LA RESISTANCE FEROCE DE LA BRETAGNE A LA FRANCE, de l’annexion de 1532 à la Shoah de 1789 .

PLUSIEURS JEUNES BRETONS, AYANT MAINTENANT LA CONNAISSANCE DES CRIMES COMMIS EN BRETAGNE PAR LA FRANCE, REJETTENT  LA NATIONALITE FRANCAISE, ET INTENTENT DES ACTIONS DEVANT LES TRIBUNAUX ADMINISTRATIFS POUR LES EN DEBARRASSER .

tregor

 

LA NATION BRETONNE ET L’ ASSEMBLEE NATIONALE DES BRETONS.

 

RIEN N’EST PLUS ABJECT, PLUS INFECT QUE TRAHIR SON PAYS.

Les coupables de crime de lèse-nation bretonne sont toujours là.

rue-des-martyrs-bretons

 

REMERCIEMENTS DE LOUIS MELENNEC A TOUS SES LECTEURS. Louis Mélennec remercie les dizaines d’amitiés qui apparaissent au fil des semaines sur les réseaux sociaux. Ne pouvant les remercier individuellement, il les remercie collectivement. Ces témoignages sont très importants. En particulier, des universitaires osent maintenant se manifester ouvertement, avec leurs noms et leurs coordonnées exactes. C’en est fini des injures et du courageux anonymat des injurieurs, ceux notamment qui se sont manifestés dans ma  biographie, ridiculement falsifiée et frelatée dans Wikipédia, avec bénédiction des « experts, surexperts et contre-experts » , débiles intellectuels et malhonnêtes qui se commettent dans ces bassesses. Nous entrons dans une ère nouvelle : celle de la fin des mensonges dont le pays des droits de l’homme – et l’université marxiste – nous ont farci la cervelle.

Des chapitres de l’histoire de la Bretagne vont être publiés, sur plusieurs sites – sans distinction de clans politiques ou autres, la seule qui compte étant l’appartenance à la Bretagne, toutes tendances confondues. Y figurera un appareil de notes suffisant pour que les lecteurs passionnés par leur histoire aient l’assurance que tout ce qui est écrit est exact, et puissent approfondir davantage les sujets traités.

 

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

 

Le peuple breton est une Nation, au sens le plus fort du terme, depuis l’antiquité. Ce terme le désigne en tant que tel, depuis Jules César (La guerre des Gaules), jusqu’à 1789. Cette année-là, dénommée année de la Grande Shoah bretonne, par le fer et par le feu, les Bretons sont dépouillés par l’occupant français de leur identité, et de tous leurs droits nationaux. La persécution de la langue est enclenchée, jusqu’à sa disparition quasi totale en 2016. Par le lavage des cerveaux ininterrompu jusqu’à aujourd’hui, beaucoup de Bretons se croient encore Français. Mais le Livre Bleu est là, enfin, qui exhume la vérité, aussi peu « ragoûtante » que possible ..

Ce ne sont pas les mots ni les affirmation claironnantes qui font les nations. Ce n’est pas parce que des dérangés mentaux ont bramé, beuglé, mugi sur tous les modes, en 1789 que tous les peuples du royaume de France font une seule et même nation, que cela est vrai. L’inverse est tout aussi faux : les affirmations négationnistes sont de la gesticulation verbale, sans aucun effet sur la réalité des choses. Ce n’est pas parce que des insuffisants intellectuels clament que les Bretons ne sont pas une nation que cela est vrai.

Le peuple breton est identifié dès l’antiquité. Il est infiniment plus antique que la nation française. Les Bretons sont toujours là, soudés par un sentiment d’appartenance extrêmement puissant, alors que la France déliquescente se désagrège et se suicide, par la faute des débiles que des élections non démocratiques ont porté au pouvoir. Georges Minois, agrégé et docteur, l’auteur d’un pamphlet violent contre Anne de Bretagne, fait partie de ces négationnistes, qui ont contribué à nous amoindrir, ce qui explique mon attitude très ferme à l’égard de cette sorte d’ « auteurs » (Du Guesclin, page 136; pour cet auteur, comme d’autres de son niveau, qui ne savent pas ce qu’est une nation, ni la souveraineté, la nation bretonne est une « fabrication » du Duc de Bretagne, au moyen âge, et de son entourage, pour en tirer profit ! Effarant ! C’est la transposition de la théorie marxiste, totalement inouïe : les nations sont une invention de la bourgeoisie, pour profiter des « classes travailleuses » !!! Ridicule ! ).

Ce n’est pas le lieu de dresser un catalogue de ces citations. J’en ai répertorié plusieurs centaines, du premier siècle avant Jésus-christ à aujourd’hui. Au hasard de mes lectures de cette semaine, je cite ces admonestations très fortes adressées en 1776 au roi de France, dans une de ces altercations si fréquentes avec le gouvernement français. Les Etats de Bretagne – notre assemblée législative nationale – ayant refusé de voter le budget, celui-ci est imposé contre la volonté des Etats, par ordre du roi, cet ordre étant mentionné dans les registres. Les protestations des Bretons sont véhémentes, car à l’époque, n’étant pas encore esclaves, mais sujets malgré eux d’un roi étranger, ils ont encore des droits, et parlent haut et fort, sans faire semblant  :

 

( La Borderie, tome 6, page 347).

Je l’ai amplement démontré, avec d’autres auteurs, dans la tradition du géant  breton Ernest Renan : ce sont les critères – les éléments constitutifs si l’on préfère -, qui déterminent si un groupe humain est une nation ou non : la possession d’un territoire pendant des siècles, les valeurs civiles, morales et religieuses, l’histoire, les malheurs et les succès vécus ensemble pendant des siècles, surtout : le sentiment d’appartenance commun, c’est à dire l’adhésion intime, comme à une famille, du groupe dont on se sent membre de toutes ses fibres … .  Mais lorsque Le terme nation se retrouve  dans les textes, les documents diplomatiques, les traités, – pour ceux qui on lu, ce qui n’est pas le cas pour les « hystoryens » marxistes actuels, des centaines de fois depuis l’antiquité, tant dans le textes bretons que français ou autres, cela renforce indiscutablement la démonstration, même si cela est loin d’être essentiel.

…………………………

mc3a9lennec-n2_labauleplus_com

Vous retrouverez des dizaines d’autres citations, sûrement davantage, si vous lisez les textes authentiques. Personne ne vous les a fait connaître à l’école : notre marâtre à tous veillait au grain, surtout pour que la vérité ne parvienne pas jusqu’à vous, ce qui aurait enflammé vos esprits d’indignation, si avides de Dignité, après les persécutions subies depuis la prétendue révolution française :

Quelques faits et quelques citations encore.

 

……………………..

 

Les Bretons ont toujours été des résistants féroces – collabos exceptés – ceci depuis le mariage forcé d’Anne de Bretagne en 1492 avec le roi de France Charles VIII. Jusqu’en 1789, année à partir de laquelle les coups de cognée administrés sur leurs têtes leur imposa le silence, et une humiliation telle qu’ils ont encore peine à se relever en 2016.

Lors de la guerre absurde de Hollande, Louis XIV  ayant imposé la Bretagne deux fois consécutives, d’une manière illégale, et extorqué des sommes énormes, pour financer sa politique de gaspillage et de conquêtes militaires, des Bretons se soulevèrent en 1675, dans la révolte dite des Bonnets rouges (cf. Mélennec 1675, images). La pression fiscale – spécialité hautement française – avait augmenté d’une manière considérable sous ce Sire (James B. Collins, page 241 et suivantes). La répression fut atroce; des milliers de nos malheureux compatriotes périrent; le Parlement de Bretagne fut exilé. Mais les Bretons, jamais lassés de lutter contre la dictature,  retrouvèrent toute leur énergie dès la mort du tyran, en 1715.

Les Bretons refusent la présence de gauleiters civils sur son sol. La résistance des Bretons à l’absolutisme français.

Même annexés en 1532, les Bretons n’avaient jamais accepté qu’on nomme un « Intendant » – en d’autres termes : un gauleiter, un gouverneur civil – dans leur pays, alors que cet officier nommé par le roi de Versailles avait été imposé dans toutes les provinces de France. Jusqu’en 1675, ils furent suffisamment forts pour s’opposer à la nomination d’un tel personnage sur le sol national. Une première tentative avait été faite en 1647; mais les Bretons, furieux, refusèrent de le recevoir, lui interdirent de faire état du titre conféré par le roi des Français, et le contraignirent à l’humiliation cinglante de démissionner; le roi des Français, Louis XIII, dut s’incliner, dès l’année suivante (Planiol, tome 5, page 51). Après les massacres de 1675, en état d’imposer sa volonté, la monarchie en nomma un autre en 1689, Robert de Pomereu. Il s’agit, dit le duc de Saint Simon, « d’apprivoiser » la Bretagne. Paralysés par la peur de l’Etat colonial, et des menaces militaires qui planaient sur le pays, il fallut bien s’incliner. Mais tous les intendants, symbolisant la mainmise du pays étranger sur la Bretagne, agents de l’absolutisme et de la centralisation monarchique, furent détestés, et humiliés chaque fois qu’on le put : Ils n’étaient rien d’autre, aux yeux des bretons, que ce que furent les représentants allemands de Paris et la France divisée durant la seconde guerre mondiale : des occupants haïs. Personne n’a osé écrire cela à ce jour, en tout cas sous cette forme : je suis le premier. On me croira sans peine : c’est une loi universelle, au cours de l’histoire du monde, pour tous les pays envahis, humiliés et exploités, et qu’on n’a jamais enseigné aux jeunes Bretons, par une université constamment démissionnaire de ses devoirs, de détester les agents du pays colonial, et ceux qui collaborent avec lui.

Lorsque le gouvernement royal de Versailles réussit enfin à imposer en Bretagne un Intendant – lisez bien ceci -, les Bretons refusèrent jusqu’au bout, jusqu’à la fin de la monarchie capétienne, en 1789, de le désigner par le titre conféré par le roi étranger. Pour le Parlement de Bretagne, les Intendants, si puissants dans les provinces de France, ne furent jamais que les « commissaires départis par le roi pour l’exécution de ses ordres en Bretagne » (Planiol, page 50).

C’était du temps où les Bretons possédaient encore ces organes que l’on dénomme familièrement des couilles, et où la monarchie française tolérait qu’ils en fissent usage. Les temps ont bien changé : en ce temps là, la Bretagne votait ses lois et ses impôts, et s’administrait elle-même : voyez ce que le pays des droits de l’homme a fait de tout cela : une pantomime de pantins, une ruine consommée : la Bretagne actuelle est esclave. Elle gaspille sa richesse nationale à hauteur de 50 pour cent de son PIB, dans des impôts dont beaucoup sont gaspillés, dans un gabegie insensée.

(Lire : Mélennec, Mais que font des Français dans les fonctions de préfets en Bretagne ?).

 

QUE FONT DES FRANCAIS DANS LES FONCTIONS DE PREFETS EN BRETAGNE : UNE INSULTE AUX BRETONS ESCLAVAGISES.

Imagine-t-on pareille situation aujourd’hui ? Les Bretons vont-ils désigner les préfets sous le nom de « commissaires préposés aux affaires de la république française en Bretagne » ? Les Intendants d’ancien régime sont encore là. Leur titre est changé, leurs pouvoirs d’imposer et de décider aux lieu et place des Bretons sont désormais considérables. La France, dont les malversations et les crimes contre l’humanité, à Nantes et dans le département de Loire Atlantique, en 1793 et en 1794, sont aujourd’hui connus dans le monde entier, malgré le silence sépulcral de nos prétendus « élus », est aussi toujours là. Pour combien de temps ? Il est encore trop tôt : aujourd’hui, vous êtes placés sous l’immaculé régime des droits de l’homme : la Liberté française est passée par là, cette liberté si spéciale, vous écrase et vous broie !

A défaut de pouvoir les chasser et de les renvoyer chez eux, on ne compte pas le nombre des humiliations que les Bretons surent infliger, à juste titre, à ces pauvres hères d’Intendants français. Le rapport des forces étant ce qu’il était, les Bretons durent s’incliner souvent – avec rage – ,  mais leurs esprits ne furent jamais conquis; ils ne ratèrent jamais une occasion, avec leurs faibles moyens, de rendre les coups, et de mordre.

A l’exception du règne de Louis XIV de 1664 à 1715, durant lequel, terrorisés, ils furent contraints, après les massacres de 1675, de se tenir tranquilles, les conflits violents avec les Français furent permanents. Un auteur a dit que la France a mis la Bretagne à genoux par ces massacres. Ce n’est qu’à moitié vrai : l’esclavagisation des Bretons date de 1789, et des deux siècles qui suivent.

Après la mort de Louis XIV, les Bretons arrachent aux Français détestés, décade après décade, des pans entiers de l’administration du pays, confisqués par les Français. Deux siècles après l’annexion, en 1732, le pouvoir royal étranger restitue à notre assemblés nationale, les Etats de Bretagne, le gestion presque complète des finances du pays (Planiol, 5, page 75). En 1789, le pays a reconquis une très large autonomie : il n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut du temps des Ducs souverains, du moins il existe, s’oppose et résiste. Avec fureur.

L’esprit de fronde est partout. Villemilan, qui vient de Bourgogne, écrit, en 1706 : « En cette province, les esprits ne sont si faciles ». (Queniart, 22). Il ne se doute pas ce que va être le calvaire de ces pièces rapportées, non acceptées par les Bretons. Montesquiou écrit : « Ils ne tendent qu’à l’indépendance » (page 54, Quéniart). En 1760, seulement 29 ans avant la prétendue « révolution », le destin des Intendants est scellé : le chevalier de Mirabeau, en fonctions en Bretagne écrit à son frère : « Vous seriez étonné de ne pas entendre parler de l’intendant,comme s’il n’y en avait pas ». Les Bretons ont quasiment « luxé » le représentant principal de la France.

Les fonctionnaires français n’ont en Bretagne pour ainsi dire plus aucune autorité. Très peu de temps avant la révolution, l’intendant français se sent physiquement menacé … il s’enfuit nuitamment de Rennes, craignant de perdre la vie (Queniart, page …).

En 1789, il arriva ce qui arrive aux pays écrasés par la férule française : par la vertu de la « révolution » des droits de l’homme, notre assemblée nationale fut dissoute,  des députés emprisonnés, la Bretagne en tant que telle disparut, elle fut interdite de s’intituler nation, pour mieux la maîtriser, elle fut segmentée autoritairement en départements, persécutée et gouvernée, dès lors, en direct, par Paris, pour son malheur.

Protestant avec  virulence contre l’effarant dépouillement et l’anéantissement par la force des droits de son peuple et de son pays – au nom de la Liberté, culot insensé ! – le comte de Botherel, Procureur général de nos Etats de Bretagne, tonnant comme Jupiter contre la France violatrice des droits sacrés de la Bretagne, publie des protestations restées célèbres, dont voici les extraits principaux  :

« La NATION BRETONNE a confié à ma vigilance la conservation de ses droits le plus précieux. Aucune considération ne me rendra parjure et ne me fera trahir l’intérêt du peuple Breton. C’est la patrie qui est en péril, sauvons la patrie. Plutôt mourir que trahir. Ce serait nous rendre coupables du CRIME DE LESE NETION-BRETONNE, ce serait nous rendre parjures, trahir notre patrie et manquer à l’honneur, à tout ce qu’il y a de plus sacré que de céder …. Cette province ne se gouverne que par ses propres lois, elle n’a jamais été soumise à aucun régime étranger, qui d’ailleurs n’y a point de représentant. … »

(Le Relecq-Kerhuon, 2000, éditions An Héré, publié par Loeiz Le Bec, professeur d’histoire à Saint-Malo).

Texte magnifique, qui demain figurera dans tous nos édifices publics, notre drapeau national y ayant déjà pris place. Vous l’avez noté : Notre Procureur général, breton de toutes ses fibres, ne reconnait même pas à l’Intendant français la qualité de représentant de la France : cet homme n’est rien, qu’un fonctionnaire français imposé par l’occupant.

Sur les Intendants, lire, en particulier : Pocquet, in La Borderie, tome 5….., tome 6, 375 et suivantes; Planiol Marcel, tome 5, pages 50 et suivantes; Queniart, pages 21 et suivantes. Mélennec, Mais que font donc des français dans les fonctions de préfets en Bretagne ? Fréville ..

 

En 1788, les Bretons non seulement n’attendent rien de la France, pays qu’ils désignent eux mêmes comme un pays étranger, qui les exploite comme une ferme coloniale, aspirant ses finances, ses hommes, ses talents, mais ne désirent qu’une chose : la voir partir,  la chasser. Les Bretons, si bien placés pour se répandre dans le monde entier, par sa marine et la solidité de ses institutions, se voient contraints d’émigrer, et de végéter. La situation pour les « administrateurs » français est dramatique. Les choses en sont au point que l’Intendant français,  Bertrand de Molleville, ne peut sortir dans la rue sans être hué; sa rue, baptisée « rue de Bertrand », est débaptisée, et nommée « rue du Tartuffe »; (La B. 6, 381). estimant être « dans l’impossibilité de faire respecter l’autorité du roi », et  même « en danger de perdre la vie », n’ayant pu obtenir l’assurance qu’il serait défendu par les armes, quitte Rennes le 8 juillet nuitamment pour la Cour de Versailles où il se réfugie (Queniart page 134). Des délégués bretons essaient de se rendre à Paris, pour solliciter l’arbitrage du roi : ils sont embastillés, et arrêtés.

 

Telle est la situation de la Bretagne en 1789, à la veille de la « révolution ». La détestation de la France, qui pressure, qui exploite, qui impose, est générale – à l’exception, encore, des collabos du temps – les « grandes familles », de race brito-française, comme l’écrit joliment Planiol -,qui tirent de gros revenus et avantages de leur docilité, pire, de  leur servitude : refrain connu, qui se perpétue en 2016 sous les formes que l’on sait : pour notre honte, aucun député n’a osé évoquer en public les atrocités commises par la France en Bretagne; certains, connaissant notre histoire, ont même accepté l’indignité de participer au gouvernement de « pédalos » et de « brêles »- comme les désignent si judicieusement M.M. Mélenchon et Straus-Kahn.

J’ai exposé maintes fois, ce qui n’est pas une opinion, mais un état de fait : les Bretons ont bénéficié sous leurs Ducs souverains d’une monarchie représentative, avec un gouvernement, un premier ministre, des ministres, une assemblée législative – dénommée le Parlement de Bretaigne, ou « Etats de Bretagne », une chambre des comptes. Ce régime préfigure une démocratie en marche, qui est déjà plus qu’embryonnaire : Je rappelle que le Duc ne peut prélever des impôts sur les Bretons, ni imposer une loi de sa seule autorité : les impôts et les lois sont votés par notre assemblée législative, qui est bel et bien une assemblée nationale (Planiol, tome 3). Dans le même temps, les Français doivent courber l’échine, l’absolutisme est déjà en place sous Louis XI, au milieu du 15ème siècle. L’annexion de 1532, imposture déguisée en pseudo-accord bilatéral, a supprimé tout cela, en instaurant le régime français, absolutiste, totalitaire, drastiquement colonial, moins colonial toutefois, il est important de le souligner, que celui qui sera imposé par les dérangés mentaux de 1789. La prétendue « réunion » de la Bretagne à la France nous a fait faire un bond, nous qui jouissions d’un régime politique très en avance pour son temps, même s’il était loin d’être irréprochable et s’il n’est pas question ici de l’idéaliser, de six siècles en arrière. Tout a été comme cela dans nos « relations » avec le cher pays qui a inventé les droits de l’homme. Ainsi, pour ne citer que ce fait, parmi tant d’autres, les Bretons avaient admis l’égalité de l’homme et de la femme dès l’antiquité. Les Françaises n’ont acquis une égalité théorique avec les mâles de leur pays,  qu’aux termes de très longues et impitoyables luttes. Pour résumer : les femmes bretonnes partagent le pouvoir avec les hommes dès le temps de César, avant le Christ; les femmes françaises, mineures juridiques placées sous l’autorité de leur père puis de leur mari, n’accèdent au droit de divorcer, d’avoir un compte bancaire, d’exercer un métier, que deux mille ans plus tard, au 20ème siècle ! Les Bretonnes commandent et votent sous César, avant Jésus-Christ, elles se voient autorisées à voter en France … en 1944 ! La France n’est pas le pays des droits de l’homme,  sûrement pas le pays des droits de la femme. Quel gâchis !

Marcel Planiol, notre plus grand juriste de tous les temps, a souligné que le droit breton des Ducs souverains contient en germe ce que l’on a appelé beaucoup plus tard les droits de l’homme. Les remontrances du Parlement breton au 18ème siècle (Moy …) contient tous ces droits, solennellement affirmés lors des conflits contre la monarchie, rappelant au roi de France avec fermeté ses devoirs et les limites de ses droits. Les Bretons, entretenant avec toute la France des correspondances suivies, ont joué un rôle considérable dans la fronde des parlements du royaume de France contre l’absolutisme et l’arbitraire, et dans l’abolition des privilèges, lors de la nuit du 4 août 1789. Il n’avaient en aucun cas besoin des Français pour obtenir des réformes profondes, ce qu’ils auraient obtenu sous le sage gouvernement de leurs Ducs, notamment des derniers régnants, avant les invasions françaises de 1487, si notre monarchie et notre régime politique n’avait été aboli par des « centralisateurs » totalitaires. L’année 1789 est bien, pour nous, la grande Shoah bretonne.

Ce que j’écris ici est un renversement total de l’histoire maléfique et malhonnête enseignée aux jeunes Bretons dans les écoles sous contrôle français, dont j’ai été moi-même victime en mon temps, dans le but d’extirper de nos esprits la conscience de ce que nous sommes : des Bretons, en aucun cas des Français. Il était temps que quelqu’un le fasse : bientôt, je ne serai plus là. Personne n’a osé, jusqu’ici, exprimer ces choses d’une véridicité aussi absolue, avec des termes aussi vrais. Je n’invoque aucune découverte particulière en l’espèce, sauf d’avoir mis la vérité en forme, et de l’avoir dite et écrite, et de l’avoir enfin rendue accessible;  je récidiverai autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que cela soit bien entré dans les têtes.

Que des gens comme M.M. Mélenchon, Asselineau ou autres se permettent de donner des leçons aux Bretons, très en avance sur la France au plan politique, avant les invasions françaises, persécutés, privés de leur langue, acculturés par leur pays, démontre à quel degré affligeant de désinformation ces hommes sont tombés, par la faute de leur propre nation, qui les a formatés dans une histoire nationale fausse. Messieurs, il vous reste à rentrer dans le rang, en êtes vous capables ?  Le malheur épouvantable de la Bretagne : d’avoir été envahie par nos ennemis héréditaires de 1487 à 1491, puis soumise par la force, la concussion, l’achat des consciences ..

Aujourd’hui, dirigée par des incompétents notoires, souvent corrompus (au delà des « affaires » jugées, des milliers d’autres restent cachées), encore très insuffisamment humiliés par les tribunaux, la France est devenue une authentique dictature, ridicule dans le monde entier.

Le présent texte est publié sur les réseaux sociaux. Entre autres, outre les « hystoryens » bretons, et M.M. Mélenchon et Asselineau, en seront rendus destinataires, M.M. Lefur, Vice président de l’Assemblée nationale, M. Molac, député, M. Poignant, conseiller de François Hollande à l’Elysée , M. Urvoas, ministre de la justice : tous, peu ou prou (plutôt peu que prou) sont agrégés et docteurs, et se disent Bretons. Aucun n’osera démentir ce que j’écris ici, ni prétendre que j’ai tort, car tous ont lu maintenant le livre bleu de la Bretagne, et savent que je dis la vérité. Mais lorsqu’ils montent à la tribune, ils se transforment en carpes : ils se taisent, aucun n’a jamais osé dire le centième de tout cela. Jean-Marc Ayrault, l’un des principaux responsables avec Le Drian de la non réintégration de la Loire Atlantique dans notre territoire national, ne recevra pas ce texte par nous : il n’a aucune formation ni de politique, ni d’économiste, ni de juriste, ni d’historien, n’a jamais exercé aucun  métier susceptible de lui donner le droit de gouverner quoi que ce soit – comme l’illustre Mélenchon et tant d’autres nullités -, comme tel dépourvu de toute capacité de participer au gouvernement d’un pays, et si enferré dans ses erreurs qu’il ne comprendrait rien à ce discours. Il est devenu la cible privilégiée du génial humoriste Canteloube, comme étant l’homme le plus intellectuellement lent et empôté de tout l’hexagone – comme Jean-Luc Mélenchon est devenu le plus fanfaron et le plus vantard.

Il n’y a pas de crime plus abject, plus répugnant que celui de trahir son Pays. Cela vaut pour tous les pays, pour la France comme pour la Bretagne et tous les autres. Lorsque, de surcroit ce crime prive le pays de 33 pour cent de sa richesse nationale – ce que nous coûte l’amputation de notre territoire national à Nantes et en Loire Atlantique -, alors, on est devant une monstruosité qui a peu d’exemples dans l’histoire du monde : il devient pressant que les criminels de crimes de lèse-nation  soient jugés par une juridiction bretonne, le temps venu.

Pour terminer cet aparté sur une note hilarante, écoutez et réécoutez ce qui suit. Vous allez mourir de rire, en même temps que réaliser votre malheur devant une telle incompétence :

 

https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/155160da9fe593c2?projector=1

 

Ce n’est pas parce que quelques Bretons nous humilient par leur nullité et leur voracité d’argent, de prébendes et de titres inutiles, que nous cessons d’être nous mêmes. Je rappelle ici, pour ceux qui ne le sauraient pas, que, entre autres choses, les petites tribus bretonnes du 9ème siècle, peu nombreuses, administrèrent des « tournées » magistrales aux énormes armées des empereurs francs, et leur firent mordre la poussière ; qu’au quinzième siècle, avant l’invasion de la Bretagne par la France, ils possédaient la deuxième flotte maritime européenne, et assuraient 90 pour cent du commerce des grands ports de la mer du nord, là où la marine française était inexistante; qu’aujourd’hui, les industriels bretons sont à nouveau partout dans le monde aux premières places – sauf dans le défense de leur identité nationale -; que la petite Bretagne fournit un quart de la production agricole de l’ « hexagone »; et que notre diaspora est partout, dynamique, active, estimée par ses qualités humaines – ce que ne sont pas d’autres peuples – même si nous fournissons nous aussi notre contingent d’imbéciles, comme on peut le voir, chaque soir, sur les écrans de la télévision française, et ce que nous avouons volontiers, pour être juste, et ne pas tirer la couverture à nous.

L’avenir nous appartient.

Les Bretons sont un grand peuple. Il leur reste à prendre conscience de leurs atouts, qui sont considérables, et surtout à reprendre confiance en eux, en pansant les blessures du passé, ce à quoi s’emploient les présentes chroniques.

 

LOUIS MELENNEC, Breton depuis 2000 ans.

 

Il est important d’observer ici, que même si les Etats de Bretagne et le Parlement breton étaient entièrement entre les mains de la noblesse,  même si lesdits nobles ont été largement les premiers bénéficiaires des mesures fiscales illégales qu’ils contraignirent à faire abolir par la royauté, même s’ils ont freiné les réformes indispensables, leur action a été principalement guidée – avec fureur -, à défendre en tout premier lieu les intérêts nationaux de la Bretagne. Il n’y a aucun doute à cet égard. Ceux qui n’ont encore rien lu sur ce point, se reporteront à La Borderie, à Pocquet, à Planiol, à James Collins, et à d’autres auteurs. Voici donc, une fois de plus, qui fait justice des mensonges que l’on a répandu en France et en Bretagne pour faire accroire que les crimes de la révolution ont été des actes héroïques. (Ce que nous avons cru, nous aussi, dans notre enfance). Les petits nobles de Basse-Bretagne, pauvres, sont très farouchement bretons. Les grandes familles « brito-françaises » sont d’une avidité sans fond : voir James Collins pages 195 et suivantes. Certains noms ont traversé les siècles, ont été de tous les « bons coups », et ont été servis par tous les régimes : une belle thèse en perspective pour la future Université de Bretagne.

 

 

 

 

 

 

##########

 

Le livre bleu de la Bretagne, histoire résumée de la nation bretonne, présenté aux congressistes de la FUEN en 2009, réédité en 2014, téléchargé  plus de 200 000 fois, a été lu à Matignon et à l’Elysée. Il ne laisse plus aucun doute sur les abominations commises en Bretagne :

 

https://www.google.fr/search?q=livre+bleu+de+la+Bretagne&safe=off&espv=2&biw=1273&bih=598&tbm=

 

Consulter le lien :

https://www.google.fr/search?q=union+de+la+Bretagne+à+la+France+melennec&safe=off&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwjf6p

Citation de Louis  Mélennec : le régime instauré en 2012 est une dictature (26 septembre 2015).

« Ce qui se passe en France est un régime dictatorial, qui ne tient aucun compte de ce que veut très consciemment la population : la sécurité – avec les moyens que toutes les sociétés ont utilisé depuis les débuts des temps pour la maintenir, c’est à dire des sanctions draconiennes pour les crimes atroces, des sanctions proportionnées pour tous les délits, même mineurs -; la régulation stricte des flux migratoires; l’utilisation rationnelle des ressources fiscales, aux lieu et place de la gabegie et l’effroyable désordre actuels; une information libre de toute manipulation répugnante; l’exclusion péremptoire des insuffisants intellectuels des fonctions étatiques de responsabilité; des sanctions d’une extrême sévérité à l’égard des politiques qui trahissent leur mission  …

Les citoyens français et bretons sont furieux contre les incultes qui ont été placés aux commandes, par le canal d’un marché politique captif, dans lequel les mêmes se partagent le gâteau et les prébendes. Le pouvoir foule aux pieds la population, et ne tient  aucun compte de sa volonté, alors qu’elle est seule détentrice légitime d la souveraineté nationale, et que les politiques ne sont constitutionnellement que ses domestiques, pour ne pas dire ses esclaves. Ces gens se comportent en maîtres, avec une impudeur et une incompétence dont il ne subsiste dans les mémoires des citoyens vivants aucun exemple. Même Jacques Chirac, maître en incompétence, est surpassé par le titulaire actuel des fonctions, ce qui semblait impossible.

Mais ne dit-on pas : « Impossible n’est pas français  » ?

Que la France vive cette catastrophe dans une angoisse indicible est dramatique. Mais que les Bretons soient entraînés dans ce naufrage est inacceptable.

L’affaire de La Loire Atlantique, mais aussi de la Savoie, de la Corse, du Pays basque, de l’Alsace, a mis le feu aux poudres : aucune transaction n’est possible avec les incompétents amateurs qui charcutent l’hexagone, sans rien connaître de ce que fut le passé  : des gens qui ne savent rien faire, n’ont jamais travaillé, pire : QUI VIOLENT TOUS LES JOURS LES DROITS SACRES DES POPULATIONS CONCERNEES. Cela n’appelle ni excuses, ni pardon : des sanctions draconiennes, lorsque le rapport de forces se sera inversé. L’idée chemine, d’un grand procès qui fera la lumière. Dans le calme, la sérénité, le respect de la démocratie, l’absence de violence, car telle est notre philosophie. »

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

Les actions intentées devant les juridictions administratives, visant à soulager de jeunes Bretons d’une nationalité dont ils ne veulent plus, sont la suite logique de la découverte par ces jeunes gens du passé de leur Pays, et la connaissance qu’ils ont maintenant les horreurs perpétrées par le voisin de L’Est, qui a réussi jusqu’à ces dernières années à dissimuler les crimes perpétrés en Bretagne, non pas seulement en 1789, en 1793, en 1794, mais depuis que cette bonne république si exemplaire en tout, a inventé la liberté et les droits de l’homme, et la liberté de la presse.

Pire : à dissimuler ces crimes, pendant plus de deux siècles, par un lavage ininterrompu des cerveaux, par UN MENSONGE ABJECT, qui n’est pas dans la tradition bretonne. Il existe depuis de longues années, en Bretagne, une presse de la collaboration, payée pour nous désinformer, avec nos impôts, qui perçoit des « subventions » importantes, l’un en particulier, à hauteur de 12 millions d’euros par an ! Tout cela donnera lieu à un déballage sanglant un jour, et à des procès. L’hymne de la honte sera dans le lot.

A l’heure où vous lisez ceci, pas un « député », pas un « sénateur » « breton » n’a parlé, ni jeté à la figure ses crimes à l’Etat qui les paye. Ils font de la figuration, comme les intermittents du spectacle. Ils sont les dignes produits du système. Tous ont les yeux ouverts aujourd’hui. Savent-ils que parmi les sentiments humains, l’un s’appelle la honte ?

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

LE REJET DE LA NATIONALITE FRANCAISE : LETTRE A TOUS LES MAIRES BRETONS.

 
 
 
 
LES BRETONS NE SONT PAS FRANCAIS, ILS NE L’ONT JAMAIS ETE, ILS NE LE SERONT JAMAIS.
 
 LETTRE OUVERTE publiée sur les réseaux sociaux, AU MAIRE D’ACIGNE (35690), A TOUS LES MAIRES DE BRETAGNE, A TOUS LES BRETONS QUI AIMENT LEUR PAYS ET REFUSENT AVEC LA PLUS GRANDE FERMETE SA DESTRUCTION. 
Copie : les députés et les sénateurs, en raison de leur implication directe dans l’affaire de Nantes et de la Loire Atlantique, toujours séparées de notre territoire national.
____________________________________________________________________

Monsieur le Maire, mesdames et messieurs les Conseillers municipaux,

Un débat se déroule actuellement en France, sur la déchéance de la nationalité pour les délinquants et les criminels. Dans des termes d’ailleurs absurdes : les délinquants et lescriminels n’ont rien à faire dans un pays qui leur fait l’honneur de les accueillir, de les loger, de les nourrir, de les soigner, eux, leurs enfants, leurs parents.

Nous, Bretons, sommes concernés par ce débat, qui se déroule dans un pays étranger, parce que notre pays a été annexés contre notre gré, en 1532 par notre voisin de l’Est, et que nous subissons les conséquences dramatiques de cette annexion depuis cinq siècles. Nous sommes considérés par notre voisin la France comme relevant de la nationalité française, à notre corps défendant, sans que jamais la Bretagne ait été consultée, ni sur ce point, ni sur RIEN d’ailleurs, car la totalité de la gestion de ses affaires lui échappe.
J’ai l’honneur de demander à vous et à votre Mairie de m’éclairer sur les points suivants.

I – MOTIFS.

1 – En janvier 1499, deux actes ayant valeur de traités internationaux furent signés à Nantes, entre la Duchesse souveraine Anne de Bretagne et son deuxième mari le roi Louis XII de France.
Le premier est le Traité de mariage entre Louis XII et Anne de Bretagne (Dom Morice, III, pages 814 et 815).
Le second, dans le prolongement de ce traité, qui en précise le contenu, contient les « articles », c’est à dire les dispositions discutées et admises par les deux souverains d’un commun accord (Dom Morice, III, pages 815 à 818).

Ces traités garantissent les droits nationaux et internationaux des Bretons, dans leur intégralité. De surcroît, ils prévoient que jamais les rois de France ne pourront devenir princes souverains en Bretagne, ni la Bretagne être réunie à la France, son ennemi héréditaire depuis mille ans. Un dispositif précis garantit aux enfants et aux descendants d’Anne de Bretagne et de nos anciens souverains bretons de devenir Ducs, à l’exclusion des étrangers, « sans que les rois de France puissent rien y redire ».
2 – La règle de droit est que les traités internationaux restent valides tant que les parties qui les ont librement discutés, conclus et signés, ne les ont pas remis en cause. Ceci, point essentiel, quelle que soit leur ancienneté, même si ces traités remontent à plusieurs siècles.

N’ayant été ni dénoncés, ni re-négociés, ni ré-aménagés, les deux contrats ci-dessus restent pleinement valides en droit international. Juridiquement, il n’y a aucun doute sur ce point. Pour vous en persuader définitivement, relisez dans Internet l’affaire des Minquiers,( (voir le site), capitale pour nous Bretons, et ce que les juristes spécialisés dans le droit des traités internationaux ont écrit sur la matière, en particulier le Professeur Rousseau, auteur de nombreux ouvrages, qui enseigna le droit
international à la faculté de droit de Paris, et le docteur Louis Mélennec, juriste consultant international, ex-consultant près le Médiateur de la république française.

Il n’y a donc que ces deux contrats valides à ce jour, à l’exclusion de tous autres textes, qui puissent régir les relations entre la France et la Bretagne : le contrat de mariage d’Anne de Bretagne avec Louis XII, et lesdits articles ci-dessus.
Il est clair que la France n’a aucun droit, d’aucune sorte, dans notre pays de Bretagne.

3 – En 1532, par un acte unilatéral – un Edit, c’est à dire une loi française, en aucun cas un traité -, la France a proclamé garantir d’une manière solennelle les droits de la Bretagne, dans tous les domaines. Elle a annexé notre pays, sans aucun vote des Bretons, les armées françaises de François Ier étant autour de Vannes, prêtes à intervenir. Elle a prétendu
que ce texte, jamais voté, jamais paraphé par les Bretons, jamais approuvé par eux, était un traité librement débattu entre les deux pays, ce qui n’est le cas ni de près ni de loin.

Les suites de cette annexion brutale, jamais consentie par le peuple de la Bretagne – encore moins aujourd’hui -, ont été catastrophiques. Des thèses énormes, non divulguées dans notre population, non enseignées nulle part, démontrent que les violations et les violences perpétrées par la France furent non pas occasionnelles, mais permanentes. La Bretagne a été privée de ses Institutions séculaires, et de sa souveraineté dans tous les domaines, les rois étrangers de Versailles ayant année après année pressuré notre pays pour en extraire tout ce qu’ils ont pu, usant de tous les moyens de coercition en leur possession pour perpétrer leurs forfaits, et pour se servir des Bretons dans leurs guerres, dans lesquelles ils n’avaient aucune place.

4 – En 1789 – année désormais désignée sous le nom de SHOAH BRETONNE -, les Bretons se sont vus déposséder de tous les droits, qu’ils avaient réussi à défendre âprement depuis les débuts de leur colonisation, en 1532, jusqu’à ce que les français dénomment, par dérision sans doute, la révolution de 1789 comme étant celle des droits de l’homme. De nombreux Bretons ont payé de leur vie leur acharnement à défendre leurs libertés et leur pays contre les usurpateurs, parmi lesquels, en 1789, un certain nombre de malades mentaux avérés, dont Robespierre.
Les invraisemblables actes concernant la Bretagne, promulgués depuis lors par l’état Français , sont TOUS, sans exception aucune, nuls de nullité absolue, comme étant l’œuvre d’autorités étrangères, de surcroît détestées de très nombreux Bretons, aujourd’hui informés de la vérité – sauf les quelques collabos de l’époque, pour notre honneur extrêmement minoritaires chez nous.
Aucun doute, donc, sur ces points, pas davantage sur ce qui suit :
– Au regard du droit international, la Bretagne n’a jamais été française; elle ne l’est pas; elle et ne le sera jamais.

– La Bretagne n’étant française ni de près ni de loin, si ce n’est par l’effet d’une occupation par une puissance étrangère – comme la Polynésie et la Guyane -, les Bretons ne sont évidemment pas Français.

Etant maintenant au courant de l’histoire de mon pays, et du droit qui s’y applique, comme beaucoup de Bretons, je ne peux pas accepter une nationalité qui n’est pas la mienne, et qui serait contraire au droit international, au droit des peuples, et au simple bon sens. A moins
qu’on m’en fournisse toutes les justifications légales au vu du droit international, que je suis prêt à étudier.
Au regard de ce que l’on sait maintenant de notre histoire nationale, en particulier des crimes contre l’humanité commis par la France en Bretagne, notamment lors de la révolte des bonnets rouges en 1675, à Nantes lors de la glorieuse révolution dite des droits de l’homme (5000 noyés dans la Loire dans des conditions atroces), et en Loire Atlantique en 1793 et en 1794 (viols par milliers, découpage d’êtres vivants en morceaux, écrasement de femmes enceintes sous des pressoirs à raisin, embrochage de nourrissons vivants sur les baïonnettes des soldats français, précipitation des hommes et des femmes dans des puits (comme à Clisson), éclatement des organes génitaux des femmes au moyen de fusils, mise à feu des victimes après avoir introduits des explosifs dans leurs corps, amputation des bras, des jambes, des mains, des organes génitaux, fonte des corps des bretons afin de graisser les armes de la  » révolution  » , nous vous dispensons d’en savoir davantage), toutes atrocités comparables à celles des Turcs sur les Arméniens, mais non pas de celles des nazis, pourtant passés à la postérité, vous comprendrez que cette « nationalité » est vécue maintenant par beaucoup de nos compatriotes bretons comme un déshonneur, de quelque chose de sale.

Dans ces conditions, la Bretagne étant un pays souverain, il ne peut être question que les Bretons soient considérés comme des Français, à moins qu’ils ne l’aient demandé d’une manière explicite, libre et éclairée, par une démarche qui ne concerne qu’eux.

Je vous recommande, afin de parfaire vos connaissances sur l’histoire de notre pays, les lectures ci-après :

– Article du Professeur Rousseau sur l’affaire des Minquiers;

http://www.icj-cij.org/docket/files/17/2024.pdf, et autres articles nombreux.

– Articles et Conférences de Louis Mélennec sur l’annexion de la Bretagne en 1532, par la violence, la corruption, la violation de toutes les formes de droit, et l’article publié par le même auteur :

https://www.google.fr/#safe=off&q=m%C3%A9lennec+union+de+la+Bretagne+%C3%A0+la+Francehttps://www.google.fr/#q=les+arm%C3%A9es+de+la+Libert%C3%A9+en+Bretagne

http://blog-louis-melennec.fr/2013/08/06/le-pretendu-traite-dit-dunion-perpetuelle-de-la-bretagne-a-la-france

– Les armées françaises de la Liberté en Bretagne : les crimes contre l’humanité, non prescrits et non prescriptibles : 

 

II – CONCLUSIONS.

Je vous demande de prendre acte de la présente, de m’accuser réception de la présente lettre, et de me répondre, puisque telle est votre obligation en votre qualité de maire.

Je n’ai rien à vous demander, puisqu’il n’est pas dans vos compétences de vous prononcer sur la nationalité de vos administrés. En revanche, vous avez compétence et obligation de me préciser les démarches que je dois effectuer pour que ma nationalité bretonne – la seule que j’admette, dans l’état présent de mon information -, me soit officiellement reconnue.

Je vous remercie aussi de vouloir bien me confirmer que vous avez bien lu les écrits que je vous recommande.

M. V. P., citoyen breton.

La présente lettre vous est adressée par lettre recommandée avec accusé de réception le 16 mars 2016, et est rendue publique le 15 mai 2016. Elle est adressée à tous les maires de Bretagne, aux médias bretons et français, aux députés et aux sénateurs. Elle peut servir de modèle à tous.

 

………………………

 

LES LECTEURS ECRIVENT.

 

LETTRE DU PR C. SUISSE, A L’AUTEUR DU LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE.  COMMENT ON ECRIT L’HISTOIRE. (Mai 2016). BRETAGNE, ALLEMAGNE, FRANCE.

On vous a vu dans bien des combats. Mais non pas dans celui qui concerne le sort qui est fait au peuple Allemand. Vous devriez vous intéresser à ce que je vais vous dire.

Je considère toujours comme un des plus grands crimes commis par les vainqueurs contre le peuple allemand, lequel est depuis plus d’un siècle l’objet de leur haine et de leur envie. Je parle des « trois gredins », comme les appelait Lénine – lequel criminel n’est pas mon héros préféré, vous vous en doutez bien -, mais qui, en l’occurrence, avait raison : Albion la jalouse de ce qu’en 40 ans, de 1871 à 1914 avait réalisé le jeune Reich né dans la galerie de Glaces le 18 janvier 1870; la France revancharde des Delcassé (qui a trainé ses guêtres pendant 7 ans au Quai d’Orsay); Poincarré et Clémenceau prêts à sacrifier des millions de jeunes Français pour récupérer un million et demi d’Alsaciens qui ne leur demandaient rien – aux Allemands non plus d’ailleurs et qui, si l’on en croit le journal Le Monde – que d’aucuns dénomment  l’Immonde -, dans lequel le  professeur Lacroix , dans les années 60, n’avait pas de mal à prouver que l’ Alsace jouissait depuis 1912 d’un statut de Reichsland, qui lui conférait une autonomie qu’aurait enviée toute province française, surtout la Bretagne, totalement émasculée depuis la révolution des droits de l’homme. D’ailleurs, les 250 000 soldats alsaciens ont fait très loyalement leur devoir du côté allemand (reportez-vous à Marcel Haedrich 1913-2003, « Seul avec tous », publié chez Laffont, en 1973), alors que du côté français leur nombre tournait autour de 10 000.

C’est vrai qu’en 1871, l‘affreux Bismarck ne leur avait pas demandé leur avis pour les annexer. Pas plus d’ailleurs que Louis XIV  qui, en violation du droit international, avait en 1681 fait occuper Strasbourg dont, nous dit Simone Veil – celle de « l’enracinement », à ne pas confondre avec son homonyme – les habitants pleuraient de chagrin en voyant les « Französen » occuper leur chère cité.

Les Bretons n’ont-ils pas pleuré lors des invasions de leut vieille patrie, à la fin du quinzième siècle ? Un peuple n’est-il pas catastrophé lorsqu’il est envahi par son ennemi héréditaire ? Pouvez-vous me citer une seule exception à cette règle universelle ?

Ce qui est le plus amusant dans l’affaire, c’est que « die drei Schurken » (comme les appelait Lénine en allemand, la langue des premiers congrès de l’Internationale communiste (Komintern) : l’Angleterre, la France et la Russie tsariste se partageaient les trois quarts de la planète, mais osaient accuser la jeune Allemagne de viser à l’hégémonie mondiale, alors qu’eux menaient des guerres coloniales et de conquêtes sur toute la planète. Inutile de dire que, comme dans les trois mousquetaires de Dumas, les trois étaient quatre. Le quatrième, le pire : les USA de Wilson et de Roosevelt, lesquels en 1917 et en 1941, par des moyens tortueux et malhonnêtes ont  entraîné en quelques semaines dans la guerre une population que était à 90 pour cent contre l’intervention militaire, et sont venus se mêler de nos affaires, en étouffant ainsi toute paix de compromis.

           

 Mon propos est de vous parler de ce crime épouvantable : l’expulsion de quinze à vingt millions d’Allemands dans des conditions que des Français qui,  comme moi, ont vécu la guerre de 1940, et ont du mal à imaginer une chose pareille.

Plus de trois millions et demi d’entre eux ont péri au cours de cet exode, probablement le plus important de l’histoire mondiale.

Je suis arrivé en Allemagne pour la première fois en novembre 1945, à 20 ans, pour y rechercher un travail, que j’ai trouvé d’ailleurs. J’ai pris très vite conscience de l‘immonde tragédie qui était en train de se dérouler dans l’Est du pays, révulsé aussi par les comportement des vaincus de 1940 occupés par les « vainqueurs » d’alors, en particulier par celui de la deuxième DB et de la première armée du général de Lattre. L’évêque de Fribourg impute 200 000 viols aux Français. Ces chiffres sont confirmés par plusieurs auteurs . Imaginez l’horreur, si le public connaissait cela ! Vingt ans plus tard, je fis le projet de soutenir une thèse de doctorat, en dissimulant ma véritable intention, par pure nécessité, car pas plus que vous, je ne suis homme à dissimuler sa pensée, connaissant d’avance les difficultés auxquelles j’allais me heurter. Cela n’a pas manqué : un des « caciques » pressenti pour présider ma thèse,  n’hésita pas à m’avouer crûment : « Vous m’êtes très sympathique, votre démarche me plait; j’aimerais pouvoir vous prendre sous mon aile; mais sachez que je suis communiste; accepter serait avouer que NOUS (il s’identifiait aux Soviétiques) avons avancé notre GLACIS (une VORFELD) de 500 km en Europe.  Mais je vais vous recommander à mon collègue M. N., de telle Université … .

La vérité vraie. J’ai conservé cette lettre. J’ai appris, 20 ans plus tard que sa femme était polonaise. Il me disait qu’il était prêt à devenir mon directeur de thèse mais il ajoutait, mettant en doute mes recherches  : « Je crains que vos sources ne soient d’origine européenne… » (!)

Mes sources ? Je me rendais avec persévérance, chaque année, en auto-stop au camp de transit de F., en Allemagne,  par lequel sont passés des millions de pauvres gens que Russes, Polonais ou Tchèques laissaient passer au compte-goutte, après le flot de 1946 à 1947. Bref je travaillais IN VIVO, pas IN VITRO, demeurant huit à dix jours dans le camp invité par Mgr S., le prêtre catholique, ancien aumônier de la Kriegsmarine qui m’indiquait les logements de fortune  où je pourrais m’entretenir avec tel ou telle personne arrivée de Prusse orientale,de Russie ou de Poméranie. Etc.

Vous êtes dans l’obligation de me croire. Personne ne peut me réfuter. Et je suis comme vous, incapable génétiquement de mentir.

        Vous me demandez si je n’exagère pas, en parlant du « plus vaste exode de l’histoire mondiale…. ». Pouvez vous m’en citer un, dans l’histoire contemporaine ou ancienne, qui ait atteint ces chiffres vertigineux ? Les échanges de population entre la Turquie et la Grèce en 1921-22 ont concerné tout au plus 1,5 million de personnes ( Manès SPERBER(1905-1984), dans son livre « Le Talon d’Achille », éditions Calmann-Lévy 1954 page 60 (je cite de mémoire) :  « la GAUCHE DU MONDE ENTIER A CE CRIME SUR LA CONSCIENCE ». Conrad observe un silence prudent sur ce sujet, ou fait volontairement l’impasse dessus.

Cela vous dépasse ?  Alors, essayez de vous représenter par la pensée, si vous le pouvez, l’équivalent en superficie de 35 départements français vidés entièrement de leurs habitants dépouillés de tous leurs biens, de leurs fermes, de leurs maisons, de leurs appartements, bref de leur patrie à laquelle nous autres Français somme tant attachés -, c’est-à-dire de la terre qui depuis mille ans appartenait à leurs ancêtres. Soit quatre fois la superficie de la Suisse, BERLIN étant désormais à 70 km des Polonais, qui ont volé la Silésie, avec BRESLAU, et ont même dépassé la frontière assignée en prenant STETTIN .

    Si vous me demandez si les Allemands actuels ont connaissance des effroyables souffrances endurées par ces populations, je vous répondrai : ils sont informés, mais plutôt moins que plus. L’Allemagne est morte en 1945, les vainqueurs se sont appliqués à les  « rééduquer » ( = umerziehen) les Allemands, par un matraquage mental, un véritable lavage de cerveaux, ne se reconnaissant eux mêmes aucune sorte de responsabilité, avec un formidable résultat pour les nouvelles générations, qui plient l’échine, comme les Français sous l’accusation de colonialisme, d’esclavagisme, de racisme, ce par quoi les imbéciles les tiennent au bout de leur fusil, et les manipulent. Un enseignant qui se serait avisé de parler dans ses cours, des provinces de l’Est, risquait à partir de 1945 de perdre son emploi. Cela ne vous rappelle t-il pas ce qui s’est passé en Bretagne ? Un de mes amis commerçant, en Savoie, près de Genève, recevant la visite d’un client quinquagénaire de Genève (où vivent entre 5 à 10 000 Allemands, pour le moins), lui demanda, entendant son accent, s’il était allemand. Sur sa réponse affirmative, pour lui exprimer sa sympathie, il lui dit : « l’Allemagne a tant souffert! » ! L’autre , comme le chien de Pavlov, ce chien conditionné et rééduqué Laurent Obertone a merveilleusement expliqué comment nos »maitres » s’y connaissent pour  »domestiquer » les foules, et en font des esclaves lui répondit : « Sûrement ! Nous l’avons bien mérité ! ».

Représentez vous la tête de ce teuton très historiquement correct, rééduqué jusqu’aux moelles !

Claude GUY qui fut pendant trois années le secrétaire et confident du Sire de Colombey, lui posa un jour la question  » Pensez-vous, mon général, qu’Hitler voulait réellement la guerre? ». De Gaulle répondit :  » Non; il ne la croyait pas inévitable » (page 50).  Ailleurs :  » Sachez, Claude Guy, qu’on n’écrit pas l’histoire avec des vérités ».  Sur ce chapitre il en connaissait plus que beaucoup d’autres. N’est-ce pas ? « Je vous ai compris ! ». N’est-ce pas cet homme qui a prononcé cette phrase célèbre, qui a tant été commentée ? Et tant d’autres, qui ont trompé tant de gens ?

Fidèlement votre.

REPONSE (abrégée) du docteur Mélennec.

Vous ne me convaincrez pas que Hitler était de la race des Saints : c’était un malade mental monstrueux. En psychiatrie : un paranoïaque dangereux. Il y en a eu beaucoup d’autres dans l’histoire. Staline et Mao-tsé-Dong étaient ses cousins germains, ses frères de lait en pathologie mentale.

Il est exact qu’au moment où Hitler mit l’Europe à feu et à sang, la France, l’Angleterre, la Russie colonisaient à eux trois les trois quarts de la planète, ce qu’il faut rappeler sans cesse pour bien mettre les points sur les « i ». Si mes souvenirs sont exacts (je cite de mémoire) : 10 millions de klm 2 pour la France ; 20 millions de klm 2 pour la Grande Bretagne ; 22 millions de klm 2 pour l ‘URSS : soit environ 70 fois la surface de la France, 140 fois la surface de la Grande Bretagne !

Les horreurs commises par les armées d’occupation en l’Allemagne, après 1945, commencent à être connues, par Internet. Il n’y a pas si longtemps, que, incrédule, j’ai eu connaissance des viols perpétrés par les armées françaises en Allemagne et en Italie. Et des viols commis en Normandie par les américains. Il y a maintenant des films, accessibles sur la toile, qui détaillent toutes ces horreurs. Il est criminel de se taire. Ce fut affreux. Madame Merckel est gravement coupable de se taire, elle est redevable de la mémoire du peuple allemand.

L’histoire de la Bretagne, quant à elle, n’est plus contestée par personne, même par les imbéciles.

Le peuple allemand a été manipulé par un fou particulièrement violent. Il a surtout été victime de ce que cet enragé lui a fait faire. Je n’ai aucune haine à l’égard de ce peuple, auquel on n’avait pas le droit d’imposer de telles souffrances après sa destruction en 1945. Ni ensuite de l’exploiter de cette manière. Il faut que toute la vérité soit dite.

Nous, Bretons, avons inscrit dans nos mémoires que notre dernière duchesse régnante, Anne de Bretagne, épousa en 1491 Maximilien d’Autriche, qui devint quelques années plus tard Empereur du saint Empire Romain germanique, et que, jusqu’à sa mort, en 1514, refusant avec obstination que ses filles Claude et sa soeur Renée, épousent des princes français, mit tout en oeuvre pour qu’elles deviennent les femmes des fils de l’Empereur  Maximilien, Charles de Habsboug – le futur Charles Quint, ni plus ni moins ! -, et de son frère l’archiduc,  pour faire échec à la mainmise de la France sur la Bretagne. Nos princesses bretonnes étaient destinées à devenir Impératrices, ce qui nous eût sans doute sauvés.

Anne décédée, Claude fut contrainte d’épouser François d’Angoulême – le futur François Ier -, sa soeur fut d’autorité mariée à un principicule italien, Hercule d’Este, et expédiée comme un paquet d linge sale dans la péninsule. De là notre malheur : Le Duché Souverain de Bretagne fut annexé par la France en 1532.

 

LOUIS MELENNEC, historien de la Bretagne.

Laisser un commentaire