LES BRETONS ONT SEULS LE DROIT DE DECIDER DE LEUR AVENIR . Ceux d’en face ne disposent pas D’UN SEUL argument pour se maintenir chez nous .

 A LIRE ABSOLUMENT :
 
SUR L’AUTONOMIE INDISPENSABLE DE L’ALSACE : Bernard Wittmann, L’Alsace, demain : plaidoyer pour un statut d’autonomie, Fouesnant, Yoran Embanner, 2011. 238 p. ISBN978-2-914855-77-8
SUR LES ABOMINATIONS COMMISES PAR L’ETAT FRANCAIS : L’Etat voyou, par Caroline Brun et ..
Il ya quarante ans que nous dénonçons les pratiques illégales de l’Etat français. D’autres l’ont fait et le font : Montaldo, de Closets, Thierry Desjardins …. La Bretagne a eu à subir ces abominations pendant cinq siècles. Les injurieurs chroniques, dans les blogs, véritables sçavants bretons, ont réagi par des injures. Les députés et les sénateurs : rien, rien, rien …
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ECHANGES AVEC LES LECTEURS. COURRIER DES BRETONS, ET DES AUTRES.
D’OU NOUS VIENT CETTE LÂCHETE. POURQUOI LES BRETONS REFUSENT-ILS D’ÊTRE DES GAGNEURS, ET SE COMPORTENT TOUJOURS EN PERDANTS, EN LOSERS ?
 
 LETTRE DU 24 octobre 2014. M. H. NANTES. Nouvelles du Livre bleu : de mieux en mieux.

« Je n’arrive pas à comprendre pourquoi les Bretons ne pensent qu’à leur nombril, et POURQUOI ILS REFUSENT DE GAGNER, alors que la victoire est à la portée de leurs mains ».

REPONSE DE LOUIS MELENNEC (29 octobre 2014) : LE COMPLEXE DU PLOUC. LA BATAILLE DU LIVRE BLEU EST GAGNEE. LE RESTE VA SUIVRE.

« …… La raison pour laquelle les Bretons refusent de gagner – plus exactement : sont encore incapables de gagner -, me semble simple : toutes les nations acculturées sont réduites à néant, pendant une très longue période, parfois d’une manière définitive.

Il existe une pathologie mentale collective. Les névroses, les psychoses, les états dépressifs collectifs sont aujourd’hui bien connus. L’exemple des populations amérindiennes est celui qui a été le mieux étudié, à ma connaissance. Dans ma jeunesse, nous étions presque tous atteints d’un complexe d’infériorité : le complexe du plouc. Formatés et écrasés par l’école « républicaine », nous nous sentions inférieurs; les autres (les Français de France, ou les « Français de l’intérieur », comme disent les Alsaciens), présentés comme modèles, à nos yeux, nous étaient supérieurs. Ils le montraient, d’ailleurs, lorsqu’ils venaient en touristes dans notre pays de sauvages, et, fait extraordinaire, de la même manière que les esclaves intériorisent l’image mauvaise qu’ils ont d’eux mêmes, nous admettions cela, nous les admirions, nous essayions de leur ressembler. Chez nombre d’entre nous, cela allait plus loin : nous avions honte de nous, de la langue de nos parents, plus encore de celle de nos grands parents, de leur accent, de leur costume, de leur air si gauche (beaucoup de Bretons de ce temps étaient timides). J’ai connu ces exemples affreux : des élèves du lycée de Quimper décourageaient les visites de leur propre mère au parloir, honteux qu’ils étaient de se montrer en compagnie d’une femme « plouque ». Ce ne sont pas des exemples extrêmes. Je cite de mémoire – donc d’une manière pas rigoureusement exacte -, cette phrase de Pierre-Jakès Hélias, à propos de ce que lui disait son grand père de sa propre langue de cro-magnon : « avec le breton, tu n’iras nulle part : tu es comme l’âne attaché à son piquet  » (!) Telle était la triste impression que, peuple acculturé, nous avions de nous-mêmes.

Quant à la vision que nous avions, presque tous, de notre avenir, elle était affectée de ce même complexe : attendu que nous étions un peuple d’essence inférieure, nous n’irions nulle part, car nous n’en avions pas la capacité. (A suivre).

 

Les jeunes d’aujourd’hui ont peine à croire ce que j’écris ici. Ils assument avec fierté leur identité. Ecrasés par le colonisateur, on aspirait, de mon temps, à devenir des Français, pour échapper à notre affreuse condition, quoique cette qualité, nous dont la nature humaine a été mise en cause par de nombreux héritiers glorieux de la glorieuse révolution des droits de l’homme, ne nous fut reconnue par ceux d’en face qu’avec réticence. Aujourd’hui, les jeunes sont offensés qu’on les « traite » de Français, et réagissent comme les Ecossais, lorsqu’on s’avise de dire qu’ils sont Anglais. Pour autant, la population est encore loin d’être guérie de cette dévalorisation dans laquelle toute la nation bretonne a été précipitée à partir de 1789, jusqu’à ces dernières décennies. Ce sont les séquelles de cette pathologie qui expliquent, selon moi, que les Bretons ont un statut mondial encore très inférieur à celui qu’ils méritent, attendu les qualités de sérieux, de travail, d’inventivité, que chacun leur reconnait : foncièrement, ils n’osent pas se reconnaître à eux-mêmes les potentialités qui sont les leurs, et en assumer les conséquences. Comme un enfant qui aurait été battu par ses parents, et n’aurait pu, infériorisé par eux, épanouir ses talents. On ne peut s’épanouir, et assumer toute sa créativité que si l’on a retrouvé sa vraie personnalité.

Les choses évoluent, dans le bon sens. Cette évolution est appelée à s’accélérer lorsque la Bretagne aura récupéré tous ses droits, nationaux et internationaux, c’est à dire aura coupé tout lien institutionnel avec le pays qui l’a abaissé d’une manière si honteuse : la France.

Jusqu’à l’exhumation de l’histoire de la Bretagne, d’ailleurs, les Bretons étaient de longue date un peuple vaincu, écrasé sur le sol, ils ne savaient même pas qu’il y avait une partie à perdre ou à gagner. Par le formatage mis en place par le gouvernement français de Paris, le lavage ininterrompu des cerveaux bretons à travers les programmes scolaires dont les Bretons n’avaient aucune possibilité de discuter le moindre élément, on avait (presque) réussi à leur faire accroire qu’ils étaient français; ils savent aujourd’hui qu’ils ne le sont pas, et qu’ils ne le seront jamais. Leur marâtre avait incarcéré d’énormes sabots de bois dans leur tête, ils s’en sont débarrassés, cela va beaucoup mieux.

Nous sommes entrés dans une autre phase de notre destin national.

Le breton RENAN, dans sa remarquable conférence  sur la Nation, faite à la Sorbonne en 1882,  intitulée « Qu’est-ce qu’une nation », a bien décrit ce fait incontournable : lorsqu’un pays a réussi à absorber des nations étrangères par la violence, la persécution, le mensonge, la recherche historique, en faisant remonter en surface ces agissements nauséabonds, le pays envahisseur est menacé de désintégration, en tout cas de perdre les territoires et les populations qu’elle a annexés par la violence. La Bretagne accède aujourd’hui à son histoire, celle qu’on lui a cachée; ce fait est irréversible.

…. Vous évoquez les correspondances qui me sont adressées depuis peu, précisément depuis la deuxième édition du Livre Bleu de la Bretagne. Je suis, comme vous, infiniment touché par ces lettres simples, avec des fautes d’orthographe, qui émanent de gens qui n’ont rien à voir avec les lâches qui composent l’  » établissement » breton. Ces correspondants parlent avec le coeur. C’est merveilleux, la Bretagne profonde est avec nous, elle est incapable de tricher, elle.

La lettre qui m’a le plus ému est celle de ce Breton exilé en Amérique, qui nous a écrit :
« La vieille maman, restée au pays, ne peut s’empêcher de pleurer en lisant le livre bleu ».
Vous me dites qu’en sortant du salon du Livre, à Carhaix, un homme s’est précipité sur vous. Je reproduis les termes exacts de votre lettre :
« P., je te connais, où puis-je acheter le Livre bleu ? » Un paysan du pays. je lui ai donné un exemplaire : il était fou de joie ».

Vous comprenez aussi pourquoi j’ai refusé, à l’âge de 25 ans, déja plus que largement informé de ce que sont les milieux politiques, d’être le suppléant de Hervé NADER, député de Quimper, qui me proposait de démissionner en ma faveur au bout de deux ans ..

Je suis effaré de ce que vous me dites du salon du livre de Carhaix : alors que déjà quinze sites offrent le livre bleu de la Bretagne à leurs lecteurs, que ceux-ci ont effectué plus de 40 000 téléchargements, qu’on nous parle de ce livre de Pékin, de Moscou, de Berlin … les éditeurs « bretons », qui osent se dire « nationalistes » refusent toute éventualité de le ré-éditer, et « refusent absolument – surtout pas, dites vous -, de se mouiller ». Se mouiller ??? Mais de quoi ?

Il va sans dire que leur attitude me détourne d’avoir désormais jamais à faire à eux, à l’exception du plus courageux, qui vient de me dire que ce texte ne lui fait pas peur, bien au contraire. Qui est-il ? Un seul éditeur  breton a cette audace : vous saurez son nom. Internet est aujourd’hui le moyen par lequel la vérité parvient jusqu’à nous. Nous avons gagné la bataille du Livre bleu, qui court maintenant sur la toile, partout.

A mon âge, je reste naïf : je n’imaginais pas que nous sommes encore si bas, plus bas que le caniveau, là où notre jeunesse nous donne l’exemple.

Mais d’où nous vient cette lâcheté ? Pourrons nous en guérir ?

Louis Mélennec.

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UN EMINENT CORRESPONDANT m’écrit, de Vannes, le 23 octobre 2014.
« Les droits de la Bretagne résultent du droit des peuples à disposer d’eux – mêmes, point final.
Est-il besoin de gloser là-dessus ? »

 

 

REPONSE de Louis MELENNEC

Certes. En droit moderne, c’est ainsi qu’on énonce le principe juridique, depuis déjà plus d’un siècle : c’est bien aux peuples et aux nations de décider de leur sort, non à ceux qui les ont colonisés.

Mais cela ne suffit pas, on est loin du compte.

1 – Il faut d’abord qu’il s’agisse d’un peuple. Ou d’une nation.

Mais comment se définit un peuple, une nation ?

C’est ce que je me suis appliqué à faire, dans mes nombreuses publications et émissions. (Google : mélennec nation). Lorsque j’ai publié mes premières chroniques dans Internet, les attaques les plus virulentes portaient sur plusieurs points, dont celui-ci : formatés par l’enseignement « républicain », beaucoup de Bretons tombait des nues lorsqu’on leur exposait qu’ils sont une vraie Nation, beaucoup plus ancienne que la nation française.

Il a donc fallu, année après année, expliquer ce qu’est une nation, en dégager les critères, et, cela étant fait, appliquer ces critère, comme une grille, sur le peuple breton.

Les Bretons sont-ils un peuple, une nation ?

Je pense l’avoir démontré d’une manière irréfutable. CETTE REALITE N’EST PAS EVIDENTE POUR TOUS, et est encore niée par beaucoup, en particulier par des Bretons, et des historiens ignares de ce qu’est une nation (Minois, Alain Croix, et tutti quanti). La France a TOUT MIS EN OEUVRE pour cela, depuis 1789, en écrasant les cerveaux, en les tripatouillant d’une manière ignoble.

Avant 1789, les Bretons, sachant qu’ils avaient émigré de l’Angleterre – au 5ème siècle,  croyaient-il -, proclamaient hautement que la Bretagne était une Nation, et que leurs droits étaient nationaux. Et cela ne gênait personne, pas même la monarchie française.
Voyez ce que le pays des droits de l’homme a fait de ce principe sacré.

Et cela ne suffit pas !

2 – TOUS LES PEUPLES, toute les nations peuvent -ils accéder à l’indépendance ?

Il y a plus de deux cents nations en Europe. Il y a plus de six mille langues dans le monde. On peut supposer que le nombre des nations mondiales dépassent largement plusieurs milliers. Le droit international proclame hautement le droit de toutes les nations, y compris celles qui sont intégrées dans les frontières d’un Etat étranger, à être protégées dans leur culture, dans leurs coutumes, dans leurs langues, dans leurs religions. Mais pour des raisons évidentes, toutes ne peuvent accéder à l’indépendance. Certaines, d’ailleurs, sont de très petite taille, voire minuscules. Certaines aussi ne souhaitent pas changer de statut. Voyez le désordre si toutes ces nations étaient admises à être indépendantes. L’Europe et le monde seraient ingérables.

3 – Se pose alors le problème de la légitimité pour accéder à l’indépendance.

Quelles nations ont le droit de disposer d’elles mêmes ?

La source principale de la légitimité – non pas la seuls -, est L’HISTOIRE VECUE ENSEMBLE.

Nous, Bretons avons une histoire de plus de 2000 ans, des guerres, des luttes, un sentiment d’appartenance, des contentieux avec nos voisins, une langue. (Google : Mélennec, Nation bretonne, nation française).

Nous sommes de ceux qui ont le droit de décider, sans aucune sorte de doute.

Les Français, eux, nation tard venue sur la scène de l’histoire, ont la même légitimité à être chez eux, en aucun cas chez nous, car ils nous ont envahis, pillés, volés, persécutés ……. Et ils mentent sans cesse, depuis cinq siècles qu’ils sont là.

C’est pourquoi l’enseignement de l’histoire est une nécessité impérative.
M. Marc LE FUR, député, vice-président de l’assemblée nationale des Français vient de faire cette découverte stupéfiante (!). Et il ne fait d’ailleurs RIEN pour que cela entre dans les moeurs. Ses collèges non plus. On y pourvoira, comme on a pourvu au reste.

Vous voyez qu’une affirmation ex-cathedra ne suffit ni de près ni de loin pour que les Bretons accèdent à l’indépendance.

 Une construction doctrinale est nécessaire, UNE JUSTIFICATION A LA FOIS PHILOSOPHIQUE, HISTORIQUE, JURIDIQUE.

Et il faut la diffuser, convaincre les intéressés.

En revanche, ceux d’en face n’ont pas un seul argument pour justifier leur présence chez nous. Le mal qu’ils ont fait pendant cinq siècles est colossal. J’aime citer cette phrase écrite par M. HAZO NETANEL, ancien président de l’association Bretagne – Israël, reproduite dans la page 8 du Livre Bleu :
 
« Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout !
La France est en faillite morale, intellectuelle. Elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent … C’est une chance pour les peuples premiers de France … Le chemin sera encore long jusqu’à l’indépendance, mais c’est inéluctable ».
4 – IL FAUT ENFIN RENVERSER LE RAPPORT DE FORCES AVEC L’ETAT COLONISATEUR, celui-ci étant voleur, menteur, de constante mauvaise foi …. et détenant la force armées, les nominations dans toutes les fonctions, des moyens financiers colossaux pour acheter les radios, les journalistes, les députés, les parlementaires, avec des moyens camouflés (la pseudo-démocratie, en particulier ..).(Les parlementaires sont censés « contrôler » l’exécutif; en réalité, c’est l’exécutif qui les tient en laisse, en permettant, eux qui ne servent à peu près à rien, de se voter des rentes phénoménales, dont certaines sont dispensées d’impôts, ce qui fait d’eux des délinquants agissant en bande organisée, ces rentes là étant inconstitutionnelles).

C’est à tous ces problèmes que j’ai travaillé pendant tant d’années. Les réponses théoriques sont dans le livre bleu.

Et c’est ce que le colonisateur ne permettait pas de dire, avant l’invention d’Internet, toute personne prêchant la vérité au lieu du discours convenu étant écartée. Ecartée de TOUT. Voire sanctionnée et punie. Ceux qui se couchaient devant ce discours, au contraire, étaient et sont encore récompensés. (Vous savez que je parle d’expérience).

5 – RESTE A PASSER AUX ACTES.

Mais où donc sont les Bretons ????? Où sont les héros ?

Il bavassent, se disputent, mais n’agissent pas. Ils se divisent, se subdivisent, se fragmentent encore et encore, comme les amibes.  L’inertie atteint son sommet chez ceux qui sont payés pour nous représenter chez les Français. RIEN à l’horizon pour le moment. En tout cas pas grand choses, malgré le dévouement de quelques uns. Les débats sur la réintégration de la Loire Atlantique et Nantes ont été lamentables. Pas une parole vraie n’a été prononcée.

Certains sont dans les blogs, et se sont spécialisés dans l’injure. (Ce sont les plus bêtes, les plus ignorants, les moins éduqués …..).

Montez donc sur notre montagne la plus haute – le Menez Hom -, et criez dans la plaine : « Les peuples ont seuls le droit de disposer d’eux mêmes !!! »

Que se passera-t-il ?

RIEN, pas même l’écho.

Mais il reste vrai que la clé du problème est le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Et il est vrai aussi que nous sommes superlativement UN PEUPLE, UNE NATION, au sens le plus puissant du terme. Et que les choses avancent, à quoi contribuent tous les lecteurs de ce texte.
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M.C. BERNE (Suisse) :
Devezh mat,
Breton, je vis en Suisse dans un Vrai Pays! J’apprécie la chance qui m’est donnée.
Tous les cantons sont indépendants, tant au plan juridique, que policier, fiscal, et éducatif.
Nous votons souvent. Le peuple est amené à monter au créneau pour soutenir ou pour rejeter toutes sortes d’initiatives, dont certaines font bondir Bruxelles !
Nous avons appliqué les simples principes révolutionnaires qui consistent à faire confiance au Peuple.
J’ai pensé que le modèle suisse pourrait servir d’exemple à la Bretagne quand il s’agira pour nous bretons de reprendre ce que les jacobins nous ont volé !
Kenavo,
REPONSE DE LOUIS MELENNEC.
 
La Suisse est la première de la classe en Europe. Elle est exemplaire dans presque tous les domaines. Les Savoyards, en 1860, aspirèrent à être rattachés à Genève. Un référendum très grossièrement truqué et falsifié, la rattacha brutalement à la France, contre sa volonté. .. Cet acte d’annexion, comme celui qui « rattacha » la Bretagne à la France est illégal. En droit international, la Savoie est indépendante, son statut est celui d’un pays illégalement occupé.
Il va sans dire que les Institutions suisses vont inspirer très largement la future constitution de la Bretagne. La France est depuis toujours entre les mains de gangs d’incompétents et de médiocres, qui se partagent alternativement ou simultanément les fonctions politiques, administratives, financières, économiques. Les prébendes versées à tous ces gens, pour cause d’inutilité publique, sont monstrueuses.
Les exactions, les illégalités de ces personnages sont maintenant connues de tous, par les affaires qui fleurissent en justice, les articles publiés dans la presse, les ouvrages d’auteurs courageux comme Montaldo, Thierry Desjardins, François de Closets, et quelques autres.
Dans la Bretagne de demain, le contrôle exercé par la population sur le recrutement des responsables sera strict, les punitions d’une exemplarité telle …
(à suivre).

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