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MASSACRES EN BRETAGNE et LIVRE BLEU : François HOLLANDE demande à la Turquie de « faire » son travail de mémoire (sic). LA BRETAGNE EXIGE QUE LA FRANCE FASSE LE SIEN, et présente des excuses au peuple breton pour les HORREURS perpétrées en BRETAGNE.

 

 

 

 

« Les bretons sont les Juifs de la France » Herbert Pagani, Juif, fier de l’être.

 

« C’est tout à fait exact. Les Juifs se sont émancipés, et ont créé leur Etat. Les Bretons sont en train de le faire. La marâtre France n’est plus en situation de faire obstacle à la vérité, maintenant qu’elle est connue : pour le malheur des Français, ce pays se délite, par l’incompétence abyssale des dirigeants qu’ils se sont donnés, de véritables génies à rebours ». (Louis Mélennec, Breton).

 

« Le bourreau tue toujours deux fois : la seconde fois par l’oubli ». Elie WIESEL.

« En Bretagne, ce beau proverbe ne marche pas : nous n’avons rien oublié. Cinq millions d’années ne détruiraient pas notre mémoire ». Louis MELENNEC.

 

COMMANDER LE LIVRE  : écrire à klesseven@hotmail.com

Prix : 6,50 euros + deux timbres pour le port

(Cet article est en cours de rédaction).

 

J’ai toujours dit – je le maintiens – que la Bretagne, meurtrie par les abominations perpétrées par le colonisateur, ne pourra jamais pardonner ce qu’on lui a fait : certaines fautes sont impardonnables, par nature, et en raison de l’horreur qu’elles suscitent..

Du moins certaines démarches doivent être accomplies : le coupable doit avouer ses crimes, et  demander pardon de ses fautes, lorsqu’elles atteignent ce degré de gravité. Même lorsqu’il sait qu’il ne lui sera accordé  aucun pardon … Notre vieille civilisation est capable de compassion pour le coupable. Mais il y a des choses qui ne peuvent s’oublier. Dans certaines civilisations, la faute se traduit par le désir frénétique de se venger. La vendetta, dans certains pays, se transmet de génération en génération, jusqu’à ce que mort s’ensuive. Je n’ai pas été élevé dans cette philosophie : je suppose que mes compatriotes, sur ce point, sont dans le même état d’esprit que moi. J’ai souvent entendu mes parents dire, s’agissant de celui qui avait mal agi : « il est à plaindre, nous ne voudrions pas faire ce qu’il a fait ». Mais cela ne résumait pas leur opinion, pas plus que la mienne : la faute, pour nous, appelle une réparation morale, qui s’appelle la sanction. Et celle-ci doit être d’autant plus sévère que la faute a été grave.

Parmi les fautes commises actuellement en Bretagne par la France, l’une est d’une singulière gravité, les auteurs en sont connus, et seront un jour jugés : c’est la partition de notre territoire national … Connait-on les responsables ? Bien sûr ! Leurs actes ? Bien sûr ! Le sort qui leur est réservé ? Bien sûr ! …

Attendons, simplement : les crimes contre son propre pays sont les plus graves qu’un homme puisse commettre. Les mêmes causes produisant les mêmes effets ….

 

 

BRETAGNE ET TURQUIE. (Voir dans Google : mélennec turquie, 33 000 résultats).

J’ai promis de publier quelques extraits du Livre Bleu qui vient de paraître, une deuxième fois, sans que les horreurs qui y sont relatées émeuvent les médias français. Bien sûr, nous le savions : depuis les invasions de 1487 et de 1491, depuis l’annexion non consentie de 1532, beaucoup de sang a coulé en Bretagne. Et nous connaissons la lâcheté des médias. C’est de nous-mêmes que nous attendons le salut, de personne d’autre.
Franchissons donc un cran.

(Pour commander le livre bleu, faire : klesseven@hotmail.com)

Les courts extraits ci-après sont adressés à M. ERDOGAN et à son gouvernement, via son ambassade en France.

Auparavant, pour bien situer le problème, lisez ceci, avec la plus grande attention :

 

Le docteur Mélennec demande au Parlement Turc de voter une loi interdisant, sous peine de sanctions graves, de nier le génocide brito-vendéen.

 

Les lois mémorielles.

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QUELQUES EXTRAITS DU LIVRE BLEU : L’ACTION « CIVILISATRICE » de la REPUBLIQUE DES DROITS DE L’HOMME PAR LES ARMEES FRANCAISES, en 1793 et en 1794 : DES HORREURS INIMAGINABLES.

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L’ABOMINABLE TABOU DE LA REPUBLIQUE DES DROITS DE L’HOMME : LES CRIMES COMMIS EN BRETAGNE ET EN VENDEE PAR LES ARMEES FRANCAISES EN 1793 ET EN 1794 .

(Extraits du livre bleu de la Bretagne, pages 57, 58, 59). Par Louis MELENNEC, historien.

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« Des crimes sans nombre sont commis par les soldats français, sur les ordres réitérés de Paris. Les abominations commises dépassent, de loin, par leur caractère monstrueux, celles causées par les nazis en Europe.

Des hommes sont émasculés ; d’autres sont coupés vivants en morceaux ; d’autres sont jetés dans des fours, dans des brasiers, ou dans des chaudrons d’huile bouillante; la graisse humaine est récupérée pour lubrifier les canons, les roues des charrettes, les fusils. Ceux qui cherchent à s’enfuir, ont les bras et les jambes coupés. On introduit des charges explosives dans le corps des individus, et on y met le feu ; les femmes sont violées en série, si possible collectivement, devant leurs familles; on les embroche avec des fourches, alors qu’elles sont vivantes ; mieux : pour empêcher cette vermine de se reproduire, on éclate avec des fusils leurs organes génitaux… Des femmes enceintes sont écrasées sous des pressoirs. Le ventre d’autres femmes enceintes est ouvert, on y met de l’avoine, et on y fait manger les chevaux. Les enfants sont des proies de choix : on les tue, sans pitié, souvent devant leur mère, parfois en les écrasant, comme des insectes (on rapporte un cas atroce : celui d’un enfant au sein, transpercé par la même baïonnette que sa mère, sous les applaudissements du commandant). La peau des hommes est utilisée comme le cuir des animaux : après dépeçage des « brigands » (ainsi les dénomme-t-on, ce qui économise le temps de toute procédure judiciaire), on tanne, on traite, on se sert du cuir obtenu pour différents usages, notamment pour fabriquer des culottes aux officiers français (le musée Dobrée, à Nantes, a conservé l’une de ces reliques).

Nantes, métropole économique de la Bretagne, qui fut la capitale politique brillante du Duché indépendant, en même temps qu’un centre important de la diplomatie européenne, est particulièrement visée. Les agissements du sinistre Carrier, en Loire Inférieure – département éminemment breton -, sont restés célèbres : outre les traitements ci-dessus, pour gagner en efficacité, on met au point une technique spéciale de noyade, adaptée à la vermine bretonne : on enferme une centaine de malheureux sous le pont d’un bateau, on condamne les sorties, on coule le navire dans la rivière; on perfectionne le procédé : on jette par centaines des habitants, non sans les avoir brutalisés avec une cruauté inhumaine, dans des barges qui s’ouvrent par le fond ; la méthode est rapide, le bateau est récupéré intact, et sert à d’autres exercices ; des hommes et des femmes sont liés ensemble, avant d’être jetés à l’eau, dans des positions souvent impudiques, le père avec la fille, la mère avec le fils : c’est la technique dite du « mariage révolutionnaire »; des noyades pour enfants sont organisées. La Loire est baptisée « baignoire nationale ». Carrier commente, admiratif : « Ah! La Loire ! Quel beau fleuve révolutionnaire ! ».

Au total, en Vendée, sur une population de 815 000 habitants, 117 000 sont tués : les éléments du crime de génocide, tels que définis par la Convention de l’ONU de 1948, sont réunis (Goldnadel, Sécher et Courtois). L’intention prouvée des révolutionnaires de Paris est bien d’exterminer totalement les populations de l’Ouest.

En Bretagne, il est malheureusement impossible, pour le moment, d’établir un bilan des disparus, tués, torturés.
A Nantes, on parle de 4000 à 5000 noyades ; le total des victimes dépasse sûrement plusieurs dizaines de milliers pour tout le pays.

Voici maintenant qui constitue pour les Bretons de 2008, une révélation effrayante : le génocide des Bretons est programmé par Robespierre, malade mental avéré, dont le nom orne encore de nombreuses rues, places et divers lieux (travaux de Reynald Secher, communiqués aux auteurs, aujourd’hui rendus publics). Les Bretons d’aurjourd’hui doivent peut-être d’exister grâce à l’exécution de Robespierre.

Parmi les centaines de phrases prononcées par ces dérangés mentaux, on cite volontiers celle de Carrier :

« Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ».

Et celle du général Westermann, passée à la postérité par l’horreur qu’elle suscite, qui commande les armées à Savenay, en Bretagne, en 1793 :
« Il n’y a plus de Vendée; elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes, qui n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Les routes sont semées de cadavres ; il y en a tant qu’en plusieurs points, ils font des pyramides ».

On est saisi d’incrédulité lorsqu’on apprend que les criminels nazis, que les criminels cambodgiens, n’exprimèrent, lorsqu’ils furent jugés, aucun remord, aucun regret. Ce qui s’est passé sous l’Allemagne nazie s’est passé en Bretagne et en Vendée : les monstres Robespierre, Carrier, Westermann, mis à mort à leur tour dans la folie meurtrière créée par la révolution, n’ont exprimé que le sentiment d’avoir fait leur devoir. Ces réactions incompréhensibles pour les humains « normaux », sont fréquents chez les criminels : à Nuremberg, les nazis essayèrent de sauver leur peau, mais n’exprimèrent aucun regret.

Tous ces faits sont ignorés en Bretagne, ils sont encore occultés, en 2009, et valent encore à ceux qui les dénoncent des injures. Il y a en Bretagne comme en Vendée, un crime de mémoricide, par la volonté affirmée de la France d’empêcher que la vérité soit dite. Les députés de France doivent d’urgence voter un texte de condamnation sans appel, comme ils l’ont pour les Juifs, les Arméniens, l’esclavage. »

Ai-je été trop bien élevé pour ne jamais parler des ces faits abominables à mes amis français, jusqu’à ces dernières années, dans le souci de ne pas les culpabiliser ? Sans aucun doute, ma morale bretonne m’a poussé à me taire. Chez nous, les grandes douleurs sont muettes. Je n’ai jamais entendu aucun d’eux exprimer ni regret, ni compassion, ni excuses. Leur incompréhension du problème breton est abyssale. Nos deux nations ne sont pas prêtes à se comprendre.

Nous avons eu tort de nous taire. Pendant que les télévisions diffusent chaque soir au moins un film où une émission sur la shoah, jamais nous n’avons entendu parler honnêtement de ce drame affreux, de cette plaie qui ne cicatrisera jamais, comme celle des Juifs.

Aujourd’hui, enfin nous avons conquis – de haute lutte, en aucun cas par l’effet du hasard -, le droit de parler : je le fais, faites-le.

Au moment où vous lisez ces lignes, j’ai pris le parti d’adresser ce texte à cinquante journalistes français connus qui continuent à se taire  : honte à eux. »

 

 

LOUIS MELENNEC