MELENNEC WIKIPEDIA : Biographie de Louis MELENNEC, non salopée par Wikipédia.

LOUIS MELENNEC, biographie non SALOPEE par Wikipédia, l’encyclopédie des erreurs.

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Une citation magnifique, de Robert McHenry, ancien rédacteur en chef de de l’Encyclopédia Britannica, qui vous explique TOUT en quelques lignes : Wikipédia est à la propreté ce que les toilettes publiques sont à la toilette :

« L’utilisateur qui se sert de Wikipedia pour se renseigner sur un sujet quelconque, pour confirmer un point de vue, est dans la même situation qu’un utilisateur des toilettes publiques. Celles-ci peuvent être très sales. Il doit se montrer très prudent, car elles peuvent lui sembler propres; il peut être rassuré par cette apparence de propreté. Ce qu’il ne connait certainement pas, c’est  l’identité de la personne qui a employé ces toilettes avant lui. » 

Qu’en termes galants, ces choses là sont dites !

 

LOUIS 40

Nous avons l’habitude d’être plus direct. Soyons-le :

Comment fonctionne wikipédia ? Des « experts-branleurs », des ignares, des falsificateurs, des incultes d’une ignorance crasse, ont l’incroyable prétention de censurer, sans aucune connaissance d’aucune sorte, sous le masque héroïque de l’anonymat, des articles truffés de fautes et d’erreurs grossières, écrits par d’autres – attendu qu’ils ne savent rien écrire eux-mêmes. Le tout dans un climat d’auto-suffisance infantile, et de congratulations réciproques, dans des textes d’une rare ineptie, qualifiés par eux de « discussions ». Certains se prétendent « Bretons », mais ne savent RIEN de la Bretagne et de son histoire : ce sont ces « sçavants » d’un genre spécial, qui trafiquent l’histoire de ce pays, sans avoir jamais consulté une archive, à supposer même qu’ils sachent que l’histoire s’écrit à partir des archives, et que cela exige temps, patience, (très) longue formation, connaissances savantes dans beaucoup d’autres sciences et disciplines, en particulier le droit, de l’antiquité à nos jours.

 

Dès sa publication, en 2007, la biographie de Louis Mélennec fit l’objet d’attaques vulgaires sur la toile, suant la malpropreté mentale, inspirées manifestement par ses articles historiques sur l’histoire de la Bretagne, publiés à la suite de très longues recherches (Lire par Google : réponse aux corbeaux, et : mélennec 1532).

Il y avait là matière à intervenir, durement encore, afin d’interdire aux larves qui utilisent ce genre de procédés tout accès à Wikipédia. Bien sûr, Wikipédia a laissé faire, n’a jamais présenté d’excuses, ni opéré la moindre correction. Les imbéciles ne savent pas s’excuser. Les personnes intelligentes, lorsqu’elles commettent des erreurs, dévorées de scrupules, se précipitent pour s’excuser : c’est une justice qu’il faut impérativement rendre à ceux et à celles à qui on a nui en écrivant sur leur compte des faits inexacts, qui peuvent leur avoir fait du tort, pire : les avoir blessés. Je n’ai jamais manqué à cette règle, apprise dans ma famille, il y a longtemps, en Bretagne bretonnante.

La Bretagne, spécialiste des injures dans les blogs et dans les sites, doit absolument s’interdire des procédés, qui la rabaissent au niveau du sol, et lui causent un préjudice immense. La France a fait assez de mal à la Bretagne pendant cinq siècles, pour que des Bretons s’avilissent à utiliser des procédés pires, se roulant eux-mêmes dans la boue, ce qui est le destin naturel, mais qui couvrent aussi de fange leur pays).

(Très important, pour tous les citoyens du Monde sur « l’oeuvre « civilisatrice » de la France en Bretagne, maintenant démasquée, lire par Google au moins ces trois textes : les armées de la liberté … les injures anti-bretonnes, l’assassinat de la langue bretonne, textes rédigés par Louis Mélennec).

En mai 2015, le petit soviet de Wikipédia, composé de deux ou trois personnes incompétentes et ignares, décide de supprimer la biographie de Louis Mélennec, au motif qu’elle n’est pas référencée (!!!). Des références nombreuses avaient bien été intégrées, en leur temps, à la suite de la biographie, en même temps qu’un important appareil de notes sur les ouvrages de l’auteur,  articles et émissions le concernant. Mais elles furent progressivement « subtilisées » par des falsificateurs, et remplacées par des textes fantaisistes. Les censeurs, affectés à ces tâches de surveillance, n’ont rien vu. Bien pire : au moment où ces glorieux « sçavants »  annoncent la suppression de la biographie du bon docteur, pour cause de non référencement de cette biographie, des jeunes Bretons férus d’informatique retrouvent ces référence supprimées, et LES RETABLISSENT à la suite du texte. L’auteur de ces lignes, stupéfait par la bassesse des « experts » de wikipédia, en fait autant, et photographie les écrans, pour conserver les preuves. Le lendemain, les références ONT à nouveau DISPARU de wikipédia : les « censeurs » « Bretons » qui se livrent à ces exercices sont davantage que des imbéciles : des PUTES, des PUTAINS. On ne sait à quels principes psychiatriques  ils obéissent. En tout cas, ils relèvent d’un établissement « spécialisé », et sûrement de hautes doses de neuroleptiques. Essayez vous mêmes d’écrire une phrase sur Louis Mélennec dans Wikipédia : le lendemain, elle aura disparu. Fût-ce sa date de naissance. Cette espèce imbécile falsifie, volontairement, et se place sous le couperet du droit pénal. Pire pour notre civilisation marquée par une morale exigeante : du mépris de toute la Bretagne. La sottise est patente, l’intention de nuire démontrée. La responsabilité de Wikipédia et des falsificateurs est de plein droit. Aucune excuse de la part de ces boursouflés, aucune excuse pour eux : c’est impardonnable, strictement.

Situation quasi générale, si l’on en juge les milliers de plaintes entendues sur les médias concernant la plus que nullité de très nombreux articles de Wikipédia, la plus que fantaisie qui préside à leur rédaction, et l’incroyable prétention des censeurs. Habituellement, les éditeurs s’adressent à des savants, réputés pour leur compétence pour rédiger les articles des encyclopédies. Pour ces messieurs, les choses sont déjà très difficiles. Ici, les « sçavants » sont du troisième type, inventés pour le plaisir des badauds. Et partiaux, et hargneux avec cela : dans cette encyclopédie « populaire », n’importe qui peut écrire n’importe quoi sur des sujets dont ils n’a – le plus souvent – aucune connaissance, ce qui aboutit à un salmigondis insensé.

Mais attention ! Un « comité » de « censeurs » veille aux opérations : plus nuls et plus ignares que les contributeurs eux-mêmes, ils s’auto-promeuvent correcteurs de textes dont ils ne connaissent pas le premier mot, et rédacteurs-chefs d « ‘articles » dont le bulletin paroissial de M. le Curé ne voudrait pas; ils échangent en secret, se gargarisant de leur importance, dissimulant leur ignorance sous l’héroïsme de l’anonymat, et émettent des jugements ridicules, des « décisions » non contradictoires – de ce seul fait engageant leur responsabilité -, sur des personnes dont ils ne connaissent rien ! J’ai souvent prévenu : Wikipédia est l’encyclopédie des erreurs et des sottises.

De la même manière, les contributions du bon docteur Mélennec à la rectification des frelatements de l’histoire de Bretagne (la totale indépendance de la Bretagne médiévale par rapport à la France, l’antiquité de la nation bretonne, l’hommage des Ducs de Bretagne, le faux traité de 1532, la colonisation impitoyable de la Bretagne après l’annexion de 1532, la destruction sauvage de ses institutions par la France en 1789, les injures anti-bretonnes … Lisez ces articles importants sur la toile, ils détruisent d’une manière radicale la version « française » imposée à nos jeunes Bretons dans nos écoles par l’Etat-voyou colonisateur de la Bretagne); ils ont été systématiquement « lessivés » par les même « sçavants », dans tous les articles de Wikipédia, au nom de leur totale méconnaissance de l’histoire, et de la manière dont elle est écrite par les staliniens au petit pied : tous les merdias français fonctionnent maintenant sous ce régime dégoûtant. Le nom de Mélennec a été supprimé, partout : effarant ! Le régime français est stalinien. Attention ! Pol Pot n’est plus loin !


Mais voila : la biographie du bon docteur Mélennec est réapparue quelques jours après sa suppression, dans plusieurs sites, notamment en anglais. D’autres traductions sont en cours.

Bravo-t-encore à Wikipédia, l’encyclopédie des encyclopédies !

Messieurs de Wikipédia sont priés de s’abstenir de rédiger une troisième biographie de Louis Mélennec, même réduite à quatre lignes : cela excèderait leurs compétences. Ils sont autorisés à lire celle qui suit : elle est exacte, puisqu’elle est de la plume du bon docteur : on n’y trouvera donc que des choses vérifiées. En revanche, contrairement à la littérature publiée par Wikipédia, on n’y trouvera ni fautes d’orthographe, ni fautes de syntaxe, ni fautes de style, ni fautes de ponctuation, ni hypocrisie d’aucune sorte. En même temps qu’ils liront pour la première fois la biographie exacte du bon docteur – puisqu’ils ont été incapables d’en rédiger une -, il y trouveront maints renvois aux livres, articles, émissions … qui leur donneront la chance, qui leur a été enlevée par l’Etat-voyou dont ils sont les complices, de s’informer de sujets dont ils ne soupçonnaient pas l’existence. En particulier sur les falsifications de l’histoire de Bretagne.

Est-il besoin de dire que ce sont des Bretons qui se livrent à ces exercices lamentables sur Wikipédia ?  « Plus ils sont bêtes – nous écrit une correspondante Bretonne qui s’est battue pendant des années pour son pays – plus ils sont méchants. »

Notre pays compte maintenant des centaines de milliers de jeunes qui refusent de collaborer avec l’envahisseur : ils sont l’honneur de la Bretagne. Plusieurs, connaissant enfin leur histoire nationale, remplis de dégoût devant tant d’horreurs, ont entamé des procédures pour que leur soit reconnue leur vraie nationalité : ils ne sont pas Français, ils sont Bretons. A suivre.

Que reste-til des experts-branleurs de Wikipédia ? Rien d’autre que le ridicule. Allez dans Google, ou tout autre moteur de recherche, et tapez : Wikipédia, fautes, erreurs, etc. Une exécution capitale, par des dizaines de milliers d’internautes. Un délice, qui ramène ces messieurs à leur niveau : celui du zéro absolu. Un sacré coup pour leur narcissisme stupide.

Vous avez voulu jouer aux malins ? Mais cette sorte de jeu vous sera à jamais inaccessible. Vous voila rhabillés pour plusieurs hivers consécutifs : HAPPY BIRTHDAY TO YOU !

LE BON DOCTEUR.

Par Google : « Bretons, on n’est pas Français ».

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20/05/2015 23:22 ______________

Louis Mélennec est né au Guilvinec, le 18 mars 1941. Mélennec est son patronyme, Louis de Beyre son nom de musicien chanteur concertiste.

En France, il n’est plus nécessaire de tuer ou d’emprisonner ceux qui ne partagent pas le discours unique et inique dispensé chaque jour par les médias « subventionnés » – c’est à dire achetés. Il suffit de leur interdire l’accès à ces médias, en les inscrivant sur une liste noire (Zemmour, Dieudonné, des centaines d’autres …) Et de réserver tous les postes importants – à quelques exceptions près pour donner le change, aux esclaves du système, aux servants, aux desservants, aux enfants de choeur, aux débiles de toutes sortes. Le système s’est considérablement dégradé depuis l’élection de François Mitterrand à la présidence de la république des droits de l’homme. Si l’on est bien docile et bien obéissant, et si l’on a bien courtisé les deux ou trois partis au pouvoir, si on appartient à une franc maçonnerie bien en cour, on devient député ou sénateur. Les plus incompétents et les moins exigeants sur le chapitre de la morale accèdent aux postes élevés, pour le malheur du pays : ils deviennent président de la république, premier ministre, membres du gouvernement.

Louis Mélennec n’appartient à aucune de ces catégories.

Il n’y a, dans la présente biographie, aucune prétention, d’aucune sorte. Personne n’était candidat à ré-écrire l’histoire de la Bretagne, ni à donner des coups à l’Etat totalitaire et colonial, qui dispose de moyens colossaux pour répliquer, et pour faire le mal : chacun le sait aujourd’hui. Le parcours qui suit résulte d’un travail acharné, et de convictions solidement enracinées quant à l’absolue nécessité de révéler la vérité, et de ne céder sous aucun prétexte : cinq siècles d’écrasement physique et mental, de lâcheté des « élus » bretons, c’est assez.

Après sa scolarité à Pont-l’Abbé, il s’inscrit en 1959 à la faculté de médecine de Nantes. Il suit en même temps les cours de la faculté de droit. En 1965, il est élu président de la corporation de médecine. Il reçoit le doctorat en médecine et la licence en droit le même jour. La faculté  de médecine lui attribue pour sa thèse, soutenue en janvier 1967, la mention très honorable, avec félicitations du jury. Le doyen honoraire  de la faculté de droit, une sommité des milieux juridiques, le professeur Pierre Bouzat, pour la première fois, est appelé à siéger dans un jury de cette thèse médicale. La presse le relate.

Un jury spécial lui attribue, pour l’ensemble de sa scolarité, le Prix Midy, délivré par l’un des importants laboratoires pharmaceutiques du temps, assorti d’une somme d’argent non négligeable. Peu soucieux de voir l’industrie pharmaceutique faire de la publicité sur son dos, Louis Mélennec refuse ce prix, ce qui crée un petit scandale local, puisque la grande bibliothèque ayant été libérée, pour accueillir les notabilités nantaises invitées à cette remise de prix, qui fait partie des moeurs de cette capitale bretonne.

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Louis Mélennec, en janvier 1967, prête le serment d’Hippocrate devant le jury : Le doyen Monnet, le doyen Albert Bouzat, le professeur Guy Nicolas (aujourd’hui membre de l’Académie de médecine jusqu’à sa mort en 2016), le professeur Dumortier, inspirateur de la thèse.

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Il poursuit ses études à Paris et à Nantes dans trois facultés simultanément : la faculté de droit de Paris-Panthéon, la faculté de médecine de Paris (rue des écoles), la faculté de médecine de Nantes. De 1967 à 1969, il obtient le certificat d’études spéciales de médecine légale, le certificat d’études spéciales de médecine de travail, le diplôme de réparation du dommage corporel, les diplômes d’études supérieures de droit privé, de droit public (sous la direction du professeur de droit international, N’Guyen Quoc Dinh), ainsi que de sciences criminelles.

Muni de ces diplômes, fait sûrement unique, quatre « patrons » de l’université l’engagent quasi-simultanément, à se présenter à quatre agrégations : la médecine légale, la médecine du travail (Professeur Jean Proteau, agrégé de médecine légale et de médecine du travail); l’agrégation de droit pénal (Doyen Bouzat et professeur Georges Levasseur), le droit civil (professeur Chevalier, de la faculté de droit de Paris) (Voir ces noms par Google).

À partir de 1968, il enseigne le droit de la sécurité sociale et du travail à la faculté de droit d’Orléans, et à la faculté de médecine de Paris la médecine légale, la médecine du travail, le droit civil, l’expertise médicale, le droit social.  En 1971, il fonde, avec le Doyen Fournier, à la faculté de médecine Lariboisière-Saint Louis (à Paris), un enseignement spécialisé, plus juridique que médical,  destiné à former les médecins experts près les tribunaux au droit de l’expertise, discipline alors embryonnaire, à laquelle il apporte sa contribution, par ses publications régulières dans la Gazette du Palais, et plusieurs revues juridiques et médicales. Ces revues cumulées touchent un large public de magistrats, d’avocats, de médecins.

Dans le même temps, à partir de 1969, il poursuit une carrière de médecin expert auprès des tribunaux, et de médecin principal de plusieurs grands groupes d’assurances. Il est hyper présent dans les débats qui agitent la profession expertale. Il exercera ses fonctions d’expert en médecine jusqu’en 2012, inclusivement.

L’enseignement, surtout l’étroitesse des milieux universitaires, qui étouffent les chercheurs inventifs et novateurs ne lui conviennent absolument pas. Il renonce définitivement à cette voie étroite dès 1975.

Il publie des ouvrages de droit et de médecine. Il est l’auteur de plusieurs théories juridiques et médico-légales, qui sont rapidement appliquées par les tribunaux et les médecins experts. En 1978, au Congrès international de Djerba, il expose une théorie du handicap, qui révolutionne les méthodes d’évaluation des infirmités, et est appliquée très rapidement par tout le monde expertal médical, et les juridictions chargées d’évaluer et d’indemniser les préjudices. Le premier, il théorise la définition et l’indemnisation du préjudice sexuel, jusqu’alors totalement négligé; ses idées passent rapidement dans la jurisprudence des tribunaux, des cours d’appel, de la Cour de cassation.

 Il est l’un des pionniers du droit médical. À ce titre, il dirige un Traité de droit médical, en huit tomes, qu’il co-rédige avec une équipe de juristes (dont le doyen Véron, le professeur Mémeteau, le président Jean Sicard : voir ces noms, et les ouvrages publiés par Google).
Le barème international d’évaluation du handicap, publié en 1983 par les éditions Masson, est entièrement fondé sur ses théories; le comité scientifique qui y participe comporte une centaine de professeurs des facultés de médecine, et de chefs de services hospitaliers, dont plusieurs membres de l’académie de médecine et de l’académie de chirurgie (voir les premières pages de cet ouvrage).
http://www.site.louis-melennec.fr/ouvrages_masson.htm

De 1978 à 1984, il est membre du Tribunal du contentieux de l’incapacité (ex CRI), puis, à partir de 1984, nommé par arrêtés successifs du ministre des affaires sociales, de de la Cour nationale de l’incapacité (ex CNT). De 1984 à 1992, il est le premier rapporteur de la CNT : il instruit, rapporte oralement, et rédige la motivation de 6000 décisions de cette juridiction nationale, en six ans (cf : les archives du ministère des affaires sociales).

Il est consulté par les ministères français ou étrangers, et d’importants groupes et syndicats (dont le CNPF), pour d’importantes réformes (en droit social, principalement).

De 1992 à 1998, il est Consultant près le Médiateur de la République, Jacques Pelletier. Il est candidat à sa succession en 1998. Bernard Stasi, qui fait partie du « système », est nommé. Stasi a publié un livre intitulé : L’immigration, une chance pour la France. En effet, une vraie chance pour la France ! Mais il aurait fallu qu’elle fût raisonnée, pensée, modulée : les pieds nickelés qui se partagent le pouvoir depuis cinquante ans n’ont pas compris cela, faisant profession de ne comprendre rien, hors de leurs magouilles électorales, destinées à les reconduire dans leurs fonctions, rien de plus. Ils ont pourtant été très largement prévenus. On ose, en 2016, enfin, penser à leur réclamer des comptes.

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Jacques Pelletier, Médiateur de la République. Un homme politique très « souple », au sens (très) traditionnel du terme, aux convictions très molles, et dont la culture n’a jamais émerveillé personne. Deux fois ministre. Ecrit mal le français.

 

Il soutient sa thèse de doctorat en droit, à Nantes, en 1996, sur le rapport remis aux pouvoirs publics l’année précédente, sur la réforme du droit du handicap. Il prône une révolution sociale : l’abolition totale de tous les régimes d’indemnisation du handicap, et leur remplacement par un régime unique, le même pour tous. Le Médiateur de la République est présent, en qualité de membre du jury (voir l’annuaire de la médiature et le compte rendu du jury de thèse). Le président, le professeur Jean-Philippe Hesse, de l’université de Nantes, cède avec élégance la présidence au professeur André Tunc, célébrité mondiale du droit de la responsabilité, réformateur connu de la responsabilité civile, venu de Paris, dont un auteur (maître Jean-Gaston Moore, directeur de la Gazette du Palais), a dit qu’il mettait en péril les fondements de notre société, par la hardiesse de ses idées.

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André Tunc, visionnaire passionné du droit, réformateur de la responsabilité civile.

 

Sont présents aussi, madame le Recteur Yvonne Lambert-Faivre, de la faculté de Lyon, le doyen Olszack, de Strasbourg, Jean-Pierre Laborde, vice-président de l’université de Bordeaux, le professeur Jean-Philippe Hesse, professeur à la faculté de droit de Nantes. Le professeur Tunc, rédige la préface de la thèse, publiée par Desclée de Brouwer en 1997 (voir ci-dessous). L’ouvrage est abondamment commenté, mais la révolution proposée met en cause trop d’intérêts pour être adoptée dans l’immédiat.

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En 1995 et en 1996, il collabore d’une manière suivie avec les cabinets du premier ministre Alain Juppé et de Jacques Barrot (ministre des affaires sociales), afin que soient remplacés les innombrables régimes d’indemnisation du handicap qui ont cours en France, par un seul, égalitaire, le même pour tous. Son interlocuteur au cabinet d’Alain Juppé est Frédéric Salat-Baroux, futur secrétaire général de Jacques Chirac, et gendre de celui-ci depuis 2011, qui appuie fortement ce projet. Le rapport est remis à la Cour des comptes, à la Cour de cassation, au Conseil d’Etat, au Conseil économique et social, à la Présidence de la République. Un certain nombre des thèses de Louis Mélennec passent peu à peu dans les textes. Il affirme que tous les régimes français d’indemnisation du handicap sont, en France, non seulement anti-constitutionnels, mais contraires aux principes généraux du droit, qui interdisent les traitements discriminatoires, et qui imposent, tous étant égaux devant la loi, que deux handicaps identiques doivent juridiquement être « traités » (c’est-à-dire indemnisés) d’une manière égale et identique. Ce qui implique, compte tenu de la réforme constitutionnelle de 2010, que tout handicapé français est désormais autorisé, à l’occasion d’une instance judiciaire, à soulever l’inconstitutionnalité du régime qu’on lui applique, celui-ci étant nécessairement discriminatoire.

Lié d’amitié avec Claude Reichman (voir ce nom), qui le reçoit fréquemment dans ses émissions radiophoniques, il participe à la rédaction du référendum pour la France, en 2002, dont l’objectif est de dénoncer les dérives des « pseudos techniciens ou technocrates » ou encore les « idéologues aux idées étroites copiées dans un catéchisme d’un autre âge, [qui] ont inversé les valeurs, et [qui] prétendent vous asservir à leurs fantasmes et à leur fantasmagories ». Derrière ce texte, écrit-il, « se profilent les questions qui se posent à toute démocratie, en premier lieu à la Bretagne, lorsque ses droits lui auront été restitués ». Un leit-motiv : rendre la parole à la population par le référendum, faire bien sentir aux « politiques » qu’ils sont les serviteurs de la population, rien d’autre. Il accepte d’être le président du mouvement CIVIL (Civisme, initiative, volonté, indépendance, liberté), regroupement de diverses associations qui soutiennent la candidature de Claude Reichman à l’élection présidentielle de 2002. Il soutient également, lors de sa création, la Révolution bleue, initiée par Reichman, mais n’y adhère pas.

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Claude Reichman, un homme aux convictions très fortes, une vraie stature d’homme d’Etat, un homme qui ne ment ni ne triche.

Difficile d’être plus lucide et plus foncièrement démocrate que Claude Reichman – et plus courtois, en dépit de sa forte personnalité. Hostile à toutes les magouilles, à l’admission de débiles mentaux et d’incompétents dans les hautes fonctions de l’Etat, férocement hostile à la manipulation de l’appareil judiciaire, aux mensonges de l’Etat sur tous les problèmes qui détruisent la société française (l’insécurité, le clientélisme scandaleux, l’occultation des crimes et délits commis par la classe politique, la dissimulation des statistiques de la délinquance, la falsification des comptes de l’Etat, l’immigration galopante non contrôlée. Il est partisan du dégraissage drastique de l’Etat et de l’administration, et de cantonner l’Etat à ses strictes fonctions régaliennes, en particulier la justice, la défense, l’enseignement, pour la seule part qu’il doit assumer. Bien entendu, hostile aux monopoles, qui asservissent les plus faibles aux plus forts, il est favorable à la mise en concurrence – non à la suppression – de la sécurité sociale, de l’enseignement, etc. Ces idées sont celles des Français dans leur ensemble. Mais l’Etat français est entre les mains des maffias politiques. C’est dire qu’il est combattu par des officines, et que la parole lui est strictement interdite dans les médias officiels. Ces thèmes politiques sont ceux, très précisément, de Louis Mélennec, qu’il invite souvent, dans ses émissions, et à qui il demande de présider son comité de soutien en 2002. On lira sans surprise la notice qui lui est consacrée par l’officine Wikipédia, décrit Reichman – quasiment – comme un monstre « d’extrême droite » (!), comme fut  qualifié Louis Mélennec dès ses premières apparitions dans Internet. Des personnalités aussi remarquables et aussi dévouées au bien public que Claude Reichman ne peuvent que susciter la jalousie et la vomissure de la part des magouilleurs, la France étant gouvernée par des médiocres, car telle est sa vocation depuis longtemps. Presque toutes ces idées, défendues avec une extrême fermeté tant par Louis Mélennec que par Claude Reichman, sont aujourd’hui dans le débat public, mais non dans les réformes. La France est dans un état de déliquescence très avancée. Elle ne mérite pas des Claude Reichman : elle est prédestinée à être gouvernée par des pieds nickelés minables. Aujourd’hui, ces minables sont nus : tous savent qui ils sont.

Louis Mélennec a été membre de l’UDF depuis 1994. Il est actuellement membre du Modem. Il a été expert près la Cour d’appel de Paris de 1990 à 2011 inclusivement (voir les listes annuellement publiées par la Cour d’appel de Paris). Il est expert honoraire près la Cour d’appel de Paris.

 

CARRIERE MUSICALE.

Louis Mélennec a également effectué une carrière musicale en qualité de soliste chanteur (sous le nom de Louis de Beyre). Il est titulaire de prix d’opéra, d’opérette et de mélodie française. Parmi ses maîtres : Yvonne Desportes, premier grand prix de Rome, qui l’a initié au solfège et à l’harmonie. Il a également suivi les cours d’Henri Legay dans sa classe au conservatoire. Il a complété sa formation vocale avec Ugo Ugaro, de la Scala de Milan, et Georgette Rispal, de l’opéra de Paris (voir ces noms par Google). Soucieux de perfection, il s’est rendu à Milan pour rencontrer et profiter des conseils de Gina Cigna – sacrée la « Turandot du siècle », et de Mario del Monaco à Trévise.

Yvonne Desportes

Yvonne Desportes, premier grand prix de Rome 1932. A la demande de Louis Mélennec, elle réécrit les harmonisations d’une vingtaine de cantiques bretons, et compose de nombreuses pièces en l’honneur de la Bretagne, dont plusieurs pour bombarde, pour Christophe Caron (par Google : Christpohe Caron, bombarde), et Jean-Michel Alhaits (Google), une Missa britanica, une rhapsodie sur des cantiques bretons, une sonate pour bombarde bretonne et orchestre à cordes … Elle est encore pressentie pour être l’un des compositeurs possible pour l’écriture de l’opéra Anne de Bretagne. Ce projet va être transformé en fiasco. Par des Bretons, spécialistes de l’auto-destruction, une fois de plus. (Voir : Mélennec opéra Anne de Bretagne). Chaque fois qu’en Bretagne …. ETC.

Il a concerté dans de nombreux lieux prestigieux (Cathédrale de Saint Denis, Sainte Chapelle, Saint Roch, La Sorbonne, festival de Chartres ..), et a donné de nombreux récitals à l’étranger.

En Bretagne, il a donné des récitals de chants religieux et traditionnels bretons, en particulier dans le cadre des festivals de Tréguier, de Camaret, de Locronan. En 2005, il a enregistré un disque de chants religieux et traditionnels bretons, édité par Divina Musica. Plusieurs extraits de ce disque  sont diffusés sur youtube (mélennec youtube). Son parcours de chanteur concertiste est décrit ailleurs (Voir : Louis de Beyre, et mélennec de Beyre youtube).

 

Festival de Tréguier 1988

Festival de Tréguier, 1988. Au piano: Catherine Joly, pianiste internationale, alors très en faveur auprès du public.

 

LOUIS MELENNEC HISTORIEN.

Comme toute l’élite bretonne cultivée, Louis Mélennec est passionné par l’histoire nationale de son pays natal. Celle -ci a été totalement scotomisée par la France, qui a osé la remplacer par la sienne. Il rappelle, dans un article qui fait sensation auprès de ceux qui y ont accès, dans quelles conditions il entreprend de publier ses recherches historiques, jusqu’alors restées à l’état de manuscrits, comme le seront pendant très longtemps celles de Marcel Planiol. Lire : « De la trouille bretonne et de l’autocensure », publié sur la toile. Les invasions françaises, l’annexion de la Bretagne, sa colonisation, l’anéantissement des institutions du Duché souverain, son exploitation par le pays colonial, le désastre de 1789 .. sont des sujets couverts par un tabou quasi absolu. La France a interdit l’enseignement de l’histoire nationale de la Bretagne, et l’a remplacée par la sienne. Un véritable lavage des cerveaux est entrepris par le pays colonial, à partir de 1789, avec les ministères chargés de l’éducation nationale, très étroitement contrôlée et maîtrisée, au travers des programmes, des carrières, des ambitions. Selon la version officielle, la Bretagne a sollicité librement sa réunion à la France; elle a adhéré à la révolution française. Elle a, quasiment, accédé à la civilisation grâce à la France : à croire que l’ennemi héréditaire a cueilli la Bretagne dans le ruisseau, pire : dans la fange.

Il entreprend la démolition de cet édifice absurde. Mais il faut aller lentement, et avec la plus grande prudence. Le tabou est solidement bouclé, la marâtre veille, et tout le monde a peur en Bretagne.

En 1997, alors qu’il est candidat à la succession du médiateur de la république française, il organise une conférence au sénat (de la république auto-proclamée  « inventrice des droits de l’homme »), sous le titre de  » Anne de Bretagne, un destin exceptionnel « . Un public de 300 personnes assiste à la conférence, suivie d’un débat. Aucun parlementaire breton n’a déféré à l’invitation. La chanteuse et comédienne bretonne Jacqueline Danno est à ses côtés (voir ce nom dans Google), et lit des poèmes du Barzaz Breizh ainsi que des insultes proférées par les français contre les Bretons (Google : mélennec, insultes anti- bretonnes). La censure française et bretonne fait obstacle absolu à la diffusion de cette conférence historique, à laquelle a été conviée la presse, cependant.

En janvier 2000, invité aux voeux de nouvelle année de Marie-Lou Lebranchu, au ministère des petites et moyennes entreprises, il admoneste publiquement, devant plusieurs centaines de personnes, la ministre, elle et son gouvernement, pour l’action destructrice de la langue bretonne, en voie de disparition, et dénonce la partition – strictement illégale selon le droit international – du territoire national breton, qu’il qualifie de mur de la honte. Lebranchu tourne les talons, et ne répond pas. La censure française et bretonne fait silence sur cette intervention, malgré la présence des journalistes. (Un seul article, du docteur Le Mée).

En 2001, il soutient un diplôme d’études approfondies d’histoire (DEA) à la Sorbonne (Paris IV) sur le rattachement de la Bretagne à la France. Le jury lui attribue la mention Bien. Depuis des années, il intervient, à Paris principalement, pour exposer le résultat de ses recherches sur l’histoire de la Bretagne, qu’il diffuse également sur son deuxième blog. Il ne donne que rarement des conférences en Bretagne. Il démontre que les Bretons, peuple spécifique longuement décrit par Jules César dans La guerre des Gaules, constituent une Nation très ancienne, l’une des plus anciennes des nations Européennes actuelles.

Il démontre aussi que le traité d’Union de 1532 entre la France et la Bretagne, est sans fondement juridique (c’est-à-dire nul et de nul effet) et, dès lors, que la Bretagne, n’est pas unie à la France, mais est toujours régie par le traité conclu par Anne de Bretagne et Louis XII, en janvier 1499 : la France n’est qu’une puissance occupante d’une Bretagne qui n’a, en droit international, jamais cessé d’être souveraine. Il développe cette démonstration dans de nombreux articles, et dans son ouvrage intitulé Le Livre Bleu de la Bretagne, publié en 2009 et en 2014, très largement diffusé sur la toile (par Google : Livre bleu de la Bretagne). Il est fortement recommandé aux « surexperts » de Wikipédia de s’initier à l’histoire, par ce petit ouvrage.

En 2006, il donne à Vannes une conférence sur la nullité du prétendu traité de réunion de la Bretagne à la France, qui bouleverse, aux termes de longues années de recherches historiques et juridiques très poussées sur la genèse de traités (c’est à dire des contrats entre nations, pays, peuples …), un fait fondamental, jamais analysé jusqu’alors : « le pseudo-traité de 1532 est un montage, un truquage, initié et conduit par la France seule; les Bretons ont cédé à la force,  » le canon dans le dos.  » Dixit. (Voir dans Google : mélennec 1532).

Pour diffuser ses idées, étant sur une liste noire en France, il a souvent utilisé, à cette époque, l’association Histoire et identité, créée par Philippe Argouarc’h, fondateur de l’Agence Bretagne Presse, qui publie des communiqués sur l’histoire et l’identité de la Bretagne, notamment par le canal du site d’information Agence Bretagne Presse, lequel ouvre ses colonnes à divers mouvements, notamment nationalistes bretons. Il a parfois exprimé ses idées dans des forums, ou dans les sites des partis bretons.

Il n’adhère à aucun des partis bretons, auxquels il reproche leur manque de maturité politique, les accusant de ne penser qu’à se combattre mutuellement, au lieu de construire ensemble un programme commun pour l’avenir de la Bretagne. Son jugement sur les femmes et hommes politiques bretons est féroce; il les décrit comme des gens médiocres, affirmant « [que] la France, maîtresse de toutes les carrières, ne recrute et ne donne l’onction pour les élections qu’à des vassaux, et écarte systématiquement les sujets brillants, qui renverseraient la machine ». Opinion hardie pour l’époque, admise par tous aujourd’hui. Les Français ont cru, selon la doxa propagandiste, que la démocratie se confond avec les élections des députés et des sénateurs. On sait aujourd’hui que le pouvoir est un marché captif, entre les mains de deux ou trois gangs maffieux, qui donnent leur accréditation qu’à ceux qui leur sont soumis.

Ses travaux sont critiqués par certains, tant dans la démarche que dans les conclusions. En Bretagne, encore, pas en France bien entendu. De son côté, Louis Mélennec dénonce l’étroitesse d’esprit de nombre d’universitaires bretons, et leur manque d’audace, les qualifiant « d’historiens en herbe », dont « la substance grise […] est gaspillée, neutralisée à des sottises », des « thèses inutiles », sans jamais cesser, pour autant, de citer dans ses publications les chercheurs valables qu’il désigne par leurs noms, alors qu’il est systématiquement éliminé des leurs. L’université bretonne, largement héritière de ceux qui ont assassiné cent millions d’innocents dans le monde, est négationniste de l’histoire bretonne, et scotomise totalement ses recherches.

Il décrit sa démarche et ses ambitions le 20 avril 2007 dans une lettre publiée sur le site du Parti breton : « […] les documents périphériques, lus à la lumière de l’histoire des pays qui, comme le nôtre, ont été envahis, conquis, annexés, puis bâillonnés, permettent maintenant de savoir ce qui s’est réellement passé, et pourquoi la majorité des Bretons ont dû se taire après l’annexion de notre Patrie. »

 

A partir de 2007, il intervient sur le site Lumière 101, par l’intermédiaire de podcasts. Il y dénonce à la fois « les élites universitaires », l’état centralisateur, les théoriciens du complot contre la France, la repentance de l’occident envers le tiers-monde (l’esclavage, la traite des êtres humains, le racisme sont des phénomènes universels, encore actuels, et ne sont en aucun cas une exclusivité de l’occident) (par Google : mélennec, racisme, esclavage, colonialisme; mélennec Taubira; mélennec Lebranchu ….), et prône avec fermeté, d’une manière répétitive, le retour pur et simple de la Bretagne sur la scène internationale, en qualité de puissance souveraine, avec tous les droits et les devoirs que cela implique. Il n’est pas partisan de thèses régionalistes, la Bretagne, selon lui, ne faisant pas partie juridiquement de la France puisque, pour lui, il n’y a jamais eu de traité d’union de la Bretagne à la France en 1532, et que l’annexion de la Bretagne a détruit ce pays, en même que sa langue. Plusieurs émissions méritent de retenir l’attention, en particulier Le bêtisier des langues, L’assassinat de la langue bretonne.

En 2008, le 11 avril, il fait une conférence à Nantes intitulée  » La Nation Bretonne, qu’est-ce qu’une nation ? Réfutant l’ignorance des historiens marxistes de l’université de Bretagne, qui nient l’existence de la nation bretonne,  il démontre que les groupes humains dénommés aujourd’hui « peuples », « nations », sont inhérents à l’espèce humaine, et ont pratiquement existé de tous les temps, avec des phases particulièrement fastes (Assyrie, Mésopotamie, Grèce antique ..). Et que les Bretons, en tant que peuple, sont décrits d’une manière précise avant notre ère, notamment par Jules César, dans son célèbre ouvrage La guerre des Gaules. Extrait : « …Reconnaître à un peuple ou à un groupe humain le statut de Nation peut comporter des conséquences immenses, par exemple le droit pour ce peuple de se gouverner lui- même… »

À partir de l’année 2008, il entreprend la rédaction d’articles consacrés à la défense des droits de l’homme – son sujet préféré -, qu’il diffuse sur son blog ou via l’Agence Bretagne Presse. Il affirme que la révolution de 1789 marque le « début du décervelage de la Bretagne ». Il parle d’une « imposture française » aux termes de laquelle la France non seulement n’a rien apporté aux droits de l’homme, mais, scotomisant les crimes de la révolution, a monté une machinerie (une « religion d’État », selon une expression qu’il affectionne), tendant à faire accroire qu’elle les a inventés. C’est l’un de ses thèmes de prédilection. Il considère que la Bretagne est le Tibet de la France. Il n’hésite pas à qualifier la France d’« État-voyou », appellation utilisée maintenant par bien d’autres auteurs (Montaldo, Thierry Desjardins, Lebrun ..), et l’acculturation du peuple breton, à partir de 1789, surtout de Jules Ferry, le chantre des « races supérieures », comme une monstrueuse entreprise « d’extirpation volontaire et programmée de l’histoire et de la civilisation bretonnes » , afin de greffer dans les cerveaux, l’histoire des Français, et la religion nationale de la France, fabriquée, revue et corrigée sur le socle de ce qu’il dénomme d’une manière répétitive la « prétendue révolution des droits de l’Homme » (blog « Actualités et politique », 22 janvier 2011, 6 novembre 2011…). Cette falsification de l’histoire, par une démarche pensée, voulue par le pouvoir central français pour détruire et acculturer les nations périphériques (la Bretagne, l’Alsace, la Corse, la Pays Basque, la Savoie …), développée également par d’éminents chercheurs, est maintenant familière, même au grand public, qui connait maintenant cette monstrueuse imposture du prétendu pays des droits de l’homme.

Son combat en faveur du respect de la personne humaine et des droits de l’homme, et des graves anomalies dans le gouvernement de la France, dont il parle librement depuis toujours,  lui fait fermer toutes les portes des médias « subventionnés » – sans aucune exception -, mais lui ouvre les portes d’internet, très largement, à partir de 2006.

À Bruxelles, lors du Congrès de la FUEN, en octobre 2009, il expose le résumé de ses idées, dans un fascicule de 48 pages distribué aux Congressistes, proposant ouvertement que la Bretagne reprenne désormais sa place dans le concert des Nations européennes et mondiales. La délégation est conduite par PIERRE Lemoine, ancien président de l’UFCE, ainsi que par Marcel Texier, ex- président des Bretons de l’extérieur. (L’UFCE a été fondée par le Breton, Joseph Martray). Cet ouvrage a été réédité en 2014, et est téléchargeable sur la toile. 200 000 téléchargements ont été réalisés. L’ouvrage a été lu à l’Elysée et à Matignon. Il fait l’objet de nombreux commentaires sur la toile, mais, record absolu, n’a été commenté par aucun média français. Pour accéder à la version PDF gratuite : Google ces cinq mots : Livre bleu de la Bretagne.

L’impartialité de la justice française, et l’égalité des citoyens devant la loi, restent, depuis plusieurs dizaines d’années, parmi ses préoccupations majeures. Il préside au Sénat, en 2003, un colloque consacré à ce thème, qu’il considère comme capital (google : mélennec sénat). Témoin de maintes affaires dans l’exercice de ses fonctions, pendant quarante ans, il réclame, avec force, que la responsabilité des magistrats, des fonctionnaires, des hommes politiques, soit purement et simplement la même que celle des autres citoyens, puisque, la loi étant la même pour tous, les protections diverses dont ils bénéficient sont contraires à la Constitution, au droit européen, et surtout aux valeurs universelles. Dans cette perspective, il prône la suppression des discriminations qui résultent de l’existence de tribunaux différents, de procédures différentes, de sanctions différentes, là ou l’égalité des citoyens devant la loi commande impérativement qu’ils soient jugés de la même manière, selon des règles identiques : les tribunaux administratifs, les tribunaux de commerce, la Cour de justice de la République – cette dernière étant censée juger les ministres pour les crimes et les délits commis pendant l’exercice de leurs fonctions, sont anti-constitutionnels, et doivent être supprimés. De même, il milite pour que tous les totalitarismes, de droite comme de gauche soient jugés de la même manière.

Dans l’affaire des médecins au noir (voir dans Google : mélennec, médecins au noir, nombreux articles) employés par l’Etat français, il recueille une large adhésion des députés et des sénateurs auxquels il rend visite, stupéfaits de découvrir la délinquance de l’Etat dans un domaine où celui-ci stigmatise et punit avec férocité les employeurs privés. Il intente un procès contre trois ministres en exercice, dont Martine Aubry, qui a avoué par une réponse au journal officiel, que l’Etat français emploie, en effet, des personnels au noir. (Voir dans Google : affaire Mélennec, Aubry, Guigou). Cette affaire très peu banale, aujourd’hui connue d’un large public, va être reprise par internet. L’enquête menée par Louis Mélennec, à partir de 1970, longue et très difficile, donne lieu à un rapport au médiateur de la république, remis aux pouvoirs publics et à la presse, ainsi qu’à la Cour des comptes …. et au directeur des renseignements généraux (entre autres). Ce rapport est publié in extenso dans un livre publié par les éditions Masson, en 1998, sous le titre « Le médecin salarié ». De nombreux articles paraissent dans la presse : l’Express, Minute, La Gazette du Palais, le Quotidien du médecin, le Canard enchaîné .. L’affaire est proprement étouffée. En 2015, l’Etat français est toujours le principal employeur au noir de la république inventrice des droits de l’homme, en toute impunité (interview télévisée de Christiane Taubira : celle-ci aurait demandé un « rapport » sur l’affaire, à quoi se limite son action, à ce que l’on sait).

Ses dernières publications s’attachent à démontrer par quels mécanismes l’écriture de l’histoire est influencée par les pouvoirs politiques, les liens de dépendance des historiens à l’égard de ceux dont ils détiennent leurs fonctions, le carriérisme, l’idéologie, le clientélisme.

L’œuvre politique de Louis Mélennec n’a été jusqu’à présent publiée dans aucun ouvrage de synthèse. Elle est dispersées dans de très nombreux articles, conférences, émissions radiophoniques, interventions sur Internet.

Quelques faits récents :

En mars 2014, la Une du mensuel La Baule Plus lui est consacrée, ainsi qu’un article de quatre pages (interview réalisée par Yannick Urrien). (Google : mélennec la Baule plus, mars 2014).

En juin 2014, il accorde une interview au média TV libertés. Il y commente son ouvrage, Le Livre Bleu de la Bretagne, et explique que la Bretagne doit reprendre sa place au sein des Nations Souveraines (Mélennec TV liberté youtube).

Le 15 décembre 2014, il accorde une interview à La Voix de La Russie. Citation : « La revendication bretonne, fondée sur le respect du droit des gens, les principes généraux du droit, le droit international ne peut que s’amplifier : le droit international protège les langues, les coutumes, le patrimoine des nations dites « minoritaires », et, bien entendu, leur territoire, qui ne peut être ni modifié, ni confisqué, ni amputé, de quelque manière que ce soit par le pays qui y exerce son autorité, à plus forte raison s ‘il s’agit d’un pays colonial comme la France. » La France détruit les langues nationales de l’hexagone, qualifiées par elles de langues minoritaires. (Par Google : Mélennec, L’assassinat de la langue bretonne).

Le 9 avril 2015 Louis Mélennec fait une conférence, à la Mairie du septième arrondissement de Paris 14, intitulée « Anne de Bretagne », organisée par la Société Littéraire et Artistique du 7ème arrondissement sous la présidence de Didier Béoutis. « La Duchesse Anne n’est pas celle qui a apporté la Bretagne dans l’escarcelle malhonnête de la France, mais la souveraine altière qui, jusqu’à son dernier souffle, jusqu’à son lit de mort, tentera par tous les moyens de sauver son pays des griffes de la France. » Cette conférence a été filmée dans son intégralité. Elle sera publiée sur la toile.

En juillet 2015, il publie sur son blog un article terrifiant sur les crimes contre l’humanité perpétrés en Bretagne par la France, le pays des droits de l’homme, sous le titre : Les armées de la liberté en Bretagne  : viols en série devant les enfants, les maris et les familles, éclatement des organes génitaux avec des fusils, castrations, écrasement des femmes enceintes sous des pressoirs à raisin, embrochage des enfants sur les baïonnettes des fusils, découpage de victimes vivantes en morceaux, ouverture du ventre des femmes enceintes pour en extraire les foetus et y mettre de l’avoine pour les chevaux, cuisson des cadavres pour en extraire la graisse, destinée à lubrifier les roues des charriots, dépeçage des corps humains pour traiter la peau comme du cuir, et fabriquer des culottes pour les officiers français : un musée des horreurs, pire que celles des nazis et de Daesh. Ces crimes sont imprescriptibles. Tous les médias l’ont reçu : pas un mot, dans aucun journal français. L’article circule partout.

Le titre dont il est le plus fier : il est militant des droits de l’homme, et des droits des peuples. Ce dont il a le plus honte : la lâcheté des « élus » bretons, qui se taisent sur tous ces crimes.

Ce n’est en aucun cas l’orgueil qui motive la présente biographie, rédigée par Louis Mélennec. Personne ne voulait monter au créneau, la lâcheté est partout en Bretagne et en France. Il fallait un volontaire qui accepte d’en payer le prix : c’est fait.

LIVRES ET PUBLICATIONS.

  • La sécurité sociale, Delmas, 1970.
  • Traité des accidents du travail, Paris, librairie générale de droit et de jurisprudence, 1969.Préface du doyen Pierre Bouzat.
  • La responsabilité civile du médecin, avec Jean Sicard (Yann Brekilien), Parke-Davis, 1977.
  • La réparation des accidents du travail, avec Claude Styger, Paris, Delmas éditeur, 1977.
  • Traité de droit médical, Paris, Maloine.
  • L’expertise médicale : le médecin devant la justice, avec Jean Sicard (Yann Brékilien), tome7 du Traité de droit médical, Paris, Maloine.
  • Barème international des invalidités, Paris, Éditions Masson, 1983.
  • Évaluation du handicap et du dommage corporel, Paris, Masson, 1991 ; réédition de 2000 ;traductions en langues étrangères. (http://www.priceminister.com/offer/buy/344216/Melennec-Louis-Evaluation-Du-Handicap-Et-Du-Dommage-Corporel-Livre.html).
  • L’indemnisation du handicap. Pour l’instauration d’un régime unique de l’invalidité et de la dépendance, Desclée de Brouwer, 1997. Préface du professeur André Tunc.
  • Le médecin salarié, Paris, Éditions Masson, 1998. Ce livre traite, d’une manière académique et universitaire, le problème des dizaines de milliers de salariés, employés par l’Etat français, premier employeur au noir de l’hexagone. La première partie reprend, in extenso, le rapport remis au Médiateur de la République, à la Cour des comptes, aux médias.
  • Breizh, Charte pour la Bretagne, Spézet, imprimerie Keltia Graphic, 2009 ; le texte intégral est publié dans le site  » Yann Fouéré actualités ».
  • Le rattachement de la Bretagne à la France, mémoire pour l’obtention du diplôme d’études approfondies d’histoire moderne, université de Paris-Sorbonne – Paris IV, 2001, 106 pages ; ronéotypé ; publié sur le site Internet d’Errances en Bretagne.
  • Le Livre Bleu de la Bretagne, Histoire abrégée de la Bretagne, Charte pour une Bretagne souveraine, Gourin, impri’plast, édité par l’Association Bretonne de Culture, novembre 2013
  • Émissions radiophoniques et télévisées
  • Lumière 101 (en particulier : le bêtisier des langues; l’assassinat de la langue bretonne; nation, fait national; la Bretagne assassinée….).
  • ABP TV mélennec (plusieurs vidéos sur le prétendu  » traité de 1532 « , la nation bretonne; l’histoire de le Bretagne)…
  • Radio – courtoisie : nombreuses émissions de 1997 à 2005 sur la justice, les dysfonctionnements de l’administration, les positions d’abus du pouvoir, l’insécurité et ses problèmes, le désastre de l’éducation en France, ses causes et ses remèdes; les nécessaires réformes de l’Etat français et de sa Constitution…; nombreuses émissions de musicologie, avec Didier Rochard…. (Ces émissions peuvent être commandées à la radio).

Œuvres musicales

  • CD : Chants religieux et traditionnels bretons, avec Lorenzo Cipriani, organiste (Divina Musica; distribué par Coop Breizh, la Fnac…).
  • Partitions religieuses et profanes: Ave maria; Panis angelicus; Coucher de soleil sur les Monts d’Arrée; extraits de messes; plusieurs mélodies; toutes ces œuvres ont été interprétées en concert, mais ne sont pas publiées.

Critiques, extraits de presse concernant Louis Mélennec

  • Préface du Professeur André Tunc (ouvrage publié par le docteur Mélennec chez Desclée de Brouwer en 1997; voir ci-dessus).
  • Extraits de presse : Ouvrage du docteur Mélennec chez Desclée de Brouwer.
  • La loterie du handicap – l’Express (2 novembre 1995; le rapport Mélennec, par GérardBadou).
  • Recteur Yvonne Lambert-Faivre : Mélennec, un rapport décapant.
  • Aventures de l’histoire, La Bretagne, une nation plus ancienne.
  • Lumière 101 : Claude Reichman reçoit Louis Mélennec (archives).
  • Divina musica Peltier Mélennec.
  • Louis de Beyre, quelques critiques (Yvonne Desportes, Georges Cziffra…
  • REFERENCES.  Elles seront rétablies ultérieurement, et publiées. Mais suffisamment de renvois à Google sont indiqués ci-dessus, qui éclairent plus que largement le dossier. La voyoucratie de la France est d’ailleurs divulguée aujourd’hui par de nombreux auteurs.

 

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WIKIPEDIA LOUIS MELENNEC, biographie en anglais, non salopée par Wikipédia.

Merci de diffuser. HAPPY BIRTHDAY TO WIKIPEDIA !

 

 

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Biography of Docteur Louis MÉLENNEC
Louis Mélennec was born in Guilvinec, on March 18th 1941. Mélennec is his patronymic and Louis de Beyre his name of singer as a  concert performer.
After his schooling in Pont-l’Abbé, he joined  in 1959 the Faculty of Medicine of Nantes, where he was  first of the class throughout all  his studies. He  followed at the same time the courses at the faculty of law. He succeeded in the doctorate of medicine and the law degree on the same day. The Faculty of Medicine awarded him for his thesis, supported in January 1967, the « very honourable distinction »,  with congratulations of the jury.

He studied then in Paris. From 1967 till 1969, he obtained  the specialist qualification of forensic medicine, the specialist qualification of working medicine, the diploma of repair of the physical injury, the diplomas of higher education of private law, public law (supervised by international lecturer in law, N’ Guyen Quoc Dinh), as well as of criminal sciences.

From 1968, he taught at  the faculty of law of Orléans and the Faculty of Medicine of Paris the forensic medicine, the occupational medicine, the civil law, the medical expertise, the social affairs law …

In 1971, he  managed, with the Dean Hornero, at the Faculty of Medicine Lariboisière-Saint Louis in Paris  a special education, intended to train the expert doctors near the courts in the law of the expertise, the then embryonic discipline, for which he made his contribution, by his regular publications in the « Gazette du Palais  » newspaper , and several legal and medical magazines. These accumulated magazines touched a wide public of magistrates, lawyers, doctors.

At the same time, from 1969, he pursued a career of expert doctor near the courts, and with the main doctor of several big groups of insurances.

He published works of law and medicine. He is the author of several legal and forensic theories, which are quickly applied by the courts and the expert doctors (in 1978, at the international Congress of Djerba, he explained a theory of the handicap, which revolutionized  the valuation methods of the infirmities, and was  very quickly applied by everybody medical expert, and the jurisdictions asked to estimate and to indemnify the damages.

He is one of the medical law pionneers . As such, he managed  a Treaty of medical law, in eight volumes, which he co-drafted  with a jurists team (whom  the dean Véron, the professor Mémeteau, the president Jean Sicard: see these names, and the works published by Google).

The international scale of evaluation of the handicap, published in 1983 by Masson editor , is completely based on his  theories ; the scientific committee which participates in it contains one hundred professors of Faculties of Medicine, and hospitable department heads, among whom several members of the academy of medicine and the academy of surgery (see the front pages of this work).

From 1978 till 1984, he was a member of the Court of the dispute of the incapacity (ex CRI) , then hospital departments, among which several members of the academy of medicine and the academy of surgery (see the front pages of this work).

From 1978 till 1984, he  was a member of the Court of the dispute of the incapacity (ex C.R.I ), then appointed by successive orders of Minister of Social Affairs, of the Court of the incapacity (ex CNT).

From 1984 till 1992, he was  the first reporter of the CNT.

He was  consulted by the French or foreign ministries, as well as by the CNPF, for important reforms (in labour law, mainly).

From 1992 till 1998, he was Consultant near the Ombudsman, Jacques Pelletier. He was candidate in his succession in 1998.

He supported his doctoral thesis in  law, in Nantes, in 1996, on the report handed to public authorities, the  previous year, on the reform of the law of the handicap. He advocated a social revolution: the total abolition of all the compensation systems of the handicap, and their replacement by a only regime , the same for all. The Ombudsman was  present, as member of the jury (see the directory of the » médiature » and the report of the jury of thesis).

The president, professor Jean-Philippe Hesse, of the university of Nantes, gave  up  with elegance the chair  to professor André Tunc, world celebrity of the law of the responsibility, the reformer known for the civil liability, come from Paris. Madam Vice-chancellor Yvonne Lambert-Faivre, of the faculty of Lyon was also present . Professor Tunc, drafted the foreword of the thesis, published by Desclée de Brouwer when it was  published by Desclée de Brouwer in 1997 (see below).

In 1995 and in 1996, he collaborated regularly with Prime Minister Alain Juppé and with Jacques Barrot (Minister of Social Affairs), so that were  replaced the uncountable compensation systems of the handicap which were currently  in France, by one only , egalitarian, the same for all. His interlocutor at Alain Juppé’s cabinet was Frédéric Salat-Baroux, future General Secretary of Jacques Chirac, and son-in-law of this one since 2011, which supports strongly this project. Number of his theses passed little by little in texts. He asserts that all the French regimes of compensation of the handicap are, in France, not only unconstitutional, but opposite in the general principles of the law, which forbid the discriminatory dealings , and which impose, all being equal in front of the law, that two identical handicaps must be legally dealt with  (that is indemnified) in a equal and identical way. What implies, considering the constitutional reform of 2010, that every French handicapped person is from now on authorized, on the occasion of a judicial authority, to raise the unconstitutionality of the regime which we apply him , this one being inevitably discriminatory.
(Louis Mélennec was a member of the UDF since 1994 . He is at present a member of the MODEM. He was expert near the Court of Appeal of Paris from 1990 till 2011 up to and including.)

 

1200 – Révolution bleue, 27 11 2007, Mélennec (par Google).

LES APPRECIATIONS GENIALES DES « EXPERTS » DE WIKIPEDIA.

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