DES BRETONS SONT ENCORE ALLES A LA SOUPE . ILS SERONT LES DERNIERS D’UNE ESPECE EN VOIE DE DISPARITION .

 

TEXTE EN VOIE DE REDACTION.

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 A défaut d’avoir le loisir de composer un article complet, selon les règles de l’art, quelques piqûres de rappel seront efficientes.

 A LIRE ABSOLUMENT, pour tout comprendre, à quel stade de sa Libération se trouve la Bretagne actuelle, sans perdre un temps inutile :

– 1675 : les massacres perpétrés en Bretagne par les armées du roi de France : un souvenir qui véhicule l’épouvante … (Louis Mélennec).

– Les crimes de génocide et contre l’humanité perpétrés en Bretagne et en Vendée par la France des droits de l’homme (louis MELENNEC).

– Le docteur MELENNEC demande au parlement turc de voter une loi …

– AVANT TOUTE CHOSE, D’URGENCE, le scandale effarant révélé par la presse ces derniers jours  : Ayrault : le fichage à Nantes de ses adversaires politiques.

 

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 On sait maintenant – les spécialistes des mentalités et de la psychologie des peuples, les anthropologues, les sociologues,  ont désormais poussé très loin leurs observations, et leur théorisation du phénomène, qui excède de loin les relations de la Bretagne et de la France colonisatrice -, que certains peuples réussissent à néantiser totalement ceux qu’ils ont conquis.

Lorsque je suis né, pendant la seconde guerre mondiale, la France était en passe de croire qu’elle avait obtenu, en Bretagne, un succès total, et que le laminage des cerveaux était pleinement accompli : notre langue, notre culture, notre fierté naturelle avaient été EXTIRPES de nos circonvolutions cérébrales. Le peu qu’il en restait était pour nous objet de dégoût. Nos parents, nos grands parents, nos arrière-grands parents, avaient tellement souffert des persécutions mentales infligées par l’Etat colonisateur, qu’ils étaient devenus honteux d’être bretons.

J’ai connu ce sentiment d’infériorité qu’ils partageaient tous. J’en ai beaucoup souffert. Nous sommes des millions à avoir connu cela, par la grâce du colonisateur, qui selon son interprétation honteuse, est venu nous cueillir dans la fange du ruisseau pour nous  » élever  » jusqu’à lui. En nous détruisant.

Je peux le dire aujourd’hui : ma pudeur native, liée à mon héritage civilisationnel, a cédé partiellement, parce que, ayant accès à des informations immenses sur notre histoire, j’ai conçu rapidement que j’avais le devoir de communiquer mes réflexions à mes compatriotes, qui n’osaient plus s’exprimer, ni même réfléchir à leur identité.

Rétrospectivement, c’est EFFRAYANT. J’ai commencé à me reconstruire vers la trentaine – pas avant -, en découvrant, à Paris, que je ne suis pas français, mais breton.

Nos parents et nos grands parents étaient bretonophones. Tous parlaient notre langue nationale : les passants dans les rues, les commerçants, les marins, les paysans … La langue française, dans la moitié occidentale de la Bretagne – la Bretagne dite  » bretonnante  » -, était refoulée dans les écoles, l’administration, certaines villes …

Mais voilà : stigmatisés, montrés du doigt, sévèrement punis lorsqu’ils étaient surpris à parler la vieille langue de leurs ancêtres, ils avaient intériorisé le modèle mauvais que la France avait tant travaillé à leur donner.

L’ACCULTURATION (voir ce mot, très important, dans Google), en Bretagne, a été FEROCE, à partir de la révolution ridiculement appelée  » des droits de l’homme  » ….

Sauf erreur de ma part, si tous les éléments en ont été exposés dans mes publications ces quatre dernières années – que l’on sache bien que je l’ai fait consciemment, sachant dès le départ ou je voulais conduire ma démonstration -,  AUCUNE THESE N’A ETE SUSCITEE sur ce thème capital pour notre identité par l’Université de Bretagne. Il n’y en aura AUCUNE au sein de cette université avant longtemps, car toutes les portes pour avoir accès à la vérité sont bouclées. A quadruple tour …….

 

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Ce qui vient de se passer, en France, au plan politique, n’est pas même pour nous, un épiphénomène : ce n’est RIEN, les acteurs qui se sont mis en scène n’encourent que le ridicule, à raison, pour la grande majorité, de l’incompétence, l’inexpérience, l’intolérance  ….. Le malheur est qu’ils vont détruire la France, incapables qu’ils sont de diriger la politique, l’économie, la sécurité, l’avenir de ce pays; et que, inclus d’une manière péremptoirement contraire au droit, nous allons en subir les conséquences …

 

 

LE SYNDROME BRETON.

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LA NEVROSE D’ACCULTURATION CREEE PAR LE LAVAGE DES CERVEAUX ININTERROMPU, PAR L’ENSEIGNEMENT DISPENSE EN BRETAGNE  et les persécutions de toutes natures de 1789 à 1950-1960. (Extrait du site de Louis MELENNEC).


Interview de Louis MELENNEC, docteur en médecine et en droit, historien.
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@Au cours de ces dernières années, je me suis attaché à mettre un peu d’ordre dans les notes prises au cours de mes lectures, depuis trente ans, sur les désordres psychiques et psychologiques atteignant certaines populations conquises par la violence, et privées de leur culture par la force du plus fort, dans des conditions pouvant constituer un défi aux lois élémentaires de l’humanité, et au respect du aux êtres humains.Au début de mes recherches, j’ai eu ce que l’on nomme des  » intuitions « . Puis, les intuitions se sont muées en constats objectifs. Enfin, j’ai pu identifier une entité clinique, à laquelle j’ai donné le nom de « syndrome breton ». J’espère pouvoir publier un article sur le sujet dans le courant de l’année à venir.On sait aujourd’hui que, de même que les névroses individuelles naissent souvent des traumatismes, des stress, des conditions dans lesquelles l’enfant a été élevé – notamment des interdits trop sévères qui lui ont été inculqués -, de même les traumatismes collectifs (les guerres, les défaites, la soumission à d’autres peuples, la destruction de la culture, l’obligation d’accepter celle du plus fort…), peuvent engendrer des troubles psychologiques, des troubles du comportement, chez les vaincus, plus ou moins graves, plus ou moins durables.La notion de névrose collective est aujourd’hui bien connue (sur Internet, au moment de la présente interview: 149 000 références !). Certes, ce sont les traumatismes récents, non encore « digérés » et neutralisés qui sont les plus meurtriers ( la Shoah, le génocide arménien, le génocide rwuandais, le génocide cambodgien ….). Mais les traumatismes anciens, même oubliés, peuvent laisser des traces profondes. Ils s’inscrivent dans l’inconscient collectif, pouvant formant des strates qui se superposent. De même que le comportement de l’être humain peut être conditionné, sa vie durant, par les traumatismes oubliés de la petite enfance, de même la vie des Nations peut être conditionnée par des faits très anciens, dont le souvenir s’est dilué dans le temps.La Bretagne est un champ d’observation privilégié.Pays libre, indépendant et fier jusqu’à la fin du 15ème siècle, elle a été victime de deux invasions militaires françaises, en 1487, puis en 1491. Elle a été soumise dans des conditions drastiques par la France, qui s’est emparée de tous les leviers de commande, dès la mort de la Duchesse Anne et de son mari Louis XII, en 1514 et en 1515. Elle n’a jamais retrouvé sa Liberté, et reste assujettie à son puissant voisin, malgré les progrès du Droit international, et du Droit des peuples à disposer d’eux mêmes, principe fondamental dont la France, par ironie, se déclare le Champion.Les faits sont assez peu connus, même en Bretagne. Ils commencent à l’être, par la volonté INEBRANLABLE de Bretons qui ont décidé de se dévouer entièrement à leur pays, c’est à dire de s’opposer sans jamais faillir, aux mensonges, aux tartufferies, aux hypocrisies du pays d’à côté, qui a l’audace ridicule de croire qu’il a réussi à nous  » assimiler « , c’est à dire à faire de nous des Français.

Le pays a été privé de sa culture. L’enseignement de l’histoire continue à être interdit dans les écoles. La langue a fait l’objet d’un assassinat pensé et voulu au 19 ème siècle, de sorte qu’elle a été quasi éradiquée, et qu’elle est en train de mourir, au moment ou nous parlons. Le syndrome breton est constitué des manifestations psychologiques qui atteignent ou ont atteint une partie de la population, à la suite des traumatismes liés aux invasions de 1488 et de 1491, aux conditions humiliantes de l’annexion de 1532, à la répression féroce de 1675 (révolte des bonnets rouges), et surtout de la destruction de la Bretagne autonome en 1789, suivie de l’écrasement mental des cerveaux de 1789 à 1950, période durant laquelle la langue et la culture ont été détruites par le pouvoir central, qui a réalisé une « lobotomie », avant même l’invention de la neuro-chirurgie.

L’un des symptomes: LA RUMINATION MENTALE, qui fait que des centaines de milliers de bretons ne peuvent chasser de leur cerveau les injustices et la persécution dont la pays a été victime, et continue à l’être. Ce symptôme ne touche qu’une partie de la population: ceux qu’on appelle les militants; ceux dont la passion est l’histoire de la Bretagne, ceux qui luttent pour sortir la Bretagne de son statut actuel, extrêmement humiliant.

Le second symptôme est LA HAINE ET LA HONTE DE SOI. Ce symptôme a été observé chez toutes les Nations humiliées et persécutées. Chez les juifs, il a été décrit par de nombreux auteurs, en particulier, d’une manière admirable, par Albert Memmi. Il a été quasi général en Bretagne, et très douloureusement ressenti au 19 ème siècle, et pendant la première moitié du 20 ème siècle. Il a aujourd’hui disparu. Les jeunes ont aujourd’hui, par réaction sans doute, ont un très fort sentiment d’appartenance, en même temps que de fierté d’être Bretons. Mais ceux qui, nés avant 1950, ont vécu la persécution linguistique et culturelle perpétrée par la France, en conservent un souvenir cuisant (je fais partie des survivants, ce qui me permet d’en parler).

Ma formation psychiatrique et psychanalytique (j’ai été le dernier élève du docteur Hesnard, breton de Pontivy, l’inventeur de la psychanalyse en France, auteur du premier ouvrage publié en langue française sur « La psycho-analyse des névroses et des psychoses  » (Alcan, 1914), puis de Juliette Favez Boutonier, professeur à la Sorbonne, tous deux ex-présidents de la Société française de psychanalyse, enfin du professeur Bourguignon, auteur d’une monumentale traduction de l’oeuvre de Freud), et ma passion pour l’étude des sociétés et des mentalités m’ont conduit à explorer, à travers la littérature, les dégâts psychiques nés de l’acculturation ou de la persécution culturelle des Incas, des Aztèques, des Inuits, des Aborigènes d’Australie, des Juifs, des Arméniens, et d’autres peuples qui, comme le nôtre, ont été défaits militairement, humiliés, privés de leurs droits, bafoués, interdits de pratiquer leur culture, de parler et de transmettre leur langue à leurs enfants.

Sur le terrain, j’ai vécu ma propre expérience personnelle, celle de ma famille, ma scolarité en pays Bigouden – entièrement bretonnant à l’époque -, les témoignages recueillis en Basse Bretagne, le tout conforté par des lectures nombreuses, dont celles des travaux des psychiatres bretons ( les docteurs Caro et Carrer, notamment), sur les conduites « addictives » et les suicides en Bretagne … J’ ai eu des entretiens nombreux avec des psychiatres juifs, très bien informés de ces problèmes, pour les avoir vécus pendant deux mille ans à travers leur peuple, notamment avec mon collègue le docteur Ludwig Fineltain, expert psychiatre près la Cour d’appel de Paris (de cet auteur, voir, en particulier, sur Internet, « Les syndromes des survivants de la Shoah »).

La moisson des faits recueillis et des constatations faites est impressionnante. Mes travaux recoupent, d’une autre manière, ceux des autres auteurs, en les complétant et en les amplifiant.

Nous sommes menacés d’une aggravation de la situation. Deux personnages, situés au sommet de l’Etat français, se sont vantés, de leur intention de ne pas faire réviser une Constitution obsolète, de conserver à la langue française son statut de langue officielle de la « République », c’est à dire d’interdire, en pratique, la transmission de notre langue dans les écoles bretonnes, que nous construisons avec nos deniers, et de nous priver de l’aide des maîtres, instituteurs, professeurs formés et payés avec nos impôts, c’est à dire le fruit de notre travail. Si nous n’agissons pas auprès des Instances internationales, la langue bretonne sera morte avant trente ans, quels que soient les efforts de ceux qui consacrent tout leur temps à tenter de la sauver. Nous n’avons rien à attendre de ce qu’il est convenu d’appeler « l’hexagone ». Seul un statut « écossais » ou « catalan » peut nous sauver.

Docteur Louis MELENNEC, Ex-Consultant près le Médiateur de la République française.

A Paris, le 27 juillet 2007.

(Cet article a été repris par plusieurs publications bretonnes, en particulier l’Agence Bretagne Presse, le 9 janvier 2009. Les Français, imbus de leur supériorité affichée – bien qu’elle soit désormais ridiculisée -, sont totalement ignorants des dégâts monstrueux que leur pays a causés en Bretagne) : ce n’est pas à eux qu’on en veut, mais à ceux de leurs gouvernements qui ont perpétré les horreurs que nous dénonçons; eux aussi ont été victimes de l’incompétence de leurs gouvernants.

Depuis la publication de cet article, en 2007, l’article deux de la constitution française a été révisé, avec les applaudissements de quelques naïfs députés bretons (dont M. Le FUR, homme d’ailleurs très respectable, à ce qu’il semble). Résultat : LA BRETAGNE, DEPUIS LORS, A PERDU PLUS DE 40 000 LOCUTEURS ! Bravo, messieurs les  » parlementaires : vous nous remplissez de fierté et d’orgueil (voir dans Errances : mélennec, les réformettes …).

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DU BON USAGE DES MOTS  » COLLABOS  » et  » KAPOS « .

LES BRETONS N’ACCEPTERONT PLUS JAMAIS (je dis : JA-MAIS), L’instrumentalisation LAMENTABLE des Français, qui ont tenté – et jusqu’ici partiellement réussi – de rejeter la faute de la collaboration sur les Bretons (0, 20 pour cent de la population), en tentant de se débarrasser de leur propre infamie sur un peuple pacifique, distinct du leur en tous points, non inclus dans la France selon le droit international, ET QUI AVAIT LA LEGITIMITE DE MENER SA PROPRE POLITIQUE EN 1940, COMME AUJOURD’HUI.

Beaucoup de gens pensent que la collaboration est un genre spécifique, apparu sous la seconde guerre mondiale, ne concernant que les Français qui ont apporté, à des degrés divers, leur concours aux autorités allemandes d’occupation.

Il n’en est rien. De même que j’ai démontré ici que les Nations existent non seulement depuis la plus haute antiquité – et même depuis que les hommes vivent en groupe antagonistes, opposés inéluctablement par des conflits et des contentieux -, de même que j’ai rappelé, en accord avec tous les spécialistes de la discipline, que l’histoire des Droits de l’homme commence avec la vie en société (les premières traces écrites se retrouvent dans le Code d’Hammourabi; voir ce terme dans Internet) – ce qui a pour effet d’exclure la France des pays autorisés à se prévaloir du moindre rôle fondateur dans cette matière -, de même les phénomènes de ” collaboration ” – non encore, certes désignés par ce terme -, se confondent avec l’histoire de l’humanité. Ce phénomène est simple : lorsque le pays envahisseur et occupant, ne détruit pas en totalité les populations locales – ce qui est la règle -, il a évidemment besoin de ” complices ” issus de cette population pour la gouverner, la maîtriser, l’exploiter…

Ceux qui ont suivi nos publications ont assisté à un transfert – pensé et voulu – du contenu du terme ” collaborateur “, d’une catégorie de personnes à une autre catégorie, bien spécifique. Pendant plus de cinquante ans, au prix d’une manipulation éhontée, les Bretons ont été désignés, DANS LEUR ENSEMBLE, comme les successeurs des quelques centaines de malheureux qui se sont tournés vers l’Allemagne, durant la dernière guerre.

D’ou ces propos imbéciles, tenus récemment par deux débiles parisiens, que tous identifieront facilement : ” Derrière tout breton, je vois l’ombre d’un nazi “, et, au moment de la révision de l’article 2 de la constitution (française), cet infortuné de l’esprit, admirateur de l’action civilisatrice de la Chine au Tibet, pays martyre : ” je ne voterai pas la réforme proposée : LE BRETON EST LA LANGUE DE LA COLLABORATION ” (!!!!).

Aujourd’hui, le terme “collaborateurs” est en voie de terminer sa mutation : maintenant que l’histoire du pays est connue, les collaborateurs sont ceux qui rampent devant ceux à qui ils doivent leurs carrières hors de Bretagne, les autres sont devenus ce qu’ils sont : des Bretons patriotes. Le mot nationalisme a retrouvé sa vraie signification : le nationaliste breton est celui qui a conscience d’appartenir à un peuple spécifique, qui connait l’antiquité de ce peuple, qui est fier de son identité et l’assume pleinement, sans cesser d’être ouvert aux autres nations, cultures et identités, celles-ci méritant autant de respect que celui qui est dû à la Bretagne, et étant source d’enrichissement de l’humanité, non de rejet ou de dégoût. (Font exception : les cultures, sectes, religions ou autres qui prônent la destruction des autres, et, ouvertement, de les TUER).

Les autres pays, qui se sont emparés d’Etats souverains par la force des armes, leur ont imposé leurs Institutions, leur occupation militaire, leur justice, ceux qui ont exploité sans vergogne leur richesses agricoles, leur fiscalité, leurs resources humaines  … SONT DES ETAT FASCISTES.

Français et Bretons, inscrivez dans vos cervelles les vérités que voici : en 1940, la collaboration commence à Ingrandes, dans les faubourgs d’Angers. La Bretagne ne comptera que très peu de partisans de l’Allemagne, la collaboration est quasi exclusivement française. Et si quelques Bretons se sont tournés vers l’Allemagne pour obtenir leur LIBERATION, C’ETAIT LEUR DROIT STRICT. Les affaires de la France et de la Bretagne ne sont EN AUCUN CAS LES MÊMES : la Bretagne est LIBRE de mener sa politique.

A écouter, réécouter, faire entendre autour de vous : LA BRETAGNE ASSASSINEE, sur  » Lumière 101 « .

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