LA BRETAGNE EST, EN DROIT INTERNATIONAL, INDEPENDANTE. IL N’Y A JAMAIS EU DE TRAITE D’UNION ENTRE LA BRETAGNE ET LA FRANCE. L’EDIT DE 1532 EST UNE LOI FRANCAISE, IMPOSEE A LA BRETAGNE PAR LA FORCE, EN AUCUN CAS UN TRAITE.

 

PROVERBE CHINOIS.  « Le clou qui dépasse attire le marteau ».

Malheur à celui qui se distingue de la foule par des qualités particulières, une supériorité quelconque et dont la tête tend à émerger.

Ce proverbe, je pense, n’est pas d’origine chinoise, mais bretonne. La jalousie sociale et individuelle atteint des sommets en Bretagne. Je n’ai jamais rien vu de pareil dans aucun pays. Cet instinct destructeur est notre perte. Au lieu de nous réjouir de tant de talents dont la Bretagne est si incroyablement riche, ceux qui pourraient nous tirer vers le haut sont honnis et combattus de toutes les manières.

Par bonheur, j’ai échappé à la catastrophe de la jalousie.

 

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La censure criminelle de la France, démocratie et pays des droits de l’homme : le pouvoir procède à un « classement » des journalistes et de toutes les personnalités qui sont d’un avis différent. C’est pourquoi ce pays qui a tout détruit, tout massacré en Bretagne, présente les légitimes revendications des Bretons comme émanant de terroristes, qui détruisent et qui pillent.

 

Les Bretons, lamentables, incapables de se réunir autour d’une table pour mettre en action un plan unique – attendu qu’ils défendent les mêmes options pour la Bretagne -, sont les responsables réels de ce qui leur arrive : le « mouvement » breton est un milieu psychiatrique, fondamentalement malade.

Dans ce jeu de massacre infantile, deux initiatives remarquables :

– La création d’un prix Du Guesclin, qui sera attribué au plus grand traître pour l’année 2014 : Ayrault ? Ce pauvre Le Drian ? Lebranchu, cette malheureuse ? Les trois ex-aequo ou avec mention d’excellence pour Ayrault ??? On verra.

 

– Le catalogue des Maires, traîtres au petit pied, qui refusent de dresser sur la façade de leur Mairie notre drapeau national : le Gwen a du.

Nous appelons à vous associer tous à des initiatives : la solution n’appartient pas aux traîtres, mais à vous, qui êtes propriétaires de votre pays, les ci-devant étant appointés pour vous trahir.

 

Le Figaro
Le Scan Politique
figarofr © Fournis par Le Figaro figarofr L’ancienne ministre assure dans son livre L’Insoumise qu‘une note existait au gouvernement classant les journalistes en fonction de leur position supposée sur le projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes.Delphine Batho menace de rendre la liste publique. Dans son récent livre de révélations, L’Insoumise, la députée socialiste raconte que lorsqu’elle était ministre de l’Ecologie il existait au gouvernement un document classant les journalistes en fonction de leur position supposée vis-à-vis du projet contesté d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes.Après ses déclarations, le club de la presse de Nantes s’est indigné et a réclamé «des explications» sur l’existence d’une liste. Mais Jean-Marc Ayrault, à l’époque à Matignon et principal défenseur du projet ne s’est pas encore expliqué publiquement sur la question. AFrance Culture, il a expliqué «ne pas avoir eu connaissance d’une telle note, de même que son ancienne équipe de communication», refusant d’en dire davantage.Au Lab d’Europe 1, Delphine Batho se fait plus menaçante à l’égard de ceux qui douteraient de sa parole. «Je serais amenée à rendre cette liste publique si on venait à dire que ce que j’écris est faux ou mensonger», assure la parlementaire des Deux-Sèvres. «C’est à ceux qui ont rédigé cette note qu’il appartient de s’expliquer», poursuit-elle. Elle se veut néanmoins plus prudente sur le rôle de l’ancien premier ministre dans cette affaire. «Je ne peux pas affirmer que Jean-Marc Ayrault ou d’autres ministres avaient ou pas eu connaissance de ce document. Ce que je sais, c’est que ce que je dis dans mon livre est vrai», indique-t-elle.Dans son livre l’ex-ministre évoque une «liste diffusée lors d’une réunion interministérielle», classant les journalistes en trois catégories, «les anti, les neutres, les pour». Cela fait l’objet d’un chapitre titré «La Liste», où elle indique que «ce n’était pas une note d’analyse du traitement médiatique du dossier, mais bien une liste répertoriant les journalistes selon leurs supposées positions personnelles.»Lorsque la Bretagne sera redevenue souveraine, les personnes citées ci-dessus devront répondre de leurs crimes contre la démocratie devant la juridiction constitué comme à Nüremberg.@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

 

Catholiques français et bretons, voulez vous rôtir comme cela ? Il y a VINGT ANS qu’on vous interpelle, dans un climat médiatique corrompu. Pourquoi cette lâcheté parmi vous ??? Les violences vous ont strictement été dissimulées, les statistiques falsifiées, les expulsions et le dépouillement des chrétiens d’Orient dissimulés honteusement. POURQUOI vos médias n’ont-ils rien dit ? Pourquoi vous êtes vous laissés faire par cette propagande médiatique mensongère et lâche ? Il y a plus de vingt ans qu’on connait ces atrocités contre les chrétiens et les occidentaux. Pourquoi le pouvoir a-t-il interdit d’en parler ? Pourquoi les journalistes ont-ils rampé sur le sol ?

 

https://mail.google.com/mail/u/0/?tab=wm#inbox/14b5fff86ed99cd5

 

 NOUVEAU MESSAGE AUX LECTRICES ET AUX LECTEURS. Vous savez que nous sommes seuls dans notre volonté de faire renaître la Bretagne. Les parlementaires, appointés par la France, ont agi contre vous dans cette abominable affaire de la Loire Atlantique. Les médias sont « subventionnés » pour ne pas vous informer (plus de dix millions d’euros par an, prélevés sur vos impôts, pour Ouest-Torche) . Les industriels ne font rien. Ceux qui ont agi l’ont fait mollement, et en vain.

Mais nous sommes les plus forts, car nous sommes la Bretagne, ils ne sont rien. Surtout, nous ne sommes ni à vendre ni à acheter. La force brutale est en face. La force du Droit est pour nous. Grâce à vous, le livre bleu poursuit une magnifique carrière sur la toile. Mais ce n’est pas assez. Nous devons agir jusqu’à la victoire finale : la renaissance de notre Pays sur la scène internationale. Ne vous lassez pas, donc, d’adresser l’histoire de notre pays à toutes et à tous : le jour viendra où il sera entre toutes les mains. La phase que nous vivons est celle de la réappropriation de notre Histoire, c’est-à-dire de la prise de conscience de ce que nous sommes, et des crimes dont nous avons été victimes. Cela ne peut plus s’arrêter.

Le discours prononcé à Vannes en 2006, a une importance capitale. Comme l’a écrit Marcel TEXIER, ex-président des Bretons du Monde, cette analyse donne à notre action une légitimité absolue. Le droit des peuples à décider de leur Destin fera le reste. TENONS BON !

 

 

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ANNE DE BRETAGNE, récupérée par le pouvoir français ? Le pilonnage et la falsification de l’histoire de Bretagne continuent. Mais aujourd’hui, c’est trop tard : ça ne prend plus. AVANT DE LIRE LE PRESENT ARTICLE : M. EMMANUEL VALLS, favorable à l’indépendance de la Catalogne, pays de ses ancêtres, prête à ANNE DE BRETAGNE des propos insensés. (… accessoirement, il situe ces propos il y a quatre siècles, alors que notre héroïne est morte … il y a cinq siècles !).

 

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LETTRE OUVERTE A MONSIEUR EMMANUEL VALLS, PREMIER MINISTRE DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE, SUR L’ANNEXION ET LA DESTRUCTION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE.

Monsieur le Premier ministre,

 

Le premier devoir d’un chef de gouvernement est de s’informer. Quel est le conseiller qui vous a induit en erreur, et fait prononcer cette phrase absurde, par notre héroïne nationale, en se trompant, au demeurant, d’un siècle ? Serait-ce l’un des deux agrégés d’histoire « bretons » proches de M. François Hollande, réputés l’un et l’autre pour la méconnaissance de l’histoire de leur pays, et de s’être eux mêmes humiliés dans l’affaire de la Loire Atlantique, dévoilant enfin au grand jour ce qu’ils sont ?

ANNE de BRETAGNE, figure emblématique des droits de son peuple, est l’héroïne de notre indépendance, en aucun cas celle par qui notre malheur est arrivé : l’annexion de notre pays par la France. Jusqu’à sa mort, elle a tout mis en oeuvre pour que son pays reste libre et hors de portée des malfaisances françaises.

Vous savez ce que cela veut dire : VOUS ÊTES CATALAN, n’est-ce pas ? J’inviterai votre cabinet à assister à la conférence que je donnerai à Paris dans quelques semaines sur le thème : « Anne de Bretagne et l’Indépendance de la Bretagne« . J’ai déjà conféré sur ce sujet au Sénat français, en 1997, devant un public nombreux, alors que j’étais candidat à la médiature de la république, où je comptais faire beaucoup de bien. Vous serez le bienvenu, car vous ne savez pas, ce qui vous confère quelques circonstances atténuantes. Je ne souhaite pas y voir de membres « bretons » de votre gouvernement, car eux savent, et font semblant de ne pas savoir. Mais à ce stade, la vérité historique est maintenant connue.
https://plus.google.com/u/0/112657159205407186646/posts/WtfiE9ZLD9t?pid=6111572873724786018&oid=112657159205407186646

La Bretagne ne serait pas ce qu’elle est sans la France, dites-vous ?

En effet ! Jusqu’en 1487, la Bretagne a été un pays prospère et respecté : souveraine, indépendante, fière, l’une des toutes première puissances d’Europe, avec la deuxième flotte, loin devant celle de la France, alors quasi-inexistante. Notre pays a été envahi à trois reprises par la France, à partir de cette date. Nos armées nationales ont été détruites en 1488, notre dynastie, plus ancienne que celle des Capet a été anéantie, nos institutions parlementaires séculaires et consensuelles ont été mises à plat, notre monnaie a été supprimée, nos juridictions, notre clergé, notre administration peuplée d’étrangers français, nos soldats ont été attirés dans vos armées pour entretenir vos guerres et vos violences contre vos voisins, nos finances pillées, notre économie, écrasée pour votre service, et ruinée en un siècle et demi de prédations. En 1675, à la suite de la révolte fiscale de la Bretagne, dite « des Bonnets rouges », motivée par l’indignation de la Bretagne d’avoir à payer deux fois une somme énorme, levée illégalement, pour financer la guerre injuste déclenchée par la monarchie contre la petite et vertueuse Hollande, la France a ramené dix milles soldats du Palatinat, où ils s’étaient illustrés par des atrocités qui laissent encore des souvenirs effrayés en Allemagne, pour les déverser sur la Bretagne, où ils ont fait pire. Au point que madame de Sévigné, dans ses lettres dit que les arbres ploient sous le faix des cadavres, et qu’on en pendit tant, qu’au bout d’un temps, il n’en resta plus à pendre.

Plus grave : à partir de 1789 – que la France a l’audace d’appeler la révolution des droits de l’homme, nos Libertés ont été anéanties, notre législation et notre fiscalité abolies, nos représentants humiliés, nos administrateurs remplacés par des « préfets » français (aucun Breton parmi eux jusqu’à aujourd’hui). Notre langue et notre culture ont été humiliées. Des injures d’une cruauté inimaginable ont déversées sur les Bretons jusqu’à aujourd’hui. Notre langue est en train de mourir, par la planification destructrice initiée, programmée, conduite par le France. Je n’oublie pas les massacres de 1793 et de 1794, atroces. Tout cela est aujourd’hui publié, la population bretonne, dans sa quasi totalité, est aujourd’hui au courant.

Voila maintenant que la France, en violation flagrante du Droit International, prétend s’opposer à la réintégration de Nantes et de son comté dans notre mère Patrie ? 70 pour cent de la population honnissent les députés et les sénateurs qui se sont associés à cette forfaiture.

Vous avez reçu les parlementaires, n’est-il pas vrai ? Que peut penser un Catalan de ces gens qui vendent leur pays pour une médiocre investiture à de médiocres « élections », c’est à dire pour un plat de lentilles, où ne sont élus que ceux qui s’inclinent ? Le Catalan que vous êtes a-t-il pu considérer que ces gens là sont des Bretons? Si tel est le cas, je vous demande de changer d’opinion, car aucun Breton ne voudrait se reconnaitre en eux : Judas était Juif, mais aucun Juif ne revendique ce sinistre héros.

Ce discours vous est sensible, puisque vous êtes Catalan, et fier de l’être. On dit que vos compatriotes sont arrogants, au point d’en être antipathiques. Est-ce vrai ? Les Bretons sont fiers, mais pas de cette manière : la France les a transformés en esclaves, ils se dégagent à peine de cette servitude. On m’a dit que du temps du général Franco, chef de l’Etat espagnol, les Catalans surpris en train de parler leur langue étaient emprisonnés. Est-ce vrai ? Quelle serait votre réaction si votre langue ancestrale avait été sciemment assassinée par Madrid, capitale de La Castille, comme la nôtre a été assassinée par la France ?

COMMENT ? « NOS » DEPUTES ET NOS SENATEURS NE VOUS ONT RIEN DIT DE CELA ? Mais QUE SONT-ILS pour avoir osé se taire, alors que la tribune de l’Assemblée nationale et la tribune du Sénat sont à leur disposition ?

Si enfin, avertis de toutes parts par leurs électeurs, ils n’ont pas le courage de vous mettre au courant, je demanderai à vous rencontrer. Je n’ai ni antipathie ni sentiment négatif à votre encontre. Lorsque vous me verrez, vous serez dans les mêmes dispositions à mon égard : vous faites votre métier de Premier ministre de France, je fais mon métier de Breton.

Il existe un moyen sûr de vous informer. Un petit livre a été écrit pour cela. Les Bretons sont au moins aussi susceptibles que les Catalans, ce qui n’est pas peu dire. Lorsqu’on parle d’eux, il vaut mieux savoir qui ils sont, et ce qu’a été leur invasion, puis leur colonisation par la France. Surtout, il ne faut pas proférer d’inexactitudes sur leur héroïne nationale, qu’ils vénèrent, car elle est le symbole de leur Dignité. Le cabinet de votre prédécesseur, M. Jean-Marc AYRAULT, avait commandé, quelques jours après sa parution, deux exemplaires du Livre bleu de la Bretagne, présenté par mes soins en 2009 au Congrès de la FUEN à Bruxelles. Sur l’enveloppe émanant de l’Hôtel Matignon, une mention cocasse, écrite de la main d’un proche collaborateur de Jean-Marc Ayrault, outre le nom et l’adresse de l’éditeur, la précision suivante : « DUCHE DE BRETAGNE » (!).

Vous avez raison de dire que nous avons ce que vous appelez notre « spécificité ». Elle est plus forte encore que celle des Catalans. Pour être clair : les Bretons sont une Nation, au sens le plus fort du terme, identifiée comme telle dans l’antiquité, et longuement décrite par Jules César dans son ouvrage « La guerre des Gaules ». Nous existons donc, au minimum, en tant que Nation, plus de mille ans avant les Français. Belle « spécificité », n’est-ce pas ? Un premier ministre de France ne peut pas ne pas avoir lu cet ouvrage, qui, quoique totalement scotomisé par les médias du pays des droits de l’homme, devenue depuis des années une république bananière, a été téléchargé plus de 100 000 fois par Internet. Pour y accéder, tapez dans la case Google ces cinq mots : Livre bleu de la Bretagne; une surprise vous y attend. Ce pauvre Stéphane Hessel, qui écrivit un livre de 32 pages totalement vide de la moindre idée, a tiré à un million d’exemplaires, par la grâce des médias français. (On a même envisagé de « panthéoniser » le cadavre de ce brave homme après sa mort!).

Nous sommes 8 millions de Bretons dans le monde : nous allons donc, avec un petit livre aussi  chargé d’idées, le dépasser largement :

https://www.google.fr/?gws_rd=ssl#safe=off&q=livre+bleu+de+la+bretagne

 

Si je voulais résumer tout ceci, Monsieur le Premier Ministre, voici ce que je dirai : très antique nation, estimée de tous à la fin du 15ème siècle, la Bretagne, pays fier et prospère, a été envahie par la France à trois reprises de 1487 à 1491. A force d’exactions et de crimes, la France a ruiné la Bretagne. Au 20ème siècle, l’oeuvre « civilisatrice » de la France en Bretagne se résume à ceci : non pas seulement la transformation de ce pays ruiné en Ploukistan occidental de la France, non pas en cul de sac de la « république » auto-proclamée des droits de l’homme, mais en TROU DU CUL DE L’EUROPE.

Vous avez raison de mépriser ceux qui ont trahi leur pays.

Vous comprenez aisément que les Bretons, aujourd’hui en état de s’exprimer grâce à Internet, sont en route pour que cette situation humiliante cesse.

 

Recevez, Monsieur le Premier Ministre, l’assurance de mes meilleurs sentiments.

 

LOUIS MELENNEC, Breton, ex-consultant près le Médiateur de la république française.

 

 

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Après entretien avec une collaboratrice du premier ministère, j’adresse la présente au cabinet de M. VALLS. Dont bonne lecture ! Je remettrai en mains propres le livre bleu à M. VALLS.

 

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DISCOURS DE VANNES, mars 2006. 

Ce discours doit être sauvegardé et diffusé partout. Il est pour la Bretagne, sans aucune forfanterie et sans aucun orgueil déplacé, ce que fut pour les Français le discours de Londres du 18 juin 1940. Il fixe après des siècles de servitude, ce qu’a toujours été le statut de la Bretagne : un pays qui n’a jamais renoncé à ses droits immémoriaux : un pays occupé, c’est à dire enchainé, mais LIBRE.

 

 

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L’exposé qui suit, qui a fait l’objet d’une importante conférence à VANNES, en 2006, devant plusieurs centaines de Bretons réunis par la soif de connaître la vérité sur cette période de l’annexion, falsifiée par la France, et par l’amour indéfectible pour leur pays, est de loin le plus important de toute ma vie. Si je n’avais fait que cela, je n’aurais pas été entièrement inutile.

Il a été rendu possible grâce à Pierre LEMOINE, président de la FUEN pendant plusieurs années, l’un des plus grands patriotes que la Bretagne ait comptés, infatigable au service de son pays à près de 90 ans.
Au plan technique, ce film est de mauvaise qualité; cela importe peu, au regard de son contenu. Il avait été confié en dépôt sacré, à des personnes qui auraient dû concevoir ce qu’il représente. Il fut perdu, il est retrouvé. Je le mets immédiatement sur la toile, et demande aux auditeurs d’en prendre copie, et de le répandre partout.
Le nombre d’heures consacrées pour le mener à bien se compte par centaines, sans doute par milliers. Le nombre d’années ? Pour remettre tous les fragments bout à bout, cela a pris largement plus de dix années, peut-être davantage. Cette synthèse représente une somme de recherches historiques et juridiques quasi effrayantes; je suis moi-même surpris d’avoir eu, plus jeune, la persévérance de chercher, et de trouver, à force d’acharnement.
Les mêmes recherches peuvent être mises à profit pour la Corse, la Savoie, l’Alsace …, avec les mêmes conséquences juridiques : ces Nations ont été annexées par la France, en violation du droit, et sans leur consentement : en droit, elles sont donc libres, elles n’ont aucune attache avec le pays qui les a annexées, que celui de chaines maintenues par la force. Les populations de ces pays ne se sentent pas françaises pour une raison simple : elles ne le sont pas.

J’engage tout mon poids de juriste, de chercheur et d’historien honnête et réputé intègre, tout mon honneur d’homme et de professionnel du droit et de l’histoire, pour réaffirmer ici ce qui n’est pas une thèse, mais une certitude : la France, ce pays qui s’est autoproclamé inventeur des droits de l’homme, n’est en Bretagne que par la violence, la corruption, l’achat des consciences, la violation du droit. Et la lâcheté de ses complices, bien sûr, qui aujourd’hui sont -enfin ! – cités par leurs noms, et vont recevoir sans tarder leur couronne d’infamie.  La France est tout juste un Etat occupant, vraiment rien d’autre. Et elle ne se maintient dans notre pays que par les fautes sans cesse répétées des Bretons – singulièrement de ceux qu’on désigne pompeusement sous le nom « d’élus » -,  qui sont incapables de se mettre autour d’une table, et de reprendre en main le destin de leur pays – ni même d’empêcher la mort programmée de leur langue -, pour lui préférer les avantages considérables que leur vaut leur complaisance à l’égard du pays étranger qui jouxte nos frontières à l’Est.

Si j’en ai le temps, j’enregistrerai à nouveau le texte, d’une voix lente, pesée, et ralentie. ., probablement . »

J’ai l’intention de mettre au propre ces notes, pour qu’elles soient, sinon complètes, en tous cas strictement exactes quant à leur formulation, et en exclure les inévitables imperfections d’un discours oral. Les principales références figureront sous le texte. Il faudra bien, pour cette fois, lire plus de dix lignes, à quoi se limitent aujourd’hui, outre la capacité de disputes et d’injures, les réelles aptitudes de nombre de nos compatriotes  à faire progresser le débat, et conduire notre pays à la totale récupération de ses droits nationaux et internationaux.

Je demande à nos lecteurs d’en prendre copie soigneusement, car le perdre serait dramatique. Les choses étant ce qu’elles sont, je le dis sans orgueil : ce texte fait désormais partie de l’histoire de la Bretagne; il démontre par quelles violences, par quels artifices, par quels mensonges la France est encore en Bretagne.

Les Bretons ont pour eux tous les atouts : mais ils préfèrent rester serfs d’un pays qui se précipite chaque jour davantage dans le gouffre. Cette maladie – c’en est une -, est-elle incurable ?

 

(A suivre ..)

 

 

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