LA FRANCE, PAYS ETRANGER EN BRETAGNE N’A Q’UN DROIT : EVACUER NOTRE TERRITOIRE NATIONAL .

 

 

UNE TRAHISON SANS EXEMPLE DANS L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE : LES BRETONS BAFOUES PAR LA TOTALITE DE LEURS ELUS : UNE HONTE SANS EQUIVALENT DEPUIS CINQ SIECLES ET DEMI .

 

LES DEPUTES ET LES SENATEURS ADOPTENT UNE NOUVELLE VERSION DU BRO GOZH MA ZADOU (voir la fin de l’article).

 

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LETTRE OUVERTE AUX DEPUTES et AUX SENATEURS BRETONS, en particulier à M.M. LEFUR et MOLAC

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Messieurs les Députés et les Sénateurs,
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Le grand Marcel Planiol, inconnu de nos députés et de nos sénateurs, quoique sa qualité de plus grand juriste breton ne fasse aucun doute, a écrit dans sa monumentale Histoire des Institutions de Bretagne, qu’en 1532, les « grands » du Duché, en se couchant devant les Français, ont vendu la Bretagne pour un plat de lentilles. Il ne le précise pas – ce pour quoi je le fais à sa place, ayant une connaissance particulière de l’ « affaire », l’un des hold-ups les plus monstrueux du siècle -, l’argent et les terres qui leur furent donnés pour prix de leur lâcheté, étaient, pour l’argent, volé dans les poches des Bretons, les terres, le patrimoine de notre Dynastie bretonne, la famille ducale et de quelques autres qui en furent dépouillés au profit des collabos du temps, et surtout d’étrangers : les Français. Terrible réalité, prouvée par les archives, qu’on ne vous a certes pas, esclaves Bretons, appris à l’école.
N’est-ce pas ?
C’est ainsi, en particulier, que fut faite cette imposture dénommée – jusqu’à nos travaux -, « L’UNION PERPETUELLE DE LA BRETAGNE A LA FRANCE ».
C’est ainsi que François Ier, roi de France, s’étant emparé de la fortune de nos ducs et de l’héritage fabuleux des deux filles d’ANNE la GRANDE, duchesse de Bretagne, fit don du magnifique château de SUSCINIO et des vastes terres en dépendant, …. à sa maîtresse Françoise de Foix. Ce fait n’est pas anecdotique : Suscinio (voir dans Internet) était et reste un des symboles forts de notre héritage national.
Cocus de Bretagne, réveillez vous : voilà cinq siècles qu’on vous cocufie.
Cette fois, les auteurs vous sont connus (hélas!) : vous les avez élus ! Et, fidèles à leurs habitudes, il vous ont trahi.
La France d’aujourd’hui a perfectionné le procédé qu’elle mit en oeuvre en 1532 : au prix d’un truquage même pas savant, on labellise les clients du système, comme on appâte les animaux, on leur donne l’onction qu’ils sollicitent auprès des « instances nationales des partis » (ainsi les nomme-t-on !), on les attire dans la capitale, on les pensionne par de grasses prébendes : celà s’appelle aujourd’hui la démocratie.
Et voila comment la Bretagne est maintenue en servitude.
C’est une méthode qui a fait ses preuves jusqu’à ces toutes dernières années. Mais les évènements récents ont ouvert les yeux, tout d’un coup, de plusieurs centaines de milliers de nos naïvissimes compatriotes : Merci M. Le Drian, madame LEBRANCHU …….. Aucun remerciements à Jean-Marc Ayrault, certes non.
(Voir dans Google : Mélennec Lebranchu, mélennec LE DRIAN, etc.).
Il était temps : la Bretagne, sous la férule de la France, est en train d’être détruite, comme sa marâtre : chômage, délitement du tissu économique, désordre généralisé, clientélisme honteux, corruption, achat et assujettissement de ce qu’on dénomme sous l’appellation de « merdias », délinquance galopante, apparition de zônes « incontrôlées » – nous nous comprenons -, prostitution dans les grandes villes, désarroi effrayant de notre jeunesse, impossiblité de combattre l’insécurité et l’immigration non autorisée, usage de drogues tous azimuts ….
France mère des arts, des armes et des lois ….
Si l’on en croit les médias, messieurs LE FUR et MOLAC sont presque les seuls à être intervenus dans le lamentable débat de la restitution de la Loire Atlantique à la Bretagne, le département le plus important de notre Pays, le plus riche et le plus prospère, le plus cher au coeur des Bretons.
Ceux-ci, désormais au courant de leur histoire, réclament depuis plusieurs dizaines d’années que le voleur rende gorge, et que leur soit restitués la ville de Nantes et son territoire.
Les députés socialistes, honte sans exemple pour le pays depuis cinq siècles, ne se sont pas contentés de se coucher sur le sol, une fois de plus : ils se sont roulés dans la boue, pire : dans la bouse. Les députés de droite sont pires, car ils ont trahi leurs serments.
(NB. Sur les insectes copophages, ou bousiers – de deux mots grecs qui signifient « fiente », et « manger », qui se nourissent de merde donc, voir les nombreux articles publiés sur le toile..)
I – La Bretagne appartient aux Bretons, d’une manière EXCLUSIVE, en aucun cas à la France, et sûrement pas – ce qui serait pire – aux « députés » et aux « sénateurs » bretons.
Le Comté de Nantes fait partie de notre territoire national depuis l’an 851, soit depuis près de douze siècles.
Par une décision de caractère totalitaire, il nous a été volé par le pays situé à l’est de nos frontières, sous le régime de Vichy, et a été maintenu dans le territoire de la France par la force, ce pays disposant encore actuellement, en violation flagrante du droit des peuples, consacré par le droit international, des moyens de coercition dont la Bretagne est privée depuis son invasion et son asservissement par son ennemi héréditaire.
Les Bretons ont noté – sans surprise, car ils savent de quoi leurs interlocuteurs sont capables – que plusieurs députés et sénateurs se sont emparés des débats pour les mettre au service de leurs médiocres ambitions personnelles. Ayant la mémoire longue, ils s’en souviendront.
La Bretagne appartient aux Bretons, d’une manière EXCLUSIVE.

Elle n’est pas française. Elle a été envahie et détruite à trois reprises de 1487 à 1491, puis annexée en 1532, par un faux traité, imposé par la force, la corruption, sans aucun consentement ni de la population, ni de ses élites.

 

De 1532 à 1789, la Bretagne a été asservie par la monarchie française, mais a su conserver le droit de s’administrer elle-même et de voter ses impôts, par une résistance féroce aux initiatives maléfiques de son voisin, avec lequel elle a du supporter un souverain commun, le roi de France, ses armées nationales ayant été détruites, comme vous le savez, au champ d’honneur de Saint-Aubin-du-Cormier, le 28 juillet 1488. Il a fallu supporter la présence française pendant ces deux siècles et demi, faute de pouvoir l’éradiquer. Les rois de France, quoique honnis en Bretagne, comme souverains étrangers, ont été infiniment plus respectueux de la Bretagne que les régimes issus de la très meurtrière « révolution » de 1789.

 

En 1789, les Institutions, la législation, la fiscalité de la Bretagne ont été abolies, sans son consentement. Un processus impitoyable de colonisation a été mis en oeuvre par un pays auto-proclamé « inventeur des droits de l’homme », imposture ridicule, les droits de l’homme étant une conquête progressive de l’humanité depuis l’antiquité, comme le prouvent les textes depuis Hammourabi, d’une manière irréfutable.

La langue et la civilisation bretonnes ont été persécutées, les cerveaux lessivés par un enseignement voulu et programmé depuis Paris, pour écraser toute velléité d’identité nationale chez les Bretons. La langue est virtuellement morte. Parlée par 1, 6 million de Bretons en 1860, elle ne compte plus guère que 100 000 locuteurs à l’heure actuelle, et perd plus de 10 000 locuteurs chaque année : cette éradication programmée, au regard du droit international, est un CRIME IMPARDONNABLE.

 

II – LES BRETONS ENTENDENT REPRENDRE POSSESSION DE LEURS DROITS IMMEMORIAUX, ET PUNIR CEUX QUI LES ONT TRAHIS.

Jusqu’à ce jour, les Bretons ont fait l’objet d’insultes insanes, sans que leurs auteurs soient poursuivis, là ou Christiane Taubira obtient du tribunal de Cayenne une condamnation à neuf mois de prison ferme, pour une injure il est vrai inacceptable, mais infiniment moins grave que que celles qui ont été déversées sur nous depuis 1789, l’année où la France, selon l’histoire officielle ridicule rédigée par elle-même, a apporté au monde la Liberté et les Droits de l’homme (!).
Avez-vous lu ces injures anti-bretonnes, messieurs les députés ? Alors lisez-les. Si c’est déja fait, au lieu de baisser les yeux devant ceux qui vous ont humiliés, jetez-leur ces insultes à la figure.
Avez vous seulement lu les procédés ignobles par lesquels les Bretons ont été colonisés, pillés, exploités, humiliés ? Il est temps que vous le fassiez, et que vous redressiez la tête.
Les Français sont un peuple respectable. Les Bretons sont un autre peuple, identifié par les auteurs antiques avant même leur émigration en Armorique, plus de mille ans avant les Français.
Il est stupide de vouloir considérer qu’ils sont une même Nation : cela n’a jamais été, cela n’est pas, cela ne sera JAMAIS.
Voici pour vous et les autres parlementaires « bretons », qui ne vous êtes jamais préoccupés de ce qu’à été notre histoire sous la férule impitoyable de la France :
Ne nous dites pas, comme l’un des députés élu dans une circonscription voisine de la vôtre : « c’est cuit » pour la Bretagne, parce que le premier ministre français ne le veut pas. Comme si un un Breton pouvait tenir des propos aussi vils, là où, informé de la vérité historique et juridique – l’homme auquel je fais allusion est juriste universitaire – la restitution des droits volés et violés par le pays voisin du nôtre avait rien à voir avec la volonté d’un quelconque premier ministre ! 
Les ministres et les présidents passent, la Bretagne est éternelle.
Vous et les autres parlementaires bretons n’avez qu’une seule Mission : nous faire restituer tout ce qui nous a été volé par un Etat-voyou, qui n’a ni de près ni de loin à décider quoi que ce soit à notre place. Le droit de décider de leur destin n’appartient qu’aux Bretons, et à eux seuls, comme tous les peuples du monde.
Dans les circonstances présentes, les Bretons étant enfin informés de la manière dont leur pays a été écrasé et réduit, vous n’avez qu’un seul mandat : travailler à leur rendre ce qui leur appartient de temps immémorial. Toute autre manière de faire serait contraire au droit, à la morale, aux règles élémentaires de la démocratie. Et vous déshonorerait.

Aujourd’hui, 75 pour cent de la population bretonne, par les sondages qui expriment SA DECISION, veut récupérer TOUS SES DROITS, NATIONAUX et INTERNATIONAUX. Elle sait que le droit international existe, et entend désormais porter le débat sur ce terrain, et dénoncer les magouilles misérables de quelques uns d’entre vous.

La France N’A AUCUN DROIT EN BRETAGNE, SAUF CELUI DE S’EN ALLER. Je suis, comme tout Breton, entièrement solidaire des 75 pour 100 qui ont exprimé leur volonté d’être désormais entièrement maîtres de leur destin.

Je vais amplifier la présente lettre, et l’adresser, en tant que tel, non en mon nom personnel, aux députés, aux sénateurs, aux maires des grandes villes bretonnes, dans le souci, notamment, de relever le lamentable débat aux termes duquel quelques uns, investis du seul devoir D’OBEIR à la population, croient pouvoir en disposer comme un troupeau de bestiaux, pour servir leurs médiocres ambitions personnelles, c’est à dire pour continuer à aller à la soupe.

La France étant en Bretagne un pays étranger, toute idée de référendum est STUPIDE, les Bretons étant chez eux dans leur Pays, depuis douze siècles, la France n’occupant notre mère patrie que par la force, la contrainte, la manipulation. C’est aujourd’hui le problème des réparations dues à la Bretagne qui se pose.
Les médias étant couchés devant le pouvoir d’une manière servile, ce que toute la population de l’hexagone exècre, la soumission des « élites » étant évidente, notre volonté de recouvrer nos droits historiques dans leur intégralité étant maintenant ce qu’elle est,  il serait illusoire de croire que la situation est maîtrisée à l’est de nos frontières, par un pays qui se délite, au grand désespoir de sa population, qui n’a même plus le droit de d’exprimer le destin qu’elle souhaite pour elle-même, à moins de s’exposer à se retrouver devant les tribunaux correctionnels, pour seulement avoir dit la vérité.
Les chroniques historiques, politiques, juridiques surtout, sur le débat breton comportent désormais plusieurs centaines de milliers d’entrées sur Internet : c’est là que se déroule le vrai débat, non dans Ouest-torche, Le Télé-crasse, Le Monde, Le Figaro … et autres qui tentent de scotomiser un problème qui aujourd’hui éclate au grand jour. Nous sommes un autre Canada français, une autre Catalogne, une autre Ecosse : nous ne pouvons que gagner, même si des efforts sont encore nécessaires.
Nous connaissons vos convictions bretonnes, M. LE FUR. Sauf erreur de notre part, ce sont les mêmes que celles de tous ceux qui sont informés de la vérité. Mais vous êtes un naïf, spécialiste en naïveté :
Une personne de notre connaissance, votre voisin en Bretagne, vous a dédicacé le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE : comme d’autres parlementaires, ministres, ancien ministres, premiers ministres, vous êtes donc armé et surarmé d’un potentiel de connaissances que la France des droits de l’homme vous avait soigneusement dissimulées durant vos études, ayant substitué son histoire à la vôtre. Vous et les autres parlementaires ne pouvez plus MENTIR en occultant cette vérité.  il est temps de parler net, et de ne plus se contenter de lieux communs et de généralités : vous êtes petit-fils de paysan, vous avez vécu en Bretagne, vous savez que TOUT CE QUI EST ECRIT ICI EST VRAI, et que le moment est venu pour que cela se sache.
http://labauleplus.com/pdf/mars2014.pdf    (lire les pages 1, 30, 31, 32, 33).
Si vos interlocuteurs français continuent à ignorer ce qu’à été l’abominable « action civilisatrice » de leur pays dans notre Patrie, qui le leur apprendra, si ceux qui ont mission de parler, parce qu’ils savent le faire, dissimulent leurs vraies convictions ? Il est notoire que vous devez votre « carrière » à la faveur de l’UMP, le parti dont vous êtes membre; c’est par lui que vous êtes vice-président de l’Assemblée nationale : il est temps de dépasser ces considérations, qui aujourd’hui deviennent vulgaires, au regard de notre Histoire et de nos enjeux nationaux.
Quant à vous messieurs de France, ne vous faites aucune illusion : en dépit de cinq siècles d’oppression, surtout féroce sous l’empire des droits de l’homme que vous prétendez avoir inventés en 1789 , vous n’avez pas réussi à entamer, si peu que ce soit, notre sentiment d’identité : vous êtes un peuple tardif, qui n’apparaît guère en tant que tel qu’aux 12ème et 13ème siècles. Nous, Bretons, sommes décrits en long, en large et en travers  par Jules César, avant Jésus-Christ, dans la Guerre des Gaules : témoignage certain, les civilisations ne se créant pas par l’effet d’un coup de baguette magique, que la nôtre existe au moins depuis plusieurs siècles avant la naissance du Christ. Voilà ce qui fait la différence fondamentale entre nous : croyez-vous, donc, que vous allez pouvoir nous rayer de la carte ? Si les Bretons sont encore timides dans l’expression de leurs droits sacrés, qui ne le serait après tant de siècles d’écrasement mental ? Ils ont peur de parler publiquement, sachant qui est en face d’eux, et ils n’ont pas tous vocation à être des héros : c’est l’effet de l’action de la France, mais ne doutez pas que vous allez voir de plus en plus ces craintes s’évanouir. Savez vous que sous le régime terrifiant instauré par le général Franco en Espagne, d’être surpris à parler le catalan en public valait aux intéressés d’être jetés en prison ? Voyez ce qui se passe en Catalogne comme en Bretagne ; la Catalogne est à la veille de l’Indépendance; chez nous l’évolution est plus lente, parce que l’oppression a été plus longue, plus féroce, plus imbécile, et que les Bretons restent un peuple extrêmement craintif, à force d’avoir été battu, infériorisé et persécuté. Comme l’a dit Herbert Pagani, juif et fier de l’être : « Les Bretons sont les Juifs de la France ». Mais tous peuvent constater que depuis dix ans, une évolution considérable est en cours.
Quiconque est né Breton sait ce qu’est une Patrie, et l’amour qu’on lui porte. C’est pour nous, Bretons, plus qu’ensemble une mère et un père, réunis dans la même personne; c’est ce qui coule dans nos veines. Les Français ne peuvent comprendre cela, eux qui sont né de l’amalgame forcé de peuples divers, agglutinés ensemble sans cohérence, depuis une période trop courte pour éprouver cette sorte de sentiment violent qui est le nôtre à l’égard de notre Pays.
La honte que déversent depuis des années sur eux leurs élus ne fait que renforcer leur détermination. Après ce qui vient de se passer, la Bretagne vit une dépression dont les symptômes sont visibles. Mais ce n’est qu’une péripétie. Seul restera le souvenir de la trahison de ceux qui ont trahi.
Les socialistes et ceux de la droite qui ont trahi recueillent le fruit de leur trahison. Quelques qualificatifs éloquents relevés dans les blogs et dans les sites : lâches, couards, traîtres, résidus pitoyables, faux-jetons, godillots, salauds, serfs, esclaves …
Les deux qualificatifs les plus appropriés : imbéciles, eunuques. On me dit que certains d’entre eux n’osent plus se montrer dans les lieux publics, car ils sont injuriés.
Les Bretons, comme toute la France a pu le voir lors des manifestations des Bonnets rouges, ont cessé d’arborer le drapeau français, pour ne plus brandir que le drapeau noir et blanc de la Bretagne; la Marseillaise est ouvertement remplacée par notre hymne national, le Bro gozh ma zadou … L’hypocrisie et la lâcheté de ces gens là s’en accommode, mais, condamnés par nos compatriotes, ils continuent à faire honte à leur Pays.
Enfin, les Bretons libèrent leur langage et leurs sentiments : depuis combien d’années préconisons-nous cette libération, qui précède l’autre ? Ils sont réputés dans le monde entier pour le trait psychologique majeur : l’obstination. Tous savent donc comment cela se terminera.
Mesdames et messieurs les Bretons, mes compatriotes, vos députés et vos sénateurs vous ont pissé dessus : on espère que vous allez, comme d’habitude, les remercier !
Surtout, n’oubliez pas de les réélire : il recommenceront, vous les remercierez encore, …. et ainsi de suite.

Recevez, messieurs  les Députés, l’assurance de ma parfaite considération.

Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, Ex-consultant près le Médiateur de la République française.

Le 16 juillet 2014.
Messieurs et mesdames les députés, les députrices, les sénateurs, les sénateuses, ont tous et toutes été rendu(e)s destinataires de la présente lettre ouverte. Ils savent le peu d’estime dans laquelle on les tient.
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LA NOUVELLE VERSION DU BRO GOZH MA ZADOU, par nos députés et nos sénateurs.
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EN BRETAGNE, TOUT LE MONDE S’ECLATE A LA QUEUE LEU LEU ! A VOIR, A REVOIR, A VOIR ENCORE, ET A FAIRE SAVOURER A VOS PETITS ENFANTS : LE BALLET DES « ELUS » BRETONS : UN VRAI DELICE !
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QUELQUES ECHANGES AVEC NOS CORRESPONDANTS.

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Louis Mélennec à Marcel Texier, ex-président de l’OBE (Bretons du Monde).

Marcel Texier. « Le hasard a voulu, cherchant un journal pour faire mes mots croisés, que j’achète le numéro … de l’hebdomadaire Marianne. Ma surprise a été grande d’y trouver précisément la carte de la Bretagne, telle qu’elle est revendiquée par les Bretons, comme étant leur propriété, en aucun cas celle de la France. L’article est signé : « Perico LEGASSE ». Un basque, je crois. Êtes-vous au courant ? Avez vous une explication ? »

Louis MELENNEC. « Je connais M. Perico LEGASSE depuis au moins quinze ans. C’est un basque solide, qui n’a pas froid aux yeux, ni la langue dans sa poche. Il ferait honte à de nombreux Bretons par sa parfaite connaissance de l’histoire de la Bretagne, et des circonstances dans lesquelles elle a été envahie et annexée. Je le rends destinataire depuis des années, comme beaucoup d’autres journalistes, de mes principales chroniques historiques et politiques. (Les Bretons n’ayant accès à AUCUN MEDIA pour faire valoir leurs revendications, ni exposer les horreurs dont ils ont été victimes depuis leur annexion, vous savez que c’est la méthode que j’ai utilisée d’une manière systématique pour intoxiquer la presse française qui, grâce à Internet, est au courant de notre histoire, mais est aussi lâche que les députés et sénateurs bretons pour la jeter à la face du public) ……

Vous vous souvenez sans doute du procès qui a opposé Le journal Marianne à Josselin de Rohan, sénateur, président du groupe UMP du Sénat, …..

Périco Legasse avait eu l’audace … (à suivre).

 

Louis Mélennec à M. V., quelque part en Bretagne.

Je vous remercie pour ces précisions sur le travail accompli en faveur de la diffusion de Notre Charte Nationale, exprimée d’une manière exhaustive dans le lIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, ce que j’ignorais, et ce qui me rassure. Nous n’agissons que dans le cadre de la légalité, et selon les lois de la démocratie, là ou les gens d’en face violent tous les jours le droit international des peuples dits « minoritaires »- mais majoritaires chez eux, il convient de toujours le rappeler : la France est ultra minoritaire en Bretagne, nous y somme ultra majoritaires : encore une formule ridicule destinée à nous diminuer, qui lui claque à la figure. Beaucoup de gens savent maintenant que les lois internationales sont violées en Bretagne; le débat, auquel j’ai beaucoup contribué, s’élève maintenant, d’une manière sûre, à ce niveau.

Nous avons pour le moment contre nous TOUS LES MEDIAS, qui font semblant de ne pas nous connaître : c’est la manière la plus RIDICULE et la plus PRIMAIRE pour les impuissants et les imbéciles de réagir. Je connais ce procédé de très longue date, en dessous du niveau du sol, et qui situe ceux qui l’utilisent à leur véritable place. Ni Ouest-torche, ni Télé-crasse ni  les autres médias de niveau identique ne citent le LIVRE BLEU, encore moins son auteur, quoique leurs journalistes aient lu cet ouvrage explosif : je m’en réjouis, c’est un très bon indice, c’est que tout se répand à merveille, ce qui m’est confirmé ce matin encore. Tous seront pour nous dans peu de temps, par le même phénomène que les quarante millions de pétainistes de 1944 sont devenus des résistants héroïques en 1945.

Messieurs les pétainistes de Bretagne, lorsque la Bretagne aura récupéré toutes ses prérogatives internationales, et sera devenue membre de l’Onu, vous serez TOUS, sans exception, d’anciens résistants Bretons !

Continuons donc notre travail pacifique mais ferme et déterminé, d’information, car les choses avancent, même si la Bretagne est actuellement dépressive, du fait des magouilles récentes portées sur la place publique au sujet de la Loire Atlantique et de Nantes, est passagère : les auteurs de ces magouilles sont discrédités, ce n’est même pas une péripétie. Ils sont déjà désignés dans les blogs et dans les sites par le substantif qui set à désigner ceux qui trahissent, comme vous pouvez le lire chaque jour.

 

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