l’encontre de ceux qui réussissent et qui créent; le désir de vengeance contre ceux qui, dans le cadre des lois de la République, se sont hissés au dessus de la moyenne des gens, en payant d’ailleurs souvent des impôts très lourds par ailleurs. Ce qui n’enlève rien au fait que les disparités entre les plus démunis et certains industriels, joueurs de football ou autres, sont extrêmement choquantes, et qu’il faut y trouver remède.

3 – La concurrence fiscale entre les Etats est aussi nécessaire que les pratiques concurrentielles  pour le commerce, l’industrie, les autres activités humaines. C’est un principe excellent lorsqu’il ne sert pas de support à la fraude, au blanchiment d’argent, à toutes les autres activités de même nature.

L’uniformisation des politiques fiscales aboutirait à la soviétisation de la fiscalité. On sait ce que la soviétisation des pays de l’Est, de la Chine, de la Corée du Nord a produit : la ruine économique, une catastrophe écologique, outre le désastre humain. Pour peu que ce système, que d’aucuns appellent de leurs voeux, soit géré par une équipe aussi brillante que celle qui gouverne la France, le pire du pire serait assuré, à brève échéance. La disparité des fiscalités des Etats contraint ceux d’entre eux qui se conduisent mal, en mangeant la laine sur le dos de leurs esclaves – la France occupe à cet égard l’une des première places dans le monde -, à se surveiller, et à rester dans des pratiques acceptables pour la collectivité : elle protège les citoyens de l’oppression fiscale.

M. DEPARDIEU a estimé qu’il était victime d’un vol. C’est bien pire que cela. Des millions de citoyens, infiniment moins riches que lui – toutes les classes moyennes, dans les faits – ressentent la même chose. Tous savent que cette énorme ponction nationale est gérée comme le reste, et gaspillée tous azimuts. Il n’est que les courtisans et les clients du pouvoir qui vomissent sur M. DEPARDIEU. On les a vu défiler sur les chaines de télévision. Nous avons des chances de le voir revenir, et bien d’autres avec lui, lorsque le Droit et la raison seront rétablis : pour dire le contraire de ce qu’ils ont dit. Certains de ces nuls ont déjà commencé.

Que ceci nous serve de leçon, lorsque la Bretagne réapparaîtra sur la scène internationale. Au plan international, elle aura sa carte fiscale à jouer, non en créant un système opaque comme la Suisse et les autres paradis fiscaux, mais en gérant sainement, avec économie et compétence. Nous sommes cousins des Ecossais : économes, bon gestionnaires; de plus, nos valeurs traditionnelles n’ont pas disparu : nos traditions nous ont toujours fait mieux gérer les intérêts des autres. Il reste encore beaucoup de cette morale en Bretagne.

LOUIS MELENNEC, docteur en droit, diplômé d’études supérieures de droit public, de droit privé, de sciences criminelles, ex-Consultant près le Médiateur de la République française.

(Article à venir : L’IMPÔT SUR LA FORTUNE (ISF) EST INCONSTITUTIONNEL).

LES FRANCAIS NE PEUVENT PLUS IGNORER LES ATROCITES COMMISES PAR LEUR PAYS EN BRETAGNE .

 

LETTRE AUX JOURNALISTES DU MONDE.

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Le docteur LOUIS MELENNEC

à

Monsieur Christophe AYAD,

et aux journalistes du Monde

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Monsieur AYAD,

Je vous remercie pour votre lettre, par laquelle vous me demandez de vous « désabonner » des articles que je publie dans mes blogs et ailleurs, articles que je vous ai régulièrement adressés jusqu’à ce jour.

J’ai consulté votre biographie dans WIKIPEDIA. J’invite mes lecteurs à en faire autant.

Je vous remercie d’avoir bien voulu souligner que vous respectez les convictions et le combat des Bretons. Cela démontre que, vous et un certain nombre de vos collègues du journal Le Monde, sont maintenantau courant de ce qui s’est passé en Bretagne, et ce qui continue à s’y dérouler, en violation flagrante du Droit international, concernant les prérogatives intangibles des nations dites « minoritaires », qui sont violés quotidiennement par la France, violations qui sont connues et dénoncées par les organismes internationaux et par l’O.N.U.

Vos articles ne relevant pas des thèmes que je publie, je n’ai, en effet, aucune raison de continuer à vous adresser mes chroniques, qui portent, principalement, sur l’histoire du peuple Breton, et sur l’actualité politique.

Mais vos collègues du journal Le Monde, – comme les journalistes des autres grands quotidiens français : le Figaro, L’Express, Le Parisien, Le Nouvel Observateur .. -, continueront à les recevoir, individuellement, par mail : ce travail, que j’ai initié il y a plusieurs années, et mené personnellement, en raison du silence assourdissant des médias français, porte ses fruits; j’en ai  des preuves surabondantes.

Une partie au moins de la France – le gouvernement de ce pays, à plus forte raison -, est maintenant au courant de nos problèmes, qui ne datent pas d’aujourd’hui, mais durent depuis CINQ SIECLES, précisément depuis les invasions de la Bretagne par les armées françaises en 1487, et l’anéantissement de nos armées nationales au champ d’honneur de Saint-Aubin-du-Cormier (voir ce nom dans Internet), le 28 juillet 1488 : la France est en Bretagne par l’effet de la violence et de la barbarie, non pour un autre raison.

Les Bretons ne sont pas français, et ne le seront jamais.

Les deux quotidiens qui paraissent en Bretagne, sont subventionnés par Paris – comme l’Humanité -, ce qui les réduit au silence – d’aucuns disent : à la collaboration -, tout en gaspillant les contributions des citoyens, ce qui, sûrement, leur vaudra un jour d’avoir à en rendre compte.

Je vous demande d’avoir la PATIENCE de lire encore QUATRE ARTICLES de ma main – que je choisirai -, et de les compulser avec la plus grande attention : vous êtes honnête homme, journaliste de surcroît : il est légitime que vous soyez informé, puisque c’est votre métier et votre raison d’être.

Ce que vous avez lu sur les atrocités commises en Bretagne, vous ont sûrement convaincu pourquoi nous Bretons, tenons à faire connaître la vérité aux Français et au monde. Ce travail est aujourd’hui très avancé : aucun recul n’est désormais envisageable.

L’histoire officielle est une série de falsifications, écrites dans l’intérêt de ceux qui détiennent le pouvoir – pour cette raison, non par leur mérite, je ne vous apprends rien sur ce point -, et qui, en conséquence, manipulent les médias.

Pour Notre Nation Bretonne, encore effrayée et écrasée par les turpitudes de la France depuis CINQ SIECLES – les invasions, une colonisation implacable, les massacres, le génocide de 1793 et 1794, la destruction voulue et programmée de notre langue, le pillage de nos ressources humaines et économiques, pire : l’écrasement de nos cerveaux -, l’ère de la vérité commence à peine.

Ces forfaits ont été dissimulés jusqu’à aujourd’hui. Aussi effarant que cela soit, notre histoire nationale n’est toujours pas enseignée dans nos écoles : la France, parce qu’elle détient la force, lui a substitué la sienne, qui-ne-nous-concerne-pas.

Ce travail patient d’information sera doublement bénéfique : pour nous, car nous compterons, en votre personne, UN journaliste éminent de plus qui aura eu accès à la vérité; pour vous peut-être, car la curiosité intellectuelle est l’un des fondements importants de votre métier, souvent abusé par les mensonges du pouvoir, qui sont permanents ; peut-être tenterez vous d’en savoir davantage.

Nul doute que le journal LE MONDE, et tous les autres vont s’intéresser dans peu de temps à notre histoire, et que ces médias contribueront à nous libérer entièrement d’une servitude aussi scandaleuse qu’incompétente. Dans ce domaine, nos « politiques » bretons, actuellement clients chroniques et vassaux du pouvoir français, sont plus que défaillants, n’occupant leurs fonctions que par l’onction préalable qu’ils doivent recevoir de ceux qui la donnent, pour avoir une chance d’être élus.

Les symptômes du renouveau se multiplient en Bretagne : nous allons maintenant, très franchement, dans la même direction que la CATALOGNE, l’ECOSSE, et tous les pays qui se sont libérés de l’étreinte insupportable de leurs colonisateurs.

La France, comme la Bretagne, meurent de l’incompétence des tristes personnages que des élections manipulées, résolument non démocratiques, maintiennent au pouvoir, et qui s’auto-reproduisent en se recrutant par clientélisme. Le spectacle qu’ils donnent au pays est lamentable, pour tout dire, il est à leur image : MINABLE. Par bonheur, les médias français osent maintenant parler ouvertement de la nullité des membres du gouvernement, même si l’on doit faire exception pour quelques personnes estimables. Il devient évident, devant ce désastre que nous vivons au quotidien, que les combines ne peuvent plus servir de fondement au recrutement du personnel politique, pas plus que des clients qu’ils mettent dans les fonctions principales de l’Etat dès qu’il détiennent les commandes.

Recevez l’assurance de mes cordiaux sentiments.

Dr Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-Consultant près le Médiateur de la République française.

A PARIS, ce 3 JANVIER 2013.

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QUELQUES CORRESPONDANCES.

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– DE M.P. BRETAGNE.

 Vous pouvez être fier et heureux pour la Bretagne. Vos chroniques sont presque devenues les plus lues, et les plus commentées en cette année 2012. C’est beau. Cela prouve vos qualités d’homme et l’efficacité de votre action.

Bloavez mat, va mignon. Kenavo laouen.

 Réponse. Je ne fais que mon devoir. Mon souhait est que les Bretons libèrent enfin leur langue : je le fais, il n’y a aucune raison que nos compatriotes, terrorisés depuis des siècles, mis à genoux par les massacres de 1675, puis de 1793 et 1794, surtout par l’écrasement des cerveaux de la révolution dite – par dérision –  » des droits de l’homme », à nos jours, n’en fassent pas autant.

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–  De PLM (Morbihan, Bretagne).

 Votre article sur la colonisation de la Bretagne, cher Louis Mélennec, est remarquable de clarté et de concision : c’est toute l’histoire de la dernière colonie française que vous résumez en quelques pages.

Depuis que j’ai compris les falsifications de notre histoire , l’ethnocide et le génocide qui ont conduit les bretons à tomber si bas,  je n’ai jamais lu de texte aussi clair. Jeune, derrière mon Père et mon frère ainé, je me suis engagé dans la lutte contre les occupants nazis. A vingt ans, à une époque ou l’ONU n’existait pas, j’ai compris que les troupes françaises avaient fait la même chose que les nazis en Bretagne.

Kenavo. Au nom de tous, MERCI.

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– De N le G et  J J L G (Quimper).

Docteur MELENNEC !

Vous remettez les pendules à l’heure. Dans tous les domaines : l’histoire, l’économie, l’avenir de notre Pays : la Bretagne …

L’urgence : que les Bretons prennent conscience de la réalité, et qu’ils se libèrent définitivement du joug de la France.

Oui, la Bretagne remplit toutes les conditions pour réapparaître sur la scène internationale. Elle y fera bonne figure : nos compatriotes sont appréciés, partout.

Grand Merci à vous, docteur Mélennec : vous nous redonnez notre Fierté. Les progrès dans l’évolution de la prise de conscience des Bretons est maintenant considérable, et irréversible.

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Réponse du docteur Mélennec à M. D., Breton de Paris :

 

Je suis un pestiféré des médias publics français. Les rares émissions télévisées qui m’ont été consacrées n’ont jamais été diffusées : c’est ainsi que l’on procède, au pays des droits de l’homme.

A mon âge, je peux – me semble-t-il – m’autoriser à raconter quelques anecdotes personnelles.

La dernière émission qui me fut consacrée, programmée – je crois, par Canal Plus ou par France 5 -, fut acceptée par moi sous une condition, IMPERATIVE : que quelques minutes soient consacrées au procès intenté contre Martine AUBRY, GUIGOU … devant la Cour de Justice de la République (voir le bref mémoire de saisine de la Cour, rédigé par mes soins, dans la rubrique  » Affaire Mélennec , Aubry,  Gayssot, Guigou .. », dans l’affaire des emplois au noir de l’Etat Français (plusieurs dizaines de milliers de personnes, dont un certain nombre par le Ministère de la Justice, notamment du temps de la bonne Marilyse LEBRANCHU, héroïne bretonne bien connue; on retrouvera sans peine trace des exactions du ministère en cause dans ses activités d’employeur au noir, comme de celles des autres ministères, dans la presse et dans le Journal Officiel de la république des droits de l’homme, l’Express du 22 8 2002, etc) … Cette demande fut jugée raisonnable, car peu de gens adhèrent au discours de propagande diffusé par les médias français, presque tous victimes de l’autocensure de ceux qui détiennent les commandes, et les grosses rémunérations qui vont avec.

Le tournage de l’émission, à mon domicile parisien, fut fort long. Les techniciens, surpris par la franchise de mon discours, applaudirent : cela les changeait de l’hypocrisie quotidienne. L’émission fut programmée pour le mois suivant, puis encore pour le mois suivant …. Elle ne fut jamais diffusée. Le concepteur de l’émission n’y était pour rien. Il n’avait émis aucune réserve sur mes propos, bien au contraire, il était enchanté, parce que, comme d’habitude, je n’avais dit que la vérité. On m’expliqua que des difficultés techniques, etc, etc. Ce qui ne me surprit en rien, car je connais fort bien cette République, et n’avais pas cru, un seul instant, qu’elle était capable d’accepter une vérité aussi accablante ..

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DE  M. T. (PARIS). Que pensez vous de l’affaire DEPARDIEU, et de la fiscalité française, en général ?”.

REPONSE. J’ai dit à peu près tout ce que j’avais à dire sur l’histoire de la Bretagne. S’il y avait eu d’autres candidats pour cette oeuvre de justice et de morale, je me serais dispensé d’y investir toute cette énergie : mais il fallait que quelqu’un le fasse. L’avenir de la Bretagne ne peut se reconstruire que sur des fondations solides, ces fondations ne peuvent être que l’Histoire plus que bi-millénaire des Bretons.

S’agissant de la fiscalité, c’est un roman qu’il faudrait écrire pour vous répondre. Je vais consacrer un bref article, en réponse à votre chronique, à l’impôt sur le revenu en France et en Bretagne.

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REFERENDUM POUR LA FRANCE ET LA BRETAGNE.

Nous avions, en 2002, à l’occasion des élections présidentielles,  élaboré un REFERENDUM POUR LA FRANCE, qui a disparu de la toile, et qui, sous la forme et le prétexte d’un questionnaire très détaillé, proposait aux citoyens, en y répondant, de choisir la gouvernance qu’ils souhaitent pour eux mêmes. En filigrane caché : les questions qui concerneront aussi la Bretagne, lorsqu’elle sera en mesure de décider de son sort. Ce questionnaire-programme politique porte deux signatures : celles de Claude REICHMAN et la mienne.

Claude REICHMAN me dit , ce 25 janvier 2013, l’actualité du processus référendaire étant criante, les citoyens vivant dans l’angoisse de ce qui va advenir à leur pays, gouverné dans une incompétence effarante, que le questionnaire-référendum que nous avions élaboré en 2002 doit être republié.

Nous avions eu raison trop tôt, et nous avons parlé dans un quasi-désert, les médias et le politique étant tenu à l’époque par des couards et des peureux.

Il va donc refleurir dans peu de temps, dans ce blog et dans le site de Claude REICHMAN. On peut visionner la chaîne de télévision qu’il tient sans aucune subvention de personne.

Quelle méthode avons nous retenue pour rédiger ce texte ?

Ce REFERENDUM POUR LA FRANCE (et pour LA BRETAGNE) comporte SIX CHAPITRES :

1 – LA CLASSE POLITIQUE (10 questions).

2 – L’ADMINISTRATION (12 questions).

3 – LA LEGISLATION (7 questions).

4 – L’ECOLE (12 questions).

5 – LA SECURITE (46 questions).

6 – L’IMMIGRATION (26 questions).

A travers un questionnaire très serré, très étudié dans ses moindres détails, envisageant tous les aspects de la vie nationale (française ou bretonne), il est demandé aux citoyens, d’une manière systématique et très  » fouillée « , DE DEFINIR D’UNE MANIERE DEMOCRATIQUE LA REPUBLIQUE QU’ILS SOUHAITENT.

A l’époque, n’ayant pu obtenir le moindre concours de la République des Droits de l’Homme, nous avion diffusé ce référendum en plusieurs milliers d’exemplaires. Les réponses ont été très concordantes : plus de 90 pour 100 des personnes interrogées ont répondu dans le même sens : LES CITOYENS SAVENT TRES BIEN CE QU’ILS VEULENT, et ce qu’ils veulent n’est ABSOLUMENT PAS CONFORME aux insanités que les médias déversent sur eux chaque jour, chaque soir, chaque nuit.

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Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-consultant près le Médiateur de la République Française.

 

 

 

 

LETTRE DU PERE NOËL ET DE NOUVEL AN à MM. et Mmes du CONSEIL MUNICIPAL de NANTES, de BRETAGNE REUNIE, du magazine  » BRETONS « .

I – CONSIDERATIONS SUR LES NULS QUI VOUS GOUVERNENT.

 

Lu dans la presse, sous la plume de Marcel TEXIER, ex-pésident de l’OBE (Bretons du Monde) :

 

 » Une bonne cure de Mélennec peut produire des merveilles « .

 

C’est vrai, mon cher Marcel. Mon caractère porté au sérieux et au travail, se double d’une aptitude prodigieuse à rire des situations cocasses et idiotes. De ce point de vue, la France est une source inépuisable. (Je m’abstiens de trop parler de la Bretagne sur ce point : l’heure n’est pas encore venue, je me réserve pour plus tard : je ne crois pas qu’on puisse me taxer de partialité).

 

Il n’est pas bien, dit-on, de s’auto-citer. Alors, faisons le dans la joie. Je tombe, au hasard d’internet,  sur ces quelques phrases, que je ne me souvenais pas d’avoir écrites : il s’agit de notre chère France, dont la boursouflure, nous qui avons tant souffert par ses fautes, sa cruauté, son inextinguible appétit pour sucer nos richesses, jusqu’à faire de nous, puissance riche et respectée avant les invasions de la fin du 15ème siècle, un pays improductif, amorphe et ruiné, arrive malgré tout à nous faire rire :

 

  » Ainsi les Bretons, par l’action civilisatrice de LA France, furent arrachés à leur néant, et, après tant de milliers d’années d’obscurantisme et de perversité, ils furent, par la grâce de leur bienfaitrice, admis à contempler le Soleil, dont ils n’avaient pas même soupçonné l’existence. Ils en pleurèrent de joie et de reconnaissance. Ces populations arriérées, dont on avait désespéré, plus proches de l’animal que de l’homme, abandonnant le patois des hommes de Cro-magnon, commencèrent même, quoiqu’avec beaucoup de difficultés, à articuler la langue Universelle, le plus beau chef-d’oeuvre de l’humanité, depuis sa création : celle de la Nation française. La colonisation de ces êtres frustes, à mi-chemin entre l’homme et la bête, était donc en bonne voie  » ….. Etc.

Louis MELENNEC, 1er janvier 2010.

Et encore :

 » Si le Sultan Abdul-Hamid II de Turquie, en raison des massacres dont il se rendit responsable, mérita son surnom de ” GRAND SAIGNEUR “, la France révolutionnaire mérite bien le surnom de ” GRANDE SAIGNEUSE “, par les massacres atroces perpétrés en Vendée et en Bretagne à partir de 1793  » (Voir le chapitre EFFRAYANT consacré à ces épisodes dans le LIVRE BLEU, publié dans le site FOUERE ACTUALITES).

 

 

EXTRAITS DU MANIFESTE ROOSEVELT 2012.

 

 » Nos dirigeants sont totalement dépassés. Ils sont incapables de proposer des diagnostics justes des situations. Ils sont incapables d’apporter des solutions concrètes … TOUT SE PASSE COMME SI UNE OLIGARCHIE INTERESSEE SEULEMENT PAR SON AVENIR A COURT TERME A PRIS LES COMMANDES ».

 

 

SUR LA NULLITE CRASSE DES GENS QUI SONT AUX COMMANDES :

 

Je recommande à nos lecteurs, avec une extrême insistance, la lecture des deux ouvrages ci-après. Au moins le premier, qu’on trouvera aisément dans toute librairie, ou chez les vendeurs spécialisés comme Amazon, E-bay, la FNAC, etc …. Cela leur rendra service pour leur vie entière. On comprendra que je n’ai jamais exagéré en décrivant ce dont j’ai été le témoin direct à Paris pendant quarante deux ans d’exercice professionnel, au plus proche du coeur de l’Etat Français. Non seulement je n’ai décrit que la réalité, mais de surcroît, des auteurs éminents ont théorisé le phénomène de l’attribution des postes les plus importants aux moins compétents pour les occuper, et ce depuis longtemps. Nous ne sommes pas mieux lotis en Bretagne, qu’on se le dise – je suis très heureux qu’on commence à la savoir et à le dire ouvertement : les Bretons savent maintenant – à quelques exceptions près – ce que représentent ceux que l’on dénomme pompeusement leurs  » élus  » : des clients du pouvoir parisien, de droite ou de gauche. Et ce que sont réellement – à quelques exceptions près, aussi -, les  » ministres  » (sic), membres du gouvernement français. Ceci explique le paragraphe de la lettre que j’ai adressée à Jacques PELLETIER, en 1998, alors Médiateur en exercice : les postes importants de l’Etat – tous les postes, en réalité, ne peuvent et ne doivent être attribués qu’à ceux qui les méritent, après des tests publics devant des Commissions nommées pour évaluer leurs connaissances, leur expérience et leur moralité, comme cela se pratique souvent aux Etats Unis (Cf. Dr Mélennec, lettre à Jacques PELLETIER, médiateur de la République française).

 

Le principe de Peter : indispensable (Le livre de poche, 7 euros).

Emile FAGUET, Le culte de l’incompétence : indispensable.

L’un des présentateurs de l’ouvrage Le principe de Peter, écrit :  » Le Principe de Peter vous fera découvrir que la réussite n’est pas forcément liée à la compétence, et que votre patron et votre chef de service sont moins compétents que vous ne le croyez. Vous serez étonnés de constater que, malgré cette incompétence, ils ont pu s’élever aussi haut dans l’échelle sociale. »

Cette présentation est indulgente. En réalité, les plus hauts postes sont pourvus, dans la grande majorité des cas, selon ce principe. Lorsqu’il s’agit des Présidents de la République, des premiers ministres, des ministres, de personnages aussi importants dans l’Etat que le Médiateur de la République, les Chefs des Cours de justice, les présidents des grandes sociétés contrôlées ou sous influence de l’Etat, c’est GRAVISSIME. C’est en application de ce principe connu de tous les gens moyennement cultivés, que sont parvenus aux commandes de véritables nullités. Clémenceau, lorsqu’il s’agissait de désigner un président de la République, disait :  »  je vote toujours pour le plus bête « . Il l’a fait, en effet. (Sauf à être candidat lui-même, et à n’être pas élu, tant sa tête dépassait celle des autres). Ceci explique que vous avez eu sous les yeux, depuis la sortie de pouvoir de Valéry GISCARD d’ESTAING, à plusieurs reprises, des personnages placés à la tête de l’Etat – ou de votre Région, par exemple la Bretagne, d’authentiques ignares ou insuffisants intellectuels. Ce n’est que depuis quelques mois que certains journalistes se  » lâchent « , et osent utiliser les termes adéquats : ne citons pas de noms – pour le moment -; tout le monde connait les personnages dont il s’agit.

On commence – enfin ! -, à comprendre que la démocratie ne se définit absolument pas par de seules élections périodiques. Celles-ci, nous l’avons dit et redit, sont confisquées pour le profit de deux ou trois clans, qui se distribuent postes et fonctions, alternativement, simultanément, ou cumulativement -, aux dépens des électeurs, qui sont totalement exclus des décisions politiques, petites ou grandes. La gouvernance démocratique doit être entièrement repensée, l’un des principes incontournables étant que les incompétents et les délinquants doivent être neutralisés et exclus des fonctions exercées au nom de la communauté des citoyens, un autre principe étant l’instauration d’un authentique processus référendaire, de manière à rendre à la population le pouvoir décisionnel, pour tous les grands problèmes qui la concernent.

(A relire absolument : L’Express, Les politiques condamnés et réélus. Notre future constitution bretonne devra péremptoirement exclure de tout accès à des fonctions publiques de gouvernement, les délinquants politiques qui ont été condamnés pour des malfaisances graves; les « petits » délinquants se verront accorder une deuxième chance).

SUR LE CONSTAT PUBLIC DE L’IMCOMPETENCE DES GENS AU POUVOIR EN FRANCE.

Le Monde, mardi 8 janvier 2013, pages 1 et 10 : François Hollande et le boulet des 75 pour cent. Enfin, ce quotidien, qui a contribué à porter au pouvoir M.M. Hollande et Ayrault, utlisent les mots adéquats pour qualifier leur politique, en particulier fiscale : vrai gâchis, confusion singulière, pour ne pas dire AHURISSANTE, mesures contre-productives, non rentables, empêtrement, opacité, iniquité, bricolages, cafouillages, incompatibilité avec la compétitivité des entreprises, étranglement de l’économie par un système aberrant, qui place la France (la Bretagne aussi, hélas, hélas, hélas), au deuxième rang des prélèvement fiscaux dans le monde, harcèlement fiscal des citoyens libres qui utilisent leur liberté pour chercher abri dans des pays qui accueillent leurs fortunes et leur capacité de produire richesse et emplois … Rien ne manque à ce constat accablant….. Aucun de ces augures intelligents ne demandera pardon à genoux d’avoir, au moment du scrutin, précipité les Français dans l’erreur, par un parti pris et une malhonnêteté scandaleuses.

L’horreur absolue : des Bretons font partie de ce gouvernement. On les a cependant prévenus, avant qu’il ne soit trop tard, qu’ils n’aillent pas, une fois de plus, se déshonorer en déshonorant leurs compatriotes. (Voir notre article : Des Bretons sont encore allés à la soupe; ils seront les derniers d’une espèce en voie de disparition). On les avait aussi prévenus des réformes en forme de réformettes au sujet de la langue bretonne, et de bien d’autres choses. 

Mais comment résister à une soupe que l’on croit bonne ?

 

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LETTRE DU PERE NOËL ET DE JOYEUSE ANNEE.

 

Le Docteur Louis MELENNEC

 à

M. CORLAY, Président de Bretagne Réunie

Mesdames et messieurs du Conseil municipal de Nantes

Mesdames et messieurs du magazine BRETONS.

 

 

 

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Monsieur le Président,

 

Je vous remercie pour les articles que vous avez bien voulu me transmettre, tous extraits de la revue « BRETONS », qui dénoncent enfin, à leur tour, les méfaits du totalitarisme français – dénommé joliment  » jacobinisme », pour les circonstances de la cause, probablement par dérision.

 

Si l’auteur, dont les propos sont recueillis par madame Maiwen Raynaudon-Kerzhero (quel joli nom !), n’était pas le très respectable Yvon OLLIVIER, magistrat,  le ton de CETTE LITTERATURE prêterait à rire : on penserait qu’elle est molle, mollassonne, invertébrée ..

En réalité, l’auteur intervient dans un contexte quasi-héroïque.

Ladite revue sort d’une léthargie longue, longue, longue …

On en était stupéfait, on ne pouvait y croire.

 

Enfin, ces messieurs commencent à comprendre : ILS EN ONT MIS DU TEMPS !!!

Heureusement, d’autres leur ont frayé le chemin : leurs petits pieds délicats peuvent bien maintenant fouler l’herbe bretonne, si douce, sans blesser leur peau si jolie et si fine.

ILS  ARRIVENT LOIN DERRIERE LES AUTRES, APRES CINQ SIECLES DE RESISTANCE BRETONNE, dont ils n’ont pas même soupçonné l’existence.

 

Pour la peine, je leur adresse le BRO GOZH, diffusée sur YOUTUBE, par DAILY MOTION et bien d’autres médias : ils pourront entonner notre hymne national autour de la dinde de Noël, et du cidre breton.

Je n’oublie pas, non plus, les soixante Conseillers municipaux de Nantes : chacun recevra comme cadeau de Noël un joli petit BRO GOZH, par mail : histoire de rappeler à tous que NANTES EST NOTRE CAPITALE POLITIQUE, à tout jamais. Ce serait bien – oui, vraiment très bien -, que, s’étant suffisamment entraînés, les Bretons patriotes qui font partie du Conseil municipal, imitent les Conseillers régionaux de Rennes, et entonnent notre chant national : on se réjouit d’avance de la tête que feront les autres !

 

La Marseillaise ne fut JAMAIS l’hymne national des Bretons. Les Français, dans leur orgueil, l’ont ignoré. Ils commencent à le savoir : nous sommes plus fiers de notre Pays, qu’ils ne sont du leur, qui dégouline en déconfiture. (Un correspondant m’écrit que, à cause de la nullité de leurs politiques, la nation française est déjà morte, ce qui est dans l’ordre du plausible. Pire : elle n’a jamais été qu’un mythe, enseigné à l’école, et entretenu par une propagande d’Etat, celle de tous les Etats totalitaires. On m’assure que les Bretons ouvrent les yeux, après tant de siècles de colonisation, et que la France est de plus en plus détestée en Bretagne : c’est normal, qui sème la haine récolte la haine; le pays est même détesté, maintenant, par ses propres citoyens, ce dont je me rends bien compte à Paris; si leur pays est devenu détestable pour beaucoup, ils ne méritaient pas cela, si ce n’est leur obsession de voter pour les plus nuls : voir ci-dessous la référence à l’article de M. ABIKER).

 

J’invite tous les Bretons du monde, au soir du 24 décembre, puis du 31 décembre, à se réunir en famille autour de leur ordinateur, à se brancher sur notre hymne national (dans la case Google, par exemple : mélennec youtube bro gozh), et à l’entonner d’un même coeur, et de se communiquer entre eux les vidéos qui vont apprendre à tous et à toutes que, le 14 juillet, fête NON-NATIONALE pour les Bretons, cesse d’exister pour eux.

 

Comme je ne voudrais pas, ce soir là, m’appeler M. Jean Marc AYRAULT ! Pour lui, s’il a des regrets aujourd’hui, C’EST TROP TARD. Fils d’une Bretonne, personne ne lui pardonnera jamais le mal qu’il a fait à la Bretagne. C’est très triste pour ses enfants, qui, eux ne sont responsables de rien : il est très probable qu’un jour on leur reprochera d’être les descendants d’un homme qui avait le devoir impératif d’anéantir les séquelles du régime de Vichy à Nantes et en Loire Atlantique, ce qui lui aurait permis de prendre place sinon parmi nos héros, en tout cas parmi les gens estimables : il a choisi lui-même son sort, il faut l’assumer, comme nous assumons pleinement le nôtre.

En faisant perdurer la situation actuelle, en violation du droit des gens, des principes généraux du du droit, du droit international, du droit européen, la France a inventé un outil superbe : un FOUET muni de lanières de fer, pour se faire battre et haïr de toute la population bretonne, avec tous ceux qui soutiennent cette aberration. Espérons qu’on ne va pas priver la Bretagne de cet outil trop vite, car il sert magnifiquement de cristalisateur et de catalyseur de nos revendications légitimes.

 

Avez vous remarqué qu’on parle de plus en plus de la Bretagne dans les médias français ? Ne le répétez pas : M. Le DRIAN et Madame LEBRANCHU n’y sont pour rien !

 

Chacun portera  ses responsabilités devant l’histoire, qui est déjà écrite en Bretagne.

 

 

Dr Louis MELENNEC, bigouden de père en fils.

 

LECTURES DE NOEL et du mois de Janvier,  RECOMMANDEES A TOUS :

– L’Express, Depardieu, Abiker : on quitte la France parce qu’elle est devenue détestable : un excellent article – enfin ! -, sur la mise à mort médiatique des MINABLES QUI GOUVERNENT LA FRANCE.

– Mélennec, Un immense mémorial à Nantes ….

– Mélennec, Les crimes de génocide ..

– Mélennec, France Inter, L’invention de la France ..

 

 

 

A PARIS, CE 20 DECEMBRE 2012.

 

 

 

 

L’AVENIR DE LA BRETAGNE APPARTIENT AUX BRETONS, A EUX SEULS . LA BRETAGNE POSSEDE DES ATOUTS EXCEPTIONNELS POUR REPRENDRE SA PLACE DANS LE CONCERT DES NATIONS .

L’AVENIR DE LA BRETAGNE, APPARTIENT ENCORE AUX BRETONS, SOUS RESERVE DE DEUX CONDITIONS IMPERIEUSES :

. S’EMANCIPER TO-TA-LE-MENT DE LA MARÂTRE FRANCAISE. BIENTÔT, IL SERA TROP TARD;

. METTRE EN PLACE DES INSTITUTIONS PERFORMANTES, ELIMINANT SANS PITIE LES MEDIOCRES, LES CORROMPUS, LES INCOMPETENTS, par la destruction du système clientéliste actuel.

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LA FRANCE N’AURA DE PLACE EN BRETAGNE QUE CELLE QUI LUI SERA ASSIGNEE PAR LES BRETONS.

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Le présent article, comme tous les précédents, est adressé aux services de rédaction des journaux français, ainsi qu’aux journalistes connus. Vous pouvez – vous devez – en faire autant. Il est facile d’identifier les coordonnées de ces journaux, de leurs principaux journalistes, ainsi que leurs mails, par Internet. Un copié-collé, deux ou trois clics : le coup de poignard atteint son but. Les articles que vous leur adresserez leur ouvriront les yeux, leur apprendront l’histoire de la Bretagne, et l’AVENIR qui sera le sien, QUOI QUE L’ON FASSE. Sachez que cette démarche est LEGALE, car le devoir des journalistes est d’être informés, et de répercuter l’information. Le travail accompli depuis dix ans est tel, que je puis vous assurer qu’à Paris et en France, les abominations commises en Bretagne commencent largement à être connues – notamment les invasions, les massacres, le génocide brito-vendéen -, et que les aspirations du peuple breton sont maintenant prises très au sérieux, et inquiètent, les collabos compris. Le travail de libération sera votre oeuvre, certainement pas celle de ceux que l’on nomme maintenant en Bretagne, très plaisamment, LES COLLABOS (cf. le « projet » mou et ridicule de « décentralisation »). N’oubliez pas nos deux quotidiens « nationaux » bretons, dont la littérature, si honnête et si admirable – notamment quant à la place qu’ils accordent à notre Histoire (je parle de la vraie) – frappe d’émerveillement sans cesse renouvelé tous nos compatriotes, ébahis et stupéfaits.

LE BRO GOZH : L’HYMNE DE LA LIBERTE DES BRETONS. Il existe une version du Bro Gozh, qui permet aux élus – et à toute autre personne -, de se familiariser, puis de chanter notre HYMNE NATIONAL. Vous pouvez donc la diffuser à toutes les personnes concernées, c’est à dire aux plusieurs millions de bretons dispersés dans le monde. Au prix de quelques « clics », le tour sera joué.

(Il y a, semble-t-il, sur YOUTUBE, une version karaoké : mélennec bro gozh karaoké).

Cherchez, sur YOUTUBE, le choeur célèbre de l’opéra NABUCCO, de VERDI :  » Va pensiero« . Ecoutez le religieusement. Pour ceux qui ne le savent pas, sachez ceci : lors de la création de cet opéra, à la Scala de Milan, le 9 mars 1842, la République de Venise est sous occupation autrichienne. Les esclaves hébreux, mis en scène par Verdi (l’opéra NABUCCO se passe à Babylone, en 586 avant Jésus – Christ, ou les juifs sont esclaves), commencent à entonner ce choeur magnifique; les Italiens présents dans la salle se mettent debout; les autorités autrichiennes sont dans les loges du théâtre; ce sont les juifs qui chantent cet hymne de la liberté; mais, d’emblée, il  s’identifie avec l’esclavage du peuple italien; tout le monde comprend : un immense frisson parcourt l’assistance : les Italiens sont esclaves, comme les Hébreux à Babylone; mais la liberté est proche : les Autrichiens seront chassés, sans tarder. Dans les loges, peuplées d’Autrichiens, l’humiliation est à son comble.

LE BRO GOZH est votre chant de la Liberté et de la Libération. Chantez le partout, avec vos drapeaux. Surtout si les gouverneurs français, des ministres français sont présents. On peut vous interdire de vous servir de vos drapeaux, non de chanter votre Hymne national.

Le but est clair : toute famille bretonne doit connaître et pouvoir chanter à tout moment son hymne national. Tout conseil municipal devrait, à court terme, commencer chacune de ses réunions, debout, dans le respect absolu qu’ils doivent à leur pays et à la vérité, entonner cet Hymne, qui est une arme absolue : personne ne pourra les empêcher de chanter l’air qui symbolise notre Dignité, et notre Liberté.

Agissez donc, avec les moyens dont vous disposez, pour faire avancer nos idéaux : nos adversaires ne peuvent, à terme, que mordre la poussière.

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L’OPINION EST MAINTENANT QUASI-GENERALE EN FRANCE : CE PAYS VA DISPARAÎTRE, submergé par les vagues migratoires qu’il a été incapable de réguler. Surtout, de n’avoir absolument pas compris – à cause de l’idéologie ambiante, et de l’ignorance abyssale de ceux qui accèdent aux fonctions politiques et médiatiques, que si les échanges entre les civilisations sont nécessaires et bénéfiques, si l’esprit de tolérance et d’ouverture doit obligatoirement présider aux échanges entre les êtres humains, il faut connaître les règles et les dangers de ces échanges, et les règles de progressivité auxquelles ils doivent obéir. Seule l’étude de l’histoire du monde, associée à une longue réflexion, peut fournir la réponse aux questions . Une immigration, si souhaitable soit-elle,  doit être dosée, régulée, et analysée dans toutes ses composantes, passées, présentes, futures.

Les Français ont peur. Si le discours public (véhiculé par des médias aux ordres, pratiquant l’autocensure permanente, le discours « convenable », les propos conventionnels) est soigneusement orienté dans une direction bien définie, strictement idéologique, fausse, non conforme à la réalité, les craintes exprimées par les particuliers sont d’une toute autre tonalité : là, toutes portes closes, les choses se disent clairement. Soyons très clairs : le racisme, phénomène universel, n’est ni plus ni moins important en France que dans n’importe quel autre pays. (Il est plutôt moindre, vu le nombre considérable d’étrangers qu’il a accueilli depuis quarante ans). Les propos violents ne concernent que les insuffisants intellectuels qui gouvernent le pays, sans que l’on y puisse rien, puisqu’il est, depuis longtemps, un marché captif de ceux qui vivent sur son dos. Les minables, pour utiliser le vocable à la mode, terme que la presse leur applique désormais à coups redoublés, et qu’ils ne sont pas qualifiés pour appliquer à d’autres qu’à eux-mêmes, notamment à M. DEPARDIEU, qui, lui, a gagné son argent en travaillant, et avec son talent, ce qui le situe, au moins dans ces deux domaines, dans une autre sphère que ces messieurs. La tristesse s’y exprime, avec une angoisse manifeste, une profonde détresse : car les Français sont comme les autres : ils aiment profondément, charnellement, leur pays. La France s’est dotée de lois stupides, qui limitent la liberté d’expression, et qui, à tout moment, risquent de conduire devant les tribunaux correctionnels ceux qui osent afficher ouvertement leurs craintes, et dire la seule vérité. Publiquement, donc, on se tait.

IL EST URGENT QUE LA BRETAGNE SE REGARDE EN FACE. Pour avoir utilisé cette formule pour mettre en garde les Français sur ce qui va lui arriver, Ivan RIOUFOL (Le Figaro, avril 2012), a été traité de fasciste. La  peur est en train, à juste titre, comme en France, de gagner la Bretagne. Et si, nous aussi, nous allions disparaître, après cette magnifique montée en puissance du sentiment national ?

Cette phase de l’histoire dite ” de France “, ne nous concerne, nous Bretons,  que parce que nos deux pays sont voisins, qu’ils ont été condamnés à vivre ensemble, par l’effet des invasions de la fin du 15ème siècle, pendant cinq cents ans, et que la proximité géographique nous condamne à vivre côte à côte – à défaut de vivre ensemble. Nos destins ont été liés – jusqu’à présent -, parce que la France occupe d’une manière coloniale notre pays.

La cause principale de la déliquescence de la France, première puissance mondiale il y a seulement un siècle : son système politique, constitutionnel et juridique,  organisé pour amener au pouvoir des équipes successives d’incompétents, d’ambitieux, de couards, dont la contemplation béate de leur nombril est souvent la seule chose qui les intéresse, avec la catastrophe de leurs cohortes de ” clients “, que l’on récompense en leur attribuant, une fois les élections passées, les fonctions principales dans l’Etat, puis, ayant été jetés dehors à la faveur de nouvelles élections, polluant et néantisant de larges secteurs de l’économie, par leur incompétence notoirement connue, dans les postes prébendaires, ou le ” système ” les ” reclasse “.

Je ne parle pas par ouï – dire, mais par l’effet d’une très longue expérience personnelle : celle d’un témoin privilégié des dysfonctionnements gravissimes de ce système, plusieurs dizaines d’années durant.

Les Bretons sont conscients de cette situation consternante. On attend en vain, qu’ils agissent; leur pays est lui aussi, alors que le sentiment national d’appartenance a resurgi d’une manière spectaculaire depuis vingt ans, en voie de dissolution; les symptômes de sa déliquescence sont alarmants : insécurité, drogue, délinquance galopante, vols, viols, coups et blessures volontaires, prostitution, perte du sens des valeurs – au premier rang desquelles celle qui contient toutes les autre : le respect d’autrui -, progressent à une allure vertigineuse.

Que font-ils ? Si l’on excepte ceux qui se battent, et qui ont le courage d’assumer publiquement leurs opinions, peu nombreux, ils …. lisent quelques articles politiques (pas jusqu’au bout, parce que cela est fatiguant), votent quelques motions (que personne ne lit), se divisent et se subdivisent en dizaines de milliers d’associations inefficaces. Spécialité éminemment répugnante : ils se disputent comme des chiffonniers : Ils ne sont pas encore parvenus au point de savoir qu’ils doivent taire leurs griefs réciproques, se réunir et agir ensemble, passer aux actes pour exiger que ce sur quoi ils sont TOUS D’ACCORD devienne réalité : la restitution des territoires volés, l’élaboration d’une Constitution bretonne, inspirée de notre génie national, notre histoire et notre psychologie collective, la mise en place d’Institutions d’un ETAT LIBRE, la restitution au peuple de ses prérogatives démocratiques  – comme en Suisse – par la mise en place d’un système référendaire, qui rendra au peuple breton son droit de décider SEUL des grandes options politiques et sociales, la réapparition sans conditions ni réserve sur la scène internationale avec tous les Droits dont ils ont été privés par le pays occupant, l’enseignement, dès l’école primaire, de LEUR HISTOIRE NATIONALE ….

LES ATOUTS DONT DISPOSE NOTRE PAYS SONT COLOSSAUX.

La puissance et l’influence d’un pays ne sont nullement proportionnelles à sa surface ni à l’importance de sa population.

La Bretagne de demain possède toutes les armes pour devenir une nouvelle SUISSE, pour gérer une partie importante des actifs mondiaux, pour créer un système bancaire et de gestion financière très performant, pour offrir aux investisseurs du monde entier une fiscalité attrayante – en aucun cas complaisante ni spoliatrice, mais simplement honnête, rigoureuse, raisonnable, avant tout réaliste, consciente de l’histoire financière du monde, des contraintes et des possibilités qu’elle offre. Le système fiscal mis en place, dans un désordre et une incompétence indesciptibles par les gouvernements français, est en train d’étouffer les citoyens. Nous devons, nous Bretons, échapper à cette calamité. Lorsque nous aurons retrouvé notre liberté, nous devons remettre à plat, tout ce méli-mélo, ce gâchis, ce cafouillis, cette hallucination invraisemblable. A condition de confier les réformes non à des nuls portés au pouvoir par le trompe- l’oeil des élections périodiques, que la propagande ambiante confond, sottement, avec la démocratie, mais à d’authentiques experts en finances publiques et en fiscalité : il en existe un certain nombre.

La Bretagne a les compétences requises pour créer des technopoles à l’image de la silicone valley de Californie, pour briller dans les techniques modernes comme l’informatique, la recherche dans tous les domaines,  etc. Son littoral, qui mesure linéairement 3000 klm, est d’une telle richesse, qu’elle peut redevenir – à condition de reprendre totalement la gestion de son économie en mains -, une très importante puissance maritime, et un exemple de ce que l’alliance de la terre et de la mer peuvent obtenir d’une aquaculture d’une très haute qualité. Notre territoire sous marin, très vaste, n’est pas encore exploré, et nous réserve sans doute de très heureuses surprises.

La prétendue ” étroitesse territoriale ” de la Bretagne est une sottise. Avec se 35000 klm carrés, elle est aussi étendue que la Suisse, la Belgique, les Pays Bas (41000, 30000, 41000 klm carrés…). A titre de comparaison, Hong-Kong et Singapour, qui se hissent au tout premier rang des grandes puissances financières mondiales, ont, respectivement, des surfaces de 1000 klm carrés, et de 650 klm carrés, soit, ensemble, le quart de la surface d’un département breton, le vingtième de la surface de la Bretagne ! L’Etat d’Israël, si influent dans le monde par sa diaspora, ne dépasse pas 21 000 klm carrés, soit l’équivalent de trois des cinq départements bretons. Ce petit pays, vingt six fois plus exigu que la France, vend et exporte autant d’armes que la France, cinquième monstre mondial en termes de fabrication d’engins de mort et de destruction (source : revue Challenges, décembre 2012). Notre tempérament pacifique ne nous conduira certes pas dans une direction aussi meurtrière que le pays qui ose se présenter comme le champion des droits de l’homme et de la paix dans le monde, mais il y a tant et tant de choses que nous pouvons produire, si notre voisin de l’Est cesse enfin de nous brimer, et de nous empêcher de travailler.

Notre agriculture est de loin la plus performante de l’espace dénommé l’ « hexagone », occupant le premier rang pour les volailles, la viande porcine, le lait, les oeufs, plusieurs légumes … Le secteur agro – alimentaire représente plus de 15 pour 100 dudit « hexagone ». La Bretagne n’est pas seulement auto-suffisante, elle est largement exportatrice, malgré une surface “utile” cultivable assez restreinte. Que dire de toutes les potentialités alimentaires encore balbutiantes, voire inexploitées : le riche vignoble du sud de Nantes doit travailler à se diversifier, à améliorer et à exploiter de nouvelles voies, au delà des crus locaux,  les Bretons doivent se lancer résolument dans la méthode champenoise, la fabrication de whisky et d’alcools de haute qualité, mettre au point de nouvelles productions fromagères, du foie gras (la Chine en produit désormais de très grandes quantités, mais nous pouvons facilement faire mieux …).

Nos industriels sont présents dans le monde entier. M. Pinault et Bolloré se distinguent particulièrement, parmi d’autres (Yves Rocher, Leclerc …). Dans tous les pays, la réussite suscite l’envie, la jalousie, la médisance. En Bretagne le phénomène est particulièrement vif, au point de constituer une authentique pathologie. Au lieu d’être admiratif et reconnaissant à l’égard de ceux qui ont honoré le pays par leur carrière brillante – lorsqu’elle est méritée -, on ne supporte pas ce qui dépasse. Le jour ou les Bretons comprendront qu’ils doivent RENONCER DEFINITIVEMENT A LEUR JALOUSIE MORBIDE à l’encontre de ce que les marxistes dénomment « les riches », ou « les exploiteurs des masses travailleuses »,  ils comprendront qu’ils devront confier les plus importants postes ministériels et de l’Etat, à ces producteurs de richesse et d’emplois, non, comme en France, à des ronds de cuir professionnels, qui ne connaissent RIEN aux affaires qu’ils sont censés gérer, qui n’ont jamais exercé un métier utile à la collectivité, et qu’ils détruisent, au contraire, par leur incompétence, de larges secteurs de l’économie. Sans vous avoir encore fourni de chiffres précis, dans mon long article sur la colonisation de la Bretagne par la France (je cherche surtout une méthode simple pour exposer, sans longueurs excessives, qui décourageraient les lecteurs, ce qu’à été le dépouillement de la Bretagne par le royaume d’à côté, pendant plusieurs siècles, car les données chiffrées sont quasi-illimitées), vous savez que la fiscalité française repose sur plusieurs principes, de tous temps : l’incompétence, le désordre insensé (un authentique BORDEL, comme le droit français), le pillage, LE GASPILLAGE EHONTE. Les Bretons sont cousins des Ecossais, pour la gestion de leurs finances, plus encore celle des autres. Notre sens de l’économie est-il proche de l’avarice ? Et si cela était ? Nous nous en porterions mieux; ceux qui nous confieraient leurs affaires seraient assurés que nous les gérerions mieux que les nôtres propres, car les Bretons, peuple économe, sauf exceptions, ne sont absolument pas des gens intéressés : en prenant de la distance avec la Bretagne, à dix-huit ans, j’ai découvert, moi aussi que notre réputation d’idéalisme n’est pas usurpée : nous plaçons (presque) toujours nos idéaux bien avant nos intérêts matériels.

L’avenir énergétique de la Bretagne, est bien loin d’être inquiétant. Aujourd’hui largement déficitaire – sans aucun doute parce que les Bretons, pour l’essentiel, ont été écartés de la gestion de leurs richesses naturelles et de leurs potentiels dans tous les domaines, par leur cher voisin de l’Est -, la Bretagne est riche d’espérances : les courants marins marins et sous marins, la force du vent, la lumière et le soleil (au moins dans le sud, actuellement sous occupation étrangère), les richesses potentielles vraisemblables de leur sous sol sous marin, quasi inexploré encore (rappelons ici qu’Israël a fait une découverte fabuleuse, en 2009, au large de ses côtes, qui lui garantit, pour deux siècles selon les estimations, non seulement une autonomie énergétique, mais de devenir l’un des grands exportateurs mondiaux d’hydrocarbures) … doivent assurer à la Bretagne une place éminente parmi les producteurs d’énergie. Et si, comme personne ne le souhaite, on ne pouvait se passer de l’énergie nucléaire, les Bretons disposent des capacités techniques pour fabriquer des centrales très performantes, et pour les exporter.

Last but not least : PARTOUT, les Bretons ont une image très positive. Notre population atteint 4,4 millions d’habitants, notre diaspora bretonne compte plusieurs millions d’individus dans le monde, partout présente, active, estimée, identifiée comme appartenant au peuple breton, en aucun cas comme des Français (à Paris, on estime à un million le nombre des Bretons, ce qui fait de la capitale française le sixième département breton). Ce capital humain est notre principal atout : il véhicule en tous lieux une image de dynamisme, de créativité, de travail, de fidélité extrême à ses origines … Bientôt, le monde entier sera informé que la France, violatrice surdiplômée des droits des peuples, tient captives dans ses frontières « hexagonales » plusieurs nations, dont deux au moins sont beaucoup plus anciennes qu’elle : les Basques et les Bretons …

Bien sûr, lorsque notre pays sera rénové, il devra veiller au respect strict des droits de l’homme, de la sécurité des personnes et des biens, comme le font l’Etat de New York et quelques autres, à une justice enfin Juste. J’ajoute – c’est mon opinion, je persiste et signe – qu’il serait opportun qu’il prenne exemple sur la Norvège, l’Angleterre, la Suisse, et quelques autres pays d’Europe pour recréer sa MONNAIE NATIONALE, seule manière de gérer sa prospérité reconquise, et ne plus la laisser polluer par des incapables étrangers et des gaspilleurs inconscients. (Les Bretons vont apprendre ici, sûrement avec une certaine stupeur, que leur Pays a possédé sa monnaie nationale jusqu’aux invasions françaises de la fin du 15ème siècle), et que celle-ci a été détruite – comme tout le reste -, par la France, au siècle suivant. Nous devons donc, RESOLUMENT, sortir de la zone dite ” EURO “, n’ayant jamais été consultés sur la constitution précipitée, non réfléchie, de cette invraisemblable usine à gaz, née de l’insuffisance mentale de ses concepteurs, dont l’échec est patent. Si nous devions un jour la réintégrer, ce sera parce que nous l’aurons décidé, et NON AUTREMENT. (Pour ceux qui souhaitent en savoir plus :  » ROSA : l’euro est un contresens économique, le Figaro).

Notre pays a cessé, depuis plusieurs décennies, d’être le PLOUKISTAN OCCIDENTAL de la France. Il doit devenir l’un des pays de l’Excellence. Au plan économique et politique, certes, mais surtout au plan humain. Il n’est, dit le proverbe, de richesse que d’hommes. C’est sûrement vrai, au moins en partie. Sur ce terrain, avec des défauts immenses, on nous reconnaît au moins deux qualités : l’aptitude à travailler; la fiabilité. Globalement, c’est exact, et, sans aller jusqu’à cette vantardise du poète (« Il y a un Breton sur chaque lame de la mer »), notre réputation dans le monde est excellente : efforçons nous de la mériter. Le professionnalisme et le sérieux des Bretons doivent s’imposer comme des règles en Bretagne, l’amateurisme des « méthodes de gouvernance » françaises ne sont pas conformes à notre mode de fonctionnement mental.

Louis MELENNEC, Ex-Consultant près le Médiateur de la République française.

L’INDEPENDANCE, SEUL ET INELUCTABLE DESTIN POUR LA BRETAGNE, ENFIN LIBEREE DU PAYS PREDATEUR .

 LA BRETAGNE, AVEC STUPEUR, APPREND ET METABOLISE, LENTEMENT MAIS SÛREMENT, SON HISTOIRE. SANS AUCUNE SORTE DE DOUTE, ELLE PREND LE CHEMIN DE L’ECOSSE ET DE LA CATALOGNE.

CINQ SIECLES D’OCCUPATION VONT-ILS PRENDRE FIN ?

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 A FAIRE ENTENDRE PARTOUT, par la case Google, SURTOUT EN MILIEU FRANCAIS :

BRO GOZH, HYMNE NATIONAL BRETON (version Mélennec).

 Il existe une version karaoké, sur YOUTUBE (mélennec brogozh karaoké), que vous pouvez adresser aux conseillers municipaux de Nantes, afin qu’ils puissent bientôt chanter notre hymne patriotique – comme l’ont fait (dit-on), les conseillers régionaux de Rennes. N’oubliez ni vos conseillers municipaux, ni vos députés, ni vos sénateurs, ni, bien sûr, vos amis, vos voisins, vos parents. Pas davantage vos ennemis, ni aucun collabo connu.

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I – QUELQUES CORRESPONDANCES.

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 –  De M.N. Finistère :

” Monsieur Mélennec,  Pour l’honneur des Bretons et pour leur langue, je suis autorisé à affirmer que vous contribuez à donner un souffle décisif à nos actions. Grâce à vous les choses changent , et pourraient aller en s’accélérant. Nous commençons à recueillir les fruits des arbres que nous avons plantés. Et cela ira ” tous les jours de mieux en mieux ” (Emile Coué, lui aussi d’origine bretonne !). TENEZ BON, TOUJOURS ! Continuez, NOUS AVONS BESOIN DE VOUS ! “.

Réponse brève : votre lettre me touche profondément. Je me suis attaché, dans mes travaux, à démontrer – contrairement à la honteuse version officielle des universitaires, qui ont presque tous écrit que l’annexion (non pas la « réunion ») de la Bretagne par la France a été parfaitement acceptée par les Bretons. C’est strictement FAUX. Dès l’invasion de 1491, une résistance bretonne s’est mise en place, qui n’a jamais cessé. Les Bretons n’avaient plus ni Souverain légitime, ni gouvernement, ni armée … Mais ils ont utilisé sans cesse et sans cesse, sans jamais se lasser, en utilisant les moyens dont ils disposaient (voir ma longue chronique sur La colonisation de la Bretagne par la France). Ceci a perduré jusqu’à aujourd’hui. J’ai rappelé plus de cent fois les travaux de mes prédécesseurs : d’Argentré, Le Baud, Morice, Lobineau, Planiol, La Borderie, Le Moy, Rébillon, Bonvallet, Dupuy … La France des Libertés et des Droits de l’homme a failli, par l’écrasement des cerveaux, nous détruire complètement. Mais nous sommes là, en pleine renaissance, plus fermes que jamais. Ma contribution n’est que le prolongement de celle de tous ceux qui ont oeuvré pour que nous restions nous-mêmes. Aujourd’hui, nous pouvons dire que la victoire est à portée de nos mains : les intrus seront chassés, car le DROIT EST POUR NOUS. C’est pourquoi les termes « collabos » et « kapos », qui ont enfin trouvé leur véritable signification, sont maintenant d’usage courant dans la population bretonne, pour désigner ceux que l’on sait : l’infamie, pointée sur nous, a changé de camp.

 –  DU DOCTEUR L. (Finistère) :

  » Oui, Monsieur Mélennec, c’est toujours un immense plaisir de vous lire …. Des milliers de Bretons vous lisent. Je pense que vos recherches ont eu et auront un impact considérable sur la manière des Bretons d’aborder leur histoire , et d’appréhender leurs relations avec l’Etat français.

   Tous ces Bretons qui vous lisent ne sont pas historiens ; ils sont stupéfaits d’apprendre ce que vous dites, après vos patientes et longues recherches. N’étant pas historiens , il leur faudra beaucoup de temps pour accorder tout ce que vous avez révélé à leur histoire personnelle.

    Comme beaucoup d’autres, j’ai fait connaître votre blog à de nombreuse personnes. Le but assigné à ce blog est sûrement atteint . La prochaine étape est de publier l’essentiel de vos travaux, notamment la partie qui a trait au Droit, dans un livre, avec les références nécessaires.  Les amis que vous avez en Bretagne vous aideront de toute leur conviction.  »

DE MADAME ANNA MAER (Bretagne) :

 » Merci pour le courage dont vous faites preuve. Il est temps que les Bretons prennent conscience du calvaire vécu par leurs anciens. Il est temps qu’ils prennent conscience de l’état de colonisation dans lequel ils perdurent en Bretagne. La démocratie y est confisquée encore aujourd’hui au profit de potentats français ou de bretons à de rares exceptions près, à la solde du pouvoir français …

Oui, il est temps que la France demande pardon pour les exactions qu’elle commet en Bretagne depuis des siècles.  »

DE MADAME V.A. (Hambourg) :

 » Si les Français ont été capables d’exprimer tant de haine à l’égard des Bretons, et pendant si longtemps, pourquoi ont-ils voulu, à toute force, en faire des Français, et tuer leur langue ? Ayant annexé la Bretagne, pourquoi ne pas l’avoir  » désannexée  » ? D’ou vient  cette incroyable résistance à reconnaître le génocide brito-vendéen, les crimes commis en Bretagne, et à restituer aux Bretons la Loire Atlantique ? « .

Réponse brève : La haine entre Francs et Bretons ne commence pas en 1789, mais dès le moment ou, au début du sixième siècle, les deux peuples antagonistes se sont trouvés confrontés dans des combats nombreux (voir Mélennec, mémoire de DEA, publié par le site Errances). Des textes explicites, écrits par les Francs, – particulièrement au 9ème siècle – sont conservés dans les archives. Je reproduirai quelques extraits de ces textes, particulièrement virulents – bien davantage que ceux que je cite ci – après – écrits en latin (qu’on se rassure,  je traduirai !). La liste de ces injures, à travers les siècles, est impressionnante; on en a conservé un grand nombre. Elle atteint des sommets au moment des conflits armés entre les deux pays, notamment sous François II, alors qu’on a la nette conscience que la France prépare une invasion, et la première partie du règne d’Anne la Grande (La Borderie, tome 5, pages 446, 447, 499 …….; Laurence MOAL, L’étranger en Bretagne au Moyen Âge, PUR, Rennes, 2008, pages …).

De Marcel TEXIER, ex-président de l’OBE (Bretons du Monde) :

 » Vous faites oeuvre de salubrité publique, docteur Mélennec … »

 » Voilà des lettres qui doivent vous mettre du baume au coeur. Quant aux injures, laissez les glisser avec mépris. Pensez à Théodore Herzl, le « Père de l’Etat juif », à qui on jetait des pierres… (26 novembre 2012).

” La Bretagne a été incorporée à la France à la suite d’une succession de crimes et d’opérations frauduleuses, voire crapuleuses. Les invasions françaises de la fin du 15ème siècle ont scandalisé les contemporains. L’Edit d’Union de 1532 fut un tour de passe-passe juridique manigancé par ce débauché sans scrupules qu’était François Ier. Quant à la nuit du 4 août 1789, on y a mélangé, dans un beau désordre, les privilèges de certains et des droits inaliénables sanctionnés par des traités internationaux. « 

Brève réponse : Tout cela est exact. Les principales puissances européennes ont pris fait et cause pour la Bretagne lors des guerres d’invasion de 1487 à 1491. Dans les armées nationales bretonnes, en juillet 1488, à Saint-Aubin-du-Cormier, combattent des soldats anglais, allemands, espagnols, gascons … tandis que la France, condamnée par tous, n’a AUCUN ALLIE dans cette guerre misérable contre un peuple souverain, dont l’existence est connue depuis l’antiquité (La Borderie, tome 5, page 548). Le 17 décembre 1488, de Valladolid, les souverains espagnols, Isabelle la Catholique et le roi Ferdinand écrivent :

 » Il faut TOUT METTRE EN OEUVRE pour que la Bretagne ne tombe entre les mains de la France. PAR DESSUS TOUT, LA BRETAGNE DOIT ÊTRE SAUVEE « .

La haine du Saint Empire et de l’Espagne contre la France a duré très longtemps. Un siècle après le massacre des armées nationales bretonnes à Saint-Aubin-du-Cormier, le roi Philippe II d’Espagne, petit fils de l’Empereur Maximilien, qui fut marié de légitime mariage avec Anne de Bretagne de 1490 à 1491, refusant de reconnaître la prétendue  » Union  » de la Bretagne à la France, réclame la couronne bretonne pour sa fille Isabelle, arrière petite fille d’Anne de Bretagne, par sa mère la princesse Elisabeth. Lorsque Charles VIII, mari obligé d’Anne de Bretagne meurt, le 7 avril 1498, l’Europe se réjouit; on dit ouvertement que le décès de ses six enfants, et que sa propre mort sont la punition que Dieu lui envoie, à cause de l’invasion de la Bretagne, et d’avoir contraint Anne de Bretagne, déjà mariée avec Maximilien, roi des Romains, futur empereur du Saint Empire Romain Germanique, à l’épouser  (Voir : 1491, La Bretagne terre d’Europe, colloque international, Brest 1991, pages 470, 471, et surtout pages 503 et suivantes; Pélicier, thèse sur Le gouvernement de la dame de Beaujeu, fille de Louis XI, soeur du roi Charles VIII (de France), Genève 1970, p.153; …….Commynes, proche conseiller de Louis XI et de son fils CharlesVIII, dans ses remarquables mémoires, évoque la condamnation très largement répandue du mariage de Charles VIII, avec Anne, déjà mariée avec Maximilien …) (Sur tous ces points, consulter notre article sur La colonisation de la Bretagne par la France, rédigé au terme de très longues recherches dans les textes, car le pays des droits de l’homme avait gommé tout cela de l’écriture frelatée de son histoire).

S’agissant de Théodore HERZL, aujourd’hui l’un des héros d’Israel, il faut préciser que l’  » inventeur  » de l’hébreu moderne, Eliezer BEN YEHUDA,  qui a ressuscité la vieille langue sacrée, qui n’était plus parlée depuis deux mille ans, a été longtemps persécuté; il est aujourd’hui un héros national, et pas des moindres.

De M. HAZO Nétanel, né à Nantes, juif, breton de coeur,  président de l’Association Bretagne – Israel, parlant des Bretons, le 31 août 2010 :

 » Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La pugnacité, l’opiniâtreté, souvent perçues comme négatives, ne sont pas de vains mots pour désigner les Bretons. Les Juifs ont les mêmes qualités….. Le chemin sera long jusqu’à l’indépendance. Mais elle est inéluctable. La France est en faillite morale. Elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent … »

(Agence Bretagne Presse, commentaire sous l’article de Louis Mélennec, publié le 17 février 2009, Les massacres ….).

……….

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les mêmes qualités…

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les mê

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les mêmes qualités…

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les m

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs

S’agissant de la langue, il y a, en effet, un singulier parallélisme : pour les Juifs, l’hébreu moderne, largement responsable de l’unification du peuple juif, est l’un des plus beaux cadeaux que Dieu ait fait à ce peuple; pour le breton, les Français ignorent que l’éradication de notre vieille langue est l’un des plus grands crimes commis par la France en Bretagne.

DE M. JUAN JOSE L., Bilbao, Pays basque espagnol :

 » Nous préférons avoir subi les affres du régime de Franco. Si nous avions été écrasés par le régime qui vous a été appliqué par la France, nous serions aujourd’hui totalement décervelés, nous aurions perdu la souvenir de nos origines. La renaissance de la Bretagne nous réjouit : votre combat est juste; la victoire est au bout du chemin « .

Les Français sont si bêtes, qu’ils continuent à nous injurier. Remercions les imbéciles comme Mélenchon, Morin, et autres débiles : en nous désignant comme un peuple à part, ils montrent à quel point nous ne sommes pas Français : chaque injure française nous blesse profondément, mais nous rapproche du moment ou nous allons enfin être délivrés de cette sorte d’engeance. Nolwen LEROY est incendiée simplement parce qu’elle est bretonne (Finistérienne comme moi), qu’elle le proclame haut et fort, et qu’elle aime son Pays. Peut-on imaginer que le pays d’à côté est si riche en débiles mentaux ? Je reproduis ci-après quelques nouvelles injures relevées dans une émission toute récente de ..

http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=28435

  »  Kenavo ! Grand moment de fierté pour les Bretons, leur fest-noz reçoit ses lettres de noblesse de la part de l’UNESCO.

Mais alors qu’est-ce qu’un fest-noz ? Nous allons le découvrir grâce à ce reportage dans un tout petit village du Finistère, le village de Beurk. … Il est cinq heures du matin et ici tout le village se prépare pour le fest-noz de ce soir. Les femmes du village se rasent pour la grande parade tout en donnant à leur bébé un biberon au cidre. Les hommes se préparent pour le concours de lancer de Bigoudènes dans la mer, sous le regard curieux des enfants qui observent en mangeant un sandwich à la mouette. À noter qu’après le bal, ce sera la vente aux enchères de la vierge la plus âgée du village. Vierge que l’on prépare pour l’occasion selon la tradition locale en lui badigeonnant le corps au beurre salé. Vierge que l’acheteur pourra consommer au son du biniou devant les habitants du village. Cette année, manque de chance, la vierge la plus âgée, Soizig Pensec, 93 ans, est morte il y a deux jours avant les festivités, mais ce n’est pas grave : selon la coutume celte, on peut encore utiliser la vierge huit jours après sa mort.

Cette année la marraine du fest-noz sera Nolwenn Leroy. Nolwenn qui viendra chanter comme d’habitude habillée en manouche, accompagnée de ses farfadets et de ses lutins. Bien sûr tout le monde croise les doigts pour que la météo ne vienne pas gâcher la fête traditionnelle, une apparition du soleil serait considéré comme un signe de malheur pour tout le village. »

 

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II – LES MASSACRES, INJURES, PILLAGES, HUMILIATIONS QUE LES BRETONS, désormais informés de leur Histoire Nationale, ne pardonneront JAMAIS.

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LES INJURES ANTI – BRETONNES DE 1789 à 2014. LA STIGMATISATION DES BRETONS COMME UN PEUPLE ARRIERE, STUPIDE, SALE, PLUS PROCHE DE L’ANIMAL QUE DES HOMMES.

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Il y a, chez les Bretons, comme chez certains pays orientaux – les Chinois en particulier -, une manière particulière de vivre le temps. Chez nous, les sentiments ne s’effacent pas, ils durent. Je cite souvent cette pensée de mon vieil ami Yann BREKILIEN (voir ce nom), ex-président des écrivains bretons :

 » Le Breton est particulièrement sensible, même si sa pudeur extrême lui interdit de le montrer. Lorsqu’on le blesse, la blessure agit à la manière du coup de ciseau du sculpteur dans le bloc de marbre : elle est indélébile. Il ne faut pas s’étonner si trente ans, cinquante ans plus tard, l’homme blessé, qui a conservé intacte dans son âme l’humiliation qu’on lui a infligée, punira le coupable, après avoir attendu et guetté si longtemps l’occasion d’agir, enfin « .

Cela vaut aussi pour l’amitié – de nombreux Français ont éprouvé la solidité de leurs amitiés en Bretagne (au point que maints Français m’ont confié que leurs amis étaient majoritairement des Bretons, en quoi je n’ai pas hésité à leur dire qu’ils ont tort, car la Bretagne compte un pourcentage égal de jaloux et de sots identique à celui des autres peuples) -, comme pour l’inimitié. Le pire est d’avoir blessé le Breton dans sa fierté. Qui se préoccupe en France de Charlemagne, de Louis le Pieux, de Hugues Capet ? En Bretagne, nos érudits – qui sont très nombreux, vivent au quotidien avec leur Histoire Nationale; leurs héros et leurs héroïnes sont des compagnons de leur vie quotidienne ..

La monarchie capétienne, bien qu’autoritaire et prédatrice, avait, toutes proportions gardées, tenu les Bretons – très relativement – en paix. Se heurtant en permanence à une résistance acharnée de ce peuple libre et rebelle, acceptant malgré tout une certaine forme de dialogue, certes avec une mauvaise foi jamais démentie, cédant parfois devant l’obstination et la soif de justice des Bretons, elle les avait beaucoup moins maltraités, par force, que les provinces du royaume situé à l’est des frontières bretonnes. La Bretagne n’avait jamais été contrainte par les rois de France à renoncer à leur Dignité de Nation à part entière. Au plan administratif, bénéficiant d’une très large autonomie après 1750, acquise, il est vrai, de haute lutte, elle avait toujours été rangée, au plan fiscal, dans les  » provinces réputées étrangères « . (Ce fait est encore inconnu en Bretagne : se reporter, donc, à la carte des traites, dans Google, et aux articles consacrés à ce concept).

Le régime sanguinaire issu de la Révolution, les régimes qui suivent (l’Empire, la Restauration, la monarchie de Louis Philippe, la Deuxième République, la troisième république surtout – celle de Jean JAURES, théoricien des races  » supérieures  » , l’une des idoles de François Hollande et de Jean-Luc MELENCHON….), vont précipiter les Bretons dans un abîme. Au fil des décennies, se déversent sur eux non seulement des jugements plus que dévalorisants, mais de véritables insultes, par tombereaux entiers. Ces insultes sont littéralement incroyables. On se demande comment des êtres humains ont pu sécréter de telles abjections.

LA BRETAGNE : UN PAYS MAUDIT. LES BRETONS : TOUS COUPABLES.

Fouché, désignant la Bretagne et les Bretons, en 1794 :

 » Il ne s’agit pas de faire le tri des bons et des méchants : DANS CE PAYS MAUDIT, il ne peut y avoir que des coupables « .

LA BRETAGNE : UNE COLONIE. LES BRETONS : UN PEUPLE PRIMITIF A COLONISER.

Michelet, 1831 :  » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe « .

Auguste Romieu, sous-préfet de Quimperlé, 1831 :

 » La Bretagne est une contrée à part, qui n’est plus la France. Exceptez-en les villes, LE RESTE DEVRAIT ETRE SOUMIS A UNE SORTE DE REGIME COLONIAL « .

LES BRETONS : UNE RACE A ENGRAISSER, COMME LES ANIMAUX :

Auguste Romieu, 1831 :  » Créons, POUR L’AMELIORATION DE LA RACE BRETONNE, quelques unes de ces primes QUE NOUS RESERVONS AUX CHEVAUX « .

LES BRETONS : DES SAUVAGES, TOUT JUSTE DES ANIMAUX.

Malte BRUN, 1831 :

 » Les Bas-Bretons ont un langage dur et difficile à comprendre. Leurs habitudes, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent A PEINE UNE PLACE AU DESSUS DE L’HOMME SAUVAGE « .

LES BRETONS : DES ETRES SALES, DEGOUTANTS, MALPROPRES :

Malte Brun, 1831 :

 » Le paysan y est d’une malpropreté dégoûtante; son habitation peut presque se comparer à celle des Hottentots … les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois « .

LES ENFANTS BRETONS ET LES PORCS : des frères de race, qu’on peine à distinguer :

Prosper MERIMEE, lettre à Jubert de Passa, 1835 :

 » On voit dans les villages les enfants et les cochons se roulant pêle-mêle sur le fumier; la pâtée que mangent les premiers serait probablement refusée par les cochons du Canigou « .

Poitrineau, inspecteur d’académie à Vannes, Instruction, 1897 :

 » Le petit breton ……. dès qu’il peut marcher, à peine vêtu, malpropre, il patauge toute la journée par les chemins, mange à l’écart un morceau de pain noir, joue peu, ne parle pas ….; s’il a huit ans d’âge physiquement, il en a trois à peine pour le développement intellectuel « .

M. BUSSON, Manuel de géographie à l’usage des lycéens, 1929 :

 » Les principaux traits de la race bretonne sont la malpropreté, la superstition, et l’ivrognerie « .

PROSPER MERIMEE, lettre à Requien, 1836 : les femmes bretonnes : sales, répugnantes, puantes :

 » J’ai fait quatre cent lieues en Bretagne sans déboutonner ma braguette. Impossible de toucher sans pincettes les personnes du sexe de Brest, Morlaix, Saint Brieuc, Rennes, Vannes, Quimper. Ce n’est qu’à Nantes que la Providence m’a envoyé soulagement …. Au lieu de votre joli patois, dont on comprend toujours quelque chose, c’est une langue que le diable a inventée là-bas ….. »

GUSTAVE FLAUBERT, Par les monts et par les grèves.

« J’ai croisé deux marins Bretons sur la grève de Port Navalo : faciès stupéfiés de dégénérés, regards délavés par l’abus de l’eau-de-vie; ils regardent la mer comme les vaches regardent passer le train de Quimper. Je tente d‘engager la conversation, ne tire d’eux que d’inconsistants borborygmes. Au moment de nous croiser, deux créatures approximativement femelles, coiffées d’un long tuyau disgracieux probablement chargé de compenser leur nanisme congénital, se signent, puis s’engouffrent dans un édicule bas sur pattes qui doit être une chapelle. Un vent  soulève des odeurs de varech, de bouses, de hardes mal lavées. Un effarement m’envahit. Dans quel trou d’ivrognerie et de superstition sommes-nous tombés ? »
A Locminé :
« On a installé une estrade de bois pour les danseurs. La danse consiste à se remuer et à se secouer en rond en se tenant le petit doigt. Sur le contretemps, tout le monde saute et retombe sur le plancher dans une grand bruit de sabots. Les puces et les poux tombent des habits sur les lattes du plancher et, de là, dans l’herbe. Cette sorte de gymnastique hygiénique offre d’ordinaire aux couples l’occasion de se former, en vue des appariements qui ont lieu dans ces contrées à la période des moissons ……
Les sauts des danseurs donnent le rythme au musico qui s’époumone dans une cornemuse de fabrication locale qu’on appelle ici biniou et dont le son m’a paru aussi harmonieux que celui du chant du canard à la saison des amours. La danse prend fin d’ordinaire quand toutes les puces sont tombées. Cela ne se produit pas avant la nuit close, d’où le nom de fest-noz donné à ces réjouissances (d’autres prétendent que ce nom vient de l’habitude qu’ont les danseurs de se curer le nez entre les danses). (2)
A Dinan :
« Dimanche à Dinan. Jour de première communion. Trognes rondes rosâtres rasées, porcines, des gamins engoncés dans leurs habits de velours noir; fillettes déjà formées suant ferme sous leurs amas de dentelles. Enfants de choeur ahuris emboîtant le pas du curé doré sur tranche. Déjeuner à « l’Albatros dolent », auberge recommandée par le Joanne comme la meilleure de l’endroit. Nourriture exécrable; le cidre est une infâme piquette; on nous sert au café des morceaux d’un gâteau local au beurre ranci appelé « far »; je manque y laisser une dent sur un pruneau encore muni de son noyau ….. Odeurs pestilentielles. Maxime et moi descendons une rue pentue bordée de vague boutiques. Derrière des vitrages crasseux, nous devinons des faces racornies, ridées, tavelées comme des rainettes de l’automne précédent : les a-t-on retirées de leurs claies pour leur faire prendre le jour gris, éviter qu’elles ne pourrissent avant octobre ….. Au bas de la descente, au-delà d’ un quai désert, stagne une étendue d’ eau brune et morne ….. Nous en demandons le nom à une passante embéguinée et sabotée. « Tiens, c’est la Rance, pardi ! » La Rance : quel nom bien choisi pour ce flot paresseux et sale ! « 

(Note de l’auteur : c’est cela que l’UNESCO vient de classer au patrimoine mondial de l’humanité ! Admirez l’intelligence des Français, le peuple autoproclamé le plus subtil de la terre. On ne peut rien imaginer de plus vulgaire, ni de plus imbécile.

Gustave Flaubert, Par les champs et par les grèves, édition nouvelle, établie à partir des manuscrits originaux par Léopold Jambrun (Presses de l’Université Libre du Haut-Verdon )

LES BRETONS : UN PEUPLE ANIMAL, QUI PARLE LE LANGAGE DES POULES. L’abomination qui m’a le plus ému, moi qui ai vécu mes dix-huit premières années dans la campagne bretonne, je la tiens de Morvan-Lebesque, chroniqueur et journaliste de génie, longtemps collaborateur estimé du  » Canard enchaîné « …

L’instituteur du village, comme cela était d’usage à cette époque, se rend ce jour là dans une ferme. Il s’agit d’admonester la pauvre fermière qui tient cette misérable exploitation, parce que son fils continue à parler à l’école un langage monstrueux : un charabia moitié breton – moitié français. La pauvre femme n’a jamais parlé que la langue de ses ancêtres. Elle bafouille, elle rougit, elle a honte, elle ne sait quoi dire ; coupable, elle baisse le nez, n’osant regarder son honorable visiteur. L’instituteur – un homme envoyé là par le pays des droits de l’homme, en service commandé, pour civiliser la campagne bretonne :

« Alors madame, chez vous aussi, on ne parle que le langage des poules ? ? ? ».

C’est abominable. Nos parents, nos grands parents, ont vécu des humiliations de cette nature. Mes grands parents maternels étaient quasi-exclusivement bretonnants. Mes grands parents paternels étaient bilingues, comme mon père. Les gens de ma génération ont totalement perdu l’usage de notre langue ancestrale, dont les origines se trouvent en Grande Bretagne, avant même les expéditions de Jules CESAR, au premier siècle avant Jésus-Christ.  » Nos  » politiques, toute honte bue, au lieu de conduire une action virulente de sauvegarde de ce trésor patrimonial, le laissent s’évanouir dans la nature.

VICTOR HUGO. LE BRETON selon HUGO : UN DEBILE MENTAL, irrécupérable, irrémédiable, définitif.

Quatre-vingts treize, 1874 :

 » D’un côté la Révolution française, de  l’autre le paysan breton. En face de ces évènements incomparables (le père Hugo ferait-il allusion aux deux millions de morts provoqués par la  » révolution », aux milliers de Bretons noyés dans la Loire, avec une sauvagerie INIMAGINABLE, aux quatre cinquièmes des habitations nantaises détruites par les Français, aux enfants et aux femmes écrasées sous les pas des chevaux dans les marais de Savenay, aux horreurs abominables commises en Vendée et en Bretagne ????) …

 » Qu’on place ce SAUVAGE, parlant une LANGUE MORTE ….. ce qui est faire habiter UNE TOMBE A SA PENSEE (!!!!!!!)……. (Ce paysan) VENERANT SA CHARRUE D’ABORD, SA GRAND MERE ENSUITE ……..  On se demande SI CET AVEUGLE PEUT ACCEPTER CETTE CLARTE « .
RAYMOND CARTIER, Les 19 Europes, Plon, Paris, 1960 : Les Bretons, DES ÊTRES GROSSIERS, DES DEMEURES :,

 » Ils vivaient dans leur langue pataude et leurs vêtements grossiers, COMME DES ESPECES DE BAS-BRETONS « .

LES BRETONS, NEGRES DE LA FRANCE :

Laurent TAILHADE  » L’assiette au beurre « , 3 octobre 1903 :

 » Il n’est pas de meilleur chrétien que cette crapule de Bretagne; il n’en est pas de plus réfractaire à la civilisation. idolâtre, lâche, sournois, alcoolique et patriote, les cagot armoricain ne mange pas : IL SE REPAÎT; il ne boit pas : IL SE SAOULE; il ne se lave pas : IL SE FROTTE DE GRAISSE; il ne raisonne pas : IL PRIE (!!!); et, porté par la prière, IL TOMBE AU DERNIER DEGRE DE L’ABJECTION .

 » C’EST LE NEGRE DE LA FRANCE, cher aux noirs ensoutanés, qui dépouille à son bénéfice de véritables miséreux « .

CHARLES PASQUA, professeur de morale, oie blanche parmi les hommes politiques français, l’homme du SAC, de la tuerie d’Auriol (voir Google),  aux innombrables procès, rejoint et condamné par le justice (enfin !), en 1992, à la suite du traité de Maestricht :

 » Les Bretons, C’EST COMME LES COCHONS « .

JEAN – LUC MELENCHON, 2007 : l’invraisemblable Mélenchon,  allié mental des Chinois au Tibet, admirateur de l’oeuvre « civilisatrice » des tortionnaires des Tibétains, assassins de leur culture, comme la France l’a été de la langue bretonne, le plus gros cerveau de la planète selon ses admirateurs (pas en poids, ni en densité, mais en volume seulement, car l’intérieur est creux), expose ses inénarrables théories sur les origines de la langue bretonne :

 » Le vocabulaire et la grammaire de la  » pseudo-langue bretonne « ,  …..furent fixées à la demande de l’occupant NAZI, en 1941 « .

 » Les écoles Diwan sont une secte « .

 » Le breton est la langue de la collaboration «  (Cette allégation tient du génie de son auteur : la collaboration s’est faite …. en français : et pour cause : aucun allemand ne parlait breton, les collabos ne dépassaient pas quelques centaines de personnes, les Français DES MILLIONS !).

LA BRETAGNE EN CHANSON, VERSION FRANCAISE  (Jacky Berroyer. 2006).

» Ah ! Connaissez vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ..L’IGNOMINIE est dépassée, non pas pour le pauvre type, au sommet dans l’ordre de la débilité intellectuelle, diffusé abondamment par les médias du pays des droits de l’homme, mais par les juridictions de ce pays, qui se sont déshonorées, une fois de plus, en refusant de condamner ces propos ignobles, au nom de la liberté d’expression (!) :

 » Connaissez-vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants sont hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ….

 » De Quimper à Concarneau, on voit passer des femmes promenant des porcs dans des landaus, pendant que leurs maris se soulagent dans les flots, et refusent de signer le protocole de Kyoto.

 » Ah ! Les Bretons sont vraiment immondes : ils mangent leurs enfants au lieu de se fournir au Tiers Monde. Si on leur reproche ça, ça les fait marrer, c’est leur humour moche noir comme leur marée « .

http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share

2011. L’insuffisant intellectuel Claude HAGEGE, professeur honoraire au Collège de France :

« La Bretagne a été rattachée à la France. C’étaient des sauvages. Mais ils sont devenus français.  »

(Emission de Frédéric TADDEI, le 8 février 2011, « Ce soir ou jamais ».

 

2012 : Marie DRÜCKER (tiens donc ?), présentant les cérémonies du 14 juillet 2012, parle de la lange bretonne comme d’un « patois ». Excuses 20 minutes plus tard. Trop tard : la langue bretonne existe avant Jésus Christ, le Français ne prend corps qu’après le 10 ème siècle. Selon madame Drücker, l’hébreu antique, langue sacrée selon certains, était-il un patois, un jargon, un mélange de sons inarticulés ou de borgborygmes sortis des cavernes de Cro-Magnon ?

2014 : Le vulgarissime Nicolas BEDOS, s’adressant à DIEUDONNE :

« Ma quenelle à moi s’appelle une merguez, et je te l’enfonce dans ton gros cul de Breton inculte ».

Peut-on laisser des débiles mentaux proférer de telles âneries, quels que soient les excès verbaux coupables condamnés par la justice – et par nous -, sur les chaines de télévision publiques, avec nos deniers ?

(Emission de Laurent RUQUIER, sur France 2, « On n’est pas couché », 11 janvier 2014).

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Réalisez vous, Français même si ce sont les plus bêtes et les plus corrompus d’entre vous qui ont éructé ces insultes graves, que les Bretons vont jeter tout cela aux oubliettes ???

Jean-Luc de CARBUCCIA, terminant l’émission à laquelle il avait convié Louis MELENNEC, à Lumière 101 (confere : L’assassinat de la Bretagne), avait conclu par ces propos :  » Toutes ces horreurs se payeront un jour « .

Ce moment est en train d’arriver. On récolte ce que l’on sème : ne soyez pas étonnés, Français, de ce qui arrive à votre pays. Après la révélation des horreurs réalisées par la France en Bretagne, c’est au tour de la France d’être HUMILIEE. C’est justice, même si les Bretons ne se réjouissent pas de la déliquescence de votre Pays : soyez assurés que nous sommes aussi affligés que vous de voir vos médias et votre presse nationale qualifier de nuls le couple au pouvoir, et les trois « acteurs  » politiques principaux qui se trouvent en face d’eux en ce moment, dans un ballet aussi ridicule que lamentable, de leurs véritables noms : le voyou, le pleutre, l’impuissant. Des Bretons, me dit-on, réfléchissent à une Constitution qui écartera cette sorte d’engeance des postes de responsabilité en Bretagne, lorsqu’elle aura accompli la même trajectoire que l’Ecosse, la Catalogne, mieux encore : l’Irlande, libérée du joug de son colonisateur depuis près d’un siècle.

Je termine par cette réflexion. Si, avec quelques qualités, les Bretons possèdent tant de défauts – le plus pernicieux, à mon avis, étant la jalousie, qui anime, bien plus que l’ignorance et la sottise, dont le lecteur aura un triste exemple en se reportant aux injures qui peuplent les  » commentaires  » sous l’émission de Jean-Luc CARBUCCIA (confere : La Bretagne assassinée), ils ont, en revanche, un sens très vif de la reconnaissance et de la fidélité.

Aussi suis-je heureux de dire à M. HAZO Nétanel, en mon nom et au nom de nos compatriotes, que les phrases qu’il a publiées dans l’Agence Bretagne Presse sur l’exceptionnelle résistance des Bretons à la phagocytose et à la dissolution dans un pays étranger,   le 31 août 2010, nous ont particulièrement touchés. Ces phrases ne sont absolument pas banales pour nous, là ou les Français sont encore incapables de comprendre les drames dont ils sont responsables. NI DES EXACTIONS QU’ILS SUBISSENT, qui les effraient, sans pouvoir en parler ouvertement, car les sophismes idéologiques qui fleurissent dans ce pays, ont  » bouclé  » le discours publics par des lois stupides, qui conduisent ceux qui tentent de s’en affranchir devant les tribunaux. M. Nétanel HAZO, nos peuples respectifs ont souffert des mêmes abominations dues à des êtres humains. Les nôtres, par bonheur, sont infiniment moindres que les vôtres, sauf en cruauté pour les horreurs perpétrées par la France  à Nantes et en Bretagne en 1793 et en 1794.
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PROPOS COLLIGES PAR LOUIS MELENNEC.

Consulter aussi :

– ABP, Le bêtisier.

– Contreculture.org.

– L’Agaça, Liberté d’expression en Occitània..

LA FRANCE EST EN FAILLITE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNEES, ET PART EN DEBRIS PAR L’INCROYABLE INCOMPETENCE DE SES  » DIRIGEANTS « . LES BRETONS DOIVENT FERMEMENT REPRENDRE LEURS AFFAIRES EN MAINS, ET SAUVER LEUR PAYS DU SUICIDE COLLECTIF DE LEUR VOISIN DE L’EST .

LA BRETAGNE N’EST PAS LA FRANCE : BRITTANY IS NOT FRANCE.

Notre pays est un pays spécifique, très particulier. Il ne ressemble à aucun autre. Il a son histoire, sa mythologie, ses valeurs, sa psychologie collective, son patrimoine, ses langues … Ses symboles nationaux, aujourd’hui retrouvés et fièrement assumés NE SONT NI DE PRES, NI DE LOIN CEUX DE LA FRANCE.

Il n’est plus possible, aujourd’hui, de dire aux Bretons que l’histoire de la France est l’histoire de la Bretagne : c’est l’histoire des Français. Les Bretons sont un peuple antique : ils existaient en tant que tel plusieurs siècles avant l’arrivée de Jules César dans La Grande Ile (l’Angleterre actuelle). La France ne prend consistance qu’à partir du 12ème siècle, sous la dynastie des Capet. Il n’est plus possible de dire aux Bretons que leurs couleurs nationales sont le bleu, le blanc, le rouge : les couleurs bretonnes, dès le moyen-age, depuis de très longs siècles, bien avant que la France adopte le tricolorisme, sont LE BLANC et LE NOIR, le GWENN et le DU (voir sur la toile : drapeau breton gwenn a du) … Nos héros bretons non seulement ne sont pas ceux de la France, ce sont ceux qui ont combattu les Francs, puis les Français. Les Bretons qui ont apporté leur concours aux Français, en particulier Duguesclin, promu connétable de France par le roi Charles V, sont très généralement considérés par l’opinion comme des traîtres.

Il est vrai que nous parlons le français, plus souvent que nous ne le devrions. C’est l’effet d’un assassinat, d’une éradication programmée, voulue, mise en oeuvre par le pays colonisateur. Mais, contrairement au pays qui jouxte nos frontières, si notre première langue nationale est bien le breton, nous reconnaissons, en démocrates que nous sommes, le plurilinguisme. Lorsque la Constitution bretonne sera en mesure d’être rédigée, elle le proclamera hautement, point ne sera besoin de simagrées ni de discours hypocrites pour le reconnaître : pour nous, bretons, cela va de soi : nous ne nous couvrirons pas du ridicule d’écrire dans notre loi fondamentale que  » la langue nationale  » de la Bretagne est le breton seul, à l’exclusion de tout autre idiome, et nous n’aurons aucun besoin de réviser ce texte pour autoriser les locuteurs français de Bretagne à parler la langue qu’ils souhaitent parler. La Bretagne actuelle est née en 851, de la réunion des royaumes bretons d’Armorique (la moitié ouest de la péninsule armoricaine, appelée plus tard  » Bretagne bretonnante « ), et des comtés de Nantes et de Rennes, ainsi que du Pays de Retz, ces trois dernières régions parlant à l’époque, non pas le français, qui n’existe pas encore, mais des idiomes romans.

Très ouvert aux autres cultures et aux autres civilisations, notre pays n’a pas besoin des autres pour se définir, certainement pas de la France, qui est son antithèse, sauf à reconnaître que certaines valeurs, dites Universelles, sont partagées par de nombreux pays, et que nous pouvons nous reconnaître les uns et les autres dans ces principes communs . Il y a peu, les Français disaient – rendant hommage à la beauté de notre pays – :  » La Bretagne est la plus belle région de France « . Cette formulation est tout à fait inacceptable aujourd’hui, et est violemment rejetée par la population : maintenant que son histoire est rétablie dans sa vérité, la Bretagne est l’un des plus beaux pays d’Europe, en aucun cas ne doit-elle être définie par rapport à la France : la Bretagne n’est pas la France, la France n’est pas la Bretagne … BRITTANY IS NOT FRANCE, FRANCE IS NOT BRITTANY  : cette formule, fréquente dans les sites et dans les blogs (voir Internet), est en train de devenir un adage, un précepte incontournable; aujourd’hui un grand nombre de bretons ont le courage de l’énoncer haut et fort; voir dans Google, et les nombreuses illustrations qui lui sont accolées. BRETONS, REPANDEZ PARTOUT CE SLOGAN, IL VOUS AIDERA DANS VOTRE PARCOURS INTELLECTUEL, et fera enfin comprendre aux Français, surtout s’il comprennent que nous ne cultivons à leur égard aucun sentiment de haine, que nous appartenons à deux nations différentes.

La Bretagne a été exploitée honteusement depuis cinq siècles. Depuis 1950, elle se relève, péniblement, malgré les entraves de toutes natures qui lui sont imposées par son voisin de l’Est : une fiscalité aberrante (300 impôts et taxes différents, dit – on, sans que personne puisse faire un décompte exact), une administration pléthorique, inutile pour l’essentiel, un recrutement des dirigeants par clientélisme, copinage, sans aucune considération, pour les fonctions principales, des compétences souvent nulles, une législation inextricable, étouffante, un enfer fiscal, une justice tenue en servitude pour les affaires importantes, des violations fréquentes des droits de l’homme, souvent sanctionnés par les juridictions et les institutions internationales   …

La dégradation de ce pays absolument non exemplaire a largement gagné nos villes bretonnes, notre commerce, notre industrie, notre marine, notre agriculture ….. Nos grandes villes sont corrompues par la voyoucratie, la délinquance, la drogue … Brest, Rennes, Nantes surtout, notre magnifique capitale historique et politique, brillent par des taux de délinquance  incompatibles avec nos valeurs, dont la première est LE RESPECT D’AUTRUI.

L’INCOMPETENCE DE L’APPAREIL D’ETAT FRANCAIS : LA PLUPART DES MINISTERES SONT CONFIES A DES NULLITES, SANS AUCUNE COMPETENCE, AUTRE QUE CELLES DES COMBINAISONS ET DES CALCULS POLITIQUES DONT ILS VIVENT.

Tout le monde le savait, rares étaient ceux qui osaient le dire ouvertement. Les médias, y compris ceux financés par l’Etat Français, ont prononcé des mots crus, que l’on n’attendait pas dans la bouche de ceux qui vivent du système, et ont amené au pouvoir il y a quelques mois, de plus mauvais encore que ceux qui étaient alors en place ……

LA FAILLITE ? François Fillon, premier ministre du pays dénommé  » LA  » FRANCE, l’a dit : En visite en Corse, pour la première fois depuis son arrivée à Matignon, il a affirmé, sans ambages, « être à la tête d’un Etat qui est en situation de faillite » :

« Je suis à la tête d’un Etat qui est en situation de faillite sur le plan financier, je suis à la tête d’un Etat qui est depuis 15 ans en déficit chronique, je suis à la tête d’un Etat qui n’a jamais voté un budget en équilibre depuis 25 ans. Cela ne peut pas durer », a-t-il martelé dans la matinée à Calvi (Haute-Corse).(AFP; 22 septembre 2007).

Quelques heures plus tard, il a tenté de démentir ses propos, en raison de l’effroi provoqué dans le pays, en précisant qu’il avait voulu utiliser une  » image  » pour décrire la situation calamiteuse de la France : Nicolas SARKOSY entre le jugement évident et le démenti, lui a frappé sur les doigts.

……………

L’INCOMPETENCE ? … Personne ne pouvait prétendre qu’on allait envoyer au Palais de l’Elysée, ni un génie, ni un stratège.

Cela ne date ni d’aujourd’hui, ni d’hier. Et cela n’est pas propre à la France. Eva ILLOUZ, sociologue connue, écrit que les politiciens israéliens ne sont pas régis par une morale qui pourrait les amener à agir contre leur intérêt et leur bénéfice politique. Israéliens ? Pourquoi donc ne pas citer les politiques français ?

J’ai souvent dit que les Bretons ont eu avec les Français au moins un malheur commun : d’avoir partagé avec eux, un chef d’Etat (ainsi l’a-t-on nommé, selon la coutume) nullissime, pendant DOUZE ANS (!), le plus mauvais depuis Hugues CAPET, c’est à dire depuis MILLE ANS. L’homme dont il s’agit ici, un tueur en politique, n’a rien vu, rien compris, rien fait, si ce n’est des erreurs dans l’analyse des situations, dans le traitement de presque toutes les grandes affaires de l’Etat . De Chirac, Jérome MONOD rapporte ce jugement de Dominique de VILLEPIN : ” Ce type n’a rien dans le crâne; moi, je suis sa cervelle; c’est moi qui le guide “. Ces phrases, pour moi, sont très indulgentes.

Des NULS, des INCOMPETENTS, des AMATEURS, des MOUS, des VELLEITAIRES  …. voila les beaux termes que la presse utilise maintenant pour qualifier les gens au pouvoir. Y compris les télévisions. La prétendue démocratie française est attaquée à belles dents par les journaleux qui ont fait les dernières élections … et toutes celles qui ont précédé.

François Hollande, tout  au long de sa carrière de rond de cuir, n’a jamais montré la moindre disposition à gouverner un jour un Etat, à plus forte raison la France, qui reste, une puissance économique non négligeable, malgré sa condition de déliquescence, une gouvernance pire que lamentable : absente, le désordre HALLUCINANT de ses finances, de sa législation – des centaines de milliers de textes de toutes natures, certains appliqués, la plupart inconnus ou tombés en désuétude, des lois votées dans le désordre, qui attendent depuis des années leurs décrets d’application, des contradictions inconcevables, des règlementations tatillonnes et ridicules (la plus nocive, sans doute, celle née de la loi imbécile dite des 35 heures  …) … Les collègues socialistes de François Hollande, les mieux placés pour le connaître, ont été les plus féroces … pour Laurent FABIUS, il est une petite fraise des bois (voir internet); pour son ex-compagne, madame Royal,  » François Hollande, en trente ans, N’A JAMAIS RIEN FAIT « ; pour d’autres, il est un paresseux fieffé …

On a le sentiment net que tout le monde s’essuie les pieds sur le couple si bien assorti qui se trouve, pour son malheur, à la tête de l’Etat Français, par la double faute des médias, et des électeurs qui ont entériné les balivernes qui leur ont été serinées pendant des mois.

Tout cela se savait, AVANT LES ELECTIONS du mois de Mai. Les journaleux, par haine contre Nicolas SARKOSY – qui, il est vrai, par ses maladresses répétées, son autoritarisme, ses interventions dans des domaines ne relevant ni de ses compétences, ni de l’élémentaire éthique politique, a alimenté largement ce sentiment dans de larges fractions de la population ….

Il faut lire – absolument – l’excellent livre de Gérard Davet et de Fabrice Lhomme, publié chez Stock en 2011, SARKO M’A TUER…

Je relève dans cet ouvrage, parmi les centaines de témoignages désormais publiés sur les  » dysfonctionnements  » de la justice française, confirmant ce que j’ai répété si souvent, les déclarations faites par M. Marc ROBERT.

Marc ROBERT ? Assurément, ce n’est pas un petit personnage, ni une couleuvre, ni un lâche. Procureur général près la Cour d’appel de Riom, ex-Président de la Conférérence des procureurs généraux européens  …. (pages 102 et 103) … lisons plutôt ses déclarations effrayantes :

 » Depuis quelques années, il y a eu une violence particulière de l’exécutif vis-à-vis de la justice, et UNE REPRISE EN MAINS, comme si le rapport de force devait, seul, guider les rapports entre les Institutions …. Il y a aujourd’hui, au sommet de l’Etat, comme un mépris de tout ce qui concerne la fonction publique, de tout ce qui sert précisément l’Etat, du droit aussi, comme s’il était un obstacle ….. Très vite s’est instauré un système fait d’un curieux mélange d’autoritarisme et de phénomènes de cour; toute tentative de discussion était assimilée A UNE REBELLION, et seuls trouvaient grâce LES COURTISANS, QUI FURENT PLETHORE. Le paroxysme fut atteint sous Rachida DATI … »
La justice était manipulée sous François MITTERRAND, d’une manière honteuse (lire et relire l’étude publiée dans le journal le Monde, maintes fois citée ici,   ….). La droite au pouvoir, après les promesses non moins honteuses de la campagne électorale de 2007 a-t-elle fait mieux : jugez-en.

Les socialistes ont été les principaux artisans de la catastrophe française. Ceux qui cogitent dans leurs bureaux, sans savoir ce qu’est l’action sur le terrain, se trompent, dans tous les cas. Mais ils ne sont pas les seuls, loin s’en faut. La lâcheté de la droite a été en tous points lamentable ..

………….

On apprend, de bonne source, que Martine AUBRY va être mise en examen pour son rôle, que l’on dit très néfaste, dans l’affaire de l’amiante. Je suggère qu’on la mette en examen, également, pour cette folie meurtrière contre l’économie de son pays : les TRENTRE CINQ HEURES. N’importe quel débile mental savait ce qui allait en résulter : nous y voici, donc …

Dans JSS news du 5 novembre 2012, on peut lire ceci, sur ses capacités d’avoir l’esprit  » embué « , au moins d’une manière fréquente :

 » Le problème que Martine Aubry aurait avec l’alcool est un secret de polichinelle dont la presse complaisante se garde bien de parler. Mais lorsqu’un tel problème frappe le leader du principal parti politique français, ancienne candidate à l’investiture présidentielle, cela ne relève plus de la sphère privée, mais bien d’un fait public. « 

J’ai lu quelque part, qu’elle venait en Bretagne pour tenter de se faire désintoxiquer. Son médecin désintoxicateur  ne serait autre que le mari de notre héroïne nationale : Marilyse LE BRANCHU, sa tendre et fidèle amie. Marie – Lou admet d’ailleurs que son mari est « addictologue ». Est-ce vrai, est-ce faux ? Cela appartient en effet à la sphère publique, et IL EST IMPENSABLE que les Français – et les Bretons – soient maintenus dans l’ignorance de ces faits, s’ils s’avèrent exacts. Leurs conséquences auraient pu être gravissimes. Imagine-t-on, si ladite dame, devenue présidente de la République, au retour d’une tournée de goguette, aurait pu avoir la lumineuse idée d’appuyer sur le bouton qui déclenche la guerre nucléaire ? Des fois que cela ferait un superbe feu d’artifice ? Si ces accusations sont fondées, elle devra les avouer. Si elles sont fausses, on lui fera des excuses. Si, comme le disent ses adulateurs , elle ne buvait que de l’eau rougie d’ un peu de vin, ce ne sera pas même un péché véniel. Si, au contraire, elle se saoûlait la figure, elle sera traitée en conséquence : ni les Français, ni les Bretons ne  pardonneront à cette dame si agressive, si prétentieuse, qui a eu l’audace de donner des leçons de morale à l’univers, au nom de ses principes faux et anté – diluviens. Dissimuler la vérité : NON ! Et si, comme le laisse entendre un livre récent, l’affaire a été montée de toutes pièces par l’un de ses concurrents politiques, alors, il faut remonter à ce personnage, et le jeter en prison.

Je rappelle que j’ai intenté à la dame AUBRY un procès devant la Cour de justice de la République (confere : affaire Mélennec, Aubry, Guigou, Gayssot), non sans avoir adressé aux intéressés, dans leurs bureaux ministériels, mes propres huissiers, appointés sur mes deniers, d’avoir à respecter la loi française, comme tout la monde, ET DE CESSER IMMEDIATEMENT D’EMPLOYER DES TRAVAILLEURS AU NOIR. Je connais particulièrement bien cette affaire, pour l’avoir instruite pendant plus de vingt ans, pour avoir rencontré au sénat et à l’assemblée nationale, puis saisi par lettres officielles plus de vingt députés et sénateurs (leurs questions écrites sur cette affaire ont été publiées au journal officiel; quelques lettres et documents sont publiés, non sur mon blog, mais sur mon site ), pour avoir rendu visite à plusieurs ministres en exercice, aux présidents des chambres sociales de la cour des comptes et du Conseil d’Etat, aux conseillers sociaux du premier ministre et du chef de l’Etat, à l’hôtel Matignon et à l’Elysée,  et, quasiment, à tous les journaux ………………. Peut être raconterai-je un jour ce que j’ai tenté de faire pour que les ministres coupables d’employer, en connaissance de cause, des milliers de travailleurs au noir,  soient traduits en justice à ce titre, et, le plus grave, comment l’affaire a été « éludée » à tous les niveaux, spécialement par la Cour de justice de la République; pire : par la Cour de Justice de Strasbourg, que j’ai saisie de cette affaire, et avec laquelle j’ai échangé des mémoires plusieurs années durant. Le ciel me serait tombé sur la tête : je n’aurais pas été plus stupéfait. J’avais été prévenu de ce qui allait se passer dans cette affaire dès 1992, par un ami haut magistrat, d’une intégrité absolue, qui me mit au courant, en ne me dissimulant RIEN du fonctionnement des juridictions françaises. Un certain nombre d’ années plus tard, on a appris que la célèbre Marie – Lou – une Bretonne, se présentant comme telle -, en faisait autant au ministère de la Justice. (Voir : employés au noir au ministère de la Justice). Les détails de l’affaire auraient mérité d’être diffusés dans la grande presse. Quelques journalistes ont eu une attitude franchement honnête (Le Canard Enchainé, Minute, l’Express, Rivarol, les revues et journaux médicaux ..). Les autres – dont le Monde, le Figaro, l’Humanité …. ont refusé de parler de l’affaire. Cette presse là est tenue par d’autres impératifs, dans lesquels la morale n’a aucun rôle à jouer. C’est là, véritablement, que j’ai compris, AVEC EFFROI, comment fonctionne la justice de l’Etat Français dans ce type d’affaire.

Rappelons aussi que la dame AUBRY a bénéficié pendant ses quatre années de fonctions ministérielles, de sommes élevées en espèces, plus importantes que son salaire, à elle versés en espèces par l’hôtel Matignon, sur les fonds prétendument secrets, c’est à dire non déclarés au fisc, et non imposés. (Je compte publier le rapport que le juge Jean Pierre m’a adressé, avec quelques autres, avant qu’il ne le rende public dans la presse). Elle a donc volé l’Etat français et les contribuables.

MAIS QUE FONT DONC NOS PLOUCS BRETONS DANS UN GOUVERNEMENT ETRANGER, COMPOSE D’AMATEURS, DANS UN PAYS QUI EST NOTRE ENNEMI DEPUIS LE 6ème SIECLE, QUI N’A CESSE DE NOUS AGRESSER, ET QUI VA NOUS DETRUIRE TOTALEMENT, COMME IL DETRUIT LA FRANCE DEPUIS DEUX GENERATIONS ?

Très peu de Français pensent que leur pays, qui a réalisé tant de hauts faits durant son histoire – en dépit des considérables dégâts dont il est aussi responsable -, pensent qu’il ne pourra un jour se relever. C’est mon opinion : la situation est irréversible. Nous en connaissons les causes ( = LA CAUSE) : chaque français la connaît, mais des lois de toutes natures lui interdisent de l’énoncer, sans courir le risque de se retrouver devant les juridictions correctionnelles.

Une partie importante de l’opinion bretonne – et de l’opinion française, on s’est battu pour qu’elle soit informée -, sait aujourd’hui que la Bretagne a été investie par les armées françaises en 1487 et en 1491, qu’elle a été annexée à deux reprises, en 1491 et en 1532, que notre dynastie – plus ancienne que celle des Capets -, et leurs ayants droits ont été écartés du trône breton par des manoeuvres crapuleuses, … que les Bretons, dont la cervelle a été moulinée et réduite en bouillie par la propagande éhontée de la France durant tout le 19ème siècle et la première moitié du 20 ème siècle, principalement par le canal des enfants, auxquels l’école de la république a imposé le catéchisme de  » LA » République, par une démarche TOTALITAIRE, un viol éhonté des consciences …

Privés de leur histoire par le pays occupant, les Bretons l’ont redécouverte – principalement par Internet, qui n’a pu faire échec à la recherche historique : la France n’est plus en état de nous empêcher de savoir qui nous sommes : et nous ne sommes certainement  pas des Français. Nous avons voulu, pendant longtemps, que l’enseignement de notre histoire soit rétabli dans nos lycées et collèges. Ce stade est dépassé : FRANCAIS, GARDEZ VOTRE HISTOIRE POUR VOUS, NOUS N’EN VOULONS PAS : la nôtre est maintenant écrite pour l’essentiel, et est accessible pour tous, dans Internet. Nous n’avons pas, nous n’avons PLUS besoin de vous, ni, en aucun cas, des professeurs d’université nommés par vous : Surtout, NE VOUS EN MÊLEZ PAS ! N’y touchez pas , ce serait encore une falsification.

Que peuvent donc aller chercher à Paris les  » politiques  » bretons ? Est-ce la vanité stupide d’être titulaire de ce l’on appelle un  » portefeuille « ? La seule justification de la présence de Bretons au sein du gouvernement français ne peut résider que dans une …

L’un d’eux est agrégé en histoire, et ne peut certes nier ce qui vient d’être écrit plus haut ..

…………..

(A suivre ….)

LA BRETAGNE SANS LA FRANCE : DAVANTAGE QU’UNE LIBERATION : UNE BENEDICTION .

 

GENOCIDE ARMENIEN, GENOCIDE BRITO – VENDEEN : DU NOUVEAU : LA

VERITE HISTORIQUE EST EN MARCHE; LA FRANCE NE PEUT PLUS MENTIR, NI

ARRÊTER LA REVELATION AU MONDE DE L’HORREUR DU GENOCIDE BRITO –

VENDEEN DE 1793 et de 1794.

 

REYNALD SECHER A L’HONNEUR  pour son livre : VENDEE, du GENOCIDE au MEMORICIDE  publié aux éditions du Cerf, à Paris, en 2011.

 

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Un proverbe chinois dit que celui qui parle vrai, et qui ose dire la vérité, est nécessairement coupable. Les Bretons se sont défendus avec acharnement jusqu’en 1789. A partir de cette année calamiteuse et affreusement meurtrière, on leur a écrasé la tête, pendant plus d’un siècle et demi. Ils ont courbé le front, ce qui était inconnu dans leur civilisation. Ils l’ont relevé : les coupables sont désormais connus, ils sont désignés par leur nom : dire la vérité est aujourd’hui la fierté des Bretons.

 

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LETTRE AU PREMIER MINISTRE ET AU GOUVERNEMENT TURCS .

 

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 LE DOCTEUR LOUIS MELENNEC

Ex Consultant près le Médiateur de la République française

à

MONSIEUR L’AMBASSADEUR de TURQUIE Tashin BURCUOGLU

MONSIEUR LE PREMIER SECRETAIRE Ali ONANER

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16 avenue de Lamballe    PARIS  (75016)

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OBJET : Génocide arménien, génocide breton et vendéen

 

A PARIS, le 15 octobre 2012

 

Monsieur l’Ambassadeur ,

Monsieur le Premier Secrétaire,

 

 

Nous, Bretons, avons le devoir impératif de sauver notre Pays, la Bretagne, du suicide collectif de la France, dont l’incompétence effarante, la lâcheté de ses dirigeants sont les cause principales.

Pour la France, LE PROCESSUS EST DESORMAIS IRREVERSIBLE : ce pays est virtuellement perdu, il ne pourra JAMAIS SE RETABLIR. On le lui a dit et répété depuis au moins quarante ans, il n’a rien compris : qu’il COULE, DONC.

 

Pour nous, il est encore temps d’agir : nous l’avons démontré tout au long de notre histoire, NOTRE FOI EN NOTRE AVENIR EST INTACTE, et contrairement à nos voisins de l’Est, nous saurons, avec la plus grande fermeté, accepter ceux qui sont dignes de partager nos valeurs, et exclure sans aucune faiblesse tous ceux qui violeront nos lois, sans rémission, et sans espoir pour eux de retour.

 

Vous rappelant nos correspondances des mois de janvier et mars 2012, à la suite de mes démarches auprès du Premier Ministre et du Gouvernement Turcs (confere : Mélennec, ABP, lettre à l’Ambassadeur de Turquie), demandant à votre Parlement de voter une loi reconnaissant le GENOCIDE PERPETRE, DANS DES CONDITIONS ATROCES, par les armées françaises en BRETAGNE et en VENDEE, en 1793 et en 1794, je vous adresse, dans l’attente de nouveaux documents, l’article publié par  » TURQUIE NEWS « , qui résume toute l’affaire.

Vous ne pouvez ignorer que M. François HOLLANDE a annoncé son intention de reprendre ce projet, de faire reconnaître par le Parlement français le génocide arménien, et de punir de sanctions sévères tout citoyen français qui nierait ce génocide.

NOUS, BRETONS, n’entendons ABSOLUMENT PAS que de nouveaux débats parlementaires se déroulent en France, sans que soit solennellement reconnu par la France les ATROCITES commises en Bretagne par ce pays qui nous a colonisés, notamment le massacre de nos armées nationales par les Français, lors de la guerre d’invasion de Notre Pays le 28 juillet 1488, à Saint-Aubin-du-Cormier (6000 morts), les massacres perpétrés par les armées de LOUIS XIV en 1675 (plusieurs milliers de morts), les dizaines de milliers de personnes innocentes assassinées par les armées sauvages des Français en 1793 et en 1794.

Dans la seule ville de Nantes, notre capitale historique et charnelle depuis près de 1000 ans, 4800 personnes furent NOYEES dans la Loire, dans des conditions qu’on n’ose évoquer sans frémir d’horreur.

Au nombre des morts que nous mettons au passif de la France, les 200 000 jeunes bretons enrôlés malgré eux dans les armées françaises durant la guerre franco – allemande de 1914 – 1918, qui occupent une place permanente et douloureuse dans nos mémoires. Ces morts tragiques, que la France désignait jusqu’à ces dernières années – par ironie sans doute -, sous le vocable de MORTS POUR LA FRANCE, sont aujourd’hui, à la suite d’une revisitation de notre Histoire Nationale, désignés comme des MORTS PAR LA FRANCE.

Vous ne serez donc pas surpris d’apprendre que, cinq siècles après l’invasion de la Bretagne par la France, la honteuse annexion de 1532, les procédés que la France a mis en oeuvre avec un acharnement inoui pour extirper de nos têtes la fierté d’être Bretons, notre sentiment national d’appartenance n’a jamais été aussi puissant, et que, pas davantage que les Ecossais et les Gallois, nous n’acceptons d’être traités de  » Français « , ce qui, pour nombre d’entre nous, constitue une INJURE.

Depuis nos échanges du début de cette année 2012, la presse française a révélé un autre génocide perpétré par le France au Cameroun, l’une de ses colonies d’alors en Afrique. Il s’agit bien d’un génocide, car TOUTE LA POPULATION CONCERNEE DEVAIT ÊTRE PASSEE PAR LES ARMES. Je vous adresse par courrier séparé les articles parus à ce sujet dans la presse française (Le Monde, Le Figaro …). L’affaire a été étouffée, personne n’en parle plus, en tout cas pour le moment. Il est essentiel, pour la vérité et pour notre honneur, que vous soyez informés de celà.

La présente a pour objet de vous transmettre L’INVITATION, au nom de M. Reynald SECHER (voir la biographie de M. SECHER dans Wikipédia, accessoirement ma propre biographie, également dans Wikipédia), l’historien immense qui a eu le courage, après de longues années de travaux, de soutenir en Sorbonne, devant un jury prestigieux (M.M. Chaunu, Tullard, Jean Meyer ….), une thèse extrêmement motivée, par laquelle nous sommes aujourd’hui informés de cet épisode horrible, que l’Etat français a tenté de dissimuler, sans succès heureusement, grâce à lui.

Le mercredi 17 octobre 2012, à 18 heures 30, M. SECHER sera honoré pour ses travaux, et pour les services qu’il a rendus à TOUS LES BRETONS COMME A TOUS LES CITOYENS DU MONDE, par les Gouvernements de la Fédération Wallonie – Bruxelles et de Wallonie, ainsi que par l’Association Nouveaux Droits de l’homme, au siège de la Délégation Générale de Wallonie – Bruxelles, sise au 274 boulevard Saint Germain, Paris (75007).

Je vous transmets à cette fin ma propre invitation.

Bien entendu, je serai présent.

Je vous remercie de vouloir bien transmettre la présente à M. ERDOGAN, et au Président de votre Parlement, afin que bonne suite soit donnée aux démarches déjà entreprises.

Une invitation est également adressée à M. l’Ambassadeur et à madame la Première secrétaire de l’Ambassade de Hongrie, 5 square de l’avenue Foch, à Paris (75116) : comme vous le savez, par l’action de la France et de Georges Clémenceau, la Hongrie a été amputée, par le Traité dit de Trianon, en 1920, de 72 pour 100 de son territoire. Je sais à quel point la blessure infligée injustement à la Hongrie saigne encore d’une manière très douloureuse : ce sont des choses que nous, Bretons, connaissons et comprenons parfaitement, notre territoire national étant toujours amputé, par le même pays, de sa capitale historique, et de la région qui l’entoure.

 

 Recevez, monsieur l’Ambassadeur BURCUOGLU, monsieur le Premier Secrétaire ONANER, l’assurance de ma parfaite considération.

 

 

 

LOUIS MELENNEC, docteur en droit et en médecine, DEA d’histoire, ex – consultant près la Médiateur de la République française.

 

La présente lettre est publiée in extenso dans le blog de Louis Mélennec (politique et actualités). Elle est adressée aux destinataires de notre chronique sur le racisme, l’esclavage, le colonialisme, afin que, l’histoire qui leur a été enseignée étant fausse, ils soient informés, sans fatigue pour eux, car ce sont d’autres personnes qu’eux -mêmes qui ont consacré des années de leur vie à décrypter des archives et des évènements dont ils n’ont jamais entendu parler.

 

Les 65 membres du Conseil municipal de Nantes sont rendus individuellement destinataires de la présente, y compris M. Jean – Marc AYRAULT, conseiller municipal, ancien maire. Ce dernier ayant fait part ces derniers jours d’envisager le versement de réparations aux anciennes colonies françaises, pour cause d’esclavage – non sans avoir été rabroué par M. François HOLLANDE -, il lui est demandé de préparer de son propre gré un mémorandum pour la Bretagne, pour cause des dégâts colossaux perpétrés par la France dans notre pays; depuis 1532, génocide et massacres compris. Nous y apporterons nous – mêmes les corrections qui s’imposeront.

Les Bretons qui lisent cette chronique sont priés de la multiplier partout, par l’envoi à ceux qu’ils considèrent comme leurs  » élus « , fussent-ils agités de tremblements de peur, qu’eux seuls s’infligent à eux – mêmes. Bien sûr, leurs deux principaux  » quotidiens subventionnés « , sont une cible à ne jamais épargner, quelque précaution qu’ils puissent prendre pour feindre d’amorcer un revirement de leur politique éditoriale, qui les situent au niveau de la  » PRAVDA  » du régime de l’URSS : ils auront un jour à rendre compte de leurs actes de désinformation, contraires à toute éthique.

 

LECTURES INDISPENSABLES :

 

– MELENNEC, ABP, LETTRE A L’AMBASSADEUR DE TURQUIE.

 

 – LA COLONISATION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE, DE 1532 à 2012 (voir Google).

 

– LES CRIMES CONTRE L’HUMANITE et de GENOCIDE PERPETRES PAR LA FRANCE EN BRETAGNE (idem).

 

 

Compte tenu de la personnalité du préfacier du livre de M. SECHER, maître Gilles – William GOLDNADEL, président d’Avocats sans frontières, il est important de reproduire ce qu’écrit cet éminent juriste dans le texte qui introduit l’ouvrage, en raison de son origine et de la souffrance que lui et les siens ont endurée, dont ils ne guériront JAMAIS :

 

 »  Je suis juif, et le revendique, sans honte et sans vanité ….. L’INCROYABLE, L’IMPENSABLE, L’INIMAGINABLE, est que ce génocide est le fruit de ceux qui disaient agir au nom de principes nouveaux, de DROITS UNIVERSELS : LES DROITS DE L’HOMME. Ce génocide est bien un crime légal, il est ABSOLU ET TOTAL ….. Pourquoi PERSONNE, AVANT REYNALD SECHER, ne s’était posé la question de la véritable nature de ce qui s’était passé …? Là  pour moi est les SCANDALE, un scandale incroyable. Pourquoi un tel silence ? Pire, pourquoi une telle inversion des faits qui entraîne que les bourreaux deviennent des victimes, et les victimes des bourreaux …. Alors, ou est le véritable scandale ? N’est-ce pas cela que l’on appelle LE NEGATIONNISME ?  »

 

……… (A suivre ….)

 

 

 

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L’ ACTION CIVILISATRICE ET HUMANITAIRE DE LA FRANCE DES DROITS DE

L’ HOMME AU CAMEROUN : UN GENOCIDE PROGRAMME, ARRÊTE A TEMPS.

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Les usagers français de la route, qui croisent un chemin de fer, sont charitablement avertis par une pancarte : ” Attention, UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE “. En France aussi, UN GENOCIDE PEUT EN CACHER PLUSIEURS AUTRES.

On sait maintenant que le génocide brito-vendéen n’a pas été isolé.

AU CAMEROUN, si on en croit les journaux Le Monde, Le canard enchainé, l’Express, un véritable génocide a été perpétré par la France, peu avant l’indépendance. Bilan : 100 000 morts.

Ce n’est pas tout, bien sûr. Selon certains auteurs, LA COLONISATION DE l’ALGERIE se serait soldée par la “disparition” d’un tiers de sa population de 1830 (David EL KENZ, Le massacre, objet d’histoire, page 267, Gallimard 2005, collection folio histoire). Je n’ai aucune donnée précise sur la véracité de ce chiffre. Mais des chercheurs y travaillent. Si ce que l’on dit est vrai, la Turquie a envisagé ces dernières semaines de se servir de ces données. Elle a quelque peu calmé son ardeur : le territoire qui s’appellera plus tard l’Algérie a été conquis – en partie au moins – par les Turcs. On possède des témoignages sanglants de la manière dont cela s’est réalisé, et sur les actes commis par les Turcs qui ont maintenu sous le joug les zones contrôlées par eux jusqu’en 1830. De même, les conquêtes turques ont été d’une cruauté rare. Il y a apparence, ce jour, que les horreurs commises par la France et par la Turquie se neutralisent mutuellement : LA FRANCE N’A AUCUNE LECON A DONNER A LA TURQUIE. On revient à la case départ : si les Bretons n’agissent pas par eux mêmes, PERSONNE D’AUTRE N’AGIRA A LEUR PLACE. Et s’il n’agissent pas, CE SERA BIEN FAIT POUR EUX.

Un certain nombre d’ouvrages sur l’Algérie d’avant la conquête de 1830 se trouvent sur la toile, et sont téléchargeables gratuitement. Je recommande, en guise d’introduction, le livre de LAUGIER de TASSY, sur l’Histoire du royaume d’Alger, très honnête, et passionnant.

 

 

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LE MONDE 23.06.08
Comment le Cameroun est passé de la colonisation à la dictature
[…] La France choisit le futur président Ahidjo, non sans avoir tout fait pour écraser le principal parti d’indépendance, l’UPC (Union des populations du Cameroun).[…]La répression contre l’UPC est d’une extrême violence : torture, assassinats, exposition des têtes coupées des victimes, bombardements.[…] Epaulées par l’armée française, les forces camerounaises appliquent ses méthodes. Dix années de terreur et des centaines de milliers de morts seront nécessaires pour venir à bout de l’opposition. Aujourd’hui, Paul Biya, héritier du régime Ahidjo, conserve le soutien de la France.[…]

LE CANARD ENCHAINE 27 avril 2011, page 3
Une guerre française au Cameroun cachée pendant quarante ans.
Récemment diffusée sur la chaîne Public Sénat, l’enquête “Foccart, l’homme qui dirigeait l’Afrique” éclaire un passé militaire méconnu de la France. Avec l’appui des gouvernements de la IVème République puis de Degaulle et de Foccart, son conseiller Afrique, Paris a mené des guerres secrètes sur ce continent.Exemple, la répression menée au Cameroun, entre 1956 et 1962, dont le bilan dépasse sans doute 100.000 morts. Tandis que s’installait un régime de terreur et de torture.
Telle est aussi la conclusion d’un récent ouvrage, “Kamerun!” (éditions La Découverte), fruit d’une enquête très documentée des journalistes Thomas Delttombe et Marcel Domergue et de l’historien Jacob Tatsitsa.Tout commence avec la création de l’Union des populations du Cameroun (UPC), un parti pacifique qui, en 1948, a l’audace de réclamer l’indépendance. Avant de passer à la lutte armée (attentats, assassinats), huit ans plus tard, en 1956. Le haut-commissaire de cette colonie française se nomme Pierre Mesmmer (futur Premier ministre, de 1972 à 1974). Avec l’accord du gouvernement, il déclenche la répression. “Puisqu’ils n’acceptent pas le jeu démocratique (sic), je les … élimine“. Commentera-t-il, à la télé, des années plus tard. […]
Nombre de coloniaux gouvernent par le racisme et la diabolisation de certains ethnies, par exemple les Bamilékés, vivier de l’UPC, victimes d’effroyables pogroms.
Références nazies.A l’approche de l’indépendance promise en 1960 par de Gaulle, la France met en place une administration néocoloniale. On installe ainsi le président Amadou Ahidjo, et l’on dote le pays d’une Constitution sur mesure, assortie d’accords secrets d’assistance militaire. Les conseillers du Président sont nommés par les Français. Au nombre desquels Samuel Kamé, qui avoue son admiration pour les régimes fascistes et cite volontiers Hitler et Goebbels. C’est avec ces alliés que Paris prépare son ultime opération avant de retirer le gros de ses troupes : la liquidation de l’UPC, qui persiste ) combattre pour une authentique indépendance. Camps à l’allemande.Depuis la fin 1959, les opérations antiguérilla se sont intensifiées. La torture n’a plus pour seul but de faire parler les chefs maquisards, elle devient systématique à l’égard des opposants. Gégène, baignoire, balançoire, importées d’”Indo” ou d’Algérie, sont pratiquées dans tous les postes de police. Des prisonniers sont jetés vivants dans les chutes d’eau de la rivière Metchié. L’un deux, en tombant entraînera d’ailleurs dans la mort un gendarme français.
Des camps de concentrations sont édifiés. Ancien haut-commissaire (il sera plus tard ambassadeur, puis maire de Cannes), Maurice Delaunay évoque, dans ses Mémoires, celui de Bangou : “J’avais été prisonnier en Allemagne, je savais comment ça se passait ! J’avais fait un camp avec des barbelés, des miradors“.
Il abrite 700 à 800 détenus, gardés par des gendarmes français et camerounais.
L’année 1960 est terrible. “Je décide d’entreprendre une véritable reconquête”, écrit le Premier ministre, Michel Debré. Une note secrète (mars 1960) de l’état-major, dirigé par le général Max Briand, recommande d’”annihiler les groupes terroristes…et leurs sympathisants”, ce qui autorise les massacres de masse. Briand a rapporté cette riche idée : exposer les têtes coupées des rebelles sur la place publique. L’ouest du pays est bombardé. Des centaines de milliers de personnes sont déplacées dans “des villages de regroupement“.
En octobre, le SDECE (future DGSE) repère le chef de l’UPC, Felix Moumié, à Genève et le fait assassiner (empoisonnement) par son agent William Bechtel…

LE MONDE 04.10.11
La guerre coloniale du Cameroun a bien eu lieu

 A moins d’un improbable coup de théâtre, Paul Biya, 78 ans, président du Cameroun depuis 1982, sera “réélu” pour un nouveau septennat le 9 octobre prochain. Malgré les fraudes électorales, les journalistes emprisonnés, les opposants menacés et une corruption omniprésente, il aura droit aux félicitations de Paris, comme cela a toujours été le cas depuis trente ans. Paul Biya est arrivé au pouvoir sans jamais avoir été élu, ni s’être jamais présenté à la moindre élection. Il a simplement été désigné par son prédécesseur Ahmadou Ahidjo, qui gouverna lui aussi son pays d’une main de fer. A l’origine de ce demi-siècle de dictature, on trouve une guerre. Une terrible guerre coloniale menée par l’armée française, une guerre cachée et encore taboue aujourd’hui, qu’il nous appartient à nous, Camerounais comme Français, de regarder en face.[…] La Ve République du général de Gaulle a poursuivi la même politique de répression après l’”indépendance” confiée au candidat choisi par Paris, le président Ahmadou Ahidjo. En accentuant encore la guerre à l’ouest du pays à l’aide de bombardements intensifs, qui mirent à feu et à sang toute la région “bamiléké”. Combien de morts ce terrible conflit a-t-il provoquées ? De 61 000 à 76 000, comme l’estimait l’ambassade du Royaume-Uni en 1964 ? 120 000, comme le rapportait deux ans plus tôt André Blanchet, alors journaliste au Monde ? Davantage, comme l’affirment certains commentateurs ? Dénoncée depuis des décennies et aujourd’hui largement documentée, cette guerre reste un tabou français. On retrouve cette négation, officiellement exprimée, dans la bouche de François Fillon en mai 2009. Interrogé sur ces “événements” et, notamment, sur l’“assassinat par l’armée française de certains nationalistes camerounais”, le premier ministre osa dire que “tout cela” relevait “de la pure invention”. L’armée française a pourtant, d’après ses propres archives, assassiné Ruben Um Nyobé, secrétaire général et leader charismatique de l’UPC, en septembre 1958. Ses services secrets ont, comme l’ont avoué plusieurs de leurs responsables, fait empoisonner à Genève Félix-Roland Moumié, président de l’UPC, en octobre 1960. L’aviation française a, toujours d’après les archives françaises, tiré à l’ouest du Cameroun des centaines de milliers de cartouches entre décembre 1959 et septembre 1960… Que M. Fillon aille vérifier par lui-même …

 

( A suivre )…………..