ANNE de BRETAGNE, héroïne des BRETONS. Conférence du dr Mélennec à Paris, le 9 avril 2015.

La censure française des droits de l’homme ne laissera rien passer de cette information, comme elle n’a pas reproduit une seule ligne du Livre Bleu de la Bretagne  : diffusez-la, donc.

La conférence aura lieu à la Mairie du 7ème arrondissement de Paris, au 116 rue de Grenelle, métros Solférino et Varenne, sous la présidence de Didier BEOUTIS, président de la société littéraire et artistique.louis-melennec-politique

Au cours de cette conférence, une légende sinistre et honteuse, colportée en Bretagne comme en France, sera brisée en morceaux : La Duchesse Anne n’est pas celle qui a apporté la Bretagne dans l’escarcelle malhonnête de la France, mais la souveraine altière qui, jusqu’à son dernier souffle – je répète, pour que cela soit bien compris : jusqu’à son lit de mort -, tentera par tous les moyens de sauver son pays des griffes de la France. 

La conférence durera une heure (de 18 heures à 19 heures). Elle sera suivi d’un débat libre, de 19 heures à 19heures 45, au cours duquel toutes les questions pourront être posées, préférence étant données à celles qui ont été occultées par les médias, en particulier sur les massacres français en Bretagne, en 1675 (révolte des Bonnets rouges) et de 1793 – 1794 à Nantes et en Loire Atlantique, massacres jamais évoqués par les « politiques » « bretons », jamais regrettés par le pays autoproclamé des droits de l’homme.

PRESENTATION.

ANNE DE BRETAGNE, reine des Romains, deux fois reine de France, avant tout Duchesse de Bretagne, et héroïne des Bretons, est la Jeanne d’Arc de la Bretagne. Elle est connue dans le monde entier, en dépit de l’occultation complète de l’histoire de la Bretagne, comme l’un des symboles mondiaux de la lutte des peuples pour leur Liberté.

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Anne de Bretagne, reine de France ? Bien plus que cela. Née en 1477, élevée à la cour splendide de Nantes, descendante des rois et ducs de Bretagne, des rois d’Ecosse, d’Angleterre, de France, de Navarre, d’Aragon, de Castille, fiancée très jeune aux fils des grands souverains d’Europe, elle monte sur le trône de Bretagne à la mort de son père, en 1488, alors que le Duché est envahi par les armées françaises, et que les armées nationales bretonnes sont détruites à Saint-Aubin-du-Cormier. La Bretagne est alors l’une des principales puissances européennes. La jeune Duchesse, âgée de 12 ans, est couronnée à Rennes en 1489. Toute la Bretagne lui prête serment. L’Europe se range aux côtés de la Bretagne, pas un seul pays ne soutient les Français.

Mariée en 1490 à Maximilien d’Autriche, roi des Romains, futur empereur du Saint Empire, afin de mettre le Duché à l’abri de la France, elle se voit contrainte, l’année suivante, pour sauver son duché, d’épouser son ennemi mortel, le roi Charles VIII de France, fils de Louis XI, qui a envahi ses Etats pour la troisième fois. C’est le début de la mise à mort du Duché Souverain. Huit ans plus tard, en 1499, Charles VIII étant décédé quelques mois plus tôt, elle épouse son successeur Louis XII. Ce prince est son parent ; il a glorieusement servi contre dans les armées bretonnes, contre les armées françaises, lors des invasions françaises de 1488. Anne négocie avec lui un traité qui rétablit le duché souverain dans ses droits, et garantit ad vitam aeternam l’indépendance du pays, en stipulant que la Bretagne aura à jamais son propre souverain et ses propres institutions, « sans que les rois de France puissent rien y redire » (janvier 1499).

Mais la France veille. Sur son lit de mort, Anne négocie encore pour marier ses filles à des princes étrangers, ne voulant en aucun cas que la Bretagne soit réunie à la France, ce qui sera le combat intransigeant de sa vie, sa raison d’être. En janvier 1514, lorsqu’elle rend l’âme, à 37 ans, ses deux filles sont mineures. Elevées à la cour de France, comme filles du roi défunt Louis XII, inconscientes de la spoliation monstrueuse dont elles sont victimes, elles sont dépouillées de leur immense fortune par François Ier, spécialiste en malversations, qui a succédé sur le trône de France au roi Louis XII, en janvier 1515.

En 1532, à Vannes, la Bretagne est annexée contre son gré, par un acte déguisé en traité. Le roi François Ier s’est transporté sur les lieux, pour surveiller de près la monstrueuse opération; il est à proximité, au château ducal de Suscinio, avec son armée et sa cour, prêt à intervenir en cas de résistance. La Bretagne, sous ferme domination française depuis la mort de la Duchesse, 17 ans auparavant, est contrainte de plier, ce dont ce peuple hypersusceptible, à la fierté si ombrageuse, n’a pas l’habitude; elle n’a plus ni institutions, ni armée. Le canon dans le dos, force est de faire semblant d’accepter cette prétendue « réunion », en attendant des temps meilleurs.

L’histoire est écrite par le vainqueur, toujours à son avantage. Le cas de la France et de la Bretagne est un cas d’école, qui pourrait être enseigné partout. Anne de Bretagne a été vilipendée par nombre d’historiens français, en particulier Michelet, qui lui rendait au moins cette justice de reconnaître qu’elle ne pensait qu’à son pays, mieux, qu’elle était atteinte d’une monomanie, qui portait un nom : la Bretagne. On sait aujourd’hui qu’elle fut une personnalité très exceptionnelle, comme il en est peu dans l’histoire des Nations. Elle n’est pas seulement l’héroïne adulée des Bretons ; elle est entrée dans la légende ; elle est un symbole pour tous, elle appartient au patrimoine de l ‘humanité. D’une rigueur intellectuelle intransigeante, elle fut aussi, honnête à l’égard de la France et de son mari Louis XII, avec qui elle avait renégocié l’indépendance définitive de la Bretagne. Duchesse adulée, elle fut aussi une très grande reine; au point qu’elle est considérée par  Brantôme comme l’égale de Blanche de Castille, la mère de Saint Louis, dont la réputation a traversé les siècles, comme un modèle.

LE CONFERENCIER. Louis Mélennec, universitaire, auteur de nombreux ouvrages et articles, docteur en droit et en médecine, historien diplômé par la Sorbonne, ex-consultant près le médiateur de la république, a étudié l’histoire bretonne pendant quarante ans, et est considéré comme l’un des auteurs les mieux informés de cette période de conflit violent avec la France, période méconnue, occultée et largement falsifiée avant ses travaux. Il a démontré, notamment, que la prétendue « réunion » de la Bretagne à la France, en 1532, est la suite de longues malversation calculées, en aucun cas d’un traité librement consenti, comme on l’a enseigné partout jusqu’à ces dernières années et, hélas, comme l’ont cru les Bretons.

LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE. L’ANNEXION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE EN 1532.

Ceux qui s’intéressent à l’histoire de la Bretagne, et aux conflits qui ont opposé ce pays à son voisin de l’est, le royaume de France, du 6ème siècle à nos jours, peuvent s’informer du sujet par Google, en tapant les simples mots :

Livre bleu de la Bretagne.

Ce livre, très bref (98 pages) est offert en téléchargement gratuit par vingt sites. Il n’a donné lieu à aucune analyse de la presse française, ni des médias bretons « subventionnés » (comme on les désigne, par pudeur et par euphémisme), mais a été téléchargé plus de 150 000 fois, l’information se faisant désormais par Internet, non par la presse contrôlée et maîtrisée.  C’est un véritable petit traité des relations brito-françaises, rédigé par un universitaire strict, peu enclin à manipuler la vérité.

La mécanique infernale par laquelle la Bretagne a été annexée par la France est « désossée » en détail dans la conférence faite par louis Mélennec à Vannes en 2006, « perdue » par un média breton, puis retrouvée et sauvée des eaux. Taper dans Google :

Mélennec 1532

On lira aussi, avec une certaine stupeur certainement, le portrait-flash de nos éminents politiques « bretons », tous héroïques et monumentaux, de véritables géants, en utilisant le lien ci-après :

http://blog-louis-melennec.fr/2014/07/31/1997-au-cours-dune-conference-historique-au-senat-un-breton

 

Bonne lecture, bonne audition.

 

Le bon docteur MELENNEC, qui souligne qu’il ne confond en aucun cas le peuple français, et le gouvernement de la France : au premier, une grande sympathie agissante; au second, comme tout le monde : le mépris.

 

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ECHANGE AVEC LES LECTEURS : M. POIGNANT ENFIN A L’HONNEUR !!! UN DOCTORAT ET UNE AGREGATION DANS UN PAQUET-CADEAU BONUX ????

M. Bernard POIGNANT, ex-maire de Quimper, conseiller intime de l’Elysée, bientôt sacré PLUS GRAND HISTORIEN DE TOUS LES TEMPS ??? Le jury délibère.

 

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CE BON M. POIGNANT, ex-maire de Quimper, fait des siennes; et pas des moindres. Il A BIEN reçu le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE. Après Marie-Lou Lebranchu, lauréate du prix de l’infamie pour l’année 2014, des Bretons motivés, devant cet oubli injuste, sollicitent la création d’un prix spécial d’histoire pour M. Bernard POIGNANT, le plus brillant historien breton de tous les temps. (A suivre).

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Une nouvelle insensée : M. Bernard POIGNANT, ex-maire de Quimper, décide de concourir pour le titre d’historien le plus savant et le plus futé de l’hexagone !!! Lettre reçue ce jour de Bretons de pure souche, à diffuser, svp, sur les réseaux sociaux. Et que ça saute !

Ce bon M. Poignant, ami intime de François Hollande, le brillantissime président de la République française, fait des siennes ! 
Pour les historiens bretons, qui vont en tomber raides morts, cette révélation INSENSEE, renversante, due à Bernard POIGNANT, sous sa signature, dans son blog :
« La Bretagne a été rattachée à la France, par … ANNE DE BRETAGNE, par un traité signé par elle en 1532. »

Or, en 1532, Anne de Bretagne est morte et enterrée depuis …. 17 ans !!!!! Elle est décédée à Blois le 9 janvier 1514 !!!!

Serait-elle sortie de son tombeau, comme dans les films d’horreur (et d’épouvante) pour signer le document ?
Erreur votre Honneur : tout le monde sait aujourd’hui qu’il n’y a jamais en de traité de réunion de la France et de la Bretagne, mais de grossières malversations françaises pour s’emparer du Duché souverain, convoité depuis des siècles (voir plus haut : tapez dans la case google, tout simplement : mélennec 1532).
M. Poignant aggrave la situation :
 » D’ailleurs, elle a donné une fille à …. François Ier  (!!!!!!) »
Que signifie ?
Si je comprends bien cette phrase fort peu claire, elle a deux sens possibles :
Ou bien elle signifie qu’ Anne de Bretagne a copulé avec François Ier, copulation dont est sortie une fille (« elle a donné une fille à François Ier »). C’est horrible ! François Ier était le neveu – à la mode de Bretagne – de Louis XII, et a succédé à celui-ci le 1er janvier 1515, un an après la mort d’Anne de Bretagne. La grand mère de M. Poignant, vieille bretonne qui portait la coiffe, et parlait le jargon breton (I.e. : la langue des cavernes, selon les linguistes français), comme tous les ploucs de l’époque, n’aurait pas apprécié ! Cela ne se fait pas !
Ou bien, elle a donné en mariage une fille à François Ier (« elle a donné une fille à François Ier »). C’est plus grave encore : pendant les quinze dernières années de sa vie, Anne de Bretagne a lutté becs et ongles pour que sa fille Claude, duchesse de Bretagne héritière, n’épouse pas François d’Angoulême, héritier du trône de France. M. Poignant ne connait pas ses auteurs. Le bon docteur a pourtant, aux termes de recherches très fouillées et très précises, détaillé toutes les phases de cette lutte homérique, dans laquelle notre héroïne a dépensé tant d’énergie. Tapez dans Google : mélennec claude de France. Vous allez être stupéfaits par les malversations de la couronne de France, sur ce simple thème particulier. Accrochez vous ! Et solidement !

Le clou de l’histoire : M. Poignant, ami intime de François Hollande, avec qui il travaille à l’Elysée, est titulaire d’une AGREGATION EN HISTOIRE !!!!!! Une agrégation tout ce qu’il y a « made in France. » Une honte nationale pour la Bretagne. A l’époque, il n’était pas bon – mais pas bon du tout ! – pour les « agrégatifs » de trop en savoir sur l’histoire de la Bretagne. Et surtout pas sur l’annexion, sujet strictement tabou.

Notez bien que ce bon M. Le Drian est aussi agrégé en histoire ! Bonux a-t-il lavé plus blanc ? Et Marie-Lou, allez vous me dire ? Je ne sais pas : je crois qu’elle est infirmière de formation. Prière de compléter sa biographie : on va enfin savoir quelles compétences elle a fait valoir pour avoir la responsabilité des ministères des petites et moyennes entreprises, puis de la justice, actuellement de la non-réforme de l’Etat.

Bonux, toujours Bonux ?

BRETONS, TOUT CELA VOUS ARRIVE PARCE QUE VOUS ÊTES INERTES, COMME DES LOCHES.

On n’a certes pas fini de parler de cette histoire, qui va coller aux basques de ce bon M. Poignant jusqu’à la fin de sa vie ! D’aucuns envisagent de soulever le problème publiquement lors de chaque campagne future de M. Poignant.

M. Bernard Poignant a répondu à l’envoi sur son mail du lIvre bleu de la Bretagne, sur enveloppe

Dame, les Bretons sont si ignorants de leur histoire ! (devinez par la faute de qui ?)
Nota bene. Afin d’empêcher toute manipulation, le blog de M. POIGNANT a été sécurisé; il semble qu’il va être diffusé sur les réseaux sociaux.
DES SOTTISES MAGISTRALES, EFFARANTES, SUR L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE.
L’histoire de la Bretagne, falsifiée par la France, surtout par les complices marxistes qui se sont emparés de l’histoire de notre pays peu à peu, occupant tous les postes importants pour enseigner n’importe quoi, plaçant peu à peu leurs pions pour imposer leur idéologie, est à ce jour redressée par le livre bleu de la Bretagne. Les dégâts sont si importants – à l’image de ce que les communistes ont enseigné en Union soviétique, jusqu’à son effondrement,  que nombre de Bretons se posent la question : l’histoire relatée dans le livre bleu est-elle réellement la bonne?
Voici une énormité que l’on doit absolument rapporter à son auteur, Alain Croix, par bonheur retraité depuis plusieurs années :
« Le débat est encore ouvert. Certains historiens estiment qu’il a existé, au XVe siècle, un duché indépendant, un Etat breton. Pour ma part, je pense que c’est un anachronisme : à cette époque, même à leur apogée, les ducs de Bretagne ne se posent pas la question de l’indépendance, mais de la fidélité ou non à un suzerain, en l’occurrence le roi de France. »
Incroyable ! Voilà à quoi (je ne dis pas à qui) on confie l’enseignement de notre histoire nationale : à des agrégés, docteurs en droit de surcroit, qui ignorent ce qu’est une nation, un sentiment national, un gouvernement, le concept de souveraineté et d’indépendance, les éléments constitutifs de l’indépendance d’un pays !!! C’est à ça que l’éducation de nos enfants et de nos futurs professeurs a été confiée
M. Bernard POIGNANT, par retour du courrier, dans une enveloppe à en-tête de l’Elysée, et par lettre manuscrite, de son écriture, me dit qu’il a reçu le livre bleu, et qu’il en a commencé la lecture. Sa lettre est froide, mais courtoise. Il m’écrit, dit-il, « par politesse ». Nul doute qu’il va franchir la porte du président de la République française, dès la semaine prochaine.
On faisait semblant de n’être au courant de rien. Comme les Turcs en Arménie : rien vu, rien su, rien fait : mains turques propres (mani pullite, comme les italiens).
 Bonux aussi, Bonux encore ? Pour la France, désormais, c’est Impossible : dès sa parution, le livre bleu avait été commandé par Matignon, sur en tête de la République, en double exemplaire de surcroit.
A ce stade, TOUTE LA PRESSE FRANCAISE FAIT SEMBLANT D’IGNORER LE LIVRE BLEU. Ce livre démontre d’une manière effrayante que les crimes commis par les armées françaises en Bretagne et en Vendée sont ceux de DAESH en Afrique : têtes décapitées, viols en série devant les familles, les mères et les pères, embrochage de plusieurs enfants, devant leurs parents, sur des piques, éventration des femmes enceintes, ouverture de leur ventre pour y mettre de l’avoine pour les chevaux, éclatement des organes génitaux de femmes par des fusils … Quels raffinements dans l’horreur pour le pays qui prétend avoir inventé les doits de l’homme !  Ce que la France a fait est ignoble. C’est pire d’avoir trompé ses populations, de 1789 à aujourd’hui.
Mais ce que fait la presse française aujourd’hui est bien pire : elle se tait.
A ce degré de SALOPERIE, c’est ignoble.
Voila ce que l’on pense de vous, mesdames et messieurs des médias
Bon appétit, donc, s’il vous en reste ! ..