L’AVENIR DE LA BRETAGNE APPARTIENT AUX BRETONS, A EUX SEULS . LA BRETAGNE POSSEDE DES ATOUTS EXCEPTIONNELS POUR REPRENDRE SA PLACE DANS LE CONCERT DES NATIONS .

L’AVENIR DE LA BRETAGNE, APPARTIENT ENCORE AUX BRETONS, SOUS RESERVE DE DEUX CONDITIONS IMPERIEUSES :

. S’EMANCIPER TO-TA-LE-MENT DE LA MARÂTRE FRANCAISE. BIENTÔT, IL SERA TROP TARD;

. METTRE EN PLACE DES INSTITUTIONS PERFORMANTES, ELIMINANT SANS PITIE LES MEDIOCRES, LES CORROMPUS, LES INCOMPETENTS, par la destruction du système clientéliste actuel.

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LA FRANCE N’AURA DE PLACE EN BRETAGNE QUE CELLE QUI LUI SERA ASSIGNEE PAR LES BRETONS.

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Le présent article, comme tous les précédents, est adressé aux services de rédaction des journaux français, ainsi qu’aux journalistes connus. Vous pouvez – vous devez – en faire autant. Il est facile d’identifier les coordonnées de ces journaux, de leurs principaux journalistes, ainsi que leurs mails, par Internet. Un copié-collé, deux ou trois clics : le coup de poignard atteint son but. Les articles que vous leur adresserez leur ouvriront les yeux, leur apprendront l’histoire de la Bretagne, et l’AVENIR qui sera le sien, QUOI QUE L’ON FASSE. Sachez que cette démarche est LEGALE, car le devoir des journalistes est d’être informés, et de répercuter l’information. Le travail accompli depuis dix ans est tel, que je puis vous assurer qu’à Paris et en France, les abominations commises en Bretagne commencent largement à être connues – notamment les invasions, les massacres, le génocide brito-vendéen -, et que les aspirations du peuple breton sont maintenant prises très au sérieux, et inquiètent, les collabos compris. Le travail de libération sera votre oeuvre, certainement pas celle de ceux que l’on nomme maintenant en Bretagne, très plaisamment, LES COLLABOS (cf. le « projet » mou et ridicule de « décentralisation »). N’oubliez pas nos deux quotidiens « nationaux » bretons, dont la littérature, si honnête et si admirable – notamment quant à la place qu’ils accordent à notre Histoire (je parle de la vraie) – frappe d’émerveillement sans cesse renouvelé tous nos compatriotes, ébahis et stupéfaits.

LE BRO GOZH : L’HYMNE DE LA LIBERTE DES BRETONS. Il existe une version du Bro Gozh, qui permet aux élus – et à toute autre personne -, de se familiariser, puis de chanter notre HYMNE NATIONAL. Vous pouvez donc la diffuser à toutes les personnes concernées, c’est à dire aux plusieurs millions de bretons dispersés dans le monde. Au prix de quelques « clics », le tour sera joué.

(Il y a, semble-t-il, sur YOUTUBE, une version karaoké : mélennec bro gozh karaoké).

Cherchez, sur YOUTUBE, le choeur célèbre de l’opéra NABUCCO, de VERDI :  » Va pensiero« . Ecoutez le religieusement. Pour ceux qui ne le savent pas, sachez ceci : lors de la création de cet opéra, à la Scala de Milan, le 9 mars 1842, la République de Venise est sous occupation autrichienne. Les esclaves hébreux, mis en scène par Verdi (l’opéra NABUCCO se passe à Babylone, en 586 avant Jésus – Christ, ou les juifs sont esclaves), commencent à entonner ce choeur magnifique; les Italiens présents dans la salle se mettent debout; les autorités autrichiennes sont dans les loges du théâtre; ce sont les juifs qui chantent cet hymne de la liberté; mais, d’emblée, il  s’identifie avec l’esclavage du peuple italien; tout le monde comprend : un immense frisson parcourt l’assistance : les Italiens sont esclaves, comme les Hébreux à Babylone; mais la liberté est proche : les Autrichiens seront chassés, sans tarder. Dans les loges, peuplées d’Autrichiens, l’humiliation est à son comble.

LE BRO GOZH est votre chant de la Liberté et de la Libération. Chantez le partout, avec vos drapeaux. Surtout si les gouverneurs français, des ministres français sont présents. On peut vous interdire de vous servir de vos drapeaux, non de chanter votre Hymne national.

Le but est clair : toute famille bretonne doit connaître et pouvoir chanter à tout moment son hymne national. Tout conseil municipal devrait, à court terme, commencer chacune de ses réunions, debout, dans le respect absolu qu’ils doivent à leur pays et à la vérité, entonner cet Hymne, qui est une arme absolue : personne ne pourra les empêcher de chanter l’air qui symbolise notre Dignité, et notre Liberté.

Agissez donc, avec les moyens dont vous disposez, pour faire avancer nos idéaux : nos adversaires ne peuvent, à terme, que mordre la poussière.

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L’OPINION EST MAINTENANT QUASI-GENERALE EN FRANCE : CE PAYS VA DISPARAÎTRE, submergé par les vagues migratoires qu’il a été incapable de réguler. Surtout, de n’avoir absolument pas compris – à cause de l’idéologie ambiante, et de l’ignorance abyssale de ceux qui accèdent aux fonctions politiques et médiatiques, que si les échanges entre les civilisations sont nécessaires et bénéfiques, si l’esprit de tolérance et d’ouverture doit obligatoirement présider aux échanges entre les êtres humains, il faut connaître les règles et les dangers de ces échanges, et les règles de progressivité auxquelles ils doivent obéir. Seule l’étude de l’histoire du monde, associée à une longue réflexion, peut fournir la réponse aux questions . Une immigration, si souhaitable soit-elle,  doit être dosée, régulée, et analysée dans toutes ses composantes, passées, présentes, futures.

Les Français ont peur. Si le discours public (véhiculé par des médias aux ordres, pratiquant l’autocensure permanente, le discours « convenable », les propos conventionnels) est soigneusement orienté dans une direction bien définie, strictement idéologique, fausse, non conforme à la réalité, les craintes exprimées par les particuliers sont d’une toute autre tonalité : là, toutes portes closes, les choses se disent clairement. Soyons très clairs : le racisme, phénomène universel, n’est ni plus ni moins important en France que dans n’importe quel autre pays. (Il est plutôt moindre, vu le nombre considérable d’étrangers qu’il a accueilli depuis quarante ans). Les propos violents ne concernent que les insuffisants intellectuels qui gouvernent le pays, sans que l’on y puisse rien, puisqu’il est, depuis longtemps, un marché captif de ceux qui vivent sur son dos. Les minables, pour utiliser le vocable à la mode, terme que la presse leur applique désormais à coups redoublés, et qu’ils ne sont pas qualifiés pour appliquer à d’autres qu’à eux-mêmes, notamment à M. DEPARDIEU, qui, lui, a gagné son argent en travaillant, et avec son talent, ce qui le situe, au moins dans ces deux domaines, dans une autre sphère que ces messieurs. La tristesse s’y exprime, avec une angoisse manifeste, une profonde détresse : car les Français sont comme les autres : ils aiment profondément, charnellement, leur pays. La France s’est dotée de lois stupides, qui limitent la liberté d’expression, et qui, à tout moment, risquent de conduire devant les tribunaux correctionnels ceux qui osent afficher ouvertement leurs craintes, et dire la seule vérité. Publiquement, donc, on se tait.

IL EST URGENT QUE LA BRETAGNE SE REGARDE EN FACE. Pour avoir utilisé cette formule pour mettre en garde les Français sur ce qui va lui arriver, Ivan RIOUFOL (Le Figaro, avril 2012), a été traité de fasciste. La  peur est en train, à juste titre, comme en France, de gagner la Bretagne. Et si, nous aussi, nous allions disparaître, après cette magnifique montée en puissance du sentiment national ?

Cette phase de l’histoire dite ” de France “, ne nous concerne, nous Bretons,  que parce que nos deux pays sont voisins, qu’ils ont été condamnés à vivre ensemble, par l’effet des invasions de la fin du 15ème siècle, pendant cinq cents ans, et que la proximité géographique nous condamne à vivre côte à côte – à défaut de vivre ensemble. Nos destins ont été liés – jusqu’à présent -, parce que la France occupe d’une manière coloniale notre pays.

La cause principale de la déliquescence de la France, première puissance mondiale il y a seulement un siècle : son système politique, constitutionnel et juridique,  organisé pour amener au pouvoir des équipes successives d’incompétents, d’ambitieux, de couards, dont la contemplation béate de leur nombril est souvent la seule chose qui les intéresse, avec la catastrophe de leurs cohortes de ” clients “, que l’on récompense en leur attribuant, une fois les élections passées, les fonctions principales dans l’Etat, puis, ayant été jetés dehors à la faveur de nouvelles élections, polluant et néantisant de larges secteurs de l’économie, par leur incompétence notoirement connue, dans les postes prébendaires, ou le ” système ” les ” reclasse “.

Je ne parle pas par ouï – dire, mais par l’effet d’une très longue expérience personnelle : celle d’un témoin privilégié des dysfonctionnements gravissimes de ce système, plusieurs dizaines d’années durant.

Les Bretons sont conscients de cette situation consternante. On attend en vain, qu’ils agissent; leur pays est lui aussi, alors que le sentiment national d’appartenance a resurgi d’une manière spectaculaire depuis vingt ans, en voie de dissolution; les symptômes de sa déliquescence sont alarmants : insécurité, drogue, délinquance galopante, vols, viols, coups et blessures volontaires, prostitution, perte du sens des valeurs – au premier rang desquelles celle qui contient toutes les autre : le respect d’autrui -, progressent à une allure vertigineuse.

Que font-ils ? Si l’on excepte ceux qui se battent, et qui ont le courage d’assumer publiquement leurs opinions, peu nombreux, ils …. lisent quelques articles politiques (pas jusqu’au bout, parce que cela est fatiguant), votent quelques motions (que personne ne lit), se divisent et se subdivisent en dizaines de milliers d’associations inefficaces. Spécialité éminemment répugnante : ils se disputent comme des chiffonniers : Ils ne sont pas encore parvenus au point de savoir qu’ils doivent taire leurs griefs réciproques, se réunir et agir ensemble, passer aux actes pour exiger que ce sur quoi ils sont TOUS D’ACCORD devienne réalité : la restitution des territoires volés, l’élaboration d’une Constitution bretonne, inspirée de notre génie national, notre histoire et notre psychologie collective, la mise en place d’Institutions d’un ETAT LIBRE, la restitution au peuple de ses prérogatives démocratiques  – comme en Suisse – par la mise en place d’un système référendaire, qui rendra au peuple breton son droit de décider SEUL des grandes options politiques et sociales, la réapparition sans conditions ni réserve sur la scène internationale avec tous les Droits dont ils ont été privés par le pays occupant, l’enseignement, dès l’école primaire, de LEUR HISTOIRE NATIONALE ….

LES ATOUTS DONT DISPOSE NOTRE PAYS SONT COLOSSAUX.

La puissance et l’influence d’un pays ne sont nullement proportionnelles à sa surface ni à l’importance de sa population.

La Bretagne de demain possède toutes les armes pour devenir une nouvelle SUISSE, pour gérer une partie importante des actifs mondiaux, pour créer un système bancaire et de gestion financière très performant, pour offrir aux investisseurs du monde entier une fiscalité attrayante – en aucun cas complaisante ni spoliatrice, mais simplement honnête, rigoureuse, raisonnable, avant tout réaliste, consciente de l’histoire financière du monde, des contraintes et des possibilités qu’elle offre. Le système fiscal mis en place, dans un désordre et une incompétence indesciptibles par les gouvernements français, est en train d’étouffer les citoyens. Nous devons, nous Bretons, échapper à cette calamité. Lorsque nous aurons retrouvé notre liberté, nous devons remettre à plat, tout ce méli-mélo, ce gâchis, ce cafouillis, cette hallucination invraisemblable. A condition de confier les réformes non à des nuls portés au pouvoir par le trompe- l’oeil des élections périodiques, que la propagande ambiante confond, sottement, avec la démocratie, mais à d’authentiques experts en finances publiques et en fiscalité : il en existe un certain nombre.

La Bretagne a les compétences requises pour créer des technopoles à l’image de la silicone valley de Californie, pour briller dans les techniques modernes comme l’informatique, la recherche dans tous les domaines,  etc. Son littoral, qui mesure linéairement 3000 klm, est d’une telle richesse, qu’elle peut redevenir – à condition de reprendre totalement la gestion de son économie en mains -, une très importante puissance maritime, et un exemple de ce que l’alliance de la terre et de la mer peuvent obtenir d’une aquaculture d’une très haute qualité. Notre territoire sous marin, très vaste, n’est pas encore exploré, et nous réserve sans doute de très heureuses surprises.

La prétendue ” étroitesse territoriale ” de la Bretagne est une sottise. Avec se 35000 klm carrés, elle est aussi étendue que la Suisse, la Belgique, les Pays Bas (41000, 30000, 41000 klm carrés…). A titre de comparaison, Hong-Kong et Singapour, qui se hissent au tout premier rang des grandes puissances financières mondiales, ont, respectivement, des surfaces de 1000 klm carrés, et de 650 klm carrés, soit, ensemble, le quart de la surface d’un département breton, le vingtième de la surface de la Bretagne ! L’Etat d’Israël, si influent dans le monde par sa diaspora, ne dépasse pas 21 000 klm carrés, soit l’équivalent de trois des cinq départements bretons. Ce petit pays, vingt six fois plus exigu que la France, vend et exporte autant d’armes que la France, cinquième monstre mondial en termes de fabrication d’engins de mort et de destruction (source : revue Challenges, décembre 2012). Notre tempérament pacifique ne nous conduira certes pas dans une direction aussi meurtrière que le pays qui ose se présenter comme le champion des droits de l’homme et de la paix dans le monde, mais il y a tant et tant de choses que nous pouvons produire, si notre voisin de l’Est cesse enfin de nous brimer, et de nous empêcher de travailler.

Notre agriculture est de loin la plus performante de l’espace dénommé l’ « hexagone », occupant le premier rang pour les volailles, la viande porcine, le lait, les oeufs, plusieurs légumes … Le secteur agro – alimentaire représente plus de 15 pour 100 dudit « hexagone ». La Bretagne n’est pas seulement auto-suffisante, elle est largement exportatrice, malgré une surface “utile” cultivable assez restreinte. Que dire de toutes les potentialités alimentaires encore balbutiantes, voire inexploitées : le riche vignoble du sud de Nantes doit travailler à se diversifier, à améliorer et à exploiter de nouvelles voies, au delà des crus locaux,  les Bretons doivent se lancer résolument dans la méthode champenoise, la fabrication de whisky et d’alcools de haute qualité, mettre au point de nouvelles productions fromagères, du foie gras (la Chine en produit désormais de très grandes quantités, mais nous pouvons facilement faire mieux …).

Nos industriels sont présents dans le monde entier. M. Pinault et Bolloré se distinguent particulièrement, parmi d’autres (Yves Rocher, Leclerc …). Dans tous les pays, la réussite suscite l’envie, la jalousie, la médisance. En Bretagne le phénomène est particulièrement vif, au point de constituer une authentique pathologie. Au lieu d’être admiratif et reconnaissant à l’égard de ceux qui ont honoré le pays par leur carrière brillante – lorsqu’elle est méritée -, on ne supporte pas ce qui dépasse. Le jour ou les Bretons comprendront qu’ils doivent RENONCER DEFINITIVEMENT A LEUR JALOUSIE MORBIDE à l’encontre de ce que les marxistes dénomment « les riches », ou « les exploiteurs des masses travailleuses »,  ils comprendront qu’ils devront confier les plus importants postes ministériels et de l’Etat, à ces producteurs de richesse et d’emplois, non, comme en France, à des ronds de cuir professionnels, qui ne connaissent RIEN aux affaires qu’ils sont censés gérer, qui n’ont jamais exercé un métier utile à la collectivité, et qu’ils détruisent, au contraire, par leur incompétence, de larges secteurs de l’économie. Sans vous avoir encore fourni de chiffres précis, dans mon long article sur la colonisation de la Bretagne par la France (je cherche surtout une méthode simple pour exposer, sans longueurs excessives, qui décourageraient les lecteurs, ce qu’à été le dépouillement de la Bretagne par le royaume d’à côté, pendant plusieurs siècles, car les données chiffrées sont quasi-illimitées), vous savez que la fiscalité française repose sur plusieurs principes, de tous temps : l’incompétence, le désordre insensé (un authentique BORDEL, comme le droit français), le pillage, LE GASPILLAGE EHONTE. Les Bretons sont cousins des Ecossais, pour la gestion de leurs finances, plus encore celle des autres. Notre sens de l’économie est-il proche de l’avarice ? Et si cela était ? Nous nous en porterions mieux; ceux qui nous confieraient leurs affaires seraient assurés que nous les gérerions mieux que les nôtres propres, car les Bretons, peuple économe, sauf exceptions, ne sont absolument pas des gens intéressés : en prenant de la distance avec la Bretagne, à dix-huit ans, j’ai découvert, moi aussi que notre réputation d’idéalisme n’est pas usurpée : nous plaçons (presque) toujours nos idéaux bien avant nos intérêts matériels.

L’avenir énergétique de la Bretagne, est bien loin d’être inquiétant. Aujourd’hui largement déficitaire – sans aucun doute parce que les Bretons, pour l’essentiel, ont été écartés de la gestion de leurs richesses naturelles et de leurs potentiels dans tous les domaines, par leur cher voisin de l’Est -, la Bretagne est riche d’espérances : les courants marins marins et sous marins, la force du vent, la lumière et le soleil (au moins dans le sud, actuellement sous occupation étrangère), les richesses potentielles vraisemblables de leur sous sol sous marin, quasi inexploré encore (rappelons ici qu’Israël a fait une découverte fabuleuse, en 2009, au large de ses côtes, qui lui garantit, pour deux siècles selon les estimations, non seulement une autonomie énergétique, mais de devenir l’un des grands exportateurs mondiaux d’hydrocarbures) … doivent assurer à la Bretagne une place éminente parmi les producteurs d’énergie. Et si, comme personne ne le souhaite, on ne pouvait se passer de l’énergie nucléaire, les Bretons disposent des capacités techniques pour fabriquer des centrales très performantes, et pour les exporter.

Last but not least : PARTOUT, les Bretons ont une image très positive. Notre population atteint 4,4 millions d’habitants, notre diaspora bretonne compte plusieurs millions d’individus dans le monde, partout présente, active, estimée, identifiée comme appartenant au peuple breton, en aucun cas comme des Français (à Paris, on estime à un million le nombre des Bretons, ce qui fait de la capitale française le sixième département breton). Ce capital humain est notre principal atout : il véhicule en tous lieux une image de dynamisme, de créativité, de travail, de fidélité extrême à ses origines … Bientôt, le monde entier sera informé que la France, violatrice surdiplômée des droits des peuples, tient captives dans ses frontières « hexagonales » plusieurs nations, dont deux au moins sont beaucoup plus anciennes qu’elle : les Basques et les Bretons …

Bien sûr, lorsque notre pays sera rénové, il devra veiller au respect strict des droits de l’homme, de la sécurité des personnes et des biens, comme le font l’Etat de New York et quelques autres, à une justice enfin Juste. J’ajoute – c’est mon opinion, je persiste et signe – qu’il serait opportun qu’il prenne exemple sur la Norvège, l’Angleterre, la Suisse, et quelques autres pays d’Europe pour recréer sa MONNAIE NATIONALE, seule manière de gérer sa prospérité reconquise, et ne plus la laisser polluer par des incapables étrangers et des gaspilleurs inconscients. (Les Bretons vont apprendre ici, sûrement avec une certaine stupeur, que leur Pays a possédé sa monnaie nationale jusqu’aux invasions françaises de la fin du 15ème siècle), et que celle-ci a été détruite – comme tout le reste -, par la France, au siècle suivant. Nous devons donc, RESOLUMENT, sortir de la zone dite ” EURO “, n’ayant jamais été consultés sur la constitution précipitée, non réfléchie, de cette invraisemblable usine à gaz, née de l’insuffisance mentale de ses concepteurs, dont l’échec est patent. Si nous devions un jour la réintégrer, ce sera parce que nous l’aurons décidé, et NON AUTREMENT. (Pour ceux qui souhaitent en savoir plus :  » ROSA : l’euro est un contresens économique, le Figaro).

Notre pays a cessé, depuis plusieurs décennies, d’être le PLOUKISTAN OCCIDENTAL de la France. Il doit devenir l’un des pays de l’Excellence. Au plan économique et politique, certes, mais surtout au plan humain. Il n’est, dit le proverbe, de richesse que d’hommes. C’est sûrement vrai, au moins en partie. Sur ce terrain, avec des défauts immenses, on nous reconnaît au moins deux qualités : l’aptitude à travailler; la fiabilité. Globalement, c’est exact, et, sans aller jusqu’à cette vantardise du poète (« Il y a un Breton sur chaque lame de la mer »), notre réputation dans le monde est excellente : efforçons nous de la mériter. Le professionnalisme et le sérieux des Bretons doivent s’imposer comme des règles en Bretagne, l’amateurisme des « méthodes de gouvernance » françaises ne sont pas conformes à notre mode de fonctionnement mental.

Louis MELENNEC, Ex-Consultant près le Médiateur de la République française.