HISTOIRE NATIONALE DE LA BRETAGNE : LES BRETONS PRENNENT EN MAINS L’ENSEIGNEMENT DE LEUR HISTOIRE, et rejettent avec détermination les mensonges français .

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Jean SICARD (Yann BREKILIEN), magistrat, Président des écrivains bretons.

 

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Louis MELENNEC, Penmarc’h (1953 ), Guilvinec (1954), Nantes (1967).

 

AVANT DE LIRE, ECOUTEZ PLUTÔT. Et comparez avec les nullités qui défilent tous les soirs sur les télévisions françaises :

Alain Barrière : Hymne à la Bretagne : https://www.youtube.com/watch?v=neeyP5InpBE

Maripol : bleu d’océan. La plus grande chanteuse bretonne du moment. https://www.youtube.com/watch?v=R81ZVca7f50

Louis Mélennec : Bro gozh ma zadou. https://www.youtube.com/watch?v=VQF14ncSqo0 (la version karaoké a été supprimée par la censure française !)

 

UNE GRANDE NOUVELLE ! L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE ECHAPPE DESORMAIS AUX FALSIFICATEURS ET AUX HISTORIENS COUCHES.

C’est une grande nouvelle : les Bretons de la base – les vrais, donc, pas les collabos ni les pourris -, sont en train d’imposer l’enseignement de l’histoire de notre Pays dans les écoles. Ce à quoi j’ai travaillé sans cesse depuis plusieurs dizaines d’années, dans le climat que l’on sait. Le mouvement est enclenché depuis longtemps, mais il prend de l’ampleur, avec la prise de conscience de ce qu’a été l’action prédatrice de nos voisins en Bretagne. Les professeurs des lycées et des écoles s’y mettent : l’éducation nationale, qui n’a rien d’une éducation ni de nationale, est débordée; de malheureux inspecteurs jacobins ont tenté de freiner le mouvement : ils ont été dégommés par les enseignants; c’est le témoignage le plus certain que notre identité, déjà si forte, se renforce de plus en plus. Notre destin est fondé sur notre identité, c’est-à-dire sur notre histoire; l’histoire bretonne est la clé de notre avenir : CINQ SIECLES QUE NOUS ATTENDONS LA LIBERTE. Encourageons ces courageux. Et que les timides s’y mettent aussi : tous doivent s’associer à cette grande oeuvre, qui se désigne par un seul mot : LA BRETAGNE. Tous les Bretons sont Bretons, de quelqu’obédience qu’ils soient. Finies les discriminations fondées sur les rivalités des petits chefs et sur la jalousie, sur la mesquinerie, et sur les égos : Bretagna fara da sè : la Bretagne se fera elle-même, elle n’a pas besoin d’autre chose, sûrement pas des collabos : qu’ils restent là où ils sont ! Nous l’avons annoncé depuis des années : la Bretagne se fera par la population, elle sera freinée par le haut, qui perçoit des salaires pour cela : voir « les traîtres bretons » dans Internet. Puis, lorsque la soupe sera faite, vous les verrez tous accourir pour fêter la victoire : le métier de collabo, c’est celà !

Les mécanismes de la falsification vont être exposés à nouveau, et les graves manipulations de la France par ses complices et ses sbires démontés un à un : il le sont déjà, depuis dix ans au moins, dans nos chroniques, mais pour bien comprendre, il faudra sans cesse répéter la vérité, pendant des années encore.

 

LOUIS MELENNEC, dit le « bon docteur ».

 

ARTICLE EN COURS DE REDACTION.

YANN BREKILIEN (1920 – 2009), grand juriste, grand magistrat, courageux, homme honnête, d’une intégrité et d’une humilité absolues. Grand homme, petite carrière : le pays des Droits de l’Homme est passé par là. Ledit pays, dans les fonctions de responsabilité nationale, n’aime que les médiocres et les brêles.

Ce qu’il en coûte d’être Breton, et de le dire haut et fort. Yann Brekilen a été l’Initiateur de Louis MELENNEC à l’histoire de la Bretagne.

C’était un pacifique résolu, un calme, un homme de droit. Mais un grand naïf, un idéaliste. Hostile à toute violence, même verbale – ce qui nous rapprochait -, il pensait que des actions devant les juridictions internationales avaient des chances d’aboutir, dès lors que la vérité éclaterait au grand jour. Ce qui ne me ressemblait pas, car j’ai été informé très tôt de ce qu’est la réalité judiciaire. Cet homme pur ne pouvait qu’ignorer le dessous des choses politiques, la férocité des pays prédateurs, et l’éventail des moyens dont disposent de tels Etats pour faire échec à la justice. S’il les soupçonnait, tout au plus, tout magistrat qu’il fût,  il ne pouvait savoir que la France est un Etat voyou, en tout cas l’étendue de la maffioserie française : ces choses n’ont été révélées, goutte à goutte, qu’à partir de l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir, en 1981, surtout à partir de la publication de livres révélateurs par des magistrats courageux comme Eva Joly, Scheidermann, Georges Fenech…   (Tapez dans Google : France Etat voyou; mélennec maffia; mélennec Etat gangster … ). Georges Fenech, en particulier, magistrat intrépide, n’a pas hésité à mettre en jeu sa propre carrière pour révéler la vérité aux Français : je dois de la reconnaissance à ses écrits, comme à ceux de madame Joly.

 

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Yann Brekilien est un grand précurseur, qui méritera d’avoir son nom dans toutes nos villes, dans tous nos villages, y compris le moindre, lorsque nous aurons récupéré tous nos droits nationaux et internationaux, et lorsqu’on aura compris l’homme qu’il a été.

Louis Mélennec et Yann Brékilien sont entrés en relations épistolaires, en 1975, à propos de banals problèmes relatifs au droit de l’expertise médicale, encore embryonnaire et incertain à l’époque. Yann Brekilien – sous son nom d’état civil : Jean Sicard -, était l’auteur de deux ouvrages majeurs : un manuel de l’expertise et de l’arbitrage; un traité monumental sur la preuve en justice. Les deux auteurs ont publié ensemble deux ouvrages techniques : la responsabilité médicale, chez Parke Davis; l’expertise médicale, chez Maloine (tome 7 du traité de droit médical dirigé par Louis Mélennec), et une série d’articles juridiques, dans la Gazette du Palais, dont l’un au moins fit scandale  : Haro sur le baudet, ou de quelques erreurs fréquemment  commises par les médecins experts (Gazette du Palais, 10 juin 1979). (Les experts et les magistrats se sentirent agressés par cette publication, dont le seul but était de leur rendre service : attirer leur attention sur les erreurs graves qu’ils commettaient quotidiennement, afin qu’elles soient désormais évitées : cela ne servit à rien : ce fut comme si on avait tenté François Hollande d’arrêter les conn…. qu’il ne cesse d’accumuler, la dernière étant, une fois de plus, d’avoir promis d’abaisser, mensongèrement, les impôts en 2016, ce mensonge, cumulé aux autres, engageant d’une manière certaine sa responsabilité, ce à quoi nous aurons sans doute le plaisir d’assister, lorsqu’il aura été chassé des fonctions qu’il occupe, avec la fatuité et l’incompétence que l’on sait).

 

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HARO SUR LE BAUDET

La suite de leurs relations a été marquée par de nombreux échanges sur l’histoire de la Bretagne, et les fumisteries juridiques publiées sur cette histoire par des universitaires docteurs en histoire et agrégés, pendant une trentaine d’années. C’est Yann Brékilien, alors magistrat, qui lui a communiqué les pièces du procès intenté par mademoiselle Marie Kerhuel à l’Etat français – celle-ci, docteur en droit très érudite, soutenait, avec raison, que tous les impôts perçus par la France en Bretagne sont illégaux depuis 1789, avec des argument imparables -, et celles du procès de l’Affaire Fédération Bretagne Europe.

Le mémoire de Marie Kerhuel était parfait, compte tenu des connaissances juridiques de l’époque, aujourd’hui très largement dépassées depuis ma conférence de Vannes, en 2006, laquelle a établi, d’une manière définitive, que le prétendu traité franco-breton de 1532 était une annexion opérée par la force, la corruption et les magouilles, en aucun cas l’expression d’un accord librement négocié avec la Bretagne. C’est Yann Brekilien, alors magistrat à Quimper, qui a rédigé les conclusions dans l’affaire Fédération Bretagne Europe …. Ces deux procès sont résumés dans le mémoire de DEA soutenu en Sorbonne en 2001, devant un jury composé de deux historiens éminents, dont l’un est aujourd’hui membre de l’Institut (voir ce mémoire, publié sur la toile, pages 41, 42, 43 ….).  Personne n’en a jamais eu connaissance. Ils étaient pourtant d’une importance considérable pour la Bretagne et les Bretons, par l’éclairage résolument nouveau sur l’annexion de notre pays par la France, et les violations monstrueuses de nos droits par le prétendu pays des droits de l’homme. Aucun merdia n’en a parlé, surtout pas les merdias bretons, qui ont tant d’intérêt à se taire. Ces sources étaient disponibles : ni M.M. Kerhervé, Croix, Minois, Cornette, « hystoryens » bretons et autres universitaires n’en ont jamais parlé, pas seulement par partialité : par ignorance, les « hystoryens » bretons actuels, non juristes, ne pouvant même pas comprendre de quoi il s’agit, par défaut de formation adéquate, et de maîtrise des arguments de droit, qui relèvent de spécialistes qualifiés. De telles sources, d’ailleurs, ne sont rendues publiques que si on va les chercher là où elles se trouvent. Les thèses universitaires bretonnes, à l’exception de quelques unes, furent presque toutes détournées des sujets majeurs qui préoccupent les Bretons : ce pourquoi et comment ils ont été détruits par la France, l’avenir et le destin qu’ils souhaitent pour eux-mêmes, lorsque le colonisateur et ses complices seront chassés. Les noms des responsables, dont les minables « carrières » furent le principal moteur, sont aujourd’hui connues. Des archives intéressantes ont certes été mises à jour depuis La Borderie, mais la Bretagne, sous l’influence des sus-cités, a connu une très nette régression de la lecture de ce que furent les violations insensées perpétrées par la France, sous la monarchie capétienne, mais surtout depuis 1789, année de la Shoah bretonne. Chaque fois que j’y pense, je suis consterné, et incrédule. Il existe encore aujourd’hui des docteurs en histoire qui se posent la question : « La Bretagne a-t-elle été indépendante ? «  (Voir : Frédéric Morvan, chronique publiée par ABP). Effarant. Aucun des ces « auteurs » ne s’est d’abord posé la question méthodologique indispensable :  » Qu’est-ce que l’indépendance ? Qu’est-ce que la souveraineté » ?. Et, ne sachant ni ce qu’est l’indépendance ni ce qu’est un Etat souverain, ils ont eu l’audace d’ affirmer que la Bretagne a toujours été serve de la France, c’est à dire esclave (Minois, Kerhervé se sont distingués dans cet exercice, parmi d’autres …).

 

 

AVIS SOLENNEL A LA FRANCE : LES FALSIFICATIONS DE NOTRE HISTOIRE NATIONALE BRETONNE : C’EST TER-MI-NE !

L’hégémonie totalitaire de l’Etat français sur l’histoire imposée aux enfants dans les écoles bretonnes et aux étudiants  est terminée. L’enseignement de notre histoire nationale est depuis plusieurs années ôtée d’autorité aux faiseurs de programmes de Paris : Internet a pris la relève depuis dix ans. Personne n’accorde plus le moindre crédit aux complices de Paris.

BREIZH EXIT La Libération est pour demain !

Commentaire d’un Nantais, grand Breton, grand Patriote  : « A la libération, on les tondra; et puis, on les pendra ! ».

 

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L’histoire de France n’est pas notre histoire, c’est celle d’un pays étranger. La jeune génération bretonne ne veut plus de cette histoire là : elle veut avoir accès à la sienne.

 

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L’identité nationale est une chose à laquelle tout être humain est attaché d’une manière fondamentale, comme étant une partie essentielle de sa personne. Les colonisateurs le savent tellement bien, qu’ils utilisent tous les mêmes moyens pour l’extirper de leur conscience, pour fondre leurs victimes de force dans leur population, et les transformer en sujets, c’est-à-dire en assujettis; on croirait qu’ils se sont échangé les recettes pour parvenir à leurs fins meurtrières :

  • La langue nationale, persécutée, est détruite par des moyens multiples; son usage est puni, son enseignement et sa transmission  sont interdits; la langue du colonisateur est imposée dans les écoles, dans l’administration, dans les lieux publics.
  • Les populations sont humiliées. Les colonisés sont méprisés, diminués, vilipendés, injuriés, insultés.
  • Les lois du colonisateur sont imposées comme obligatoires, aux dépens des lois locales, même si celles-ci sont supérieures en qualité.
  • S’il existe une monnaie nationale, elle est détruite et remplacée par celle de l’envahisseur.
  • Les patriotes sont éliminés de toutes les fonctions importantes, au bénéfice des collabos, et de ceux qui s’agenouillent devant le conquérant, de gré, de force, où parce que leur survie sociale, personnelle, professionnelle, ne leur laisse aucun autre choix.
  • Bien sûr, les institutions politiques des populations locales sont abolies.

La principale composante de l’identité d’un peuple, est l’histoire commune, vécue ensemble par sa population. Si les Anglais sont Anglais, si les Ecossais sont Ecossais, si la Catalans sont Catalans, c’est parce que pendant de longs siècles, ils ont partagé les mêmes joies, les mêmes succès, les mêmes épreuves surtout .

La France, dont on sait maintenant, en particulier grâce à nos travaux – mais pas seulement les nôtres – résumés dans le Livre bleu de la Bretagne -, que non seulement elle n’a joué aucun rôle dans la création des droits de l’homme, mais qu’elle a détruit les libertés des nations qu’elle a annexées contre leur gré; elle a été une sorte d’orfèvre dans l’utilisation cumulée de tous les procédés que nous dénonçons ici.  Ce pays carnassier a fait preuve dans cette singulière matière, d’un art consommé, de talents exceptionnels. S’il y avait une distribution des prix, ce pays autoproclamé « inventeur des droits de l’homme », serait parmi les champions du podium, aux côtés des Arabes du 7ème siècle et des siècles suivants, de la Turquie, de l’Espagne, de la Chine.HistoireDeBretagne03mc3a9lennec-n2_labauleplus_com

L’assassinat d’une nation, et de son corollaire, l’identité nationale, est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre. Tuer une nation, c’est assassiner dans sa totalité une très vaste et très vieille famille, celle de tout un peuple partageant la même identité, la même culture, les mêmes valeurs, et la même foi dans cette identité depuis des siècles, souvent davantage. Les manoeuvres d’extirpation de cette identité des cerveaux triturés sont affreusement douloureuses, humiliantes, psychiatrisantes pendant des générations. Les Bretons en témoignent, moi en particulier. Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet. Dans ce genre particulier de destruction des peuples et de leur identité, pour réussir l’exploit, il faut y mettre une perversité singulière, qui relève de la pathologie mentale des nations.

 

L’action « civilisatrice » de la France en Bretagne.

La Bretagne a été envahie par la France en 1492. La duchesse souveraine, trompée, s’est trouvée dans l’obligation d’épouser son ennemi, le roi de France Charles VIII. Les fonctions de premier ministre (le chancelier de Bretagne) ont été abolies en 1493 par la France, puis, après la mort quasi providentielle de Charles VIII, rétablies en 1498 par Anne de Bretagne, elles ont été supprimées définitivement en 1533, par la France également, bien entendu. Une annexion non consentie a été perpétrée en 1532, sous le masque d’un prétendu traité. La monnaie nationale bretonne a été supprimée.  Le gouvernement a été dépossédé de toutes ses prérogatives, et supprimé en 1552, vingt ans après l’annexion, en violation des engagements solennels proclamés par la France, notre marâtre.

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Un pays qui n’a plus de gouvernement, et est assujetti à un Etat étranger ne peut évidemment plus avoir de projet national, ni de destin propre : c’est ce qui nous est arrivé, par la vertu de notre cher voisin de l’Est. Notre déchéance, même si nous avons réussi à maintenir notre économie à flot jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Louis XIV et de Colbert, débute en 1532, et se poursuit à l’heure actuelle, dans les conditions que l’on sait. Nous avons bel et bien, nation puissante et d’une fierté hyperchatouilleuse avant l’annexion de 1532, été exploités comme une ferme, et mentalement écrasés à partir de 1789, c’est à dire transformés en bestiaux (voir les injures anti-bretonnes, publiées sur la toile). Les députés et les sénateurs « bretons », élus avec l’aval de la France, selon le système mis en place par elle, sont toujours au service de l’Etat colonial, et se gardent bien de rien faire pour sortir des prébendes qu’on leur sert.

Ignominie suprême, l’histoire nationale des Bretons, peuple beaucoup plus ancien que les Français, non seulement a été interdite, mais remplacée par celle du colonisateur. Des millions de Bretons se croient encore Français, parce qu’un lavage des cerveaux impitoyable, à partir de 1789, leur a infligé à coups de marteaux sur leurs circonvolutions cérébrales meurtries, cette identité jadis honnie, fondamentalement meurtrière lorsqu’elle n’est pas librement consentie, mais imposée par l’humiliation et par la force. L’identité française, introduite dans nos cerveaux par des infractions et par des violences ininterrompues de 1789 à aujourd’hui, est une gravissime blessure pour notre peuple, à l’égal d’une intervention neuro-chirurgicale, suivie de la greffe d’un cerveau étranger : une lobotomie, suivie d’une lobectomie. Sur ce point, je fais partie de ces millions de victimes du pays qui ose s’intituler « patrie » des droits de l’homme. Je parle donc en spécialiste. Je n’ai été guéri de ces meurtrissures humiliantes que lorsque j’ai enfin compris la perversité de l’action de notre voisin de l’Est depuis cinq siècles, avec les complicités que l’on sait.

ILS DOIVENT ËTRE, NON PAS CHASSES, MAIS JUGES, COMME A NÜREMBEG

images-1la-voix-de-son-maitre.1228427589ELUS POURRISELUS POURRIS

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 Pour  autant, je n’ai jamais cédé à aucun sentiment de haine à l’égard des Français – ni de personne d’ailleurs, ce sentiment m’étant totalement étranger. Au contraire : l’histoire des Français est aussi douloureuse que la nôtre, leur identité est aussi noble que celle des Bretons; manipulés, ils ne sont pour rien dans ce qui nous est arrivé, comme ils ne sont pour rien dans l’assassinat imposé à leur pays, ni la politique qu’on leur impose, qu’ils condamnent à plus de 80 pour cent : j’accuse exclusivement les gouvernements successifs de la France, dont ils ont eux-mêmes subis les méfaits, et qu’ils vivent au quotidien. Leurs souffrances, alors qu’on suicide leur Nation, par la sottise de leurs gouvernants et de leurs politiques lâches et veules, font mal à voir. La dégradation de la situation avait subi un coup d’accélérateur lors de l’arrivée au pouvoir de François Mitterrand en 1981; depuis 2012, nous vivons un désastre permanent : voyez les mensonges accumulés, les promesses violées, les atteintes gravissimes à la démocratie, l’incompétence exponentielle, la corruption galopante …. Les brêles sont partout, ils broutent, encaissent leurs prébendes, et détruisent tout.

On vient, ces derniers jours, d’apprendre l’impensable : lors de l’attentat du Bataclan, des atrocités ignobles ont été commises : des victimes auraient été éventrées, éviscérées, violées, décapitées. Des yeux ont été arrachés, des testicules coupés et mis dans la bouche des victimes. Un silence sépulcral a été imposé aux merdias, qui ont obéi. Si cela est vrai, la responsabilité du chef de l’Etat et de ses comparses est indiscutablement engagée : un pays privé d’informations concernant des faits aussi horribles le prive totalement des moyens de savoir de quoi il est victime, et l’empêche de prendre les moyens pour se défendre, notamment par les poursuites judiciaires contre ceux qui l’ont délibérément trompé, empêché de voir clair, et de chasser les responsables lors des élections futures. (Confere : rapport Fenech, Bataclan. Autre article : Charlie hebdo, un danger public pour la France). Comme on le sait, je milite depuis des dizaines d’années pour que soient emprisonnés les bandits qui, sous couvert de leur élection, qui n’a rien de démocratique, empestent le pays de leur incompétence, le pillent, mentent, et se remplissent les poches. (Par Google : mélennec responsabilité). Ce qui me vaut d’être totalement interdit de m’exprimer dans tous les médias français, sans aucune exception – et dans tous les médias « bretons », qui n’en sont que le prolongement, et qui vivent des subventions volées dans nos poches, dans la lâcheté et la démission permanente de leurs devoirs élémentaires.

Il est temps que nous, Bretons, sauvions ce qui nous reste encore, car nous sommes menacés de périr, la France suicidaire nous entraîne avec elle dans le gouffre.

 

L’UNIVERSITE S’EST EXCLUE ELLE-MÊME DE L’ECRITURE DE L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE. 

Il y avait, après la mort de notre grand historien nationaliste breton, Arthur de la Borderie (…), pour les « historiens » appointés dans les facultés avec nos impôts, une priorité absolue : poursuivre son oeuvre d’honnêteté – même si celui-ci s’est parfois trompé, à cause de son amour pour son pays -, et réécrire notre histoire dans toute sa vérité. Ils n’ont rien fait, ils se sont aplatis, notamment sur les chapitres des invasions de la Bretagne par la France, et les manoeuvres crapuleuses de l’annexion de notre pays. (Une exception remarquable : la thèse Dominique Le Page, maintes fois signalée ici, mais illisible à cause de son volume). Des chapitres entiers ont rejoint les tabous de l’histoire, et ont été méthodiquement évités, au bénéfice d’une lecture plate, sans intérêt, parfois bêbête, souvent détournée de la réalité, et très solidement embrigadée par ceux qui inspiraient et dirigeaient ces thèses. Des jugements insanes et même haineux ont été émis sur nos personnages historiques les plus remarquables, pour les discréditer, en même temps que pour avilir notre histoire nationale, en particulier Anne de Bretagne (deux ouvrages, en particulier, rédigés par Minois et par Bernard Quillet, Louis XII, Paris 1986, éditions Fayard).

Les Bretons ont décidé de reprendre en mains l’enseignement de leur histoire : ils ne veulent plus des hérésies qui leur ont été, par lavage des cerveaux, introduites dans leurs esprits.

A partir de 2006, année au cours de laquelle je suis allé, devant un public nombreux et enthousiaste, à l’invitation de l’Association bretonne, démontrer à Vannes l’impensable – que la Bretagne n’a jamais été réunie de son plein gré à la France, version qui sauvait son amour propre, mais était totalement inexacte -, mais annexée par la force, la concussion, l’achat des collabos de l’époque – étant à vendre, il était facile de les acheter -, et que, dès lors, non réunie à la France par un contrat librement débattu, elle n’a jamais été française, des consciences se sont réveillées peu à peu. (Par Google : Mélennec, Vannes, 1532).

La première réaction des jeunes Bretons spécialisés dans l’injure – à défaut d’aucune autre occupation intelligente ou utile a été une découverte stupéfiante : on voulait les élever à la Dignité d’hommes, ils ont réagi en esclaves, se vautrant dans leur condition : esclave je suis, esclave je reste, c’est ma condition, j’en suis fier, telle aurait pu être leur devise

http://www.site.louis-melennec.fr/melennec_wikipedia.htm

D’autres, toujours manipulés, continuent à fermer les yeux, bien qu’il ne subsiste plus dans leur esprit le moindre doute : de ceux-là, on peut dire : la Bretagne comme si

L’Université a apporté une contribution surprenante à cette perversion honteuse de notre histoire. Le grand Arthur de La Borderie, mort il y a tout juste un siècle, en dépit des erreurs ponctuelles de ses écrits, dues à l’insuffisance des documents, de l’analyse politique et juridique des évènements, a été notre dernier grand historien nationaliste moderne, fier de l’être. Ecrasé tout de même par la pression politique ambiante, qui non seulement ne lui permettait pas de tout dire, mais surtout créait dans sa tête une inhibition de pouvoir accéder à l’entière liberté de dire exactement ce qu’il pensait, cet homme foncièrement honnête, ne s’est pas laissé aller à la haine des actes sordides perpétrés dans notre Pays. Il  a préféré transiger avec sa propre conscience, et essayer de se convaincre lui même qu’il avait, faute d’avoir le droit de penser autre chose, deux patries : la grande, appelée France, la petite, celle de son coeur et de ses convictions profondes : la Bretagne. La première n’était pas même sa marâtre; mais que pouvait-il dire ou penser d’autre, en son temps, sous un régime idéologiquement dictatorial et falsificateur ?

Comme partout ailleurs, on a assisté à ces manipulations répugnantes  : les histoires des vieilles nations périphériques conquises par la France, annexées malgré elles, dans des conditions scandaleuses au regard du droit, de la morale, de la Dignité de la personne humaine …. …

Le mouvement persécutoire des nations périphériques débute – avec une fureur pathologique -, en 1789. Des gens qui n’ont certainement plus la cervelle en place énoncent des phrases étonnantes, monstrueuses, qui vont constituer la mythologie de la France jusqu’à ces toutes dernières années, jusqu’à l’avènement d’Internet, et même au delà : il y a dix ans à peine que l’on commence à connaître la vérité en Bretagne. (Youtube : mélennec 1532).

Comment-on-ils osé ? Comment les armées carnassières de la France ont-elles osé violer des femmes par milliers en Bretagne et en Vendée, jeter des êtres vivants dans des puits, découper des êtres vivants en morceaux, embrocher des enfants sur leurs baïonnettes devant leurs mères, écraser des femmes enceintes sous des pressoirs à raisin, ouvrir leur ventre pour en extraire les foetus et pour en faire des mangeoires pour l’avoine des chevaux ? Quel Breton, sachant enfin cela, ne vomit-il pas devant cette noble nationalité qu’on lui a inculqué par le lavage de cerveaux que le pays auto-proclamé des droits de l’homme lui a infligé ? Nous sommes entrés dans une ère nouvelle : l’Angleterre, l’Ecosse, la Catalogne nous ouvrent grandes les voies de la Liberté et de la Dignité retrouvées.

NOUS NE VOULONS PLUS DE L’HISTOIRE FALSIFIEE et AVARIEE QUE LA FRANCE A IMPOSEE AUX BRETONS, ceux de ma génération en particulier.

Les « hystoryens » de la génération actuelle ont été presque tous manipulés : par leur idéologie marxiste, pyramide aujourd’hui écroulée, parce que reposant sur sa pointe, non sur sa base (résultat tangible : plus de cent millions de victimes); par leur volonté de carrière – à vrai dire, depuis plusieurs dizaines d’années, il n’y a eu aucune carrière pour les historiens « dissidents », c’est-à-dire honnêtes; par crainte du système; par peur et par soumission; bêtement : par intérêt ….

Voici une révélation effrayante : même si j’ai amplifié et apporté indiscutablement des analyses nouvelles – voire révolutionnaires – sur certains aspects essentiels de notre histoire nationale, et celle de nos rapports avec la France (la nation bretonne, plus ancienne que la nation française; l’indépendance totale de la Bretagne au moyen-âge, le pseudo-traité de 1532, l’annexion et la colonisation de la Bretagne par la France, l’absolue non contribution de la France aux droits de l’homme, l’imposture révolutionnaire, la destruction systématique de la Bretagne de 1789 à nos jours, l’action résolument carnassière de la France en Bretagne … ), nombre de mes thèses, exposées dans mes articles, mes émissions radiophoniques faites (en France), mes conférences, se trouvent déjà en filigrane dans le traité de Marcel Planiol, un siècle auparavant. Je n’ai eu aucun maître ni en droit ni en histoire; mais s’il fallait en désigner un, ce serait l’immense Planiol.

 

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Commentaire espagnol sous la photographie du Breton Planiol : Grandes juristas, grands juristes.Traduction anglaise de l’énorme traité de droit civil de Planiol, aux Etats Unis. Très peu de juristes ont eu cet honneur. Héros breton, inconnu en Bretagne. Les massacreurs de Nantes et de Vendée, pendant ce temps, ont droit à des statues sur l’Arc de triomphe et sur les frontispices des monuments français : c’est ainsi que le prétendu pays inventeur des droits de l’homme a exploité le mythe qu’il a construit lui même, comme un fonds de commerce, comme un détergent destiné à laver les cerveaux.

 

Né dans la région nantaise, l’un des plus grands hommes de notre histoire nationale, Marcel Planiol (1853-1931), historien autant que juriste, enseigna à Grenoble, à Rennes, enfin à la faculté de droit de Paris, dont il fut l’un des plus beaux fleurons. Or, les docteurs en histoire et agrégés qui ont enseigné dans vos facultés bretonnes, au courant par ces écrits extrêmement référencés, appointés avec votre argent, se sont tus avec obstination sur les travaux de Planiol, rasant la ligne d’horizon, faisant un silence obstiné sur notre humiliation permanente depuis cinq siècles par notre voisin de l’Est, les plus connus en tout premier lieu : cela donne froid dans le dos; les thèses rédigées et soutenues par leurs élèves  pour obtenir l’accréditation d’enseigner dans nos facultés, à quelques unes près (Fréville, Le Page, Le Moal, Rio …) n’ont servi à peu près à rien : elles ont bloqué l’histoire sur des idées fausses, des inexactitudes majeures, notamment que la Bretagne n’était pas un pays indépendant avant les invasions françaises, et que les Bretons n’ont jamais été une une nation (Kerhervé, Minois, Cornette, Croix et autres). Effrayant, littéralement monstrueux. 

J’ai fait voler en éclat ces hérésies, extrêmement dommageables pour notre avenir en tant que nation à part entière, et sa réapparition prochaine sur la scène mondiale en tant que telle.. L’histoire du peuple breton avait été annihilée par la France, par la méthode qu’utilisent les lâches lorsqu’ils ont jugulé leur victime, et l’ont clouée au sol : le lavage des cerveaux. La voila redressée, pour l’essentiel. Avec une argumentation incontournable, mais parfois aussi à coups de poings, nécessaires dans cette ambiance délétère. Elle va maintenant aller placidement son propre chemin.

 

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L’ouvrage majeur de Marcel Planiol, qu’aucun « hystoryen » breton n’a lu, ou presque. Ce cinquième tome, écrit avant 1900, n’a été publié qu’en 1984 ! Pour Planiol – comme pour moi -, les actes de 1532 n’ont jamais été un traité, mais une annexion imposée par la force et la corruption induite par la France (tome 5, pages 5 et suivantes).

 

Le Breton Planiol compte parmi les plus grands juristes et des plus grands historiens  de l’histoire européenne. Son énorme manuscrit sur l’histoire des institutions de la Bretagne, qui a exigé des dizaines de milliers d’heures de recherches, couronné en son temps par l’Académie des sciences morales et politiques, valurent à ses travaux d’être qualifiés « d’oeuvre tout-à-fait remarquable » par le rapporteur, peu avant 1900. Ils le sont. Cet immense travail, magistral, malgré ses inévitables défauts dûs au temps écoulé depuis sa rédaction, et à la découverte de nouvelles archives depuis cette époque, est frappé au coin du génie. Il a été complété par des notes savantes, extrêmement précieuses, du doyen Durtelle de Saint-Sauveur, et du professeur Brégeon de Lavergnée, dont je fus jadis l’élève à Nantes. Tant de science et d’intelligence donnent le tournis. Mais les Bretons, auto-destructeurs génétiques, ne l’ont publiée qu’un siècle plus tard, à partir de 1981. On est saisi d’angoisse : et si cet ouvrage monumental n’avait pas été publié ? Et qu’eussent été mes propres recherches si je n’avais eu en mains les travaux de Planiol ? Nous avons perdu un siècle à tourner en rond. Or, il s’agit de notre histoire nationale. Rien de moins.

Ne parlons pas des gagne-petits, de tous les complices manipulés à leur insu, par ignorance : les experts, surexperts, contre-experts de l’officine « Wikipédia, les plus bêtes de tous; (lisez, pour vous délecter : mélennec wikipédia; vous verrez que les Bretons, lorsqu’ils se mettent à être stupides, tombent encore plus bas que les autres); d’autres comme cette  pauvre Françoise Morvan, qui ne connait – et encore, avec quelle hargne partiale – que cinq années (1940-1945) de notre histoire bi-millénaire, qui a servi la soupe à tant de journaux français, contre notre pays, sans même savoir, petit  fétu de paille qu’elle est, qu’on se servait d’elle, et qu’on s’est joué de son ignorance, pour alimenter des campagnes anti-bretonnes féroces (Le Monde, L’humanité, Médiapart, Télérama, Mélenchon …)

Depuis quelques années, outre le mouvement de protestation de plus en plus fort contre ce viol intolérable de notre identité – et de sa destruction, programmée par les imbéciles au pouvoir, et leurs complices,  se dessine un vaste projet encore assez imprécis, mais parfaitement perceptible : renvoyer l’histoire de France dans les cordes, et reprendre en mains notre histoire, sa réécriture, sa diffusion, son enseignement.

Plusieurs revues, de nombreux sites, publient désormais des articles sur notre histoire nationale. Ils sont très lus. Les librairies abondent de livres sur l’histoire de la Bretagne : on ne pouvait en trouver aucun dans mon adolescence, nulle part. Aussi ai-je été tenu dans l’ignorance totale de l’histoire bretonne, quoique toujours premier en histoire au collège.

Bref : l’histoire de Bretagne échappe désormais totalement à l’université; par sa faute, mais pour notre salut.

Pour ma part, je vais amplifier le Livre bleu, le compléter par des chapitres entièrement nouveaux, et surtout y mettre des références, qui avaient été supprimées, pour le transformer en une oeuvre courte, accessible, lisible par tous. Si Dieu me prête vie, et l’énergie nécessaire. Ayant rappelé dans quelles conditions j’ai décidé – à mon corps défendant -, de me charger de cette Mission (Google : De la trouille bretonne et de l’autocensure …), j’ai dit ce qu’avait été, avec Pierre LEMOINE, notre projet de 2009 à Bruxelles, et les exigences auxquelles nous avons dû nous plier. Je vais, en somme, ré-écrire l’histoire de la Bretagne, et l’ai déjà proposée à cinq ou six sites, qui publieront en même temps les chapitres, pour mettre à la disposition des Bretons une histoire non falsifiée.

LOUIS MELENNEC PRESENTE SON LIVRE BLEU A BRUXELLES : TAPEZ DANS GOOGLE : Mélennec livre bleu bruxelles youtube. Un tabou effrayant vole en éclats : la France n’est pas le pays des droits de l’homme; elle a perpétré en Bretagne et ailleurs des crimes sanglants, et ruiné une nation noble et antique. La France n’a jamais appliqué la Déclaration universelle des droits de l’homme. En ses lieux et place : des crimes abominables pendant des années, une tromperie généralisée jusqu’à aujourd’hui, l’interdiction de s’exprimer librement,  un système de gouvernement qui favorise la médiocrité et l’incompétence, phénomène devenu dramatique depuis 2012.

 

 

Les principaux chapitres sont déjà en place. A ce jour, on peut considérer que notre histoire est réécrite dans son entier. Vous l’avez lue, en version abrégée, dans le Livre bleu de la Bretagne, et dans mes deux blogs. Il ne reste plus guère qu’à développer les chapitres qu’il a été nécessaire, à ce stade, de condenser et d’édulcorer. Ils seront donc rétablis dans leur intégralité, et enrichis d’un appareil de références copieux. Dans un style plus académique, cette fois – exercice que je maîtrise parfaitement -, le temps des coups de poings stratégiques étant maintenant à peu près dépassé. Ils paraîtront dans les sites qui ont déjà donné leur accord pour les publier. Serez-vous de la partie ? D’autres vont suivre. Aucune distinction ne sera faite selon la couleur politique des sites en cause : ces divisions stupides et infantiles qui infectent ce que l’on dénomme « le mouvement breton » ( quel mouvement ????) sont la cause de notre statut actuel : l’esclavage, la honte, la ruine économique.

Et qu’on sache bien ceci : la récupération par les Bretons de leur véritable identité n’est pas un repli sur soi, mais une ouverture sur le monde : les peuples qui ont souffert, comme nous, ont une Mission : faire connaître à tous qu’aucune dictature – surtout pas celle qui n’a pas inventé les droits de l’homme, et qui continue à vivre sur l’imposture -, n’a le droit d’attenter ni à la Dignité éminente des hommes, ni à la Liberté intangible des nations à se revendiquer comme telles.

Et qu’on sache aussi qu’il ne suffit pas de lire ou de relire le présent article : il faut le transmettre à toutes et à tous : le pays prédateur, avec ses complices, nous a fermé l’accès à tous les médias, nous n’avons que nos propres forces pour agir : Internet.

Mais nous vaincrons, parce que la divulgation dans le monde des horreurs commises en Bretagne progresse avec une grande rapidité. On en est stupéfait, il était temps.

 

LOUIS MELENNEC, docteur en droit, historien de la Bretagne.

 

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Pour lire le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE : tapez dans Google : Livre bleu de la Bretagne. Compléter cette lecture par l’article : « Les armées de la liberté en Bretagne ». Ne vous contentez pas de lire : diffusez le partout. Ce fut une longue épreuve de rédiger ces travaux; à vous, cela ne coûtera rien, que d’appuyer sur quelques « boutons » de votre ordinateur.

Sur la colonisation de la Bretagne, l’article fondamental : « La colonisation de la Bretagne, de 1532 à nos jours ».

 

L’interview accordée à KERNEWS en mars 2014 :

 

http://www.labauleplus.fr/pdf/2014/mars2014/files/assets/common/downloads/page0030.pdf

 

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LES LECTEURS ECRIVENT : LE PEUPLE BRETON ET LES AMERINDIENS : CONQUIS, COLONISES , RUINES, ACCULTURES, ESCLAVAGISES.

 

LE DRIAN, MOLAC, LE FUR ET AUTRES.

 

De M. F. LORIENT. « Le Drian a creusé sa tombe. Les Bretons informés savent qu’il a été plus que  lamentable dans l’affaire de Nantes, en 2014 : depuis des années, il a menti, il a trahi pour des motifs vulgaires : sa « carrière », non pas glorieuse, mais honteuse. Trahir son pays pour ses intérêts personnels est la pire des choses qui puisse advenir à quelque personne que ce soit… L’affaire des drapeaux bretons interdits à plusieurs reprises, le rôle actif dans la perpétuation de l’amputation de la Bretagne de 30 pour cent de ses richesses,  l’absence d’intervention dans la falsification de l’information donnée en pâture aux Bretons (la scotomisation, en particulier de la manifestation de Nantes en 2008), le cumul de ses fonctions à Rennes et à Paris, …la liste est longue des faits qui ne lui seront jamais pardonnés … Quant à Le Fur, il n’ose pas …. Troadec navigue d’une façon visible, et n’a aucune envergure ..

Quand aurons nous un Talamoni, qui nargue la puissance coloniale occupante du haut de sa présidence ? On a les élus qu’on mérite. Nous aurons de tels hommes, lorsque nous aurons les Bretons qu’il faut pour celà . »

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Réponse. Je vais vous répéter pour la millième fois la même chose, et je vais vous dire pourquoi : les Bretons au courant de leur histoire, des impostures et des atrocités commises par la France sont encore très minoritaires. Peu à peu, la vérité gagne, de nouveaux lecteurs lisent les présentes chroniques et le Livre bleu, et répandent à travers leurs sites les idées qui y sont exposées. Personne ne s’est avisé – depuis les injures déversées sur la toile, qui ont cessé en 2008 -, de les contredire, ni de tenter de démontrer qu’elles sont fausses : une raison majeure à celà : elles sont vraies.

Personne n’aurait osé écrire ce qui se dit ici dans mon enfance. La version française, accréditée par des auteurs multiples, parmi lesquels Jules Michelet,  puis Ernest Lavisse, rendue obligatoire à partir du moment où le superbe Jules Ferry, le socialiste généreux, a décrété qu’il existait des « races supérieures », et que les races « inférieures » devaient être rééduquées, jusqu’à ce qu’elles deviennent de vrais êtres humains : lisez les « Injures anti-bretonnes » par Google, vous verrez dans quelle catégorie, nous les héritiers de la Table ronde, du roi Arthur, du système de valeurs propagé dans toute l’Europe par notre littérature bretonne médiévale, nous avons été précipités par nos chers voisins, toujours en retard de plusieurs siècles, dans le cloaque de ces peuples arriérés, stupides, voire puants  … …

La « République » continue ces oeuvres minables, en toute impunité : elle tue médiatiquement des dizaines de milliers de personnes, dont le crime est le suivant : elles sont honnêtes, et refusent énergiquement d’adhérer aux mensonges du « système » : économie de moyens, les assassinats physiques, outre qu’ils seront éventés un jour, et que leurs commanditaires seront connus, sont devenus inutiles. Le régime est aujourd’hui – depuis 2012 – entièrement démasqué : les brêles sont désormais partout, la république « soviétique » est de retour. Il reste à la population émasculée à retrouver un peu de courage, à les juger, et, pourquoi pas, si le suffrage universel en décide ainsi, à dresser des fourches patibulaires dans les principaux carrefours de Paris.

 

Réponse à M. ASSELINEAU, président de l’UPR, sur la destruction de la Bretagne par la France. Copie : ce bon Jean-Luc MELENCHON, ami incontournable des Bretons et des Tibétains.

 M. ASSELINEAU, Président de l’UPR. Copie : Jean-Luc Mélenchon.

Je vous pardonne d’avoir écrit des sottises sur la Bretagne : VOUS NE SAVIEZ PAS. Mélenchon non plus.

Il est hors de doute que vous ne direz plus de conneries sur ce peuple martyr, que la France a humilié, martyrisé, détruit.
Lire par Google : Mélennec, génocide breton.
 

Je n’ai  jamais écrit une parole de haine contre le peuple français, qui lui, ne nous a rien fait. Ce sont les brêles de ses gouvernements successifs, après 1789, l’année de, qui ont fait tout le mal.
Ce peuple sympathique n’élit que des imbéciles – ou presque. Depuis 2012, le désastre est quotidien. Hollande est bien la capitaine d’une équipe de pédalos – pour s’exprimer avec une réserve polie. Beaucoup réclament ouvertement qu’il soit jugé, et non plus chassé de ses fonctions, si possible avant 2017. Mais le mal est déja irréparable.
Nul doute que vous ne pensiez maintenant ceci, comme beaucoup de Français : LA FRANCE N’A RIEN A FAIRE EN BRETAGNE, SINON PARTIR.
Nous vous faisons cadeau de ceux que l’on désigne maintenant en Bretagne sous le nom de TRAÎTRES, ou de COLLABOS. Mettez-les bien au chaud, dorlotez-les, ils vous bien servi.
Parce que vous êtes informé, courageux, et exclu de la MEDIACRATIE, je recommande la lecture  de vos chroniques à mes lecteurs. Vous leur confirméz et leur confirmerez bien des choses que je leur ai déjà dites, depuis des années.
Bien à vous, le bon DOCTEUR MELENNEC.
Le 24 juillet 2016 à 12:01

IL N’Y A PAS QUE LES DEPUTES ET LES SENATEURS BRETONS QUI TRAHISSENT !

JB.. Bretagne.« J’ai vécu, presque adulte , une période qui nous a permis d’apprendre beaucoup. Si les allemands étaient restés dix ans de plus, les français seraient devenus allemands, avec joie. En 1943, le Commandant des Côtes-du-Nord – je suis sûr de ce que j’affirme – disait et écrivait au Préfet et au maire de ma commune :  »  Si je me fiais aux dénonciations reçues chaque jour, la moitié  des habitants du département seraient arrêtés et en prison  » . Pour une fois je donne raison à de GAULLE qui disait  » Les français sont des veaux « . Mais cela est vrai pour tous les colonisés; les Sénégalais comme les Bretons se sont fait exterminer en chantant la Marseillaise « .
 
 
 
 
Dr Louis : « Je vous crois. Une de mes correspondantes, dont j’ai publié la lettre il y a plusieurs années, m’ écrit (je cite de mémoire, j’ai conservé cette lettre) : « Les plus bêtes sont les plus méchants. Il n’ont pas d’autres moyens que l’injure pour s’exprimer. Mais vous n’avez pas le droit de vous dire l’homme le plus insulté, dans votre travail de vérité … Je me suis dévouée corps et âme à la Bretagne : ILS ONT SACCAGE MA VIE ».
 
Voici un fait hallucinant : il y a une dizaine d’années, j’avais fait une émission très argumentée sur la destruction  de la Bretagne par la France, dans une de ces radios qui acceptait de me recevoir sur ce thème brûlant. Sur 70 commentaires, tous « bretons », j’ai dénombré … une centaine d’injures, soit une injure et demie par commentaire ! (J’arrondis un peu les chiffres). La radio était ravie. Le « webmaster », Victor, a commenté à son tour : « Quel succès, ce Louis, tout de même ! » Moi, j’étais moins content que Victor : tout ce que j’ai dit ETAT VRAI. Je voulais les élever à la Dignité d’êtres humains, ils n’ont pas compris, ils étaient pire que des veaux : des porcs. Certains de ces malades mentaux, pour polluer le débat plusieurs fois, sont revenus à la charge en changeant de « peudo » ou de prénom. Le vigilant Victor les a démasqués et a mouché ces branleurs d’importance.
Je viens de relire le livre de Maître ISORNI sur Le procès du Maréchal Pétain : les magistrats qui l’ont condamné à mort, en 1945, lui avaient prêté serment de fidélité au début de la guerre, et sont restés en fonction pendant la durée de celle-ci. Et presque tous ceux qui l’avaient adulé, l’ont trahi après le débarquement des alliés.
Triste, triste nature humaine !
Le proverbe dit vrai : la sottise tue, ne préjugez pas de vos forces, car là, vous ne pouvez RIEN.
Nous aurons vu bien des choses en nos vies.
Heureusement, depuis 2012, nous avons Hollande ! La lumière luit au fond de notre tunnel ! Je n’oublie pas le génial, l’incroyable Ayrault. Attendons la suite : je suis confiant.

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