LA HONTE DE LA BRETAGNE : LE NOVEMBRE NOIR DE 2014 : LA BRETAGNE EST RETROGRADEE À L’ETAT LARVAIRE PAR LE VOTE DE SES DEPUTES .

 

Tandis que les médias de la collaboration ignorent toujours  – totalement – le nom du bon docteur, une nouvelle émission de Louis Mélennec, reçu par Jean-Luc de Carbuccia, sur Lumière 101, sous le titre : « En corse et en Bretagne » :

 

http://lumiere101.com/categories/emissions/les-entretiens/louis-melennec/

 

 Cette émission constitue une excellente introduction au thème qui sera développé jusqu’à épuisement : 1789, LA SHOAH BRETONNE. Jusqu’alors, l’histoire imposée par la France dans ses écoles, avec ses programmes, les instituteurs envoyés ou formés par elle, la culpabilisation des élèves et de leurs familles, était celle-ci : la Bretagne, pays plouc, arriéré, retardataire, réactionnaire, parlant non pas une langue, mais des sons inarticulés, vestiges de la grotte de Cro-Magnon,  sous l’empire d’un clergé féroce et superstitieux, a été, par la vertu de la « Révolution » française, illuminée tout soudain par une immense clarté : la lumière, la liberté, l’élévation de ces êtres inférieurs, à la dignité d’homme, admis enfin à parler une vraie langue, la langue de la liberté (sic). Ceci pour l’essentiel, car ce fut bien pire. La France est la cause UNIQUE de cette shoah : elle a été imposé par le lavage des cerveaux, et une propagande éhontée jusqu’à nos jours . L’ignorance des Bretons d’aujourd’hui tient à leurs députés, leurs sénateurs, tous les complices qui tirent parti du système. Mais aussi à ce qu’on dénomme « l’élite de la France » (Claude Hagège, professeur au collège de France :  « La Bretagne a été rattachée à la France. C’étaient des sauvages. Mais ils sont devenus français.  » Charles Pasqua : « Les Bretons, c’est comme les cochons »; etc : voyez : injures anti-bretonnes; ..

DEUX NOUVEAUX ARTICLES SUR LA BRETAGNE, DANS LA VOIE DE LA RUSSIE, dans un style très direct, diffusée dans cent pays, en 40 langues :

 

http://french.ruvr.ru/2014_12_15/La-Bretagne-bientot-reconnue-par-Israel-Partie-1-5665/

 

 

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L’ENNEMI HEREDITAIRE DE LA BRETAGNE EST LA FRANCE. IL EN EST AINSI DEPUIS LE SIXIEME SIECLE. IL EN EST TOUJOURS AINSI. L’affaire de Nantes et de la Loire Atlantique, le gang des renégats, en sont des preuves accablantes et irréfutables.

 

louis-melennec-politique

 

 

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I – MESSAGE PUBLIC DELIVRE à Jean-Yves LE DRIAN ET à Marilyse  LEBRANCHU : « Vous êtes Bretons ? Les Français commandent ». EXECUTEZ, S’IL VOUS PLAIT !  ET QUE CA SAUTE !

 

Le mot « traître » connait une faveur exceptionnelle en Bretagne, depuis quelques semaines. Il fleurit sur les sites, les blogs, mais pas encore dans les médias désignés maintenant comme « collaborationnistes ». Il est souvent associé aux noms des « députés » socialistes, en particulier Jean-Yves Le Drian, et Marilyse Lebranchu.

Une excellente nouvelle : la création du prix DU GUESCLIN. Considéré comme un héros en France, du Guesclin qui conduisit les armées françaises pour dépouiller les Bretons et les faire sujets du roi de France, au 14ème siècle,  est considéré en Bretagne comme la figure du traitre par excellence. (Avec le vicomte Jean II de Rohan, précisons-le clairement). On avance, dans certains sites, les noms possibles de deux candidats : Marilyse Lebranchu et Jean-Yves Ledrian, candidats qui seraient coiffés de la couronne d’épines le même jour. Ce que nous avons laissé entrevoir depuis de longues années, à une époque où peu de Bretons osaient afficher publiquement la seule évolution possible pour la Bretagne : l’INDEPENDANCE. D’aucuns parlent même d’une action en réparation des préjudices causés mettra en cause les énormes indemnités perçues pour prix de la trahison des candidats qui seraient élus, qui seraient reversés en totalité au peuple breton. On annonce le soin qu’on aura de ne permettre aucun mensonge public, aucune nouvelle contorsion de la part de ceux qui ont tant magouillé, pour tenter de  démontrer au bon peuple naïf qu’ils sont des patriotes.

A ce qu’on m’écrit, M. J.J. Urvoas possède aussi des qualités éminentes pour prétendre au prix Du Guesclin. C’est mon avis. J’ai été stupéfait par ses contorsions malsaines, son double jeu permanent, plus que tout par ses déclarations d’être un « militant socialiste obéissant à son parti », là ou son devoir impératif est d’obéir à ses électeurs, et, au dessus d’eux, à sa nation. Monsieur Urvoas, vous n’êtes RIEN en-dehors  du peuple breton  : OBEISSEZ-LUI, vous n’avez pas d’autre choix.

On parle aussi de demander au gouvernement français de « déménager » le gisant de Du Guesclin de la cathédrale de Saint Denis, un traitre breton n’ayant aucune place dans cette basilique royale des rois de France.

Voir dans Google : »mélennec lebranchu, » et « mélennec le drian ».

Ce qui vient de se passer en Bretagne est une honte absolue. Imagine-t-on l’Angleterre, qui a initié les droits de l’homme plusieurs siècles avant que la France les découvre, charcutant l’Ecosse, pour lui voler une partie de son territoire, puis, alors qu’un simple vote aurait pour effet de lui restituer le territoire volé, le chef du gouvernement écossais votant en faveur de l’Angleterre, pour qu’elle conserve le bénéfice de son crime ? C’est ce qui vient de se dérouler en France et en Bretagne. La fureur est telle en Bretagne qu’on parle de mettre en jugement les responsables de cette invraisemblance, lorsque l’évolution de l’institution de la responsabilité le permettra.

Extraits du mémoire d’histoire approfondie (DEA) soutenu en Sorbonne par Louis Mélennec, en septembre 2001, devant M.M. Bercé, membre de l’Institut, et Barbiche, professeur à l’Ecole nationale des Chartes (voir ces noms par Google).

« Les actes de 1532 consacrant ce qu’on a désigné abusivement comme l’ « Union de la Bretagne à la France » , même s’ils n’avaient pas été librement débattus et consentis, même s’ils ne pouvaient, au regard du droit, être considérés comme des traités,  avaient au moins un avantage : ils consacraient, par écrit et dans des termes clairs, les droits immémoriaux du Duché souverain, ceci dans tous les domaines.

Ces textes,  à partir de 1532 sont la toile de fond sur laquelle s’inscrit toute l’histoire des relations entre le duché et le royaume. Ils deviennent rapidement la meilleure garantie du duché contre les empiétements royaux, qui se multiplient à partir du dix-septième siècle. Quoique les membres du parlement de Bretagne ni des États ne le considérassent jamais comme un traité, puisqu’ils avaient été promulgués unilatéralement par la France, pays étranger, et qu’ils avaient été imposés par la force, la peur, la concussion – un acte arraché par la violence n’est pas un contrat, mais un acte juridiquement nul -,  ils affectèrent de les considérer comme des documents juridiquement valides, et de le proclamer hautement …. Ainsi, les États de Bretagne, en présence de violations incessantes des engagements solennels pris par la monarchie en 1532, opposaient au roi sa propre obligation de tenir les promesses qu’il avait publiquement proclamées par un Edit … Les Bretons avaient voulu rester le plus possible maîtres chez eux, et conserver la gestion de leurs affaires intérieures, ce qu’ils surent admirablement faire, malgré les coups répétés et violents administrés par le gouvernement du pays voisin.

Dans ce jeu du chat et de la souris, malgré la supériorité écrasante et la mauvaise foi sans cesse répétée des Français, les Bretons jouèrent très serré, avec une obstination jamais démentie, et firent plier leur adversaires très souvent. A la veille de la révolution, qui allait tout balayer et tout détruire, en violation des règles du droit bien plus grave qu’en 1532, les Bretons avaient réussi, à force d’ingéniosité et de résistance furieuse, à récupérer une très large autonomie interne.

Lors de la révolution de 1789, non seulement les Bretons ne sont pas hostiles aux réformes, mais les réclament, comme d’ailleurs toutes les provinces du royaume de France. La Bretagne, des Ducs souverains, avait bénéficié d’un authentique régime parlementaire, en avance de plusieurs siècles sur le régime autoritaire de la France. Les Bretons jouent naturellement  un rôle important dans la genèse des réformes initiales décrétées à Paris. On admet très généralement que la nuit du 4 août 1789 est préparée au Club breton, et que celui-ci est une préfiguration du Club des Jacobins. Les réformes réclamées par les Bretons sont hardies, intéressant tous les domaines. Ce ne sont pas des « réformettes » qu’ils réclament, mais un total bouleversement du système en place :

– le gouvernement : obligation pour le principal ministre de présenter un bilan annuel écrit à la Nation, responsabilité des ministres des deniers dont ils ont l’usage ;

– la représentation nationale : réunion régulière des États généraux, nombre égal de députés pour chaque ordre, vote par tête ;

– les impôts : suppression des impôts inutiles, consentement du peuple à l’impôt, contribution de tous aux dépenses d’intérêt général, selon les possibilités de chacun;

– l’administration : suppression des innombrables « offices » publics – ou postes de fonctionnaires -, créés par la monarchie française, vendus aux plus offrants, générateurs d’une gestion désastreuse, d’une gabegie effroyable, et ruineux pour les finances des Bretons;

– les privilèges : abolition des privilèges de la noblesse et du clergé, suppression des dons, pensions et gratifications, libre accès du tiers État à toutes les professions, sans exception ….

En revanche, les Bretons sont intraitables sur plusieurs points : le maintien de leur religion, la protection et le maintien de leurs institutions. Les cahiers de doléances, sur ce point, sont irréfutables. Ainsi le cahier général des ressorts de Châteaulin et de Carhaix :  » Le vœu général et unanime de plus de cent mille de vos fidèles sujets … est qu’il ne soit porté aucune atteinte au culte de notre religion, [et ] que les droits, franchises et immunités de la province soient conservés dans leur intégrité… »

A la suite de la nuit du 4 août, les Français prétendirent anéantir les privilèges des provinces, et imposer l’unité administrative du royaume. La nouvelle division territoriale fut adoptée par la loi du 22 décembre 1789. le territoire fut divisé en départements, lui-même subdivisé en districts, les districts divisés en cantons, les cantons en communes.

La Bretagne ne voulait absolument pas de cela, d’autant que cette réforme venait d’un pays qui n’avait jamais, dans les esprits, été considéré comme autre chose qu’un pays étranger. Il est donc hors de question de prétendre, comme on a pu le lire dans tous les livres d’histoire édités sous la férule de la France, que les Bretons aient, de quelque manière que ce soit, souhaité être intégrés, encore moins phagocytés par le pays qui l’avait illégalement annexé deux siècles et demi plus tôt. Nation plus vieille que la France, la Bretagne entendait que sa Constitution fut respectée. 

Les députés bretons, sous la pression, et par esprit de concession, acceptèrent la division de leur pays en départements. Mais dans la nouvelle organisation décidée par la Constituante, les anciens États n’avaient plus leur place. Le 5 novembre 1789, les réunions des États « provinciaux » avaient été interdites. Un décret du 3 novembre 1789 ordonna aux Parlements de s’ajourner, c’est à dire de ne plus siéger. La Bretagne se trouvait donc, tout d’un coup, privée de toute protection contre son adversaire de toujours : un véritable désastre. La Chambre des vacations de Rennes refusa, et fut inébranlable dans sa décision.

Le 15 décembre 1789, l’ Assemblée Nationale française décida, dans le but de les humilier, non pour les écouter honnêtement, comme elle en avait le devoir, de faire comparaître devant elle le président et les membres de la Chambre des vacations de Rennes. Le président de La Houssaye et ses collègues comparurent le 8 janvier 1790. Avec une grande dignité, La Houssaye exposa que la Constitution de la Bretagne interdisait que les institutions fussent changées ou modifiées sans le consentement des États de Bretagne :

 » Pour que le Parlement de Bretagne pût se croire autorisé à enregistrer, sans le consentement des États de Bretagne, les lois qui sanctionnent les décrets de cette assemblée, il faudrait que la province eût renoncé à ses franchises …. nos pairs ont défendu à toutes les époques les droits inviolables du pays … Les deux tiers des communes de la province se sont exprimés plus explicitement encore dans leurs cahiers de doléances. Or, ces cahiers, nous ne craignons pas de le dire, fixent immuablement les limites de votre autorité, jusqu’à ce que les États de Bretagne, légalement assemblés, aient renoncé expressément au droit de consentir aux lois nouvelles. »

 

C’était clair, net et sans bavures : la Bretagne, forte de ses lois et de ses traditions, et des engagements solennels pris par la France par l’édit de 1532, refusait tout net les réformes que les Français prétendaient lui imposer.

 

LA BRETAGNE EST LIBRE, DES LORS QUE LA FRANCE VIOLE SES ENGAGEMENTS SOLENNELS : LE CRIME DE LÈSE-NATION COMMIS PAR LES FRANCAIS CONTRE LA BRETAGNE.

Le 9 janvier, l’abbé Maury, Français, prenant hautement le parti des Bretons, prononça devant l’assemblée constituante un discours admirable de rigueur morale, dont voici les principaux extraits, qui sont passés à la postérité :
 » … Onze magistrats qui formaient la Chambre des vacations de Rennes ont refusé, après l’expiration de leurs pouvoirs d’enregistrer les lettres-patentes rendues sur votre décret du 3 novembre pour proroger indéfiniment leur commission et les vacances du Parlement. Ce refus vous est dénoncé comme un crime de lèse- nation.
Je n’ai l’honneur d’être ni Breton, ni magistrat ; mais, revêtu du caractère de représentant de la nation, je dirai la vérité avec tout le courage du patriotisme, j’invoquerai la justice. Je vais tâcher de prouver que la Bretagne a des droits aussi anciens que la monarchie, et aussi sacrés que les contrats. Les habitants [de l’Armorique ou de la Bretagne ] qui sous le nom de Celtes, luttèrent glorieusement contre César et balancèrent la puissance des légions romaines, furent toujours soumis à des souverains particuliers. Ces princes exercèrent toujours une souveraineté immédiate sur les Bretons. Cette grande province qui forme aujourd’hui la douzième partie de la population du royaume continua d’être indépendante de la nation française sous l’empire des ducs de Bretagne.
… La réunion de la Bretagne à la France avait été, pendant plusieurs siècles, le grand objet de la politique de nos rois…. »

L’abbé Maury ajoute :

 » L’intérêt commun est que la justice soit respectée. Tous les droits particuliers reposent sous la sauvegarde de la foi publique. Les peuples ont des droits. Les prérogatives de la Bretagne n’ont rien d’odieux pour la nation française, si elles émanent d’une convention libre et inviolable. Tous les cahiers du clergé et des communes de Bretagne demandent unanimement la conservation des Droits, Franchises et Privilèges de la province. Les Bretons déclarent ne vouloir se soumettre à aucune décision de l’Assemblée Nationale, à moins que ses décrets n’aient été librement adoptés par les États particuliers de la Province. Ce n’est qu’à cette condition que la Bretagne nous a envoyé des députés, en se réservant ses franchises que la Nation française n’a pas le droit, et par conséquent le pouvoir de lui enlever.

Un principe fondamental qu’il ne faudra jamais perdre de vue dans cette cause, et qui n’est même pas contesté, c’est que la province de Bretagne jouit, par sa Constitution, du droit de consentir dans ses États la loi, l’impôt, et tous les changements relatifs à l’administration de la justice.  …. Il est donc démontré, et je ne crains pas de le publier en présence des représentants de la nation française : LA BRETAGNE EST LIBRE, NOUS N’AVONS AUCUN DROIT SUR CETTE PROVINCE  …. »

L’intervention de Mirabeau à la tribune, véritable fer rouge planté publiquement dans le cerveau des Bretons qui avaient été convoqués à comparaître, fut hautaine, arrogante, méprisante, plus qu’humiliante :

 » Eh ! Que sont tous ces efforts de pygmées qui se raidissent pour faire avorter la plus belle, la plus grande des révolutions, celle qui changera infailliblement la face du globe, le sort de l’espèce humaine ? … Les hommes de la Bretagne se sont associés à l’empire français ; ils n’ont pas cessé d’être à lui, parce qu’il ne leur a retiré ni dénié sa protection. Chacune des parties qui compose ce superbe ensemble est sujette du tout … S’il était vrai qu’une des divisions du corps politique voulût s’en isoler, ce serait à nous de savoir s’il importe à la sûreté de nos commettants de la retenir ; et dans ces cas, nous y emploierions la force publique, sûr de la faire bientôt chérir, même aux vaincus, par l’influence des lois nouvelles ….

 » Ecoutez ces Messieurs :
 » Ils sont les défenseurs des droits de la Bretagne ! Aucun changement dans l’ordre public ne peut s’y faire sans que les États de Bretagne l’aient approuvé, sans que le Parlement l’ait enregistré ! …  Eh ! Qui leur parle d’enregistrer ? Qu’ils inscrivent, qu’ils transcrivent, qu’ils copient, qu’ils choisissent parmi ces mots ceux qui plaisent le plus à leurs habitudes, à leur orgueil féodal, à leur vanité nobiliaire ; mais qu’ils obéissent à la nation quand elle leur intime ses ordres sanctionnés par son roi. Êtes-vous Bretons ? Les Français commandent ».

Ces propos, bien loin d’être oubliés par les Bretons, résonnent dans leur tête plus de deux siècles plus tard. L’humiliation est une arme dont il ne faut jamais se servir lorsqu’on a en face de soi un Breton. Tôt ou tard, il s’en souviendra.

En 1532, la Bretagne fut « réunie » – selon la terminologie officielle, par la concussion, les menaces, l’achat des consciences, la peur, par la France. Ce fut une annexion, un acte imposé par la force, dès lors juridiquement nul et de nul effet.

En 1789, année de la Shoah bretonne, ce fut bien pire : la Bretagne fut assassinée. C’est sous ce régime que vit encore la Bretagne, sous la botte  du pays voisin, qui, depuis cette année 1789 OSE s’intituler le pays des droits de l’homme, et l’inventeur des libertés.

 

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Le mémoire de DEA soutenu en Sorbonne par le docteur Mélennec en septembre 2001, est lisible dans son intégralité sur la toile. Il a valu au candidat, en dépit de son caractère inhabituel – il annonce un renversement total de l’écriture de l’histoire officielle de la Bretagne, telle qu’elle a été enseignée à des Bretons désarmés pendant plusieurs générations – et indiscutablement hardi, la mention BIEN. Pour le lire, taper dans la case Google :  « mélennec wikipédia », ou : « mélennec, errances en Bretagne ». Comme le Livre Bleu de la Bretagne, il vient au terme de plusieurs dizaines d’années de réflexions et de recherches. Pour télécharger ce petit ouvrage, taper simplement dans Google ces cinq mots : LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE.

 

II – EN NOVEMBRE 2014, LA BRETAGNE A VU DES PYGMEES S’ACCROUPIR, S’AGENOUILLER, SE METTRE A PLAT VENTRE DEVANT CEUX QUI LEUR SERVENT UNE GROSSE RATION DE FOIN CHAQUE MOIS. Ils n’ont pas résisté, ils ont transcrit, copié ce qui leur a été dicté. La Bretagne, stupéfaite, est humiliée. Mais il y a une suite à cette affaire.

 

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Extraits d’articles plus anciens de Louis Mélennec :

« De tous temps, la France a acheté, par des avantages divers, des complices en Bretagne, pour venir à bout de cet Etat libre, fier et hautain. Quelques-uns ont accepté, à toutes les époques ces combines répugnantes. La défaite de la Bretagne, lors des invasions de 1487 à 1491, en dépit d’une résistance héroïque, et de l’aide des puissances européennes,  est largement due à ces trahisons.

En 1488, la famille de Rohan a combattu auprès des Français pour détruire nos armées au champ d’honneur de Saint-Aubin-du-Cormier. Dès avant ces invasions, le vicomte Jean de Rohan, le plus riche seigneur de Bretagne, parent proche du Duc régnant et de sa fille Anne de Bretagne, était grassement pensionné par la France. Pour ses beaux yeux, sans doute ? De 1514 à 1789, la haute noblesse a accepté, dans une certaine mesure, le compromis avec l’occupant, faute de pouvoir faire mieux, la Bretagne n’ayant plus de forces armées pour s’opposer à l’ennemi héréditaire. Du moins a-t-elle résisté, avec une énergie que l’on peut qualifier de féroce, jusqu’à la Shoah de 1789.

Les Etats de Bretagne, jusqu’à cette date, ont été l’incarnation la plus forte et la plus résolue de la résistance bretonne … Puis, à partir de ce que la France dénomme, sans crainte du ridicule, la « révolution des droits de l’homme » – une boucherie effroyable, qui a fait perdre au pays trente années par rapport à l’Angleterre -, les Bretons ont été écrasés par l’occupant, de toutes les manières possibles, aucune possibilité ne leur étant laissée de résister, à peine de sanctions graves. Presque tous ont été contraints, sans même le savoir, de devenir des « collabos » obligés : car il ne leur était même plus possible de revendiquer leur vraie nationalité, une machine infernale, à base d’humiliation, d’acculturation, de privation de leur histoire, de destruction de leur langue bi-millénaire, ayant eu pour effet de la broyer, au point de les acculer à détester leur propre identité, d’avoir honte d’eux-mêmes, comme les Juifs, durant une longue partie de leur histoire.

En 1900, la majorité des Bretons, à force de trituration de leurs pauvres cerveaux, dans les écoles de la « République », se sont crus des Français. Ils ont laissé 200 000 victimes dans la guerre mondiale, qui n’était pas leur guerre, mais celle de la France. Leur langue est détruite, il n’en reste que des débris. Ceci s’est fait en grande partie grâce à la lâcheté d’une classe politique honteuse.

Le massacre mental de ce peuple est terminé : grâce à Internet, il a accès à son histoire, et aux horreurs dont il a été victime, que le colonisateur avait réussit à précipiter dans l’abîme des faits oubliés, par des manipulations ininterrompues depuis 1789, que Reynald SECHER qualifie de mémoricide .. pire : de faire croire que le bourreau était un agneau, et que les Bretons ont accédé à la Liberté le jour où celle-ci a été totalement supprimée !

Quelle triste renversement des choses pour le peuple français, qui ne mérite certes pas cela. Car il va falloir maintenant assumer cet héritage. Rien n’est plus comme avant : les jours de la France en Bretagne sont comptés; ce sont les jeunes Bretons, leur fierté retrouvée, qui vont réaliser cette révolution ».

Le vocabulaire a changé. Parmi les manipulations de la France, appuyées par une bande ignare de médiacrates et de journalistes incultes, pour mieux maintenir la tête des Bretons sous le niveau de l’eau, les a désignés, jusqu’à ces toutes dernières années comme les héritiers des quelques malheureux qui, sauf de rarissimes exceptions, n’ont jamais adhéré aux abominables thèses nazies,  par amour de leur pays, ont cru pouvoir se tourner vers les Allemands en 1940 : ces ennemis étaient ceux de la France. Aujourd’hui, maintenant que l’histoire est enfin décryptée, le mot « collabos » a pris une toute autre signification. …. »

LES 23 BRETONS : LE SORT QUI LES ATTEND

« L’amputation de la Bretagne confirmée en 2014 par 23 députés « bretons », (d’aucuns en dénombrent 27), s’explique par les rentes qui leur sont versées par l’Etat français, qui décide, à droite comme à gauche, des investitures, c’est à dire de la possibilité de les percevoir ».

En novembre 2014, vingt trois (ou 27) Bretons et Bretonnes, prétendant appartenir à un peuple qui ne s’agenouille que devant ses propres valeurs et ses propres idéaux,  se sont agenouillés devant la France, et se sont déshonorés. Ce que jamais les Bretons n’avaient accepté jusqu’au jour où les Français, en 1487, forts d’une armée très supérieure en nombre et infiniment mieux équipée, ont fait déferler en violation flagrante des normes internationales alors reconnues, leurs hordes sur la Bretagne. »

En novembre 2014, la Bretagne a connu le plus grand déshonneur de son histoire, car personne n’a menacé, ni torturé ces tristes personnages : tant pis pour eux, ils l’ont voulu, ils l’ont cherché. Ils subissent dès maintenant la pire sanction qu’un être humain puisse endurer : le mépris de leurs compatriotes et de leurs concitoyens. Leur vie durant. Pour moi, ce serait un supplice. J’espère qu’il en sera de même pour eux.

De nombreuse associations, le vice-président – breton – de l’Assemblée nationale, le président de Bretagne réunie, les ont traité de traitres. Si ce n’était que cela : c’est pire !

Certains de ces personnages n’osent plus sortir dans les rues de leur village.

 

Chaque nation a eu ses traitres. Nous avons les nôtres. Les voila désignés par leur nom, par un consentement unanime des médias internet. Le sort des traitres est d’être jugés. Je pense qu’il faut accoutumer la population à le dire ouvertement. Et cela viendra. Il est regrettable que des dirigeants bretons continuent à leur serrer la main.

La responsabilité de ces pauvres hères est juridiquement engagée. Attendu ce qu’a été l’histoire de la Bretagne, les dégâts colossaux que la France a commis dans ce pays, et surtout le mandat impératif que les électeurs leur ont donné, attesté par les sondages qui expriment la volonté non ambigüe des Bretons de voir réintégrer Nantes dans leur territoire national, ils ont commis une faute gravissime, un crime de lèse-nation. Toute faute, en droit, engage la responsabilité de celui qui la commet. L’institution de la responsabilité évolue. On trouvera le moyen, au delà de leur non réélection, de mettre en oeuvre les procédures qui permettront de les punir, à hauteur de la gravité de leur faute.

Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-consultant près le Médiateur de la république française.

 

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L’ETAT d’ISRAËL, furieux de la décision des députés français de reconnaitre l’Etat d’Israël : une opportunité pour la  reconnaissance de la Bretagne .

A nazi, nazi et demi ? Le problème breton se corse. Selon la ligue de défense juive, les 339 députés français qui ont émis le voeu que la Palestine soit reconnue comme Etat de plein droit, sont des nazis. Que dire du pays martyr de Bretagne ? Selon nos sources, des Bretons très actifs dans la mise au jour et le dévoilement aujourd’hui très avancé des circonstances dramatiques dans lesquelles la Bretagne, pays prestigieux d’Europe au moyen-âge, fut envahie, détruite, exploitée comme une colonie par la France, pays en guerre durant toute son histoire d’une manière pathologique … envisagent de demander officiellement à l’Etat d’Israel de reconnaître l’Etat breton, en vue de sa réintégration pure et simple sur l’échiquier international, puis son admission à l’ONU en qualité de membre à part entière

Les Bretons sont traités comme du bétail depuis que la France occupe la Bretagne. L’affaire de Nantes et de la Loire Atlantique vient de faire déborder le vase. Cela se paiera. CHER.

 

Docteur Louis Mélennec.

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LE COURRIER DES LECTEURS.

 

– M. C. Pont-l’Abbé. Le prix Du Guesclin : pourquoi pas Jean-Jacques Urvoas ? A ce stade, notre devoir, comme vous le faites, est de citer les noms. Nous n’avons rien à nous reprocher. Eux, devraient se cacher. N’est-ce pas ?

– Louis Mélennec. Il a autant mérité – sinon plus -, que Jean-Yves Le Drian et Marylise Lebranchu. On peut, de mon point de vue, leur accorder la couronne d’épines à tous les trois, ex-aequo. J’ai toujours exprimé hautement mes opinions :

 

– M. G. RENNES et PARIS. Spécialiste du droit social, êtes vous favorable au « contrat de travail unique » proposé par le prix Nobel ..

Réponse. Bien plus que cela, évidemment. J’ai souvent répété publiquement que 90 pour 100 de la législation française, à hauteur de 90 pour cent,  authentique bordel, kafkaïenne, cauchemardesque, paralysante pour toutes les activités du pays, doit être entièrement mise à plat, et repensée…(à suivre).

Mes réflexions remontent au moins à 1970 – il y a 45 ans, donc ..

 

– M. D. Nantes. « Le combat continue, plus que jamais ! Cette mascarade, digne de celles qui l’ont précédée  (1532, nuit du 4 août) aura au moins le mérite de faire comprendre à un certain nombre de Bretons que la Bretagne est à la France ce que la Pologne, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et d’autres furent naguère à la Russie  et que, pas plus que la Russie n’est chez elle dans ces pays, la France n’est chez elle en Bretagne. »

– M. T. Paris. Les crimes commis par la France en Bretagne sont maintenant divulgués et connus par une large partie de la population bretonne et française. Malgré cela, 23 députés – certaines listes parlent de 27 députés, tous socialistes -, ont trahi. Comment imaginer une chose pareille ? La Bretagne se libérera de la France d’une manière pacifique, c’est ce que nous souhaitons tous. Mais si elle se délivre par la violence, qu’ils prient Dieu de les préserver. Qui peut garantir qu’il ne se balancerons pas au bout d’une corde ? Nous sommes tous respectueux du droit des gens. Cela suffira-t-il ? Nous ne souhaitons pas qu’ils perdent la vie : la mise au ban de notre Nation sera une punition beaucoup plus terrible.

– M. C. Quimper. « L’affaire des 23 traitres « bretons » ne vous décourage pas ? ».

– L. Mélennec. « En aucun cas. Au contraire : elle est stimulante. Le gouvernement français, par son impéritie, nous rend service. A toutes les époques les collabos ont inspiré le mépris. Cette affaire est si répugnante, qu’elle a enfin ouvert les yeux de beaucoup de Bretons, qui ne pouvaient imaginer une chose aussi révulsive. Le sentiment national est en train de rebondir sur cette affaire dégoutante. Ils en paieront le prix. Leurs familles aussi, ce qui est regrettable, car elles sont innocentes ».

– M. R. Lorient. « Êtes-vous au courant de cette phrase que l’on prête à Nicolas Sarkosy : « Vous, Bretons, ne pouvez réussir. Voyez : 25 pour 100 de l’économie du Languedoc-Roussillon est souterraine ».

– L. Mélennec. « Bien sûr. Cette phrase a été bien été prononcée par Nicolas Sarkosy à l’Elysée, devant une délégation d’industriels bretons, dont faisait partie Alain Glon, président de l’institut de Locarn,

Lequel a  très justement déclaré : « Le vrai problème de la Bretagne, c’est la France. »

Phrase beaucoup trop indulgente : la France est notre ennemi héréditaire. Cet ennemi est féroce : vous avez lu le Livre Bleu de la Bretagne. Vous ne l’ignorez plus, maintenant. Cette affaire répugnante de Nantes en est un preuve supplémentaire, éclatante ».

Lire absolument, pour comprendre les relations brito-françaises :

http://blog-louis-melennec.fr/2014/11/22/lhommage-des-ducs-de-bretagne-au-roi-de-france-ou-je-taime-moi

– M.C. Rennes. … : OPERATION « UN LIVRE BLEU POUR CHAQUE BRETON » …. pourquoi pas pour chaque Français, si possible ?

Réponse.  » Avec quelques jeunes, il a été décidé d’inonder la Bretagne du livre bleu. Nous demandons aux lecteurs de la présente de s’associer à ce travail libérateur : un simple « clic », outre les mails de ses propres parents et amis, si l’on possède les listes qu’utilisent les industriels, les administrations, les commerçants, les partis politiques, les sites internet  … permettent de toucher plusieurs dizaines, plusieurs centaines, plusieurs milliers de personnes à la fois.

 Ce qui fait de nous des Bretons, c’est notre histoire plus que bi-millénaire, vécue ensemble. C’est par là qu’il faut renforcer et réensemencer notre sentiment d’appartenance, et, pour ceux qui ne l’ont pas, le faire renaitre. Rien ne se fera sans la conscience de ce que le colonisateur nous a fait, et ce que nous sommes.

Un projet d’enseignement de l’histoire de la Bretagne aux Bretons se met en place, dans différentes directions, et est déja en oeuvre. Mais cette fois sans la France, qui l’a colonisée, falsifiée, interdite, pour ne plus enseigner que la sienne, dans les écoles dont elle a eu la totale maîtrise de 1789 à aujourd’hui. Nous interdisons à la France de se mêler en rien de ce projet, nous n’avons pas besoin d’elle : les mensonges déversés sur la Bretagne, les promesses toujours violées, en forme de tromperies, c’est ter-mi-né.

La plaie de la Bretagne est sa division, cause de son statut d’esclave. Tous peuvent s’associer à ce projet, individuellement ou en groupe, en utilisant les téléchargements offerts par 17 sites internet, sans jamais oublier de demander à vos correspondants de diffuser à leur tour le livre leu. Pour cela, taper dans la case Google ces cinq simples mots :

livre bleu de la bretagne

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