LES FRANCAIS NE PEUVENT PLUS IGNORER LES ATROCITES COMMISES PAR LEUR PAYS EN BRETAGNE .

 

LETTRE AUX JOURNALISTES DU MONDE.

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Le docteur LOUIS MELENNEC

à

Monsieur Christophe AYAD,

et aux journalistes du Monde

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Monsieur AYAD,

Je vous remercie pour votre lettre, par laquelle vous me demandez de vous « désabonner » des articles que je publie dans mes blogs et ailleurs, articles que je vous ai régulièrement adressés jusqu’à ce jour.

J’ai consulté votre biographie dans WIKIPEDIA. J’invite mes lecteurs à en faire autant.

Je vous remercie d’avoir bien voulu souligner que vous respectez les convictions et le combat des Bretons. Cela démontre que, vous et un certain nombre de vos collègues du journal Le Monde, sont maintenantau courant de ce qui s’est passé en Bretagne, et ce qui continue à s’y dérouler, en violation flagrante du Droit international, concernant les prérogatives intangibles des nations dites « minoritaires », qui sont violés quotidiennement par la France, violations qui sont connues et dénoncées par les organismes internationaux et par l’O.N.U.

Vos articles ne relevant pas des thèmes que je publie, je n’ai, en effet, aucune raison de continuer à vous adresser mes chroniques, qui portent, principalement, sur l’histoire du peuple Breton, et sur l’actualité politique.

Mais vos collègues du journal Le Monde, – comme les journalistes des autres grands quotidiens français : le Figaro, L’Express, Le Parisien, Le Nouvel Observateur .. -, continueront à les recevoir, individuellement, par mail : ce travail, que j’ai initié il y a plusieurs années, et mené personnellement, en raison du silence assourdissant des médias français, porte ses fruits; j’en ai  des preuves surabondantes.

Une partie au moins de la France – le gouvernement de ce pays, à plus forte raison -, est maintenant au courant de nos problèmes, qui ne datent pas d’aujourd’hui, mais durent depuis CINQ SIECLES, précisément depuis les invasions de la Bretagne par les armées françaises en 1487, et l’anéantissement de nos armées nationales au champ d’honneur de Saint-Aubin-du-Cormier (voir ce nom dans Internet), le 28 juillet 1488 : la France est en Bretagne par l’effet de la violence et de la barbarie, non pour un autre raison.

Les Bretons ne sont pas français, et ne le seront jamais.

Les deux quotidiens qui paraissent en Bretagne, sont subventionnés par Paris – comme l’Humanité -, ce qui les réduit au silence – d’aucuns disent : à la collaboration -, tout en gaspillant les contributions des citoyens, ce qui, sûrement, leur vaudra un jour d’avoir à en rendre compte.

Je vous demande d’avoir la PATIENCE de lire encore QUATRE ARTICLES de ma main – que je choisirai -, et de les compulser avec la plus grande attention : vous êtes honnête homme, journaliste de surcroît : il est légitime que vous soyez informé, puisque c’est votre métier et votre raison d’être.

Ce que vous avez lu sur les atrocités commises en Bretagne, vous ont sûrement convaincu pourquoi nous Bretons, tenons à faire connaître la vérité aux Français et au monde. Ce travail est aujourd’hui très avancé : aucun recul n’est désormais envisageable.

L’histoire officielle est une série de falsifications, écrites dans l’intérêt de ceux qui détiennent le pouvoir – pour cette raison, non par leur mérite, je ne vous apprends rien sur ce point -, et qui, en conséquence, manipulent les médias.

Pour Notre Nation Bretonne, encore effrayée et écrasée par les turpitudes de la France depuis CINQ SIECLES – les invasions, une colonisation implacable, les massacres, le génocide de 1793 et 1794, la destruction voulue et programmée de notre langue, le pillage de nos ressources humaines et économiques, pire : l’écrasement de nos cerveaux -, l’ère de la vérité commence à peine.

Ces forfaits ont été dissimulés jusqu’à aujourd’hui. Aussi effarant que cela soit, notre histoire nationale n’est toujours pas enseignée dans nos écoles : la France, parce qu’elle détient la force, lui a substitué la sienne, qui-ne-nous-concerne-pas.

Ce travail patient d’information sera doublement bénéfique : pour nous, car nous compterons, en votre personne, UN journaliste éminent de plus qui aura eu accès à la vérité; pour vous peut-être, car la curiosité intellectuelle est l’un des fondements importants de votre métier, souvent abusé par les mensonges du pouvoir, qui sont permanents ; peut-être tenterez vous d’en savoir davantage.

Nul doute que le journal LE MONDE, et tous les autres vont s’intéresser dans peu de temps à notre histoire, et que ces médias contribueront à nous libérer entièrement d’une servitude aussi scandaleuse qu’incompétente. Dans ce domaine, nos « politiques » bretons, actuellement clients chroniques et vassaux du pouvoir français, sont plus que défaillants, n’occupant leurs fonctions que par l’onction préalable qu’ils doivent recevoir de ceux qui la donnent, pour avoir une chance d’être élus.

Les symptômes du renouveau se multiplient en Bretagne : nous allons maintenant, très franchement, dans la même direction que la CATALOGNE, l’ECOSSE, et tous les pays qui se sont libérés de l’étreinte insupportable de leurs colonisateurs.

La France, comme la Bretagne, meurent de l’incompétence des tristes personnages que des élections manipulées, résolument non démocratiques, maintiennent au pouvoir, et qui s’auto-reproduisent en se recrutant par clientélisme. Le spectacle qu’ils donnent au pays est lamentable, pour tout dire, il est à leur image : MINABLE. Par bonheur, les médias français osent maintenant parler ouvertement de la nullité des membres du gouvernement, même si l’on doit faire exception pour quelques personnes estimables. Il devient évident, devant ce désastre que nous vivons au quotidien, que les combines ne peuvent plus servir de fondement au recrutement du personnel politique, pas plus que des clients qu’ils mettent dans les fonctions principales de l’Etat dès qu’il détiennent les commandes.

Recevez l’assurance de mes cordiaux sentiments.

Dr Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-Consultant près le Médiateur de la République française.

A PARIS, ce 3 JANVIER 2013.

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QUELQUES CORRESPONDANCES.

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– DE M.P. BRETAGNE.

 Vous pouvez être fier et heureux pour la Bretagne. Vos chroniques sont presque devenues les plus lues, et les plus commentées en cette année 2012. C’est beau. Cela prouve vos qualités d’homme et l’efficacité de votre action.

Bloavez mat, va mignon. Kenavo laouen.

 Réponse. Je ne fais que mon devoir. Mon souhait est que les Bretons libèrent enfin leur langue : je le fais, il n’y a aucune raison que nos compatriotes, terrorisés depuis des siècles, mis à genoux par les massacres de 1675, puis de 1793 et 1794, surtout par l’écrasement des cerveaux de la révolution dite – par dérision –  » des droits de l’homme », à nos jours, n’en fassent pas autant.

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–  De PLM (Morbihan, Bretagne).

 Votre article sur la colonisation de la Bretagne, cher Louis Mélennec, est remarquable de clarté et de concision : c’est toute l’histoire de la dernière colonie française que vous résumez en quelques pages.

Depuis que j’ai compris les falsifications de notre histoire , l’ethnocide et le génocide qui ont conduit les bretons à tomber si bas,  je n’ai jamais lu de texte aussi clair. Jeune, derrière mon Père et mon frère ainé, je me suis engagé dans la lutte contre les occupants nazis. A vingt ans, à une époque ou l’ONU n’existait pas, j’ai compris que les troupes françaises avaient fait la même chose que les nazis en Bretagne.

Kenavo. Au nom de tous, MERCI.

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– De N le G et  J J L G (Quimper).

Docteur MELENNEC !

Vous remettez les pendules à l’heure. Dans tous les domaines : l’histoire, l’économie, l’avenir de notre Pays : la Bretagne …

L’urgence : que les Bretons prennent conscience de la réalité, et qu’ils se libèrent définitivement du joug de la France.

Oui, la Bretagne remplit toutes les conditions pour réapparaître sur la scène internationale. Elle y fera bonne figure : nos compatriotes sont appréciés, partout.

Grand Merci à vous, docteur Mélennec : vous nous redonnez notre Fierté. Les progrès dans l’évolution de la prise de conscience des Bretons est maintenant considérable, et irréversible.

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Réponse du docteur Mélennec à M. D., Breton de Paris :

 

Je suis un pestiféré des médias publics français. Les rares émissions télévisées qui m’ont été consacrées n’ont jamais été diffusées : c’est ainsi que l’on procède, au pays des droits de l’homme.

A mon âge, je peux – me semble-t-il – m’autoriser à raconter quelques anecdotes personnelles.

La dernière émission qui me fut consacrée, programmée – je crois, par Canal Plus ou par France 5 -, fut acceptée par moi sous une condition, IMPERATIVE : que quelques minutes soient consacrées au procès intenté contre Martine AUBRY, GUIGOU … devant la Cour de Justice de la République (voir le bref mémoire de saisine de la Cour, rédigé par mes soins, dans la rubrique  » Affaire Mélennec , Aubry,  Gayssot, Guigou .. », dans l’affaire des emplois au noir de l’Etat Français (plusieurs dizaines de milliers de personnes, dont un certain nombre par le Ministère de la Justice, notamment du temps de la bonne Marilyse LEBRANCHU, héroïne bretonne bien connue; on retrouvera sans peine trace des exactions du ministère en cause dans ses activités d’employeur au noir, comme de celles des autres ministères, dans la presse et dans le Journal Officiel de la république des droits de l’homme, l’Express du 22 8 2002, etc) … Cette demande fut jugée raisonnable, car peu de gens adhèrent au discours de propagande diffusé par les médias français, presque tous victimes de l’autocensure de ceux qui détiennent les commandes, et les grosses rémunérations qui vont avec.

Le tournage de l’émission, à mon domicile parisien, fut fort long. Les techniciens, surpris par la franchise de mon discours, applaudirent : cela les changeait de l’hypocrisie quotidienne. L’émission fut programmée pour le mois suivant, puis encore pour le mois suivant …. Elle ne fut jamais diffusée. Le concepteur de l’émission n’y était pour rien. Il n’avait émis aucune réserve sur mes propos, bien au contraire, il était enchanté, parce que, comme d’habitude, je n’avais dit que la vérité. On m’expliqua que des difficultés techniques, etc, etc. Ce qui ne me surprit en rien, car je connais fort bien cette République, et n’avais pas cru, un seul instant, qu’elle était capable d’accepter une vérité aussi accablante ..

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DE  M. T. (PARIS). Que pensez vous de l’affaire DEPARDIEU, et de la fiscalité française, en général ?”.

REPONSE. J’ai dit à peu près tout ce que j’avais à dire sur l’histoire de la Bretagne. S’il y avait eu d’autres candidats pour cette oeuvre de justice et de morale, je me serais dispensé d’y investir toute cette énergie : mais il fallait que quelqu’un le fasse. L’avenir de la Bretagne ne peut se reconstruire que sur des fondations solides, ces fondations ne peuvent être que l’Histoire plus que bi-millénaire des Bretons.

S’agissant de la fiscalité, c’est un roman qu’il faudrait écrire pour vous répondre. Je vais consacrer un bref article, en réponse à votre chronique, à l’impôt sur le revenu en France et en Bretagne.

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REFERENDUM POUR LA FRANCE ET LA BRETAGNE.

Nous avions, en 2002, à l’occasion des élections présidentielles,  élaboré un REFERENDUM POUR LA FRANCE, qui a disparu de la toile, et qui, sous la forme et le prétexte d’un questionnaire très détaillé, proposait aux citoyens, en y répondant, de choisir la gouvernance qu’ils souhaitent pour eux mêmes. En filigrane caché : les questions qui concerneront aussi la Bretagne, lorsqu’elle sera en mesure de décider de son sort. Ce questionnaire-programme politique porte deux signatures : celles de Claude REICHMAN et la mienne.

Claude REICHMAN me dit , ce 25 janvier 2013, l’actualité du processus référendaire étant criante, les citoyens vivant dans l’angoisse de ce qui va advenir à leur pays, gouverné dans une incompétence effarante, que le questionnaire-référendum que nous avions élaboré en 2002 doit être republié.

Nous avions eu raison trop tôt, et nous avons parlé dans un quasi-désert, les médias et le politique étant tenu à l’époque par des couards et des peureux.

Il va donc refleurir dans peu de temps, dans ce blog et dans le site de Claude REICHMAN. On peut visionner la chaîne de télévision qu’il tient sans aucune subvention de personne.

Quelle méthode avons nous retenue pour rédiger ce texte ?

Ce REFERENDUM POUR LA FRANCE (et pour LA BRETAGNE) comporte SIX CHAPITRES :

1 – LA CLASSE POLITIQUE (10 questions).

2 – L’ADMINISTRATION (12 questions).

3 – LA LEGISLATION (7 questions).

4 – L’ECOLE (12 questions).

5 – LA SECURITE (46 questions).

6 – L’IMMIGRATION (26 questions).

A travers un questionnaire très serré, très étudié dans ses moindres détails, envisageant tous les aspects de la vie nationale (française ou bretonne), il est demandé aux citoyens, d’une manière systématique et très  » fouillée « , DE DEFINIR D’UNE MANIERE DEMOCRATIQUE LA REPUBLIQUE QU’ILS SOUHAITENT.

A l’époque, n’ayant pu obtenir le moindre concours de la République des Droits de l’Homme, nous avion diffusé ce référendum en plusieurs milliers d’exemplaires. Les réponses ont été très concordantes : plus de 90 pour 100 des personnes interrogées ont répondu dans le même sens : LES CITOYENS SAVENT TRES BIEN CE QU’ILS VEULENT, et ce qu’ils veulent n’est ABSOLUMENT PAS CONFORME aux insanités que les médias déversent sur eux chaque jour, chaque soir, chaque nuit.

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Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-consultant près le Médiateur de la République Française.

 

 

 

 

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