L’INDEPENDANCE, SEUL ET INELUCTABLE DESTIN POUR LA BRETAGNE, ENFIN LIBEREE DU PAYS PREDATEUR .

 LA BRETAGNE, AVEC STUPEUR, APPREND ET METABOLISE, LENTEMENT MAIS SÛREMENT, SON HISTOIRE. SANS AUCUNE SORTE DE DOUTE, ELLE PREND LE CHEMIN DE L’ECOSSE ET DE LA CATALOGNE.

CINQ SIECLES D’OCCUPATION VONT-ILS PRENDRE FIN ?

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 A FAIRE ENTENDRE PARTOUT, par la case Google, SURTOUT EN MILIEU FRANCAIS :

BRO GOZH, HYMNE NATIONAL BRETON (version Mélennec).

 Il existe une version karaoké, sur YOUTUBE (mélennec brogozh karaoké), que vous pouvez adresser aux conseillers municipaux de Nantes, afin qu’ils puissent bientôt chanter notre hymne patriotique – comme l’ont fait (dit-on), les conseillers régionaux de Rennes. N’oubliez ni vos conseillers municipaux, ni vos députés, ni vos sénateurs, ni, bien sûr, vos amis, vos voisins, vos parents. Pas davantage vos ennemis, ni aucun collabo connu.

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I – QUELQUES CORRESPONDANCES.

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 –  De M.N. Finistère :

” Monsieur Mélennec,  Pour l’honneur des Bretons et pour leur langue, je suis autorisé à affirmer que vous contribuez à donner un souffle décisif à nos actions. Grâce à vous les choses changent , et pourraient aller en s’accélérant. Nous commençons à recueillir les fruits des arbres que nous avons plantés. Et cela ira ” tous les jours de mieux en mieux ” (Emile Coué, lui aussi d’origine bretonne !). TENEZ BON, TOUJOURS ! Continuez, NOUS AVONS BESOIN DE VOUS ! “.

Réponse brève : votre lettre me touche profondément. Je me suis attaché, dans mes travaux, à démontrer – contrairement à la honteuse version officielle des universitaires, qui ont presque tous écrit que l’annexion (non pas la « réunion ») de la Bretagne par la France a été parfaitement acceptée par les Bretons. C’est strictement FAUX. Dès l’invasion de 1491, une résistance bretonne s’est mise en place, qui n’a jamais cessé. Les Bretons n’avaient plus ni Souverain légitime, ni gouvernement, ni armée … Mais ils ont utilisé sans cesse et sans cesse, sans jamais se lasser, en utilisant les moyens dont ils disposaient (voir ma longue chronique sur La colonisation de la Bretagne par la France). Ceci a perduré jusqu’à aujourd’hui. J’ai rappelé plus de cent fois les travaux de mes prédécesseurs : d’Argentré, Le Baud, Morice, Lobineau, Planiol, La Borderie, Le Moy, Rébillon, Bonvallet, Dupuy … La France des Libertés et des Droits de l’homme a failli, par l’écrasement des cerveaux, nous détruire complètement. Mais nous sommes là, en pleine renaissance, plus fermes que jamais. Ma contribution n’est que le prolongement de celle de tous ceux qui ont oeuvré pour que nous restions nous-mêmes. Aujourd’hui, nous pouvons dire que la victoire est à portée de nos mains : les intrus seront chassés, car le DROIT EST POUR NOUS. C’est pourquoi les termes « collabos » et « kapos », qui ont enfin trouvé leur véritable signification, sont maintenant d’usage courant dans la population bretonne, pour désigner ceux que l’on sait : l’infamie, pointée sur nous, a changé de camp.

 –  DU DOCTEUR L. (Finistère) :

  » Oui, Monsieur Mélennec, c’est toujours un immense plaisir de vous lire …. Des milliers de Bretons vous lisent. Je pense que vos recherches ont eu et auront un impact considérable sur la manière des Bretons d’aborder leur histoire , et d’appréhender leurs relations avec l’Etat français.

   Tous ces Bretons qui vous lisent ne sont pas historiens ; ils sont stupéfaits d’apprendre ce que vous dites, après vos patientes et longues recherches. N’étant pas historiens , il leur faudra beaucoup de temps pour accorder tout ce que vous avez révélé à leur histoire personnelle.

    Comme beaucoup d’autres, j’ai fait connaître votre blog à de nombreuse personnes. Le but assigné à ce blog est sûrement atteint . La prochaine étape est de publier l’essentiel de vos travaux, notamment la partie qui a trait au Droit, dans un livre, avec les références nécessaires.  Les amis que vous avez en Bretagne vous aideront de toute leur conviction.  »

DE MADAME ANNA MAER (Bretagne) :

 » Merci pour le courage dont vous faites preuve. Il est temps que les Bretons prennent conscience du calvaire vécu par leurs anciens. Il est temps qu’ils prennent conscience de l’état de colonisation dans lequel ils perdurent en Bretagne. La démocratie y est confisquée encore aujourd’hui au profit de potentats français ou de bretons à de rares exceptions près, à la solde du pouvoir français …

Oui, il est temps que la France demande pardon pour les exactions qu’elle commet en Bretagne depuis des siècles.  »

DE MADAME V.A. (Hambourg) :

 » Si les Français ont été capables d’exprimer tant de haine à l’égard des Bretons, et pendant si longtemps, pourquoi ont-ils voulu, à toute force, en faire des Français, et tuer leur langue ? Ayant annexé la Bretagne, pourquoi ne pas l’avoir  » désannexée  » ? D’ou vient  cette incroyable résistance à reconnaître le génocide brito-vendéen, les crimes commis en Bretagne, et à restituer aux Bretons la Loire Atlantique ? « .

Réponse brève : La haine entre Francs et Bretons ne commence pas en 1789, mais dès le moment ou, au début du sixième siècle, les deux peuples antagonistes se sont trouvés confrontés dans des combats nombreux (voir Mélennec, mémoire de DEA, publié par le site Errances). Des textes explicites, écrits par les Francs, – particulièrement au 9ème siècle – sont conservés dans les archives. Je reproduirai quelques extraits de ces textes, particulièrement virulents – bien davantage que ceux que je cite ci – après – écrits en latin (qu’on se rassure,  je traduirai !). La liste de ces injures, à travers les siècles, est impressionnante; on en a conservé un grand nombre. Elle atteint des sommets au moment des conflits armés entre les deux pays, notamment sous François II, alors qu’on a la nette conscience que la France prépare une invasion, et la première partie du règne d’Anne la Grande (La Borderie, tome 5, pages 446, 447, 499 …….; Laurence MOAL, L’étranger en Bretagne au Moyen Âge, PUR, Rennes, 2008, pages …).

De Marcel TEXIER, ex-président de l’OBE (Bretons du Monde) :

 » Vous faites oeuvre de salubrité publique, docteur Mélennec … »

 » Voilà des lettres qui doivent vous mettre du baume au coeur. Quant aux injures, laissez les glisser avec mépris. Pensez à Théodore Herzl, le « Père de l’Etat juif », à qui on jetait des pierres… (26 novembre 2012).

” La Bretagne a été incorporée à la France à la suite d’une succession de crimes et d’opérations frauduleuses, voire crapuleuses. Les invasions françaises de la fin du 15ème siècle ont scandalisé les contemporains. L’Edit d’Union de 1532 fut un tour de passe-passe juridique manigancé par ce débauché sans scrupules qu’était François Ier. Quant à la nuit du 4 août 1789, on y a mélangé, dans un beau désordre, les privilèges de certains et des droits inaliénables sanctionnés par des traités internationaux. « 

Brève réponse : Tout cela est exact. Les principales puissances européennes ont pris fait et cause pour la Bretagne lors des guerres d’invasion de 1487 à 1491. Dans les armées nationales bretonnes, en juillet 1488, à Saint-Aubin-du-Cormier, combattent des soldats anglais, allemands, espagnols, gascons … tandis que la France, condamnée par tous, n’a AUCUN ALLIE dans cette guerre misérable contre un peuple souverain, dont l’existence est connue depuis l’antiquité (La Borderie, tome 5, page 548). Le 17 décembre 1488, de Valladolid, les souverains espagnols, Isabelle la Catholique et le roi Ferdinand écrivent :

 » Il faut TOUT METTRE EN OEUVRE pour que la Bretagne ne tombe entre les mains de la France. PAR DESSUS TOUT, LA BRETAGNE DOIT ÊTRE SAUVEE « .

La haine du Saint Empire et de l’Espagne contre la France a duré très longtemps. Un siècle après le massacre des armées nationales bretonnes à Saint-Aubin-du-Cormier, le roi Philippe II d’Espagne, petit fils de l’Empereur Maximilien, qui fut marié de légitime mariage avec Anne de Bretagne de 1490 à 1491, refusant de reconnaître la prétendue  » Union  » de la Bretagne à la France, réclame la couronne bretonne pour sa fille Isabelle, arrière petite fille d’Anne de Bretagne, par sa mère la princesse Elisabeth. Lorsque Charles VIII, mari obligé d’Anne de Bretagne meurt, le 7 avril 1498, l’Europe se réjouit; on dit ouvertement que le décès de ses six enfants, et que sa propre mort sont la punition que Dieu lui envoie, à cause de l’invasion de la Bretagne, et d’avoir contraint Anne de Bretagne, déjà mariée avec Maximilien, roi des Romains, futur empereur du Saint Empire Romain Germanique, à l’épouser  (Voir : 1491, La Bretagne terre d’Europe, colloque international, Brest 1991, pages 470, 471, et surtout pages 503 et suivantes; Pélicier, thèse sur Le gouvernement de la dame de Beaujeu, fille de Louis XI, soeur du roi Charles VIII (de France), Genève 1970, p.153; …….Commynes, proche conseiller de Louis XI et de son fils CharlesVIII, dans ses remarquables mémoires, évoque la condamnation très largement répandue du mariage de Charles VIII, avec Anne, déjà mariée avec Maximilien …) (Sur tous ces points, consulter notre article sur La colonisation de la Bretagne par la France, rédigé au terme de très longues recherches dans les textes, car le pays des droits de l’homme avait gommé tout cela de l’écriture frelatée de son histoire).

S’agissant de Théodore HERZL, aujourd’hui l’un des héros d’Israel, il faut préciser que l’  » inventeur  » de l’hébreu moderne, Eliezer BEN YEHUDA,  qui a ressuscité la vieille langue sacrée, qui n’était plus parlée depuis deux mille ans, a été longtemps persécuté; il est aujourd’hui un héros national, et pas des moindres.

De M. HAZO Nétanel, né à Nantes, juif, breton de coeur,  président de l’Association Bretagne – Israel, parlant des Bretons, le 31 août 2010 :

 » Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La pugnacité, l’opiniâtreté, souvent perçues comme négatives, ne sont pas de vains mots pour désigner les Bretons. Les Juifs ont les mêmes qualités….. Le chemin sera long jusqu’à l’indépendance. Mais elle est inéluctable. La France est en faillite morale. Elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent … »

(Agence Bretagne Presse, commentaire sous l’article de Louis Mélennec, publié le 17 février 2009, Les massacres ….).

……….

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les mêmes qualités…

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les mê

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les mêmes qualités…

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs ont les m

Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays. C’est un miracle qu’il soit toujours debout, la pugnacité, l’opiniâtreté(souvent perçues comme négatif) ne sont pas des vains mots pour désigner les Bretons,les Juifs

S’agissant de la langue, il y a, en effet, un singulier parallélisme : pour les Juifs, l’hébreu moderne, largement responsable de l’unification du peuple juif, est l’un des plus beaux cadeaux que Dieu ait fait à ce peuple; pour le breton, les Français ignorent que l’éradication de notre vieille langue est l’un des plus grands crimes commis par la France en Bretagne.

DE M. JUAN JOSE L., Bilbao, Pays basque espagnol :

 » Nous préférons avoir subi les affres du régime de Franco. Si nous avions été écrasés par le régime qui vous a été appliqué par la France, nous serions aujourd’hui totalement décervelés, nous aurions perdu la souvenir de nos origines. La renaissance de la Bretagne nous réjouit : votre combat est juste; la victoire est au bout du chemin « .

Les Français sont si bêtes, qu’ils continuent à nous injurier. Remercions les imbéciles comme Mélenchon, Morin, et autres débiles : en nous désignant comme un peuple à part, ils montrent à quel point nous ne sommes pas Français : chaque injure française nous blesse profondément, mais nous rapproche du moment ou nous allons enfin être délivrés de cette sorte d’engeance. Nolwen LEROY est incendiée simplement parce qu’elle est bretonne (Finistérienne comme moi), qu’elle le proclame haut et fort, et qu’elle aime son Pays. Peut-on imaginer que le pays d’à côté est si riche en débiles mentaux ? Je reproduis ci-après quelques nouvelles injures relevées dans une émission toute récente de ..

http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=28435

  »  Kenavo ! Grand moment de fierté pour les Bretons, leur fest-noz reçoit ses lettres de noblesse de la part de l’UNESCO.

Mais alors qu’est-ce qu’un fest-noz ? Nous allons le découvrir grâce à ce reportage dans un tout petit village du Finistère, le village de Beurk. … Il est cinq heures du matin et ici tout le village se prépare pour le fest-noz de ce soir. Les femmes du village se rasent pour la grande parade tout en donnant à leur bébé un biberon au cidre. Les hommes se préparent pour le concours de lancer de Bigoudènes dans la mer, sous le regard curieux des enfants qui observent en mangeant un sandwich à la mouette. À noter qu’après le bal, ce sera la vente aux enchères de la vierge la plus âgée du village. Vierge que l’on prépare pour l’occasion selon la tradition locale en lui badigeonnant le corps au beurre salé. Vierge que l’acheteur pourra consommer au son du biniou devant les habitants du village. Cette année, manque de chance, la vierge la plus âgée, Soizig Pensec, 93 ans, est morte il y a deux jours avant les festivités, mais ce n’est pas grave : selon la coutume celte, on peut encore utiliser la vierge huit jours après sa mort.

Cette année la marraine du fest-noz sera Nolwenn Leroy. Nolwenn qui viendra chanter comme d’habitude habillée en manouche, accompagnée de ses farfadets et de ses lutins. Bien sûr tout le monde croise les doigts pour que la météo ne vienne pas gâcher la fête traditionnelle, une apparition du soleil serait considéré comme un signe de malheur pour tout le village. »

 

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II – LES MASSACRES, INJURES, PILLAGES, HUMILIATIONS QUE LES BRETONS, désormais informés de leur Histoire Nationale, ne pardonneront JAMAIS.

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LES INJURES ANTI – BRETONNES DE 1789 à 2014. LA STIGMATISATION DES BRETONS COMME UN PEUPLE ARRIERE, STUPIDE, SALE, PLUS PROCHE DE L’ANIMAL QUE DES HOMMES.

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Il y a, chez les Bretons, comme chez certains pays orientaux – les Chinois en particulier -, une manière particulière de vivre le temps. Chez nous, les sentiments ne s’effacent pas, ils durent. Je cite souvent cette pensée de mon vieil ami Yann BREKILIEN (voir ce nom), ex-président des écrivains bretons :

 » Le Breton est particulièrement sensible, même si sa pudeur extrême lui interdit de le montrer. Lorsqu’on le blesse, la blessure agit à la manière du coup de ciseau du sculpteur dans le bloc de marbre : elle est indélébile. Il ne faut pas s’étonner si trente ans, cinquante ans plus tard, l’homme blessé, qui a conservé intacte dans son âme l’humiliation qu’on lui a infligée, punira le coupable, après avoir attendu et guetté si longtemps l’occasion d’agir, enfin « .

Cela vaut aussi pour l’amitié – de nombreux Français ont éprouvé la solidité de leurs amitiés en Bretagne (au point que maints Français m’ont confié que leurs amis étaient majoritairement des Bretons, en quoi je n’ai pas hésité à leur dire qu’ils ont tort, car la Bretagne compte un pourcentage égal de jaloux et de sots identique à celui des autres peuples) -, comme pour l’inimitié. Le pire est d’avoir blessé le Breton dans sa fierté. Qui se préoccupe en France de Charlemagne, de Louis le Pieux, de Hugues Capet ? En Bretagne, nos érudits – qui sont très nombreux, vivent au quotidien avec leur Histoire Nationale; leurs héros et leurs héroïnes sont des compagnons de leur vie quotidienne ..

La monarchie capétienne, bien qu’autoritaire et prédatrice, avait, toutes proportions gardées, tenu les Bretons – très relativement – en paix. Se heurtant en permanence à une résistance acharnée de ce peuple libre et rebelle, acceptant malgré tout une certaine forme de dialogue, certes avec une mauvaise foi jamais démentie, cédant parfois devant l’obstination et la soif de justice des Bretons, elle les avait beaucoup moins maltraités, par force, que les provinces du royaume situé à l’est des frontières bretonnes. La Bretagne n’avait jamais été contrainte par les rois de France à renoncer à leur Dignité de Nation à part entière. Au plan administratif, bénéficiant d’une très large autonomie après 1750, acquise, il est vrai, de haute lutte, elle avait toujours été rangée, au plan fiscal, dans les  » provinces réputées étrangères « . (Ce fait est encore inconnu en Bretagne : se reporter, donc, à la carte des traites, dans Google, et aux articles consacrés à ce concept).

Le régime sanguinaire issu de la Révolution, les régimes qui suivent (l’Empire, la Restauration, la monarchie de Louis Philippe, la Deuxième République, la troisième république surtout – celle de Jean JAURES, théoricien des races  » supérieures  » , l’une des idoles de François Hollande et de Jean-Luc MELENCHON….), vont précipiter les Bretons dans un abîme. Au fil des décennies, se déversent sur eux non seulement des jugements plus que dévalorisants, mais de véritables insultes, par tombereaux entiers. Ces insultes sont littéralement incroyables. On se demande comment des êtres humains ont pu sécréter de telles abjections.

LA BRETAGNE : UN PAYS MAUDIT. LES BRETONS : TOUS COUPABLES.

Fouché, désignant la Bretagne et les Bretons, en 1794 :

 » Il ne s’agit pas de faire le tri des bons et des méchants : DANS CE PAYS MAUDIT, il ne peut y avoir que des coupables « .

LA BRETAGNE : UNE COLONIE. LES BRETONS : UN PEUPLE PRIMITIF A COLONISER.

Michelet, 1831 :  » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe « .

Auguste Romieu, sous-préfet de Quimperlé, 1831 :

 » La Bretagne est une contrée à part, qui n’est plus la France. Exceptez-en les villes, LE RESTE DEVRAIT ETRE SOUMIS A UNE SORTE DE REGIME COLONIAL « .

LES BRETONS : UNE RACE A ENGRAISSER, COMME LES ANIMAUX :

Auguste Romieu, 1831 :  » Créons, POUR L’AMELIORATION DE LA RACE BRETONNE, quelques unes de ces primes QUE NOUS RESERVONS AUX CHEVAUX « .

LES BRETONS : DES SAUVAGES, TOUT JUSTE DES ANIMAUX.

Malte BRUN, 1831 :

 » Les Bas-Bretons ont un langage dur et difficile à comprendre. Leurs habitudes, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent A PEINE UNE PLACE AU DESSUS DE L’HOMME SAUVAGE « .

LES BRETONS : DES ETRES SALES, DEGOUTANTS, MALPROPRES :

Malte Brun, 1831 :

 » Le paysan y est d’une malpropreté dégoûtante; son habitation peut presque se comparer à celle des Hottentots … les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois « .

LES ENFANTS BRETONS ET LES PORCS : des frères de race, qu’on peine à distinguer :

Prosper MERIMEE, lettre à Jubert de Passa, 1835 :

 » On voit dans les villages les enfants et les cochons se roulant pêle-mêle sur le fumier; la pâtée que mangent les premiers serait probablement refusée par les cochons du Canigou « .

Poitrineau, inspecteur d’académie à Vannes, Instruction, 1897 :

 » Le petit breton ……. dès qu’il peut marcher, à peine vêtu, malpropre, il patauge toute la journée par les chemins, mange à l’écart un morceau de pain noir, joue peu, ne parle pas ….; s’il a huit ans d’âge physiquement, il en a trois à peine pour le développement intellectuel « .

M. BUSSON, Manuel de géographie à l’usage des lycéens, 1929 :

 » Les principaux traits de la race bretonne sont la malpropreté, la superstition, et l’ivrognerie « .

PROSPER MERIMEE, lettre à Requien, 1836 : les femmes bretonnes : sales, répugnantes, puantes :

 » J’ai fait quatre cent lieues en Bretagne sans déboutonner ma braguette. Impossible de toucher sans pincettes les personnes du sexe de Brest, Morlaix, Saint Brieuc, Rennes, Vannes, Quimper. Ce n’est qu’à Nantes que la Providence m’a envoyé soulagement …. Au lieu de votre joli patois, dont on comprend toujours quelque chose, c’est une langue que le diable a inventée là-bas ….. »

GUSTAVE FLAUBERT, Par les monts et par les grèves.

« J’ai croisé deux marins Bretons sur la grève de Port Navalo : faciès stupéfiés de dégénérés, regards délavés par l’abus de l’eau-de-vie; ils regardent la mer comme les vaches regardent passer le train de Quimper. Je tente d‘engager la conversation, ne tire d’eux que d’inconsistants borborygmes. Au moment de nous croiser, deux créatures approximativement femelles, coiffées d’un long tuyau disgracieux probablement chargé de compenser leur nanisme congénital, se signent, puis s’engouffrent dans un édicule bas sur pattes qui doit être une chapelle. Un vent  soulève des odeurs de varech, de bouses, de hardes mal lavées. Un effarement m’envahit. Dans quel trou d’ivrognerie et de superstition sommes-nous tombés ? »
A Locminé :
« On a installé une estrade de bois pour les danseurs. La danse consiste à se remuer et à se secouer en rond en se tenant le petit doigt. Sur le contretemps, tout le monde saute et retombe sur le plancher dans une grand bruit de sabots. Les puces et les poux tombent des habits sur les lattes du plancher et, de là, dans l’herbe. Cette sorte de gymnastique hygiénique offre d’ordinaire aux couples l’occasion de se former, en vue des appariements qui ont lieu dans ces contrées à la période des moissons ……
Les sauts des danseurs donnent le rythme au musico qui s’époumone dans une cornemuse de fabrication locale qu’on appelle ici biniou et dont le son m’a paru aussi harmonieux que celui du chant du canard à la saison des amours. La danse prend fin d’ordinaire quand toutes les puces sont tombées. Cela ne se produit pas avant la nuit close, d’où le nom de fest-noz donné à ces réjouissances (d’autres prétendent que ce nom vient de l’habitude qu’ont les danseurs de se curer le nez entre les danses). (2)
A Dinan :
« Dimanche à Dinan. Jour de première communion. Trognes rondes rosâtres rasées, porcines, des gamins engoncés dans leurs habits de velours noir; fillettes déjà formées suant ferme sous leurs amas de dentelles. Enfants de choeur ahuris emboîtant le pas du curé doré sur tranche. Déjeuner à « l’Albatros dolent », auberge recommandée par le Joanne comme la meilleure de l’endroit. Nourriture exécrable; le cidre est une infâme piquette; on nous sert au café des morceaux d’un gâteau local au beurre ranci appelé « far »; je manque y laisser une dent sur un pruneau encore muni de son noyau ….. Odeurs pestilentielles. Maxime et moi descendons une rue pentue bordée de vague boutiques. Derrière des vitrages crasseux, nous devinons des faces racornies, ridées, tavelées comme des rainettes de l’automne précédent : les a-t-on retirées de leurs claies pour leur faire prendre le jour gris, éviter qu’elles ne pourrissent avant octobre ….. Au bas de la descente, au-delà d’ un quai désert, stagne une étendue d’ eau brune et morne ….. Nous en demandons le nom à une passante embéguinée et sabotée. « Tiens, c’est la Rance, pardi ! » La Rance : quel nom bien choisi pour ce flot paresseux et sale ! « 

(Note de l’auteur : c’est cela que l’UNESCO vient de classer au patrimoine mondial de l’humanité ! Admirez l’intelligence des Français, le peuple autoproclamé le plus subtil de la terre. On ne peut rien imaginer de plus vulgaire, ni de plus imbécile.

Gustave Flaubert, Par les champs et par les grèves, édition nouvelle, établie à partir des manuscrits originaux par Léopold Jambrun (Presses de l’Université Libre du Haut-Verdon )

LES BRETONS : UN PEUPLE ANIMAL, QUI PARLE LE LANGAGE DES POULES. L’abomination qui m’a le plus ému, moi qui ai vécu mes dix-huit premières années dans la campagne bretonne, je la tiens de Morvan-Lebesque, chroniqueur et journaliste de génie, longtemps collaborateur estimé du  » Canard enchaîné « …

L’instituteur du village, comme cela était d’usage à cette époque, se rend ce jour là dans une ferme. Il s’agit d’admonester la pauvre fermière qui tient cette misérable exploitation, parce que son fils continue à parler à l’école un langage monstrueux : un charabia moitié breton – moitié français. La pauvre femme n’a jamais parlé que la langue de ses ancêtres. Elle bafouille, elle rougit, elle a honte, elle ne sait quoi dire ; coupable, elle baisse le nez, n’osant regarder son honorable visiteur. L’instituteur – un homme envoyé là par le pays des droits de l’homme, en service commandé, pour civiliser la campagne bretonne :

« Alors madame, chez vous aussi, on ne parle que le langage des poules ? ? ? ».

C’est abominable. Nos parents, nos grands parents, ont vécu des humiliations de cette nature. Mes grands parents maternels étaient quasi-exclusivement bretonnants. Mes grands parents paternels étaient bilingues, comme mon père. Les gens de ma génération ont totalement perdu l’usage de notre langue ancestrale, dont les origines se trouvent en Grande Bretagne, avant même les expéditions de Jules CESAR, au premier siècle avant Jésus-Christ.  » Nos  » politiques, toute honte bue, au lieu de conduire une action virulente de sauvegarde de ce trésor patrimonial, le laissent s’évanouir dans la nature.

VICTOR HUGO. LE BRETON selon HUGO : UN DEBILE MENTAL, irrécupérable, irrémédiable, définitif.

Quatre-vingts treize, 1874 :

 » D’un côté la Révolution française, de  l’autre le paysan breton. En face de ces évènements incomparables (le père Hugo ferait-il allusion aux deux millions de morts provoqués par la  » révolution », aux milliers de Bretons noyés dans la Loire, avec une sauvagerie INIMAGINABLE, aux quatre cinquièmes des habitations nantaises détruites par les Français, aux enfants et aux femmes écrasées sous les pas des chevaux dans les marais de Savenay, aux horreurs abominables commises en Vendée et en Bretagne ????) …

 » Qu’on place ce SAUVAGE, parlant une LANGUE MORTE ….. ce qui est faire habiter UNE TOMBE A SA PENSEE (!!!!!!!)……. (Ce paysan) VENERANT SA CHARRUE D’ABORD, SA GRAND MERE ENSUITE ……..  On se demande SI CET AVEUGLE PEUT ACCEPTER CETTE CLARTE « .
RAYMOND CARTIER, Les 19 Europes, Plon, Paris, 1960 : Les Bretons, DES ÊTRES GROSSIERS, DES DEMEURES :,

 » Ils vivaient dans leur langue pataude et leurs vêtements grossiers, COMME DES ESPECES DE BAS-BRETONS « .

LES BRETONS, NEGRES DE LA FRANCE :

Laurent TAILHADE  » L’assiette au beurre « , 3 octobre 1903 :

 » Il n’est pas de meilleur chrétien que cette crapule de Bretagne; il n’en est pas de plus réfractaire à la civilisation. idolâtre, lâche, sournois, alcoolique et patriote, les cagot armoricain ne mange pas : IL SE REPAÎT; il ne boit pas : IL SE SAOULE; il ne se lave pas : IL SE FROTTE DE GRAISSE; il ne raisonne pas : IL PRIE (!!!); et, porté par la prière, IL TOMBE AU DERNIER DEGRE DE L’ABJECTION .

 » C’EST LE NEGRE DE LA FRANCE, cher aux noirs ensoutanés, qui dépouille à son bénéfice de véritables miséreux « .

CHARLES PASQUA, professeur de morale, oie blanche parmi les hommes politiques français, l’homme du SAC, de la tuerie d’Auriol (voir Google),  aux innombrables procès, rejoint et condamné par le justice (enfin !), en 1992, à la suite du traité de Maestricht :

 » Les Bretons, C’EST COMME LES COCHONS « .

JEAN – LUC MELENCHON, 2007 : l’invraisemblable Mélenchon,  allié mental des Chinois au Tibet, admirateur de l’oeuvre « civilisatrice » des tortionnaires des Tibétains, assassins de leur culture, comme la France l’a été de la langue bretonne, le plus gros cerveau de la planète selon ses admirateurs (pas en poids, ni en densité, mais en volume seulement, car l’intérieur est creux), expose ses inénarrables théories sur les origines de la langue bretonne :

 » Le vocabulaire et la grammaire de la  » pseudo-langue bretonne « ,  …..furent fixées à la demande de l’occupant NAZI, en 1941 « .

 » Les écoles Diwan sont une secte « .

 » Le breton est la langue de la collaboration «  (Cette allégation tient du génie de son auteur : la collaboration s’est faite …. en français : et pour cause : aucun allemand ne parlait breton, les collabos ne dépassaient pas quelques centaines de personnes, les Français DES MILLIONS !).

LA BRETAGNE EN CHANSON, VERSION FRANCAISE  (Jacky Berroyer. 2006).

» Ah ! Connaissez vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ..L’IGNOMINIE est dépassée, non pas pour le pauvre type, au sommet dans l’ordre de la débilité intellectuelle, diffusé abondamment par les médias du pays des droits de l’homme, mais par les juridictions de ce pays, qui se sont déshonorées, une fois de plus, en refusant de condamner ces propos ignobles, au nom de la liberté d’expression (!) :

 » Connaissez-vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants sont hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ….

 » De Quimper à Concarneau, on voit passer des femmes promenant des porcs dans des landaus, pendant que leurs maris se soulagent dans les flots, et refusent de signer le protocole de Kyoto.

 » Ah ! Les Bretons sont vraiment immondes : ils mangent leurs enfants au lieu de se fournir au Tiers Monde. Si on leur reproche ça, ça les fait marrer, c’est leur humour moche noir comme leur marée « .

http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share

2011. L’insuffisant intellectuel Claude HAGEGE, professeur honoraire au Collège de France :

« La Bretagne a été rattachée à la France. C’étaient des sauvages. Mais ils sont devenus français.  »

(Emission de Frédéric TADDEI, le 8 février 2011, « Ce soir ou jamais ».

 

2012 : Marie DRÜCKER (tiens donc ?), présentant les cérémonies du 14 juillet 2012, parle de la lange bretonne comme d’un « patois ». Excuses 20 minutes plus tard. Trop tard : la langue bretonne existe avant Jésus Christ, le Français ne prend corps qu’après le 10 ème siècle. Selon madame Drücker, l’hébreu antique, langue sacrée selon certains, était-il un patois, un jargon, un mélange de sons inarticulés ou de borgborygmes sortis des cavernes de Cro-Magnon ?

2014 : Le vulgarissime Nicolas BEDOS, s’adressant à DIEUDONNE :

« Ma quenelle à moi s’appelle une merguez, et je te l’enfonce dans ton gros cul de Breton inculte ».

Peut-on laisser des débiles mentaux proférer de telles âneries, quels que soient les excès verbaux coupables condamnés par la justice – et par nous -, sur les chaines de télévision publiques, avec nos deniers ?

(Emission de Laurent RUQUIER, sur France 2, « On n’est pas couché », 11 janvier 2014).

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Réalisez vous, Français même si ce sont les plus bêtes et les plus corrompus d’entre vous qui ont éructé ces insultes graves, que les Bretons vont jeter tout cela aux oubliettes ???

Jean-Luc de CARBUCCIA, terminant l’émission à laquelle il avait convié Louis MELENNEC, à Lumière 101 (confere : L’assassinat de la Bretagne), avait conclu par ces propos :  » Toutes ces horreurs se payeront un jour « .

Ce moment est en train d’arriver. On récolte ce que l’on sème : ne soyez pas étonnés, Français, de ce qui arrive à votre pays. Après la révélation des horreurs réalisées par la France en Bretagne, c’est au tour de la France d’être HUMILIEE. C’est justice, même si les Bretons ne se réjouissent pas de la déliquescence de votre Pays : soyez assurés que nous sommes aussi affligés que vous de voir vos médias et votre presse nationale qualifier de nuls le couple au pouvoir, et les trois « acteurs  » politiques principaux qui se trouvent en face d’eux en ce moment, dans un ballet aussi ridicule que lamentable, de leurs véritables noms : le voyou, le pleutre, l’impuissant. Des Bretons, me dit-on, réfléchissent à une Constitution qui écartera cette sorte d’engeance des postes de responsabilité en Bretagne, lorsqu’elle aura accompli la même trajectoire que l’Ecosse, la Catalogne, mieux encore : l’Irlande, libérée du joug de son colonisateur depuis près d’un siècle.

Je termine par cette réflexion. Si, avec quelques qualités, les Bretons possèdent tant de défauts – le plus pernicieux, à mon avis, étant la jalousie, qui anime, bien plus que l’ignorance et la sottise, dont le lecteur aura un triste exemple en se reportant aux injures qui peuplent les  » commentaires  » sous l’émission de Jean-Luc CARBUCCIA (confere : La Bretagne assassinée), ils ont, en revanche, un sens très vif de la reconnaissance et de la fidélité.

Aussi suis-je heureux de dire à M. HAZO Nétanel, en mon nom et au nom de nos compatriotes, que les phrases qu’il a publiées dans l’Agence Bretagne Presse sur l’exceptionnelle résistance des Bretons à la phagocytose et à la dissolution dans un pays étranger,   le 31 août 2010, nous ont particulièrement touchés. Ces phrases ne sont absolument pas banales pour nous, là ou les Français sont encore incapables de comprendre les drames dont ils sont responsables. NI DES EXACTIONS QU’ILS SUBISSENT, qui les effraient, sans pouvoir en parler ouvertement, car les sophismes idéologiques qui fleurissent dans ce pays, ont  » bouclé  » le discours publics par des lois stupides, qui conduisent ceux qui tentent de s’en affranchir devant les tribunaux. M. Nétanel HAZO, nos peuples respectifs ont souffert des mêmes abominations dues à des êtres humains. Les nôtres, par bonheur, sont infiniment moindres que les vôtres, sauf en cruauté pour les horreurs perpétrées par la France  à Nantes et en Bretagne en 1793 et en 1794.
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PROPOS COLLIGES PAR LOUIS MELENNEC.

Consulter aussi :

– ABP, Le bêtisier.

– Contreculture.org.

– L’Agaça, Liberté d’expression en Occitània..

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