BRETAGNE, terre des Ponce-Pilate, des traitres et des renégats. La France est depuis toujours l’ennemie héréditaires des Bretons, et ceux qui la soutiennent sont ses complices. .

 

 

 

LA RESPONSABILTE DES POLITIQUES POUR FAUTES GRAVES DE GOUVERNANCE. IL IMPORTE QUE LES CITOYENS PUISSENT LIBREMENT POURSUIVRE LES « POLITIQUES », QUI GOUVERNENT EN DEPIT DU BON SENS, POUR LEURS CRIMES DE GOUVERNANCE, QUI RUINENT LE PAYS DEPUIS DES DECENNIES. ALLONGEMENT DE LA PRESCRIPTION POUR CERTAINS CRIMES.

 

Comment se débarrasser de ces punaises qui ruinent la France, plus gravement encore la Bretagne ? Il sont exécrés par une population de plus en plus furieuse. Les Bretons ne comprennent pas qu’ils possèdent des atouts exceptionnels pour former un Etat comparable à la Suisse, pays admirablement gouverné, dont les citoyens sont heureux, et fiers d’être ce qu’ils sont. En France, ces imbéciles sont indéboulonnables parce qu’on a fabriqué  cette hérésie de faire admettre comme un dogme que les élections périodiques, qui amènent au pouvoir des cancres, des débiles mentaux, des incompétents de toute sorte, sont le garant de la démocratie et de la bonne gouvernance. Comment un Hollande a-t-il pu accéder à la plus haute charge de l’Etat ? Comment un Ayrault a-t-il pu devenir premier ministre? Pouvait-on imaginer tomber si bas ? A l’étranger, le gouvernement est l’objet d’une dérision féroce, même si la créativité des Français est en général admirée, à juste titre. Comment ce peuple survit-il encore, avec ces clowns qui exercent une action de destruction aussi invraisemblable ?

On avance des hypothèses de travail : prévoir une procédure de destitution du président de la république, d’initiative populaire, pour insuffisance de compétence manifeste; créer des filtres pour interdire à des gens qui n’ont jamais exercé de métier, d’accéder à des charges gouvernementales .., poursuivre les politiques pour fautes graves de gouvernance, pour impéritie (Martine Aubry la femme des 35 heures et de la CMU, Rachida Dati, Marylise Lebranchu, Arnaud Montebourg …), interdiction définitive d’exercer le moindre mandat électif pour tout « élu » condamné en correctionnelle, avec effet rétroactif …

PONCE-PILATE EST REVENU PARMI NOUS. Comment le Ponce Pilate Breton a-t-il été autorisé à dire publiquement, à propos de la réintégration de Nantes, devenue ville-symbole de l’arbitraire de l’Etat colonial : « Ce n’est pas mon affaire, cela ne me regarde pas, la balle est dans le camp du gouvernement  » !!!! Que peuvent penser de cet homme  ses enfants, ses frères, ses soeurs, ses petits enfants ?

Une nouvelle que nous attendions depuis longtemps : la Cour de cassation vient d’admettre de nouvelles règles pour la poursuite de certains crimes au delà de la prescription traditionnelle de dix ans. Nous annoncions cela lors de ma candidature aux fonctions de Médiateur de la république, en 1998, et de la  candidature de Claude REICHMAN aux élections présidentielles de 2002 : la création d’une nouvelle catégorie de crimes : les crimes politiques de gouvernance aberrante, et les crimes économiques, avec allongement indéfini de la prescription dans certains cas. Nous avions en vue, particulièrement, les 35 heures, mesure unique en Europe, fruit de l’incompétence absolue de son initiatrice principale, mesure qui est l’une des causes de la ruine et du désordre économique et législatif de la France, dont le coût est inchiffrable actuellement. La Cour de cassation, dans son arrêt du 7 novembre, décide que la prescription est suspendue en cas d’obstacle insurmontable aux poursuites. Tel est bien le cas actuellement par ces « ministres » incompétents, qui gaspillent les milliards des contribuables , sans avoir la moindre qualité ni la moindre formation pour occuper les fonctions qui leur sont attribuées. Et, bien entendu, pour ceux qui nomment des politiques manifestement nuls et nocifs dans les postes de responsabilité, pour des raisons de pur clientélisme.

Notre thèse, que nous soutenons depuis des dizaines d’années, n’a rien d’original : la loi est la même pour tous; tout citoyen est responsable de ses fautes, y compris la plus minuscule (culpa levissima). A plus forte raison les fautes gravissimes commises quotidiennement par par des ministres nuls, incompétents, considérés comme tels par tous, dont l’impéritie se traduit par la perte de milliards  pour le pays, et par la complexification inouie d’un appareil législatif aberrant et stupide, sous l’impulsion des imbéciles au pouvoir, incapables qu’ils sont de connaitre les répercussions souvent perverses des textes dont ils ne comprennent pas même la signification, relèvent, selon les principes généraux du droit, le droit européen, le droit français, de la mise en cause des fautifs devant les tribunaux. La  nomination de ministres nuls, incompétents, est en soi une faute engageant la responsabilité de ceux qui les désignent. La responsabilité de ceux qui acceptent des postes ministériels sans avoir la moindre compétence pour les occuper (presque tous depuis 2012) est engagée par le seul fait qu’ils acceptent des fonctions dans lesquelles ils ne peuvent commettre que des dégâts; enfin, au moins les fautes les plus évidentes commises par ces nullités doivent les conduire devant les tribunaux, et les faire condamner, comme tous les autres citoyens, à des peines d’autant plus lourdes que les fautes commises ont été graves.

On voit que ce n’est pas une révolution que nous proposons, mais l’application aux membres des gouvernements, de l’administration,et aux autres, du droit applicable à tous les citoyens, sans exception.

Les politiques – pour le grand nombre méprisables -, qui phagocytent et polluent le pouvoir en France relèvent du même droit que nous tous. POINT.

 

LE DRIAN, LEBRANCHU, AYRAULT, ENFIN DESIGNES PAR LES BLOGS COMME ETANT DES TRAITRES.


LA POPULATION EST SEULE DETENTRICE DU DROIT DE DECIDER DE SON DESTIN. ELLE N’A, EN AUCUN CAS, DELEGUE CE POUVOIR AUX MEPRISABLES CLIENTS DU POUVOIR, ENCORE MOINS A DES CARRIERISTES, qui se rendent coupables d’un grave abus de pouvoir, en prétendant décider au lieu et place des ses mandants. LA VOIX POPULAIRE NOUS DONNE DE TOUTES PARTS  LA VOIE A SUIVRE : DENONCER SANS RELACHE LES TRAITRES, ET LES FAIRE JUGER EN TEMPS UTILE . CEUX QUI JOUENT OSTENSIBLEMENT ET HYPOCRITEMENT LE DOUBLE JEU DOIVENT PAYER ENCORE PLUS CHER QUE LES AUTRES.

A lire absolument : Taper dans Google : Le Drian traitre; Ayrault traitre; Lebranchu traitre.

Relire absolument : LE TRISTE BILAN DE Jean-YVES LE DRIAN, en termes de restauration de la Bretagne dans ses droits immémoriaux, ce 14 juillet 2010, fête nationale de nos voisins les Français.

http://blog-louis-melennec.fr/2010/07/14/le-triste-bilan-de-le-drian-en-termes-de-restauration-de-la-bretagne

Le bilan de l’illustre « bretonne » Marilyse le Branchu en termes de restitution à la Bretagne de ses droits ancestraux : le même : zéro pointé :

http://louis-melennec.fr/2012/05/24/

Les salaires et avantages cumulés par ces deux illustres « Bretons » pour ces remarquables bilans : un vertige, qui mérite une thèse de doctorat. (La règle de droit : quiconque a perçu une somme d’argent pour l’accomplissement d’une mission déterminée, et qui n’a rien fait, doit le remboursement de la somme indue. Cette action porte le nom de « répétition de l’indu », c’est à dire : remboursement de ce qui a été payé, mais qui n’était pas dû).

 

LA VOIX POPULAIRE NE S’EST PAS TROMPEE : Plusieurs blogs ont prononcé les mêmes phrases, les mêmes condamnations féroces à l’encontre de ceux qu’ils ont élus, avec une mission précise, et qui les ont trompés. Il y est question, principalement, de LE DRIAN, l’homme aux yeux baissés, celui qui ne regarde jamais personne en face.

Les gens au pouvoir, nullissimes comme d’habitude, ont « managé » un découpage absurde des « régions » françaises. La Bretagne, soulignons le fortement chaque fois que l’occasion se présente, a été annexée par la force, en trois temps, de plus en plus oppressifs (1491, 1532, 1789 surtout), sans avoir consenti à rien, et sans avoir jamais été consultée sur rien. Elle est un pays occupé, non pas une nation « minoritaire », mais une nation incluse malgré elle dans les frontières d’un pays voisin, majoritaire chez elle, la France y étant un pays occupant le terrain par invasion, donc étranger.

Le « partage » des régions françaises s’est fait dans des conditions d’amateurisme effrayantes sur un coin de table. Faute politique d’une gravité extrême au regard du droit international, les incompétents au pouvoir ont opéré dans un mépris abyssal des populations. Ce sont des crimes contre les peuples qui composent la France. Il s’agissait, avant tout, dans un climat désastreux, de donner au pays stupéfait l’impression de « faire quelque chose », et de réserver aux petits amis du pouvoir des territoires à leur convenance, leur garantissant  à la fois des revenus immenses, des avantages en nature considérables, et la faculté de continuer à pérorer devant les médias, les télévisions, les badauds, en toute ridicule impunité.

Les magouilles du pouvoir ont été éventées très rapidement, et divulguées dans la presse, au bout de quelques jours seulement. Les Bretons ont été ahuris qu’une fois de plus, des combines de bas étage ont prétendu disposer d’eux comme des bestiaux, sans leur demander leur avis, une fois de plus. Cette fois, leur fureur est extrême. Leurs yeux étant enfin ouverts, ils s’en prennent à ceux qu’ils ont « élus » (en réalité, les clients les plus dociles des partis, qui ont été adoubés par eux, et « confirmés par un pseudo scrutin, mais non pas choisis par la population), avec véhémence.

Le Drian a « convaincu » François Hollande que la Bretagne doit rester mutilée, amputée de la perle que constituent Nantes et la Loire Atlantique. Là où sa seule et impérative mission était de combattre, les armes à la main, pour que la Bretagne soit immédiatement réintégrée dans tous ses droits, nationaux et internationaux. Et de le faire savoir partout, en Bretagne, en France, dans le monde, l’occasion lui étant offerte, de se promener partout, avec nos deniers. Et de démissionner dans un tintamarre infernal en cas de refus de son Maître et de ses subsides de respecter ce principe incontournable : le droit des peuples à décider d’eux-mêmes; c’est à dire de leur destin. Aucun raisonnement, aucune pseudo-justification, aucun fait n’effaceront ces actes de lâcheté veule et vile, qui ne sont que la suite de prises de position qui confirment ce qu’ils sont, d’une manière certaine, sans qu’il subsiste le moindre doute à cet égard.

Ayrault, principal responsable de la « débretonnisation » de la Loire Atlantique (dénoncée depuis des années par Bretagne réunie, preuves accablantes à l’appui), honni de tous, le plus nul parmi les nuls, classé comme tel par les médias unanimes, a eu la prétention insensée de se tailler une principauté en réunissant la Bretagne et les fantoches « Pays de Loire ». Tout cela sur le dos des Bretons, pour de vulgaires et misérables intérêts carriéristes, au mépris affiché de l’histoire et de la volonté clairement exprimée des populations concernées.

Mais qui se croient-ils donc ? Pour qui se prennent-ils ?

LE DOUBLE JEU. Les pires sont ceux qui jouent le double jeu, et qui mangent dans les râteliers dégoûtants qu’ils ont devant leur bouche.

Une apostrophe, intitulée « Lettre ouverte à Jean-Yves LE DRIAN, ce traître », a été publiée sur l’ex- président du Conseil régional de Bretagne, l’homme au regard de chien battu, ce courageux parmi les courageux, par 7seizh, le 26 juin 2014, dans des termes incendiaires. Il est nécessaire  que tous les lecteurs du présent blog lisent ce texte particulièrement juste dans son intégralité :

 

http://7seizh.info/2014/06/26/lettre-ouverte-jean-yves-drian-ce-traitre/

 

Je pense très exactement ce qui y est dit de ce triste sire, sûrement plus durement encore. Les commentaires publiés sont explicites : lamentable, traître, dégonflé, minable, dégoûtant, abject, imbécile …

Sur les autres aussi. Ces hypocrites voyant la Bretagne dépérir, la langue perdre plus de dix mille locuteurs par an, le débat sur la réintégration s’amplifier, en ont, avec une lâcheté à vomir, été totalement absents; ils ont louvoyé, menti, triché avec tout le monde. Où étaient-ils, que faisaient-ils ? On ne les a vu nulle part. Tapis dans l’ombre, ils attendaient de voir de quel côté la balance allait pencher. Aujourd’hui, voyant que leur stratégie de louvoiement ne paie plus, ne trompe plus personne, ils louvoient encore : ils essaient de se justifier, au moyen de nouveaux sophismes : ils seront doublement punis, car leurs manoeuvres sont exécrables, la lâcheté à ce degré est une insulte au peuple breton (cf. Bretons magazine, novembre 2014).

Qu’ont-ils fait pendant que la population combattait sur le terrain ? Je vais vous le dire : ILS ETAIENT A LA SOUPE, car telle est leur philosophie et leur devise : à la soupe, à la soupe, à la soupe !  Et ils continuent, car seule la soupe les intéresse. Traitres à la Bretagne, traitres à la France, Judas de toujours, mangeant la bonne soupe bretonne, la bonne sousoupe française, maintenant des deux.

Mais que croient-ils donc ? Imaginent-ils le mépris et la haine qu’ils suscitent en Bretagne ? Pensent-ils que leur jeu n’est pas d’une limpidité absolue ?

Ne sentez vous pas la puanteur ?

Un autre, pour tenter de se justifier, ose écrire : « Je suis un militant obéissant, j’obéirai aux directives de mon parti ». Or, ce parti a voté contre les Bretons. NON, monsieur URVOAS, vous n’avez aucun droit de vous coucher sur le sol, ni d’obéir aux quatre ou cinq pelés et sous-débiles qui dirigent votre parti ; encore moins de ramper; vous avez été élu par des Bretons, en vous écrasant sur la boue, vous portez atteinte à l’honneur de tous les Bretons. Ils ne vous le pardonneront jamais. En matière de droits nationaux de la Bretagne, ce ne sont pas trois ou quatre tondus qui décident, mais LES BRETONS, seuls propriétaires légitimes, selon le droit international.

CELA NE PASSE ABSOLUMENT PLUS : ces gens ont été élus par nous, ils sont payés avec l’ argent volé dans nos poches, ils ruinent par leur stupidité la France et la Bretagne, distribuant de l’argent qui n’existe pas à leurs clients, alourdissant chaque année la dette abyssale de la France; ils bénéficient de rentes scandaleuses; ils sont là exclusivement pour nous servir : ILS SONT LES DOMESTIQUES DE LA POPULATION BRETONNE, ILS LUI DOIVENT OBEISSANCE, tout particulièrement dans cette affaire de la récupération des Droits de notre Pays.

La Bretagne, pays martyr, occupée illégalement depuis cinq siècles, s’est exprimée par des sondages répétés. Veut-elle reconstituer son territoire ? Qu’ils obéissent ! Veut-elle réintégrer dans son territoire national la Loire Atlantique, bretonne depuis douze siècles ? Qu’ils obéissent ! La Bretagne exige-t-elle qu’ils respectent ce pourquoi ils ont été élus ? Qu’ils obéissent, qu’ils obéissent, qu’ils obéissent !

Le sort naturel de ceux qui accomplissent ces actes misérables de trahison et de vulgaire nombrilisme intéressé, est d’être jugés. Les crimes contre la Nation et les personnes qui la composent sont les plus graves que puissent commettre ceux qui, trahissant la confiance des citoyens, ne pensent qu’à défendre leurs misérables intérêts personnels.

En Bretagne comme dans toutes les autres pays évolués, pas seulement en Europe, les jeunes s’organisent, publient dans Internet, se battent : ILS NE VEULENT PLUS DE CETTE CORRUPTION; ILS VEULENT QUE LES CORROMPUS SOIENT JUGES, ET MIS AU BAN DE LA SOCIETE. Et qu’aucune chance de se raccrocher aux branches ne leur soit donnée.

 

Avoir trompé pendant des décennies ce peuple naïf est abominable; les mensonges de cette nature, si longtemps infligés par un authentique lavage des cerveaux est ignoble, et sont jugés tels.

Jean-Yves LE DRIAN est agrégé d’histoire. Poignant l’est aussi. Où les a- t’on vu prêcher la mission sacrée d’ouvrir les yeux de leurs compatriotes naïfs, crédules, trompés par la France tous les jours depuis cette funeste année 1789, qui fut la SHOAH des Bretons ?

Vade retro satanas : s’il te reste un minimum de dignité, Jean-Yves LE DRIAN, toi qui a trompé  les Bretons, et qui continue à louvoyer, demandes pardon au peuple dans lequel la nature t’a fait l’honneur de naître. Car tu n’es plus digne d’être considéré comme un Breton.

 

Adressé à Bretons magazine, avec la lettre suivante :

« Vous venez de publier une interview consacrée à Jean-Yves LE DRIAN. Tous les Bretons sont interpelés par cette interview, et interloqués par l’affaire de la Loire Atlantique. Nous sommes TOUS mis en cause. Je vous demande, au nom des 70 pour cent des Bretons qui ont exprimé leur opinion par des sondages répétés, de considérer la présente comme un droit de réponse ».

Louis Mélennec, docteur en droit.

 

 

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LE SALUT DE LA BRETAGNE EST DANS LA CONNAISSANCE DE SON HISTOIRE.

La vérité historique va détruire inéluctablement le peu qui reste du sentiment d’appartenance de certains Bretons à la France. Extrait d’une conférence sur le sentiment d’appartenance et la Nation (Louis Mélennec) :

« Lorsque les jeunes Bretons apprendront qu’avant 1789, et tant que la monarchie étrangère française a exercé son autorité sur la Bretagne, notre pays a conservé des droits réels quoique réduits, qu’il avait ses institutions parlementaires,  votait lui-même ses impôts, avait le droit de s’opposer aux lois françaises, présentait librement des critiques souvent très dures au roi de France, allant jusqu’à le rappeler à ses devoirs ..….. .  et qu’à partir de 1789 ses Institutions séculaires ont été supprimées avec une extrême brutalité, ses représentants publiquement humiliés, ses administrateurs bretons remplacés par des préfets étrangers  de nationalité française, sa législation particulière anéantie, sa fiscalité, deux fois moins lourde que celle du royaume voisin, alignée sue celle de ce pays qui n’a jamais su rien gérer dans aucun domaine  ….. ..

 Lorsque, de surcroit, ils sauront que ce pays a anéanti a humilié et anéanti sa langue ………..

Lorsque, surtout, ils sauront que ce pays a interdit l’enseignement de l’histoire de la Bretagne aux enfants Bretons, qu’il a osé la remplacer par la sienne, et les a obligé à apprendre par coeur que la France, destructrice des Libertés de la Bretagne, a inventé les droits de l’homme, a apporté la Liberté au monde ….

Quel est le jeune Breton qui, apprenant cela, aura envie de rester français, s’il a jamais pensé qu’il l’était ? La suppression brutale de toutes les prérogatives de la nation bretonne, avant que l’année 1789 soit écoulée a été une entreprise totalitaire répugnante    …….

Avoir trompé pendant des décennies ce peuple naïf est abominable; les mensonges de cette nature, si longtemps infligés par un authentique lavage des cerveaux est ignoble, et sont jugés tels  …… »

 

LOUIS MELENNEC, Breton, endoctriné et humilié par l’Etat français pendant toute son enfance et son adolescence …….

 

http://blog-louis-melennec.fr/2009/03/12/le-nationalisme-francais-a-eu-la-pretention-insensee-damputer

 

 

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 LES BRETONS SONT ENCORE DES PERDANTS, DES LOSERS, PARCE QUE, ACCULTURES PAR LEUR MARÂTRE, ILS N’ONT PAS ENCORE RECUPERE LA PLEINE CONFIANCE EN LEUR CAPACITES NATIONALES, QUI SONT IMMENSES.

LETTRE DU 24 octobre 2014. M. H. NANTES
« Je n’arrive pas à comprendre pourquoi les Bretons ne pensent qu’à leur nombril, et POURQUOI ILS REFUSENT DE GAGNER, alors que la victoire est à la portée de leurs mains ».

REPONSE DE LOUIS MELENNEC (29 octobre 2014) : LE COMPLEXE DU PLOUC.

« …… La raison pour laquelle les Bretons refusent de gagner – plus exactement : sont encore incapables de gagner -, me semble simple : toutes les nations acculturées sont réduites à néant, pendant une très longue période, parfois d’une manière définitive.

Il existe une pathologie mentale collective. Les névroses, les psychoses, les états dépressifs collectifs sont aujourd’hui bien connus. L’exemple des populations amérindiennes est celui qui a été le mieux étudié, à ma connaissance.

Dans ma jeunesse, nous étions presque tous atteints d’un complexe d’infériorité : le complexe du plouc. Formatés et écrasés par l’école « républicaine », nous nous sentions inférieurs; les autres (les Français de France, ou les « Français de l’intérieur », comme disent les Alsaciens), présentés comme modèles, étaient supérieurs à nos yeux. Ils le montraient, d’ailleurs, lorsqu’ils venaient en touristes dans notre pays de sauvages, et, fait extraordinaire, de la même manière que les esclaves intériorisent l’image mauvaise qu’ils ont d’eux mêmes, nous admettions cela, nous les admirions, nous essayions de leur ressembler. Chez nombre d’entre nous, cela allait plus loin : nous avions honte de nous, de la langue de nos parents, plus encore de celle de nos grands parents, de leur accent, de leur costume, de leur air si gauche (beaucoup de Bretons de ce temps étaient timides). J’ai connu ces exemples affreux : des élèves du lycée de Quimper décourageaient les visites de leur propre mère au parloir, honteux qu’ils étaient de se montrer en compagnie d’une femme « plouque », portant une coiffe, un costume de velours, et parlant fort mal le français. Ce ne sont pas des exemples extrêmes. Je cite de mémoire – donc d’une manière pas rigoureusement exacte -, cette phrase de Pierre-Jakès Hélias, à propos de ce que lui disait son grand père de sa propre langue de cro-magnon : « avec le breton, tu n’iras nulle part : tu es comme l’âne attaché à son piquet » (!) Tel était le triste jugement que, peuple acculturé, nous portions sur nous-mêmes.

Quant à la vision que nous avions, presque tous, de notre avenir, elle était affectée de ce même complexe : attendu que nous étions un peuple d’essence inférieure, nous n’irions nulle part, car nous n’avions pas la capacité d’aller bien loin (A suivre).

Les jeunes d’aujourd’hui ont peine à croire ce que j’écris ici. Ils assument avec fierté leur identité. Ecrasés par le colonisateur, nous aspirions, de mon temps, à devenir des Français, pour échapper à notre affreuse condition, quoique la qualité de Français nous dont la nature humaine a été mise en cause par de nombreux héritiers glorieux de la glorieuse révolution des droits de l’homme, ne nous fut reconnue par ceux d’en face qu’avec réticence. Aujourd’hui, les jeunes sont offensés qu’on les « traite » de Français, et réagissent comme les Ecossais, lorsqu’on s’avise de dire qu’ils sont Anglais. Pour autant, la population est encore loin d’être guérie de cette dévalorisation dans laquelle toute la nation bretonne a été précipitée à partir de 1789, jusqu’à ces dernières décennies. Ce sont les séquelles de cette pathologie qui expliquent, selon moi, que les Bretons ont un statut mondial encore très inférieur à celui qu’ils méritent, attendu, bien qu’ils ne soient en aucun cas supérieurs aux autres, les qualités de sérieux, de travail, d’inventivité, que chacun leur reconnait : foncièrement, ils n’osent pas se reconnaître à eux-mêmes les potentialités qui sont les leurs, et en assumer les conséquences, notamment dans le succès. Comme un enfant qui aurait été battu par ses parents, et n’aurait pu, infériorisé par eux, épanouir ses talents. On ne peut s’épanouir, et assumer toute sa créativité que si l’on a retrouvé sa vraie personnalité.

Les choses évoluent, dans le bon sens. Cette évolution est appelée à s’accélérer lorsque la Bretagne aura récupéré tous ses droits, nationaux et internationaux, c’est à dire aura coupé tout lien institutionnel avec le pays qui l’a abaissé d’une manière si honteuse : la France.

Jusqu’à l’exhumation de l’histoire de la Bretagne, d’ailleurs, les Bretons étaient de longue date un peuple vaincu, écrasé sur le sol, ils ne savaient même pas qu’il y avait une partie à perdre ou à gagner. Par le formatage mis en place par le gouvernement français de Paris, le lavage ininterrompu des cerveaux bretons à travers les programmes scolaires dont les Bretons n’avaient aucune possibilité de discuter le moindre élément, on avait (presque) réussi à leur faire accroire qu’ils étaient français; ils savent aujourd’hui qu’ils ne le sont pas, et qu’ils ne le seront jamais. Leur marâtre avait incarcéré d’énormes sabots de bois dans leur tête, ils s’en sont débarrassés, cela va beaucoup mieux.

Nous sommes entrés dans une autre phase de notre destin national.

La connaissance de notre histoire, dans cette évolution, joue un rôle fondamental.

Le breton Ernest RENAN, originaire de Tréguier, dans sa remarquable conférence sur la Nation, faite à la Sorbonne en 1882, intitulée « Qu’est-ce qu’une nation », a remarquablement décrit ce phénomène incontournable : lorsqu’un pays a réussi a annexer des nations étrangères par la violence, les massacres, la persécution, le mensonge, la concussion, la recherche historique, en faisant remonter en surface ces agissements nauséabonds, le pays envahisseur est menacé de désintégration, en tout cas de perdre les territoires et les populations qu’elle a annexés par la violence.

Cela explique toute ma démarche depuis plus de quarante ans : réécrire l’histoire des relations brito-françaises pour permettre à l’identité bretonne de se reconstruire; n’écrire jamais que la vérité, sans la pervertir, pour que cette histoire devienne le rocher sur lequel elle puise s’accrocher et prendre appui. Mes efforts ont consisté à exhumer les archives – la plupart étaient connues de longue date -, mais surtout à les débarrasser de ce fatras idéologique dont on les a recouvertes, et à les ré-interpréter à la lumière de l’histoire des autres pays, des autres civilisations, des institutions du plus grand nombre de pays, du droit grec, romain, babylonien, juif, et surtout des principes élémentaires du droit, qui existent depuis des siècles, en aucun cas seulement depuis la révolution française, qui a consisté en une régression dans le cours naturel des choses  ……. Les abominations commises par un pays sur un autre sont, s’agissant de la Bretagne, à leur zénith : invasions répétées, destructions massives, anéantissement définitif des armées nationales, destruction de la dynastie par des manoeuvres illégales et frauduleuses nombreuses, destruction des vieilles institutions monarchiques consensuelles et en avance sur leur temps, massacres (dont ceux de 1675 et de 1793-1794), remplacement scandaleux des hauts responsables bretons (conseillers, magistrats, évêques et abbés ….) par des Français et des collabos, violations des droits élémentaires, exploitation du pays comme une ferme, au bénéfice de l’occupant, impositions forcées, extorquées, illégales, obligation pour les Bretons de combattre et de se faire tuer dans les armées françaises, en violation des engagements solennels pris par la France en 1532 ….

La liste des exactions commises en Bretagne par la France est illimitée. Des auteurs universitaires extrêmement méthodiques ont consacré à ces abominations des recherches plus que détaillées, de 1491 – date des dernières invasions armées, et de la privation de son titre et de ses prérogatives souveraines de notre Duchesse régnante, Anne de Bretagne -, à aujourd’hui. Ces travaux n’ont jamais été portés à la connaissance des Bretons, et restent sur les étagères des bibliothèques. Quiconque veut accomplir la même trajectoire de recherches que moi peut le faire. Qu’il lise les ouvrages, parmi les dizaines publiées, entre autres, de Le Baud, Alain Bouchard, d’Argentré, Dom Lobineau, Dom Morice, Rébillon, A. Le Moy, Fréville, Jean Kerhervé (L’Etat breton), Lepage (thèse sur les finances et la politique en Bretagne de 1491 à 1547), Dupuy, La Borderie, Marcel PLaniol (ouvrages déterminants sur les Institutions de la Bretagne, les plus importants qui aient été publiés, par ce très grand juriste, le plus important que la Bretagne ait engendré), Pocquet du Haut Jussé, et les montagnes d’archives publiées et non publiées …. Cela représente plusieurs dizaines de milliers de pages, sans doute plusieurs centaines de milliers. Mais il faudra de surcroit acquérir une formation superlative en droit, et pas seulement en droit médiéval .. Ré-écrire l’histoire de la Bretagne impose que l’on cesse de regarder son nombril, et qu’on s’oblige à regarder, longuement encore, celui des autres, et à respecter autrui. C’est de ce promontoire que représente l’histoire du monde, depuis les origines, que l’on peut commencer à comprendre ce qui s’est passé en Bretagne, et ce qu’est la Nation bretonne, ses souffrances, la légitimité de ses aspirations.

 

Les nations existent, principalement, parce que les populations qui les composent ont vécu de très longs siècles une histoire commune, partagé les mêmes joies, mais surtout les mêmes malheurs. La langue commune n’est jamais qu’un élément secondaire pour définir la nation, d’ailleurs parfois absent (les Juifs, dispersés dans le monde, prototype de la nation qui a survécu à toutes les vissicitudes, parlent au moins cent langues !). (1). La maison « nation » se construit au fil des siècles sur les évènements partagés ensemble; la maison nation qui veut renaître ne peut le faire, principalement, qu’en se réapropriant son histoire, et en mettant de côté, au moins provisoirement, celle, étrangère, qui lui a été imposée par la violence mentale, mais qui n’est pas la sienne. Et cette réappropriation n’est en aucun cas un repli sur soi : nul ne peut s’assumer si on veut faire de lui un être composé de bric et de broc, un homme fabriqué avec des prothèses, encore plus s’il s’agit de prothèses mentales ou intellectuelles.

Le Breton est Breton, c’est la moindre des choses. Mais il est aussi européen, et citoyen du monde. J’ajoute, pour clouer au pilori ceux qui poussent des cris d’orfraie en voulant placarder sur les Bretons l’étiquette « d’identitaires », qu’eux sont des imbéciles, et qu’ils raisonnent comme le faisaient jadis les NAZIS. Et que nous sommes, avant tout, des êtres humains, particulièrement ouverts au monde, et à toutes les cultures, que nous considérons toutes comme très enrichissantes. En voulant faire de nous, par la force, ce que nous ne sommes pas, la France et les idéologues stupides qui nous attaquent ont eu et ont une démarche exécrable : totalitaire et fasciste.

La Bretagne accède aujourd’hui à son histoire, celle qu’on lui a cachée; ce fait est irréversible.

IV – L’ABOMINABLE RACISME ANTI-BRETON : UNE TRES SALE ATTITUDE QUI SE POURSUIT A L’HEURE ACTUELLE, dans certains milieux et dans des cerveaux malades.

Vous souvenez vous de ces propos ? On ne peut rien imaginer de plus vulgaire ni de plus imbécile :

Fouché, désignant la Bretagne et les Bretons, en 1794 :

 » DANS CE PAYS MAUDIT, il ne peut y avoir que des coupables « .

Michelet, 1831 : » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe « .
Auguste Romieu, sous-préfet de Quimperlé, 1831 :
» La Bretagne est une contrée à part, qui n’est plus la France. Exceptez-en les villes, LE RESTE DEVRAIT ETRE SOUMIS A UNE SORTE DE REGIME COLONIAL « .

Auguste Romieu, 1831 : » Créons, POUR L’AMELIORATION DE LA RACE BRETONNE, quelques unes de ces primes QUE NOUS RESERVONS AUX CHEVAUX « .

Malte BRUN, 1831 :
» Leurs habitudes, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent A PEINE UNE PLACE AU DESSUS DE L’HOMME SAUVAGE  ……

» Le paysan y est d’une malpropreté dégoûtante; son habitation peut presque se comparer à celle des Hottentots … les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois « .

Prosper MERIMEE, lettre à Jubert de Passa, 1835 :
» On voit dans les villages les enfants et les cochons se roulant pêle-mêle sur le fumier; la pâtée que mangent les premiers serait probablement refusée par les cochons du Canigou « .

M. BUSSON, Manuel de géographie à l’usage des lycéens, 1929 :
» Les principaux traits de la race bretonne sont la malpropreté, la superstition, et l’ivrognerie « .
PROSPER MERIMEE, lettre à Requien, 1836 :

. »Au lieu de votre joli patois, dont on comprend toujours quelque chose, c’est une langue que le diable a inventée là-bas ….. »

GUSTAVE FLAUBERT, Par les monts et par les grèves.

« J’ai croisé deux marins Bretons sur la grève de Port Navalo : faciès stupéfiés de dégénérés, regards délavés par l’abus de l’eau-de-vie; ils regardent la mer comme les vaches regardent passer le train de Quimper. Je tente d‘engager la conversation, ne tire d’eux que d’inconsistants borborygmes. Au moment de nous croiser, deux créatures approximativement femelles, coiffées d’un long tuyau disgracieux probablement chargé de compenser leur nanisme congénital, se signent, puis s’engouffrent dans un édicule bas sur pattes qui doit être une chapelle. Un vent  soulève des odeurs de varech, de bouses, de hardes mal lavées. Un effarement m’envahit. Dans quel trou d’ivrognerie et de superstition sommes-nous tombés ? »

A Locminé :

« On a installé une estrade de bois pour les danseurs. La danse consiste à se remuer et à se secouer en rond en se tenant le petit doigt. Sur le contretemps, tout le monde saute et retombe sur le plancher dans une grand bruit de sabots. Les puces et les poux tombent des habits sur les lattes du plancher et, de là, dans l’herbe. Cette sorte de gymnastique hygiénique offre d’ordinaire aux couples l’occasion de se former, en vue des appariements qui ont lieu dans ces contrées à la période des moissons ……

Les sauts des danseurs donnent le rythme au musico qui s’époumone dans une cornemuse de fabrication locale qu’on appelle ici biniou et dont le son m’a paru aussi harmonieux que celui du chant du canard à la saison des amours. La danse prend fin d’ordinaire quand toutes les puces sont tombées. Cela ne se produit pas avant la nuit close, d’où le nom de fest-noz donné à ces réjouissances (d’autres prétendent que ce nom vient de l’habitude qu’ont les danseurs de se curer le nez entre les danses). (2)

A Dinan :

« Dimanche à Dinan. Jour de première communion. Trognes rondes rosâtres rasées, porcines, des gamins engoncés dans leurs habits de velours noir; fillettes déjà formées suant ferme sous leurs amas de dentelles. Enfants de choeur ahuris emboîtant le pas du curé doré sur tranche.  Nourriture exécrable; le cidre est une infâme piquette; on nous sert au café des morceaux d’un gâteau local au beurre ranci appelé « far »; je manque y laisser une dent sur un pruneau encore muni de son noyau ….. Odeurs pestilentielles. Maxime et moi descendons une rue pentue bordée de vague boutiques. Derrière des vitrages crasseux, nous devinons des faces racornies, ridées, tavelées comme des rainettes de l’automne précédent : les a-t-on retirées de leurs claies pour leur faire prendre le jour gris, éviter qu’elles ne pourrissent avant octobre ….. Au bas de la descente, au-delà d’ un quai désert, stagne une étendue d’ eau brune et morne ….. Nous en demandons le nom à une passante embéguinée et sabotée. « Tiens, c’est la Rance, pardi ! » La Rance : quel nom bien choisi pour ce flot paresseux et sale ! «

(Note de l’auteur : c’est cela que l’UNESCO vient de classer au patrimoine mondial de l’humanité ! Admirez l’intelligence des Français, le peuple autoproclamé le plus subtil de la terre !)

Gustave Flaubert, Par les champs et par les grèves, édition nouvelle, établie à partir des manuscrits originaux par Léopold Jambrun (Presses de l’Université Libre du Haut-Verdon )

VICTOR HUGO. LE BRETON selon HUGO : Quatre-vingts treize, 1874 :

» Qu’on place ce sauvage, parlant une langue morte….. ce qui est faire habiter une tombe à sa pensée (!) ……. (Ce paysan) vénérant sa charrue d’abord, sa grand mère ensuite, …….. On se demande si cet aveugle peut accepter la clarté « .
RAYMOND CARTIER, Les 19 Europes, Plon, Paris, 1960 :
» Ils vivaient dans leur langue pataude et leurs vêtements grossiers, COMME DES ESPECES DE BAS-BRETONS « .
LES BRETONS, NEGRES DE LA FRANCE : Laurent TAILHADE  » L’assiette au beurre « , 3 octobre 1903 :
» Il n’est pas de meilleur chrétien que cette crapule de Bretagne; il n’en est pas de plus réfractaire à la civilisation. idolâtre, lâche, sournois, alcoolique et patriote, les cagot armoricain ne mange pas : IL SE REPAÎT; il ne boit pas : IL SE SAOULE; il ne se lave pas : IL SE FROTTE DE GRAISSE; il ne raisonne pas : IL PRIE (!!!); et, porté par la prière, IL TOMBE AU DERNIER DEGRE DE L’ABJECTION .
» C’EST LE NEGRE DE LA FRANCE, cher aux noirs ensoutanés, qui dépouille à son bénéfice de véritables miséreux « .

Anatole DE MONZIE, ministre de l’instruction publique, 1925 :

 » Pour l’unité de la France, la langue bretonne doit disparaître « .
CHARLES PASQUA, 1992, professeur de morale, oie blanche parmi les hommes politiques français, l’homme du SAC, de la tuerie d’Auriol (voir Google),  aux innombrables procès, rejoint et condamné par le justice (enfin !), en 1992, à la suite du traité de Maestricht :
» Les Bretons, C’EST COMME LES COCHONS « .

JEAN – LUC MELENCHON, 2007 : l’invraisemblable Mélenchon,  allié mental des Chinois au Tibet, admirateur de l’oeuvre « civilisatrice » des tortionnaires des Tibétains, assassins de leur culture, comme la France l’a été de la langue bretonne :
» Le vocabulaire et la grammaire de la  » pseudo-langue bretonne « ,  …..furent fixées à la demande de l’occupant NAZI, en 1941 « .
» Les écoles Diwan sont une secte « .
» Le breton est la langue de la collaboration « (Cette allégation tient du génie de son auteur : la collaboration s’est faite en français : et pour cause : aucun allemand ne parlait breton, ceux que la France stipendiait sous le terme de collabos ne dépassaient pas quelques centaines de personnes. C’est la France qui était atteinte d’un nationalisme furieux, c’est la France qui a collaboré, non la Bretagne.
Jacky BERROYER : Les Bretons : des porcs; les petits Bretons : des gorets. (Chanson éructée en langue française, la langue universelel, la langue des langues : 2006) :
» Ah ! Connaissez vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ..

» De Quimper à Concarneau, on voit passer des femmes promenant des porcs dans des landaus, pendant que leurs maris se soulagent dans les flots, et refusent de signer le protocole de Kyoto.
» Ah ! Les Bretons sont vraiment immondes : ils mangent leurs enfants au lieu de se fournir au Tiers Monde. Si on leur reproche ça, ça les fait marrer, c’est leur humour moche noir comme leur marée « .
http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share
2011. Claude HAGEGE, insuffisant intellectuel, professeur honoraire au Collège de France :
« La Bretagne a été rattachée à la France. C’étaient des sauvages. Mais ils sont devenus français.  »
(Emission de Frédéric TADDEI, le 8 février 2011, « Ce soir ou jamais ».

2014 : Nicolas BEDOS, le vulgarissime sans talent, s’adressant à DIEUDONNE :
« Ma quenelle à moi s’appelle une merguez, et je te l’enfonce dans ton gros cul de Breton inculte ». (Emission de Laurent RUQUIER, sur France 2, « On n’est pas couché », 11 janvier 2014).

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Peut-on laisser des débiles mentaux proférer de telles âneries, de tels propos racistes et puants ?
Réalisez vous, Français même si ce sont les plus bêtes et les plus corrompus d’entre vous qui ont éructé ces insultes graves, qui puent le mépris d’autrui, le racisme et le nazisme, que les Bretons vont jeter tout cela aux oubliettes ??? Notre civilisation bretonne, celle du roi Arthur, du chevalier Lancelot, de la fée Mélisande, de l’enchanteur Merlin, des Chevaliers de la Table ronde, bien que non exempte de sévères reproches sur bien des points, n’a jamais rien produit d’aussi bassement vulgaire.
Jean-Luc de CARBUCCIA, terminant l’émission à laquelle il avait convié Louis MELENNEC, à Lumière 101 (confere : L’assassinat de la Bretagne), avait conclu par ces propos : » Toutes ces horreurs se payeront un jour « .
Ce moment est en train d’arriver. On récolte ce que l’on sème : ne soyez pas étonnés, Français, de ce qui arrive à votre pays. Après la révélation des horreurs réalisées par la France en Bretagne, c’est au tour de la France d’être HUMILIEE. Les Bretons ne se réjouissent pas de la déliquescence de votre Pays, mais il y a dans ce renversement de la situation une forme de justice : celui qui a fait souffrir les autres souffre à son tour : soyez assurés que nous sommes aussi affligés que vous de voir vos médias et votre presse nationale qualifier de nuls le couple au pouvoir, et les trois  » acteurs  » politiques principaux de l’UMP qui se trouvent en face d’eux en ce moment, dans un ballet aussi ridicule que lamentable, de leurs véritables noms : le voyou, le pleutre, l’impuissant. Des Bretons, me dit-on, réfléchissent à une Constitution qui écartera cette sorte d’engeance des postes de responsabilité en Bretagne, lorsqu’elle aura accompli la même trajectoire que l’Ecosse, la Catalogne, mieux encore : l’Irlande, libérée du joug de son colonisateur depuis près d’un siècle.
Je termine par cette réflexion. Si, avec quelques qualités, les Bretons possèdent tant de défauts – le plus pernicieux, à mon avis, étant la jalousie, qui anime, bien plus que l’ignorance et la sottise, dont le lecteur aura un triste exemple en se reportant aux injures qui peuplent les  » commentaires  » sous l’émission de Jean-Luc CARBUCCIA (confere : La Bretagne assassinée), ils ont, en revanche, un sens très vif de la reconnaissance et de la fidélité.
Les phrases que M. HAZO Nétanel, président de l’association Bretagne-Israel a écrite dans l’Agence Bretagne Presse, le 31 août 2010, sur l’exceptionnelle résistance des Bretons à la phagocytose et à la dissolution dans un pays étranger, nous ont particulièrement touchés. Ces phrases ne sont absolument pas banales pour nous, là ou les Français ne sont pas encore capables de comprendre les drames dont leur pays est responsable. NI D’AILLEURS DES EXACTIONS QU’ILS SUBISSENT DE LA PART DE LEURS NULLISSIMES ET CORROMPUS GOUVERNANTS. Mais les scandales vont maintenant se succéder, et ils seront avant peu pleinement informés de ce dont ils sont victimes de leur part.
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PROPOS COLLIGES PAR LOUIS MELENNEC.

 A lire absolument : la destruction programmée et voulue de la langue antique des Bretons par la France, Etat totalitaire :

 

http://www.ph-ludwigsburg.de/html/2b-frnz-s-01/overmann/baf4/bretagne/langue.htm

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COURRIER D’UN LECTEUR, DE NANTES, reçu ce jour, dès la publication de cette chronique non achevée.

M. M. Nantes.  » Vous dites que les Bretons sont très ouverts ?
Sauf moi, qui suis très fermé: mon identité bretonne vient de ce que je suis fier de ne pas être français : Je préfèrerais encore être belge.

Je voulais d’ailleurs éditer un auto – collant:  » Fier de ne pas être français « .

Et puis çà s’est noyé dans l’aboulie temporaire et la médiocrité quotidienne. Mais j’y reviendrai. »

Réponse de Louis Mélennec : « Vous êtes un fieffé menteur. Je vous connais depuis vingt ans : nul n’est plus ouvert que vous, ni plus cordial. Et les Belges sont un peuple très sympathique. Mais vous avez un humour assassin. Et vous vous en servez, comme moi, pour contourner l’adversité. Il est vrai qu’en votre qualité de Nantais, vous avez eu à souffrir de tout ce qui a été fait pour débretonniser notre chère capitale historique. Mais vous savez que des Bretons ont consigné dans leurs publications ces actes abominables, et qu’ils songent à poursuivre les responsables. Ces poursuites se feront sur le fondement du droit international et du droit européen, qui imposent l’absolu respect des langues, des coutumes, du territoire des nations  dites « minoritaires ». En Bretagne ces lois internationales sont violées tous les jours, et l’on connait par leur nom les principaux coupables, spécialement à Nantes ».

 

…. Vous évoquez les correspondances qui me sont adressées depuis peu, précisément depuis la deuxième édition du Livre Bleu de la Bretagne.

Je suis, comme vous, infiniment touché par ces lettres simples, avec des fautes d’orthographe, qui émanent de gens qui n’ont rien à voir avec les lâches qui composent l’ » établissement » breton. Ces correspondants parlent avec le coeur. C’est merveilleux, la Bretagne profonde est avec nous, elle est incapable de tricher, elle.

La lettre qui m’a le plus ému est celle de ce Breton exilé en Amérique, qui nous a écrit :
« La vieille maman, restée au pays, ne peut s’empêcher de pleurer en lisant le livre bleu ».
Vous me dites qu’en sortant du salon du Livre, à Carhaix, un homme s’est précipité sur vous. Je reproduis les termes exacts de votre lettre :
« P., je te connais, où puis-je acheter le Livre bleu ? » Un paysan du pays. je lui ai donné un exemplaire : il était fou de joie ».
Vous comprenez aussi pourquoi j’ai refusé, à l’âge de 25 ans, déja plus que largement informé de ce que sont les milieux politiques, d’être le suppléant de Hervé NADER, député de Quimper, qui me proposait de démissionner en ma faveur au bout de deux ans ..

Je suis effaré de ce que vous me dites du salon du livre de Carhaix : alors que déjà quinze sites offrent le livre bleu de la Bretagne à leurs lecteurs, que ceux-ci ont effectué plus de 40 000 téléchargements, qu’on nous parle de ce livre de Pékin, de Moscou, de Berlin … les éditeurs « bretons », qui osent se dire « nationalistes » refusent toute éventualité de le ré-éditer, et « refusent absolument – surtout pas, dites vous -, de se mouiller ». Se mouiller ??? Mais de quoi ?

Il va sans dire que leur attitude me détourne d’avoir désormais jamais à faire à eux, à l’exception du plus courageux, qui vient de me dire que ce texte ne lui fait pas peur, bien au contraire. Qui est-il ? Un seul éditeur breton a cette audace : vous saurez son nom. Internet est aujourd’hui le moyen par lequel la vérité parvient jusqu’à nous. Nous avons gagné la bataille du Livre bleu, qui court maintenant sur la toile, partout.

A mon âge, je reste naïf : je n’imaginais pas que nous sommes encore si bas, plus bas que le caniveau, là où notre jeunesse nous donne l’exemple.

Mais d’où nous vient cette lâcheté ? Pourrons nous en guérir ? OUI : IMPOSSIBLE N’EST PAS BRETON.

Louis Mélennec.

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