LA DIGNITE DE LA PERSONNE BRETONNE : EN BRETAGNE, LA REPUBLIQUE FRANCAISE A PERDU, et devra quitter le pays, par la volonté de la population .

 

Cet article est en cours de rédaction.

On prête d’avoir fait dire à Albert Einstein, la phrase que voici : « Deux choses sont infinies : l’univers et la bêtise humaine. Mais pour l’univers, je n’en suis pas encore certain ».

 

Le moment est venu d’inviter tous vos amis, A LIRE ET RELIRE ABSOLUMENT, LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, ET A LE DIFFUSER AUPRES DE VOS AMIS FRANCAIS ET AUTRES, LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, HISTOIRE ABREGEE DE LA BRETAGNE, sorti des presses ces derniers jours.

 

A lire et relire : Les accusations à sens unique contre la civilisation occidentale : l’esclavage, le racisme sont des phénomènes universels : les traites arabes et inter-négrières ont été beaucoup plus meurtrières que les traites transatlantiques. La complicité de Bretons dans l’accusation formulée contre Nantes. Le mémorial de Nantes.

http://louis-melennec.fr/2012/07/21/lettre-ouverte-a-madame-taubira-sur-la-loi-dite-taubira/

Article recommandé : La chute de la France (The Fall of France), dans Newsweek, 3 janvier 2014. Quelques erreurs factuelles. Mais la réalité dépasse la fiction : ce pays est dans un état catastrophique, depuis longtemps. Ne vous fiez pas aux articles de la presse intéressée à dissimuler la vérité. http://www.newsweek.com/fall-france-225368

 

M. M’BALA M’BALA est-il breton, ne l’est-il pas ?

Il l’est, indiscutablement, par sa mère. C’est la mère qui qui transmet les valeurs, le père n’est qu’un référent. Et le rôle du père dans notre civilisation comme dans les autres s’amenuise de plus en plus. Victor HUGO fut, indiscutablement, un breton : son oeuvre forte, marquée par des idéaux chevaleresques, très en avances sur son temps, héritage de notre passé arthurien, en témoigne; sa mère – à moins d’erreur de ma part – était originaire de CHATEAUBRIAND, l’une de nos villes frontières, qui dressait ses fortifications devant la France agressive, du temps que ce pays n’avait pas encore envahi le nôtre.

M. VALLS est un naïf, ou un homme plus que mal informé. Je pense que, s’agissant de la Bretagne, il SAIT : la France a envahi ce pays, a détruit ses armées, ses institutions, sa dynastie, ses institutions, sa justice, sa législation, son économie : elle l’a ruiné, et transformé cette principauté vouée par sa situation, son dynamisme, sa prospérité, à jouer un grand rôle sur la scène mondiale, à l’égal du Portugal, des Pays Bas et d’autres pays maritimes de dimensions similaires, qui se sont répandus sur les cinq continents,  en une région qui a été pendant tout le 19ème siècle, selon une excellente formule, le trou du cul de l’Europe occidentale.

Que M. M.BALA élargisse le droit d’exprimer ses opinions à toutes les catégories de citoyens, quelle que soit leur religion, leurs croyances, leur couleur de peau, leur civilisation, c’est bien. On sait assez que je réclame ouvertement, depuis des années, la suppression des immunités de fait ou de droit dont jouissent d’une manière scandaleuse les politiques français, et d’autres catégories de citoyens. Mais le droit de critique s’exerce à l’intérieur de règles. Il y a des limites, certes floues, qu’il ne faut pas franchir. Qu’on s’indigne à haute voix que le génocide brito-vendéen n’ait à ce jour donné lieu à aucune émission télévisée digne de ce nom, à aucune pièce de théâtre, à aucun film d’envergure, à aucun débat autre que ridicule, est légitime. Je l’ai dit souvent. Mais j’assure ici que les principaux journalistes de France sont au courant puisque, ne recevant sur ce point aucune aide d’aucune sorte de mes compatriotes – sûrement pas de l’université, majoritairement négationniste de l’histoire bretonne -, je leur ai adressé, moi même, par mail, les extraits les plus terribles de notre histoire, sous la férule du pays des droits de l’homme, de 1789 à 1960, cette dernière date marquant la fin d’une persécution linguistique et culturelle devenue inutile, le crime ayant produit alors presque tous ses effets. Je publierai ici sans tarder les « bonnes feuilles » de mon petit ouvrage sur l’HISTOIRE ABREGEE DE LA BRETAGNE.

Je n’enrichirai pas le débat sur M. M. BALA, car tout a été dit sur lui, et même davantage. En traitant les JUIFS de chiens, il  a très largement dépassé les limites permises par le droit, la morale, le bon sens, l’éducation, le respect dû à la personne humaine. Certains propos disqualifient et condamnent ceux qui les tiennent. Cela n’est pas digne de notre civilisation bretonne, dont la morale est marquée du sceau du respect dû à la personne humaine, même si nos compatriotes manquent souvent à cette règle.

Les Bretons sont experts en victimologie. Nous allons répéter encore et encore ce que nous avons écrit maintes fois sur les traitements infamants que la France leur a infligés. Nous sommes encore habitués – mais extrêmement meurtris – à être comparés à des animaux. Les Bretons, c’est bien connu, « c’est comme les cochons » (voir ci-après le nom du crétin qui a prononcé cette phrase immortelle : il ne s’agit pas de Mélenchon, mais c’est du même niveau).

Cette répétition est-elle nécessaire ? OUI; notre population, qui compte plus de huit millions d’individus dans le monde, pour la majorité, ne connait pas son histoire, et ces piqûres de rappel seront encore nécessaires pendant des années.

Dans des termes tout-à-fait inacceptables dans la forme, M. M’BALA a soulevé des problèmes de fond graves, ce qui explique que de nombreux « jeunes », ne distinguant pas le fond de la forme, aient pu approuver sans nuance ce qu’il a dit :

– La discrimination entre les horreurs commises par l’humanité, notamment en matière d’extermination des populations, des génocides, du racisme, des phénomènes de colonisation. Il n’est jamais question, dans les télévisions nationales, des grands génocides de l’humanité. C’est tout juste par des allusions brèves que l’on sait que les Turcs ont assassiné, dans des conditions atroces. Je ne suis pas seulement choqué par cette situation : j’en suis indigné, scandalisé. 

– L’accaparement du pouvoir par certaines minorités, sans tenir aucun compte de la volonté démocratique du peuple.

Le gouvernement actuel de la France, émanation d’une minorité, est l’exemple le plus scandaleux, le plus invraisemblable du gouvernement par une minorité très minoritaire, qui bafoue la population, en menant une politique résolument contraire aux aspirations populaires.

La presse n’est ni de près ni de loin le reflet du pays réel.

Les Français comme les Bretons sont scandalisés de la politique en matière d’immigration : aucune de ces deux nation n’est raciste, mais elles aspirent à conserver légitimement leurs valeurs, leur identité, ce qui passe par une régulation drastique de l’immigration….

L’éducation nationale est aux mains de clans, qui ne représentent ni de près ni de loin le pays réel.

 

 

 

EN FRANCE, DEPUIS 1789, IL A ETE PERMIS DE TRAINER DANS LA BOUE LES BRETONS, et de les considérer COMME DES ANIMAUX

 

 

 

LES INJURES ANTI – BRETONNES DE 1789 à 1960. LA STIGMATISATION DES BRETONS COMME UN PEUPLE ARRIERE, STUPIDE, SALE, PLUS PROCHE DE L’ANIMAL QUE DES HOMMES.

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Il y a, chez les Bretons, comme chez certains pays orientaux – les Chinois en particulier -, une manière particulière de vivre le temps. Chez nous, les sentiments ne s’effacent pas, ils durent. Je cite souvent cette pensée de mon vieil ami Yann BREKILIEN (voir ce nom), ex-président des écrivains bretons :  « Le Breton est particulièrement sensible, même si sa pudeur extrême lui interdit de le montrer. Lorsqu’on le blesse, la blessure agit à la manière du coup de ciseau du sculpteur dans le bloc de marbre : elle est indélébile. Il ne faut pas s’étonner si trente ans, cinquante ans plus tard, l’homme blessé, qui a conservé intacte dans son âme l’humiliation qu’on lui a infligée, punira le coupable, après avoir attendu et guetté si longtemps l’occasion d’agir, enfin » . Cela vaut aussi pour l’amitié – de nombreux Français ont éprouvé la solidité de leurs amitiés en Bretagne (au point que maints Français m’ont confié que leurs amis étaient majoritairement des Bretons, en quoi je n’ai pas hésité à leur dire qu’ils ont tort, car la Bretagne compte un pourcentage égal de jaloux et de sots identique à celui des autres peuples) -, comme pour l’inimitié. Le pire est d’avoir blessé le Breton dans sa fierté. Qui se préoccupe en France de Charlemagne, de Louis le Pieux, de Hugues Capet ? En Bretagne, nos érudits – qui sont très nombreux, vivent au quotidien avec leur Histoire Nationale; leurs héros et leurs héroïnes sont des compagnons de leur vie quotidienne ..

La monarchie capétienne, bien qu’autoritaire et prédatrice, avait, toutes proportions gardées, tenu les Bretons – très relativement – en paix. Se heurtant en permanence à une résistance acharnée de ce peuple libre et rebelle, acceptant malgré tout une certaine forme de dialogue, certes avec une mauvaise foi jamais démentie, cédant parfois devant l’obstination et la soif de justice des Bretons, elle les avait beaucoup moins maltraités, par force, que les provinces du royaume situé à l’est des frontières bretonnes. La Bretagne n’avait jamais été contrainte par les rois de France à renoncer à leur Dignité de Nation à part entière. Au plan administratif, bénéficiant d’une très large autonomie après 1750, acquise, il est vrai, de haute lutte, elle avait toujours été rangée, au plan fiscal, dans les  » provinces réputées étrangères « . (Ce fait est encore inconnu en Bretagne : se reporter, donc, à la carte des traites, dans Google, et aux articles consacrés à ce concept).

Le régime sanguinaire issu de la Révolution, les régimes qui suivent (l’Empire, la Restauration, la monarchie de Louis Philippe, la Deuxième République, la troisième république surtout – celle de Jean JAURES, théoricien des races  » supérieures  » , l’une des idoles de François Hollande et de Jean-Luc MELENCHON….), vont précipiter les Bretons dans un abîme. Au fil des décennies, se déversent sur eux non seulement des jugements plus que dévalorisants, mais de véritables insultes, par tombereaux entiers. Ces insultes sont littéralement incroyables. On se demande comment des êtres humains ont pu sécréter de telles abjections.

LA BRETAGNE : UN PAYS MAUDIT. LES BRETONS : TOUS COUPABLES.

Fouché, désignant la Bretagne et les Bretons, en 1794 :

 » Il ne s’agit pas de faire le tri des bons et des méchants : DANS CE PAYS MAUDIT, il ne peut y avoir que des coupables « .

LA BRETAGNE : UNE COLONIE. LES BRETONS : UN PEUPLE PRIMITIF A COLONISER.

Michelet, 1831 :  » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe « .

Auguste Romieu, sous-préfet de Quimperlé, 1831 :

 » La Bretagne est une contrée à part, qui n’est plus la France. Exceptez-en les villes, LE RESTE DEVRAIT ETRE SOUMIS A UNE SORTE DE REGIME COLONIAL « .

LES BRETONS : UNE RACE A ENGRAISSER, COMME LES ANIMAUX :

Auguste Romieu, 1831 :  » Créons, POUR L’AMELIORATION DE LA RACE BRETONNE, quelques unes de ces primes QUE NOUS RESERVONS AUX CHEVAUX « .

LES BRETONS : DES SAUVAGES, TOUT JUSTE DES ANIMAUX.

Malte BRUN, 1831 :

 » Les Bas-Bretons ont un langage dur et difficile à comprendre. Leurs habitudes, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent A PEINE UNE PLACE AU DESSUS DE L’HOMME SAUVAGE « .

LES BRETONS : DES ETRES SALES, DEGOUTANTS, MALPROPRES :

Malte Brun, 1831 :

 » Le paysan y est d’une malpropreté dégoûtante; son habitation peut presque se comparer à celle des Hottentots … les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois « .

LES ENFANTS BRETONS ET LES PORCS : des frères de race, qu’on peine à distinguer :

Prosper MERIMEE, lettre à Jubert de Passa, 1835 :

 » On voit dans les villages les enfants et les cochons se roulant pêle-mêle sur le fumier; la pâtée que mangent les premiers serait probablement refusée par les cochons du Canigou « .

Poitrineau, inspecteur d’académie à Vannes, Instruction, 1897 :

 » Le petit breton ……. dès qu’il peut marcher, à peine vêtu, malpropre, il patauge toute la journée par les chemins, mange à l’écart un morceau de pain noir, joue peu, ne parle pas ….; s’il a huit ans d’âge physiquement, il en a trois à peine pour le développement intellectuel « .

M. BUSSON, Manuel de géographie à l’usage des lycéens, 1929 :

 » Les principaux traits de la race bretonne sont la malpropreté, la superstition, et l’ivrognerie « .

PROSPER MERIMEE, lettre à Requien, 1836 : les femmes bretonnes : sales, répugnantes, puantes :

 » J’ai fait quatre cent lieues en Bretagne sans déboutonner ma braguette. Impossible de toucher sans pincettes les personnes du sexe de Brest, Morlaix, Saint Brieuc, Rennes, Vannes, Quimper. Ce n’est qu’à Nantes que la Providence m’a envoyé soulagement …. Au lieu de votre joli patois, dont on comprend toujours quelque chose, c’est une langue que le diable a inventée là-bas ….. »

LES BRETONS : UN PEUPLE ANIMAL, QUI PARLE LE LANGAGE DES POULES. L’abomination qui m’a le plus ému, moi qui ai vécu mes dix-huit premières années dans la campagne bretonne, je la tiens de Morvan-Lebesque, chroniqueur et journaliste de génie, longtemps collaborateur estimé du  » Canard enchaîné « …

L’instituteur du village, comme cela était d’usage à cette époque, se rend ce jour là dans une ferme. Il s’agit d’admonester la pauvre fermière qui tient cette misérable exploitation, parce que son fils continue à parler à l’école un langage monstrueux : un charabia moitié breton – moitié français. La pauvre femme n’a jamais parlé que la langue de ses ancêtres. Elle bafouille, elle rougit, elle a honte, elle ne sait quoi dire ; coupable, elle baisse le nez, n’osant regarder son honorable visiteur. L’instituteur – un homme envoyé là par le pays des droits de l’homme, en service commandé, pour civiliser la campagne bretonne :

« Alors madame, chez vous aussi, on ne parle que le langage des poules ? ? ? ».

C’est abominable. Nos parents, nos grands parents, ont vécu des humiliations de cette nature. Mes grands parents maternels étaient quasi-exclusivement bretonnants. Mes grands parents paternels étaient bilingues, comme mon père. Les gens de ma génération ont totalement perdu l’usage de notre langue ancestrale, dont les origines se trouvent en Grande Bretagne, avant même les expéditions de Jules CESAR, au premier siècle avant Jésus-Christ.  » Nos  » politiques, toute honte bue, au lieu de conduire une action virulente de sauvegarde de ce trésor patrimonial, le laissent s’évanouir dans la nature.

VICTOR HUGO. LE BRETON selon HUGO : UN DEBILE MENTAL, irrécupérable, irrémédiable, définitif.

Quatre-vingts treize, 1874 :

 » D’un côté la Révolution française, de  l’autre le paysan breton. En face de ces évènements incomparables (le père Hugo ferait-il allusion aux deux millions de morts provoqués par la  » révolution », aux milliers de Bretons noyés dans la Loire, avec une sauvagerie INIMAGINABLE, aux quatre cinquièmes des habitations nantaises détruites par les Français, aux enfants et aux femmes écrasées sous les pas des chevaux dans les marais de Savenay, aux horreurs abominables commises en Vendée et en Bretagne ????) …

 » Qu’on place ce SAUVAGE, parlant une LANGUE MORTE ….. ce qui est faire habiter UNE TOMBE A SA PENSEE (!!!!!!!)……. (Ce paysan) VENERANT SA CHARRUE D’ABORD, SA GRAND MERE ENSUITE ……..  On se demande SI CET AVEUGLE PEUT ACCEPTER CETTE CLARTE « .
RAYMOND CARTIER, Les 19 Europes, Plon, Paris, 1960 : Les Bretons, DES ÊTRES GROSSIERS, DES DEMEURES :,

 » Ils vivaient dans leur langue pataude et leurs vêtements grossiers, COMME DES ESPECES DE BAS-BRETONS « .

LES BRETONS, NEGRES DE LA FRANCE :

Laurent TAILHADE  » L’assiette au beurre « , 3 octobre 1903 :

 » Il n’est pas de meilleur chrétien que cette crapule de Bretagne; il n’en est pas de plus réfractaire à la civilisation. idolâtre, lâche, sournois, alcoolique et patriote, les cagot armoricain ne mange pas : IL SE REPAÎT; il ne boit pas : IL SE SAOULE; il ne se lave pas : IL SE FROTTE DE GRAISSE; il ne raisonne pas : IL PRIE (!!!); et, porté par la prière, IL TOMBE AU DERNIER DEGRE DE L’ABJECTION .

 » C’EST LE NEGRE DE LA FRANCE, cher aux noirs ensoutanés, qui dépouille à son bénéfice de véritables miséreux « .

CHARLES PASQUA, professeur de morale, oie blanche parmi les oies blanches, l’homme du SAC, de la tuerie d’Auriol (voir Google),  aux innombrables procès, rejoint et condamné par le justice (enfin !), en 1992, à la suite du traité de Maestricht :

 » Les Bretons, C’EST COMME LES COCHONS « .

JEAN – LUC MELENCHON, 2007 : l’invraisemblable Mélenchon,  allié mental des Chinois au Tibet, admirateur de l’oeuvre « civilisatrice » des tortionnaires des Tibétains, assassins de leur culture, comme la France l’a été de la langue bretonne, le plus gros cerveau de la planète selon ses admirateurs (pas en poids, ni en densité, mais en volume seulement, car l’intérieur est creux), expose ses inénarrables théories sur les origines de la langue bretonne :

 » Le vocabulaire et la grammaire de la  » pseudo-langue bretonne « ,  ….. furent fixées à la demande de l’occupant NAZI, en 1941 « .

 » Les écoles Diwan sont une secte « .

 » Le breton est la langue de la collaboration «  (Cette allégation tient du génie de son auteur : la collaboration s’est faite …. en français : et pour cause : aucun allemand ne parlait breton, les collabos ne dépassaient pas quelques centaines de personnes, les Français collabos se comptaient par MILLIONS !).

 

 

 LA BRETAGNE EN CHANSON, VERSION FRANCAISE  (Jacky Berroyer. 2006).

» Ah ! Connaissez vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ..L’IGNOMINIE est dépassée, non pas pour le pauvre type, au sommet dans l’ordre de la débilité intellectuelle, diffusé abondamment par les médias du pays des droits de l’homme, mais par les juridictions de ce pays, qui se sont déshonorées, une fois de plus, en refusant de condamner ces propos ignobles, au nom de la liberté d’expression (!) :

 » Connaissez-vous bien la Bretagne, avec ses femmes en coiffe et ses hommes vêtus de pagnes, leurs enfants sont hydrocéphales, les garçons aussi méchants que les filles sont sales ….

 » De Quimper à Concarneau, on voit passer des femmes promenant des porcs dans des landaus, pendant que leurs maris se soulagent dans les flots, et refusent de signer le protocole de Kyoto.

 » Ah ! Les Bretons sont vraiment immondes : ils mangent leurs enfants au lieu de se fournir au Tiers Monde. Si on leur reproche ça, ça les fait marrer, c’est leur humour moche noir comme leur marée « .

http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share

2011. Claude HAGEGE, professeur honoraire au Collège de France :

« La Bretagne a été rattachée à la France. C’étaient des sauvages. Mais ils sont devenus français.  »

(Emission de Frédéric TADDEI, le 8 février 2011, « Ce soir ou jamais ».

 

2012 : Marie DRÜCKER (tiens donc ?), présentant les cérémonies du 14 juillet 2012, parle de la lange bretonne comme d’un « patois ». Excuses 20 minutes plus tard. Trop tard : la langue bretonne existe avant Jésus Christ, le Français ne prend corps qu’après le 10 ème siècle. Selon madame Drücker, l’hébreu antique, langue sacrée selon certains, était-il un patois, un jargon, un mélange de sons inarticulés ou de borgborygmes sortis des cavernes de Cro-Magnon ?

2014 : Le vulgarissime Nicolas BEDOS, s’adressant à DIEUDONNE :

« Ma quenelle à moi s’appelle une merguez, et je te l’enfonce dans ton gros cul de Breton inculte ».

Peut-on laisser des débiles mentaux proférer de telles âneries, quels que soient les excès verbaux coupables condamnés par la justice – et par nous -, sur les chaines de télévision publiques, avec nos deniers ?

(Emission de Laurent RUQUIER, sur France 2, « On n’est pas couché », 11 janvier 2014).

 

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=7HKkhtITFiU&feature=share

 

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Jean-Luc de CARBUCCIA, terminant l’émission à laquelle il avait convié Louis MELENNEC, à Lumière 101 (confere : L’assassinat de la Bretagne), avait conclu par ces propos :  » Toutes ces horreurs se payeront un jour « .

Ce moment est en train d’arriver. On récolte ce que l’on sème : ne soyez pas étonnés, Français, de ce qui arrive à votre pays. Après la révélation des horreurs réalisées par la France en Bretagne, c’est au tour de la France d’être HUMILIEE. C’est justice, même si les Bretons ne se réjouissent pas de la déliquescence de votre Pays : soyez assurés que nous sommes aussi affligés que vous de voir vos médias et votre presse nationale qualifier de nuls le couple au pouvoir, et les trois « acteurs  » politiques principaux qui se trouvent en face d’eux en ce moment, dans un ballet aussi ridicule que lamentable, de leurs véritables noms : le voyou, le pleutre, l’impuissant. Des Bretons, me dit-on, réfléchissent à une Constitution qui écartera cette sorte d’engeance des postes de responsabilité en Bretagne, lorsqu’elle aura accompli la même trajectoire que l’Ecosse, la Catalogne, mieux encore : l’Irlande, libérée du joug de son colonisateur depuis près d’un siècle.

Je termine par cette réflexion. Si, avec quelques qualités, les Bretons possèdent tant de défauts – le plus pernicieux, à mon avis, étant la jalousie, qui anime, bien plus que l’ignorance et la sottise, dont le lecteur aura un triste exemple en se reportant aux injures qui peuplent les  » commentaires  » sous l’émission de Jean-Luc CARBUCCIA (confere : La Bretagne assassinée), ils ont, en revanche, un sens très vif de la reconnaissance et de la fidélité.

Aussi suis-je heureux de dire à M. HAZO Nétanel, en mon nom et au nom de nos compatriotes, que les phrases qu’il a publiées dans l’Agence Bretagne Presse sur l’exceptionnelle résistance des Bretons à la phagocytose et à la dissolution dans un pays étranger,   le 31 août 2010, nous ont particulièrement touchés. Ces phrases ne sont absolument pas banales pour nous, là ou les Français sont encore incapables de comprendre les drames dont ils sont responsables. NI DES EXACTIONS QU’ILS SUBISSENT, qui les effraient, sans pouvoir en parler ouvertement, car les sophismes idéologiques qui fleurissent dans ce pays, ont  » bouclé  » le discours publics par des lois stupides, qui conduisent ceux qui tentent de s’en affranchir devant les tribunaux. M. Nétanel HAZO, beaucoup de Bretons ont les larmes aux yeux en vous lisant. La vérité est que nos peuples respectifs ont souffert des mêmes abominations dues à des êtres humains. Les nôtres, par bonheur, infiniment moindres que les vôtres, ce qui ne les rend pas moins insupportables.
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